Ainsi, devant mon mari, dans une complicité extravagante, contre toute morale, Georges va se faire éponger et calmer par moi. Je vais le sucer avec urgence, cœur, ferveur.
Il s’est assis sur le canapé de son bureau, baisse son pantalon, son slip.
Attend de me revoir à l’oeuvre…me laisse venir.
C’est toujours un bon test.
Maintenant, je n’ai plus la moindre distance avec lui, il demande, JE FAIS…
Son chibre est chez lui dans ma bouche, ma chatte, mon cul, à toute heure,
AU GRÉ DE SON HUMEUR, si nous sommes ensemble.
Il m’appelle si il est en manque ou simplement pour se calmer… ET JE VIENS.
Je choisis de placer mon visage en haut de sa cuisse gauche. La joue collée et reposée sur cette cuisse, le front coincé sur le bas du gros ventre.
Je regarde Sa bite à 10cm de mes yeux et mes lèvres.
Comme une chienne reconnaissante à son maître, pour le remercier, j’entreprends de lécher, doucement, gentiment…Je dirai « religieusement, pieusement »
Il adore !!!
Sa « gueule » de fauve, m’observe du dessus, ravie.
Cette position nouvelle lui plait. Il guide son sexe tendu vers ma bouche, le tordant un peu il me l’attribue…Princier. En fait pratiquement IL ME DONNE LE BIBERON !
Je suçote le gland avec soin, mes lèvres le vampirisent… Mes dents mordillent, croquent un peu la chair tendre.
« Lèche-moi bien ma caille, oui, glisse ta langue, comme ça ! Oui ! »
« Là ! C’est bon, Oui sur ma couille gauche ! Non ! Bordel doucement ! Lèche doucement !
La droite ! Dessous, chérie, dessous, suce !!»
« Alain, mon ami, regarde ta femme. Bon sang ! Je ne me lasse jamais. Elle va encore me boire ! Hein ? Insatiable celle-là !»
«Oui Georges. Mais oui. J’adore la voir sous toi. Elle me dit que ta bite l’excite ! Vas-y ! Donne lui, vieux !! » «Sacrée révision pour tes cultivateurs ! Toute à l’heure ! »
Longs éclats de rires des compères…ils échangent leurs avis sur mon cul, mes talents, ce qu’ils préfèrent…de moi. Ce qu’ils demandent, obtiennent.
Tout cela a pour effet de tendre et gonfler la queue de Georges !! Terrible !
Gorgée de sang, elle ne va pas tarder à se transvaser dans mon gosier friand.
Je savoure ce moment. C’est tout mon pouvoir !
Tel que je suis, posée au pied du promoteur presque assise, la tète appuyée sur sa jambe gauche, je laisse mes fesses accessibles. Un magnifique tableau.
Pour me doper, Alain vient à mon niveau, à terre, il caresse ma chatte par l’arrière, à pleine main. Il me doigte fort, de la main droite, avec son POUCE (chahute mon utérus comme une bite !)
Il passe son bras entre Georges et moi et de la main gauche il pétrit et me pince le sein avec une certaine brutalité.
Ce type de caresse me rend dingue il le sait ! Je transpire de mouille.
Je m’obstine sur le gland de Georges, berce, aspire, m’empiffre, me goinfre littéralement de sa queue. Je le veux !! JE JOUIS de rage !! Longuement.
Il décharge !!!! Copieux toujours ! Je pompe !!! J’avale !! Je me régale ! Je le lave.
Les deux hommes rient franchement !! Radieux ! Pour l’un, Sa femme est offerte et en redemande. Pour l’autre, sa maîtresse est acquise à toutes ses folies lubriques les plus déraisonnables. Elle est admirablement BONNE ! SERVIABLE ! PRÉVENANTE ! OBLIGEANTE ! EMPRESSEE !
Une Femme FACILE à vivre, complaisante, arrangeante pour tous leurs projets…
Je connais les lieux je vais me rafraichir dans la salle d’eau privée de mon bourreau si singulier ! Un mélange de brute et de Nounours…
Il va vite se ressaisir. Redevenir « un tyran ».
