Préambule
Mon mari, homme mur de 68 ans, trop occupé par ses affaires, ma confiée à lun de ses amis, Jean Paul, pour parfaire mon éducation. Le but est de satisfaire son penchant Candauliste, mapprendre à aimer lamour, les hommes, le sexeMonsieur Jean Paul a carte blanche totale.
Précision, je suis déjà très portée sur la chose et jaime la bite !
(OH l vilaine), la tâche sera moins rude.
Je vais tout vous raconter de ma longue bonification sur plus de 20 grands moments.
Beaucoup de choses arriveront, pour le plaisir de cet homme que jaime, celui des heureux participants choisis, le mien (de plaisir).
Pour ceux qui veulent mieux visualiser, je ressemble, en moins belle, à la célèbre présentatrice Télé qui anime lémission des agriculteursToujours bronzée intégral, née blanche et à Paris. Jai 42 ans.
Belle poitrine dont les boutons sont toujours dressés (une vraie chance !), fesses galbées, jambes assez musclées et fines, chevilles fines. Mes cuisses ne se touchent pas, le découpé est étonnant pour les voyeurs. Mon minou est juste assez épilé pour offrir à la vue, en permanence, mes lèvres renflées, voire gonflées. Mon mari tient beaucoup à cette vue de loin.
Et puis, JE SOURIS TOUJOURS !
Ma bouche est très charnelle, oui imaginez cette dame, vous y serez.
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Bien cette fois ça y est, il a réussi, j’ai goûté à lhomme de couleur, et quelle BETE..!!!!!
Monsieur Jean Paul me téléphone vers 19h30 un mardi soir :
" Anne vous êtes seule?" « Oui pourquoi? »
« Dans 30 minutes, soyez prête Anne !! NUE, à la porte, j’arrive.».
« Mais je suis fatiguée…! »! "NOUS allons vous détendre".
NOUS ? Je me demande ce qui est encore tramé.
Je prends une douche, m’apprête pour être propre, parfumée. A Peine terminé, linterphone, Jouvre (je vérifie à lilleton, personne sur le palier).
Japerçois Monsieur Jean Paul, un grand gaillard, je ne sais pas encore… j’ouvre la porte, complètement nue, je le vois. Le type là est un grand black ! ! Magnifique ! !
"Ah la bonne heure Anne ! Je vois que vous êtes raisonnable. Je vous présente Brice, il travaille à la Poste de….., je lui ai parlé de vous, il veut vous connaître mieux ».
« Tu vois Brice, elle est belle, tu vas bien en profitez, je tai promis, belle blanche, hein!! Mon Brice.
Tu verras elle aimera te goûter, j’ai rarement vu une suceuse pareille elle est très douée.»
Monsieur Jean Paul, dans l’entrée, me tourne de tous les cotés, me caresse partout, seins, hanches, flatte mon cul, vérifie, mouvre la chatte, comme pour une pouliche à vendre sur les marchés…
Il enfonce 2 doigts, masse mon clito de suite, maintient mon cul en avant avec son autre main, à l’intérieur de mes fesses, glisse un doigt, ce mouvement empêche toute réaction, je suis prisonnière des deux battoirs.
Il me pousse vers Brice très près, dit : "Anne ! Dites bonjour à Brice, embrassez le !!!".
J’ai un mouvement mais Brice sans attendre me prend fort dans ses bras, maintient fermement ses mains derrière, sur mon cul, il me roule une pelle de ses grosses lèvres, me lèche la nuque, à grands coups de langue. Frissons Le salaud sait faire.
Plus tard je comprendrai que Brice aime beaucoup lécher.
"Allons boire quelque chose, vous nous servez du champagne, on va fêter ça "
Japporte champagne, gâteaux, ils sont déjà installés dans le salon. Je sers, je me penche, nue
Monsieur jean Paul flatte ma chatte en même tant, par larrière, même scénario.
Le black est assis dans l’autre fauteuil, spectateur, je viens pour lui tendre sa coupe, il saisit ma main,
La porte à sa queue pour que je comprenne bien qu’elle est très grosse..!!!!
