Au revoir à Brice. Monsieur Jean Paul memmène, on monte dans sa voiture, une BMW, large, clim et tout.
"A poil Anne, à poil, vite, enlevez votre imper !! Gardez vos chaussures!!"
A cette heure peu de monde en ville. Aux feux rouges à coté des voitures, on me voit, au moins le haut sans rien. "Redressez-vous Anne, Montrez vos seins ..!".
Je fais attention quand même, dans le coltar, j’ai trop bu.
Je me montre uniquement quand c’est un mec tout seul.
Il fait petit détour près de RUNGIS où il y à tous les camions, stoppe au milieu d’une file en attente, sur parking, allume le lecteur de carte de mon coté, ouvre la boite à gants.
Je suis éclairée…complètement nue, limper sur la banquette arrière, comme avec Alain.
Deux routiers comprennent (ils doivent surement connaître sa voiture), descendent du camion.
Gros, dans les 55, jeans, blousons, ils approchent tout près.
Il baisse SA vitre dit :
" Alors les gars ça va?? Regardez, j’ai du choix pour vous, aujourdhui ».
« Matez moi cette salope, elle a envie de se montrer!"
Il me fait mettre les jambes sur le tableau de bord chatte écartée, pleine lumière, il me caresse, sous le regard des 2 mecs.
« On peut toucher ?? Elle nous taille une pipe ? Tu sais après 600kms, ça fait du bien, elle à l’air vraiment salope, tu nous la prêtes ? ".
"Non, Pas aujourdhui » (Ça laisse prévoir lavenir…)
« Anne, montre leur ton cul, fais vite !! » Il prend le tutoiement pour mieux me provoquer.
Je tourne la tête vers larrière de la voiture, appuyée sur le siège, je colle mon postérieur au pare-brise, bien tendu, grand ouvert, offert, jécarte ma chatte dune main…
Jentends :
"Quel cul ! Bordel ! Super chatte ! Elle est bonne. Tu as de la chance, on peut la fourrer.
Allez sois sympa ouvre sa vitre !!».
"Caresse-toi Anne ! Viens me sucer». Jean Paul ne me laisse aucun choix
Je reste en position, je suce sa bite.., il ne jouit pas, mordonne comment je dois montrer, le sucer, toutes les bites des types sont sorties, viennent à l’arrière de la voiture, espérant plus.
Monsieur Jean Paul attend qu’ils giclent, fait signe « Va on est pressés, on reviendra."
Cétait encore pour me tester.
On arrive, une petite maison de banlieue, modeste, vieille.
Je suis toujours nue, j’enfile limper, avec lordre de ne pas le fermer. On sonne chez le fameux Thierry.
Je saurai plus tard, il est maçon, vit seul, pas de femme, pas beaucoup d’occasion.
(Tout cela doit avoir un rapport avec Alain, mon mari, les chantiers il connaît et Jean Paul aussi).
Jentre, imper grand ouvert, toute poitrine à l’air, chatte visible, dégagée, bien ouverte et mouillée.
Le Thierry, roule des yeux !! Il ne croit pas !
"Tu vois Thierry je t’amène une sacrée salope, crois moi, elle va te donner du spectacle, après on verra"
Thierry est en short, polo, il enfilera une chemise au milieu des ébats.
Va chercher à boire, qu’est ce que tu as comme alcool ? Il na que du cognac !! Il sert 3 grands verres à cuisine. Pleins.
"Buvez Anne, pour vous réchauffer "(Monsieur Jean Paul vouvoie maintenant, plus en Maître !).
Je bois, le cocktail champagne, cognac, m’achève, je perds le contrôle.
« Anne venez danser pour nous, comme l’autre fois, mets la musique Thierry »
« Enlevez limper Anne, Vite !! » Jobéis.
(Je vous rappelle que j’ai toujours mes chaussures à talons !! L’effet à poil est garanti).
Bien sûr, musique arabe, type danse du ventre.
Totalement nue, je danse à imiter les mousmés, sur la demande de Monsieur jean Paul.
Je me trémousse, je frôle Thierry, l’aguiche, tends mes seins, mon ventre, mon cul. Pour le moment, il est encore surpris.
Je fais tous les mouvements que Monsieur Jean Paul m’ordonne. !!!!! Sans hésiter, faible.
Thierry sort sa queue, une bite longue, mais longue… Il se branle. En short, il a les yeux écartillés lumineux, je pense qu’il a bu ou fumé un drôle d’air..
"Allez Anne, donnez-vous, soyez pute, provocante, faites le bander, OUVREZ VOUS ANNE !!!
Thierry a besoin de vous ! Vous savez vous nêtes faite que pour ça, donner le plaisir"
Je danse , nue , je m’offre , par terre, sur le dos , ouverte , je me relève , je le frôle des seins, jagis comme en rêve , j’ai trop bu , je suis plus du tout inhibée..
Je voudrai 10, 20 spectateurs, être exhibe au maximum et ça Mr Jean Paul le sait !!
"Tu sais Thierry, elle va bien te sucer aussi. Je l’ai donné à un black, elle la fait super jouir, toi aussi elle va te gâter. Elle veut de la bite comme personne, c’est une vraie cochonne que je dresse avec son mari. Tu peux TOUT lui demander, elle le fera "
"Traites là comme TA salope, ne t’en fais pas ! "
"Anne, vous faites de vous-même, TOUTE SEULE !!!!, comportez vous en putain gratuite, au moins aujourd’hui, demain je les ferai sans doute payer pour vous avoir.
Je vous Anne regarde, sucez le !!"
Je déshabille Thierry, sur lordre de Monsieur Jean Paul.