Il est grand temps de prévoir la « réunion » avec les paysans.
« Bon ma fieffée salope ! J’ai besoin de TOI !
Pas de répit, pas de cadeau, Je n’ai pas le temps de faire des mamours !
Tu es à mon service ! Alors au boulot ! Hein Alain ? »
« Bien sur Georges, bien sur ! Anne t’écoute. Tout ce que tu voudras.
Je te la donne, fais à ton goût. Regarde-moi ça, comme elle est belle là, toute nue.
Tu vas l’offrir à tes paysans ! Ça va être un régal ! J’en bande d’avance.
Dis-lui ma chérie ! »
« Oui MES hommes ! Je serai obéissante, souple et docile, comme chaque fois, oui.
Vous êtes content de mes pipes ? Georges ? »
«Oh ! Anne ! Stop ! Tu m’embrouilles là ! Ce n’est pas le sujet !! Tu allumes, Tu suces, Tu baises. Point ! Sans attendre !»
« OUI Georges. Vous fâchez pas ! OUI, Je suce les bites. Je baise avec vos amis, vos clients …Quand vous voulez. Toute nue, partout, toujours, pour VOUS !
Je vous ai déçu ? Vous voulez que je vous suce encore ?»
« Arrête ton cinéma Anne. Ecoute le programme »
« Cette affaire se monte à 4 millions d’euros. Mon statut est en cause. J’ai des concurrents. Eux, Ils amènent des putes pro !»« TOI, T’es fraîche, neuve, belle, généreuse, désintéressée, naturelle, spontanée, sensuelle…
Tu vas les séduire, charmer, te montrer et t’offrir, te donner, être au service, une bienfaitrice pour leurs couilles. Tu les Videras toutes, sans capote, en ingénue, sans avoir l’air »
« Tu vas te défoncer pour moi. Hein ? »
« OUI Georges. OUIIIII !! JE VEUX ! JE VEUX !»
« Alors tu as 2 paysans, frères, je te laisse la surprise des tronches. Sont pas doués.
Leur avocat, une ordure, c’est un sadique. »
« On va chez eux, on déjeune, je discute prix, tu me regardes, à mon signe tu t’exécutes.
On verra quand je déciderai de te foutre à poil. Alain t’aidera, Ok l’ami ?»
«On y va ! » Dit mon mari.
« Anne ma petite femme, tu vas me faire honneur ! »« Oui, chéri et Maître »
Je reprends mes affaires dont la petite veste pull. Bien dégagée en dessous…
Je mouille encore.
Il est 11h30, on est en retard, 30 MNS de route. Alain conduit. Georges à l’arrière me tripatouille, sans abimer ma tenue.
La ferme : un domaine de 55 ha ! On est accueilli par l’avocat.
Un mec de 1m90, sportif, mince, une baraque, regard d’acier ! Sans pitié.
Présentation :
« Anne notre assistante ». Il me scrute, explore mes formes, me dénude. J’ouvre ma petite veste, mine de rien. Déjà, il doit savoir que c’est du beau. Il jauge mes seins, ma chatte, sans se gêner, évalue. Le transparent a du bon.
Je fais semblant de ne pas voir, je lui propose ostensiblement, en m’approchant pour serrer la main, je m’incline, il plonge dans mon décolleté.
Je referme la veste. Il a vu, compris, Il ne sourit pas.Autre présentation :
Les frères ! Des jumeaux !
Impossible de les dissocier, ils sont pareils ! Le seul signe différent, la moustache.
Luc et Gil. Entre 65 et 70, bedonnants, lourds et GRAS, adipeux, boursouflés, petits, larges d’épaules, quasi chauves, visages tètes carrées.
Ressemblance frappante avec des portraits d’hommes préhistoriques, grosses lèvres lippues, nez de boxeur, narines dilatées. Cuisses imposantes sous le pantalon velours. Les chemises à manches courtes, ouvertes sur des torses hyper poilus ! Idem pour les bras.EN UN MOT, ILS SONT VENTRUS, FLASQUES, AVACHIS ! MOCHES ET LAIDS ! ASSEZ HIDEUX ! QUOI !