"Attend Brice je vais te l’offrir, elle va être ton esclave, mon Brice…Tu pourras t’en servir quand tu voudras, elle ne dira rien ..!! »
Je le regarde, émue, en même temps je décide que de toute façon je ne peux rien, mieux vaut jouir.
Ces salauds ont décidés d’être gentils pour mieux me soumettre après. Monsieur jean Paul reste habillé.
Tout ce qui va suivre « est dicté » mais je dois le répéter comme si c’était moi qui le voulais…
Je dois demander, supplier, moffrir, être une prisonnière consentante et demandant. !!!!
"Brice je veux vous déshabiller, vous êtes mon premier noir, j’ai hâte, je veux vous sucer, j’ai envie…
Je vous en prie Brice votre queue, s’il vous plait, donnez-la-moi. »
Il la sort !!!! Bandée, 22/23cm, au moins 4 ou 5 de diamètre, grosse, épaisse, je comprends que ça va être ma fête. Brice se déshabille seul très vite.
Il est nu, avec cette bite énorme devant moi. Très propre c’est important.
Avant il est allé dans la chambre (endroit ou Alain a interdit tous ébats) Il a pris de mes sous-vêtements, s’amuse avec, il s’assoit sur le fauteuil, demande :
"Anne, rampe sous moi petite salope! Viens vénérer ma bite! Regarde-la, encore ! Admire, tu vas l’engloutir entière. »
Il me prend, me soulève comme une plume, me met debout sur le fauteuil, une jambe de chaque coté de sa tête de bandit, lui assis. Il me lèche la chatte avec sa grosse langue, à grands coups, me lave les fesses, glisse sa langue dans mon cul, lèche, je suis au-dessus de lui.
"Oui Brice, oui, j’aime votre langue, oui ». Je JOUIS, je coule, ILS ONT GAGNES encore.
Car, maintenant, c’est moi qui veux obéir, devenir une véritable chienne, ou une chatte je ne sais pas ?
Monsieur Jean Paul "dirige" donne les ordres, je DOIS lui demander ce qu’il faut faire.
" Monsieur Jean Paul, dites moi, que voulez vous ? Je suis d’accord, oui, je le fais tout de suite, tout ce que vous voudrez »
Je lèche Brice à petits coups de langue, d’abord ses cuisses, son ventre, ses seins, son dos, je lèche, je lèche, je lèche doucement de bas en haut je le lave littéralement, il sent l’eau de cologne, on voit qu’il s’est préparé, dun seul coup. Il dit : «SUCE moi, Anne SUCE !! Et Vite, tout de suite !…»
J’attrape la queue noire étonnante, je l’avale d’un coup, je m’étrangle dabord, je le pompe, le pompe, je suce, je gobe à pleine bouche. Je prends ses couilles dans mes mains, comme un calice, je suce, …
Rapidement IL GICLE !!
Je me retire, un jet de 10cm au moins, je ne sais pas. Je ne vois plus rien.
"Anne finissez le !! Elle doit être propre, allez Anne, je le VEUX, vous aussi !!"
Jessuie un peu avec une serviette je dis :
"OUI Monsieur jean Paul, oui je vais le laver, j’aime beaucoup Brice, il est bon. Encore.
Je veux qu’il jouisse dans ma bouche. Je vais le boire encore, oui"
(Je vous rappelle que tout cela est dicté, cest ce que je dois dire et faire).
Le black gentil devient un maître exigeant, dominateur, il joue avec ma bouche.
A quatre pattes, devant lui, il me donne sa bite, la retire, me tient la tête, à deux mains, se sert de moi, de ma bouche, comme d’une chatte, la bourge blanche est sa chose, il domine, il en fait ce qu’il veut.
Elle le suce, sans rechigner, comme si elle lui appartenait, conquise.
"Je vous fais plaisir, vous aimez ?? Vous voulez que je lèche, oui je vous suçote, oui, je vous aspire, oui que voulez vous ?? Je le fais, je veux, jaime, je suis à vous Brice, à vous.