Encouragé il dit " Salope, de chienne, je vais te la mettre partout, fais la briller, enfonce la dans ta bouche jusqu’aux couilles, aspire moi, oh comme c’est bon, avale bien salope, mange-moi la bite,
Oh la chienne, elle est bonne, elle t’obéit drôlement Jean Paul, SUCES. !!.
Je vais lâcher mon jus au fond de ta gorge, allez suce !! »
Cet arabe m’excite (à cause du fait déjà qu’il est arabe), une bite énorme aussi, son langage de charretier me met en transes, j’ai vraiment l’impression d’être sa putain soumise. Je l’ai sucé 3 fois, 3 fois il a joui ! ! ! Jamais dans ma bouche, jévite, tellement il le voulait)..
Avec toujours des commentaires :
"Obéis chienne, salope de bourgeoise, tu veux bouffer du beur, tiens, encore, allez lèche, lèche moi le cul, dans la raie, allez !! (Ça je ne fais pas !!!). Les couilles alors, les couilles. Lèche dessous, aspire moi les boules, doucement ma biche, on dirait une femelle de porc, (ça je fais), mets ton groin dans mon cul " (toujours pas !!) Ses paroles me stimulent beaucoup, ce salaud le comprend.
« Tiens suce moi les pieds, cochonne ».
Toujours à quatre pattes, je fais semblant de lui lécher les pieds, heureusement propres aussi, très en surface, juste en geste de soumission, docile.
« Je vais t’offrir aussi, j’ai plein de copains, tu veux bien Jean Paul?"
(Jean Paul, le signe genre.. plus tard).
« Tu vas être notre garage à bites, notre vide couilles, en bonne bourgeoise bien douée. Refais-moi ta danse, je te mets un doigt dans le cul, un dans la chatte et tu tournes autour !!! »
« Obéis salope, tu es faite pour nous vraiment, depuis le temps, que des petites connes, là on tient le bon morceau. Hein ma chienne tu aimes ça le beur, hein goûte !! ».
Je mentends répondre « OUI ! »
« Tu vas en avoir des bites, Jean Paul veut. D’abord LA MIENNE. Viens branle toi près de ma gueule, que je te vois bien !! Ouvre, écarte à deux mains !"
Tout ça je le fais, sans lordre de Mr Jean Paul, Tout ce que demande larabe,
Saoule, dalcool, de fatigue, de paroles grossières.ça mexcite. Encore une fois.
" Reviens me bouffer la queue, je ne sais pas si j’ai encore du jus mais ta langue est trop bonne. Allez lèche doucement !! Le sucre dorge, lèche doucement, chienne. Je sens que tu vas « nous » faire plaisir.»
"Jean Paul je veux lenculer, je peux ?? (Signe de tête, NON).
"Alors la baiser dans la chatte Jean Paul ?? Jen peux plus, tu vois bien qu’elle est hyper chaude !!»
(NON, plus tard..)
Mr Jean Paul mallonge sur le canapé un peu pourri de larabe, il me caresse rudement partout, il faut bien me faire comprendre encore que cette CHAIR, mon corps tout entier leur appartient.
De cette façon, j’ai joui quatre fois, un jouet entre leurs mains, je suis ruisselante ! Ma chatte est trempée, j’en ai partout. MAIS CE QUE JE NE SAVAIS PAS .
Derrière le rideau de la pièce, après, une porte entrebâillée se trouvaient 2 autres arabes.
Plus vieux, oncle ou frère genre 65/70, ils ont tout vu sans se montrer (La consigne sûrement).
Les salopards ont du bien se régaler.
"Ahmed, Nasser, vous pouvez sortir. Regardez cette magnifique salope, vous êtes contents ?
Venez la tripoter, tu veux bien Jean Paul ? (Signe OUI, mais calmos).
Les vieux sapprochent. Suis debout, plus nue que nue, en talons, entre eux. A la merci !!
Ils me fouillent copieusement partout, trop heureux.
Cuisses, fesses, poitrine, ils pénètrent ma chatte à pleines mains, mon culapprécient la bête.
Les caresses sont fermes, appuyées, soupesant, malaxant. Ils sont rouges à exploser malgré le teint basané.
Je suis ballottée de lun à lautre, lun deux 2 met sa bite bandée dans ma main.
Jean Paul fait signe « stop ».
Mais MOI je continue !!! Jai envie, pour eux, pas de raison, veulent une salope, alors je suis salope.
Je le branle très fort, je prends lautre aussi. Je les fais jouir, ils crachent en peu de temps !!
Jai les mains couvertes de jus. (Je vois Jean Paul sourire, il approuve, ravi de mon comportement).
"Bon, Anne on reviendra, ils auront encore faim, cest sûr. Rhabille-toi ! »
Clin dil, poignée de mains au 3.
Thierry me claque les fesses, dit :
" À bientôt, ma salope, tu va bouffer de la bite je te promets !! "
Retour en voiture :
"Je suis assez content Anne, vous avez été parfaite, Alain appréciera pour votre prochaine étape ».
« N’oubliez pas Anne, pour Brice, NUE toujours. Si il vous embête, vous le dites, j’arrête tout, cela ne doit venir que de vous et le plus tard possible !! Voire jamais, car vous acceptez mes limites».
Puis plus un mot, je suis à peine rhabillée, on arrive à ma porte.
"Bien Anne, vous devenez bonne, encore du progrès à venir, un manque de docilité et de réelle discipline, il faut faire de vous-même, montrez VOTRE ENVIE, on va revoir ça ". « Reposez-vous.»
Voilà, maintenant jattends le prochain jour.
Jy ai pris goût, j’ai toujours peur, mais cest très excitant.
Jean Paul respecte la consigne de mon mari, aucune photo de moi, Alain ne veut pas.
Lui a bien assez à faire, avec moi à sa disposition, ça lui suffit..
Surtout que cest loin dêtre fini