Votre esclave blanche, ça vous plait…?" « Vous êtes content ?? »
Il me pétrit, pendant que je suce, je ne vois plus rien, les deux ont leurs mains dans ma chatte, dans mon cul. Je laisse faire, je suis plus moi… Là encore Monsieur jean Paul me dit :
"Anne je vais faire comme l’autre fois, votre cul est ouvert, jai envie, je sais que vous aimez, j enfonce ma bite. D’accord Anne?"
"OUI Monsieur faites comme il vous plait, Monsieur ".
Il met en fait que le début du gland dans mon petit trou du cul, salivé, mouillé, il reste là, je dois bouger, remuer, pour faire entrer la bite de moi même, je tourne autour de son gland, d’avant en arrière, j’essaie de le rentrer un peu plus, cela ne fait pas mal car bien huilé, ALAIN a bien agrandit l’entrée.
Il se soulagera sans se soucier de moi et me laisse aux mains de Brice.
Brice (toujours devant moi) GICLE encore, une longue saccade, obligée, j’en bois une bonne partie, le reste sur mes joues.
Il exige que joffre mes seins à sucer. Je lui tends ma poitrine, prisonnière de sa grosse bouche.
Il mordille mes tétons avec un certain sadisme.
" Lève-toi Anne ! » dit Brice, viens encore me lécher les seins et le dos, salive bien, descend sur mes fesses, vite !! Plus vite, obéis !! Descends lèche mes fesses Anne, lèches.
Descends encore derrière mes cuisses, remonte… »
Et durant au moins 15 minutes JE NE FAIS QUE LECHER partout où il veut, SANS OUBLIER un long passage sur ses couilles énormes que jaspire. Consentante, obéissante, soumise, heureuse…
Regard admiratif, satisfait, de Jean Paul. Il se dit sûrement que le dressage prend un bon chemin.
Ses projets avec mon mari sont en bonne voie. Tout ça dure une bonne heure et demie, il est à peu près 22H30. On boit, je les sers, je suis encore pompette, (2 bouteilles, la fatigue aussi.)
Complètement nue, ma tenue naturelle avec eux, normale. Je cherche plus à me couvrir, je suis KO.
Monsieur jean Paul :
" Vous savez, Anne en fait Brice va bientôt devenir votre facteur, c’est pour ça qu’il est là.
Il faudra bien le recevoir, n’est-ce pas ANNE !! » (Très dur dans le ton, commande sans appel).
« N’est-ce pas Anne ?? Comment ferez-vous si il vient sans moi ??"
« Je serai toute nue Monsieur. Nue, je ferai ce qu’il demandera »
« Quoi ANNE ?" «
« Je le sucerai, je branlerai, je le boirai, puisque vous voulez "
" Et si il ne vient pas seul ? ANNE ? »
« Sil n’est pas seul : vous serez pareille avec tous ceux qui viendront, je veux que vous montriez tout.
Les exhibes voiture et plage cest bien mais plus assez maintenant »
" OUI Monsieur, OUI, je suis à sa disposition ". Et là, ça se corse encore.
" Bien Anne, on va voir ça tout de suite. »
« Brice je suis content de toi, tu viendra porter son courrier, elle te fera une pipe, tu lui demandes à linterphone de se mettre nue, TOUJOURS.
Elle doit toujours être nue pour TOI !!"
« N’exagère pas, hein, tu as mon accord, ma confiance et celle de son mari ».
Je reviens de la salle de bains. Jean Paul prend son portable.
« Thierry ? Tu es seul, OK, je t’amène une meuf, une salope, une bourge gourmande et cochonne,
prépare ta bite mon grand ..!"
Je suis stupéfaite. !!!
*"Anne enfilez juste votre imper vert, des chaussures à talons " Allez vite !! »
« Mais Monsieur que fait-on ?? »
"Je vous amène à un ami arabe, il sennuie, pas de femme, je vais vous offrir ".
« Mais non, Monsieur, je travaille demain » « On ne rentrera pas tard !
"Anne évolue à grands pas, tous ses anciens fantasmes devenus réalité
La suite vient ..sur plusieurs mois. Mon de mari orchestre en coulisse