(En moi-même, j’imagine les bites à sucer ? Je vais devoir m’absorber tout ça !)
Je comprends maintenant pourquoi Georges a besoin de moi.
Lui, IL SAIT :
Je suis la seule, de sa tribu de salopes, a autant AIMER :
« ME DÉVOUER, ME DÉPENSER, ME FATIGUER, ME CONSACRER, ME DÉMENER, ME LIVRER, ME DONNER !!» Entièrement, Totalement sans aucune réserve.
Il sait, lui, que je me consacre à fond au « plein contentement abouti, achevé», jusqu’au bout, de ces hommes oubliés par dame nature. PLUS ILS SONT DESSERVIS, plus j’adore les chérir, les honorer, quand on me les confie ! Hé oui…je ne lâche rien.
L’effet produit sur mes fermiers est CERTAIN ! Le désir se lit dans les yeux. Ils me dévorent…
Je passe sur l’apéro. Ils boivent, je bois !! Beaucoup.
Le repas servi par une domestique âgée qui partira assez vite.Georges m’a placée entre eux à table. On est serrés.
Je sens leur odeur forte de mâles. Ils s’enivrent de mon parfum.
Lui en face avec Alain et L’avocat. Le vin coule, coule…Ils parlent travail.
Je prends des notes. Ils n’ont pas l’air de s’entendre…
Georges demande :
« Anne ? Vous voulez me servir s’il vous plait ? »
La table est carrée, large. Je me lève, m’incline fort en avant pour le servir.
Ma tunique remonte !
Les frères ont une vue privilégiée sur mes fesses nues, le nez dessus.
Je remue mon cul, je courbe encore, m’attarde.
Au retour, ça se voit qu’ils goûtent ! Ils bandent.
Georges :
« Anne vous n’avez pas chaud ? Avec cette veste ? Nous sommes en chemise, nous. »
J’ai Compris…
« Ben oui, Georges, sauf qu’avec ce temps, je suis légère en dessous ! C’est court! »
« Et alors ? Anne, Faites donc. On est entre nous, METTEZ VOUS A L’AISE !»
Je me relève et l’enlève. Là !! Les yeux sortent des orbites !!
Mon corps bondit, éclate de toutes ses formes ! Il « EST » À eux, pour EUX.
C’est EVIDENT, sous le voile, je suis parfaitement NUE, sans soutif. Un string ou pas ??
Je souris à mes voisins, une petite révérence. Me rassoie.
Georges :
« Anne venez me montrer vos notes ! » A nouveau, compris …
Je traverse toute la pièce dans les lumières du jour, du soleil.
De toute façon ce voile NE CACHE RIEN. Je suis révélée aux regards, sans filtre.
Je me colle au pervers promoteur, je suis entre lui et l’avocat (Guy).
Georges :« Lisez Anne, approchez !»
Ce faisant je me penche franchement, la robe baille, mes seins sont à l’air…Tous perçoivent, apprécient, comprennent…
Georges :
« Dis donc Alain ! Tu as une sacrée jolie femme ! Bienheureux Chanceux !
Et la poitrine bronzée en plus ! »
« Oui, Georges et c’est intégral, j’ose le dire devant nos convives, Anne est naturiste »
« Oh ! Charmant ! Émouvant ! Alors cela ne la dérange pas d’être nue â la campagne ? »
« Non, Bien Au contraire ! Elle adore en été »
Ce dialogue, à peine déguisé, entre Alain et Georges chauffent à blanc les frères bouseux, déjà à moitié ivres ! (L’avocat ne parle pas).
Les esprits sont bouillants la température monte, l’ambiance est au sexe !
Luc : « Alain, ce serait bien d’en voir plus. Ii y a si peu à retirer ». Il ne plaisante pas !
« Vous avez bien raison Luc, excellente idée ! J’y pensais ! Allez…Voyons notre beauté ! »
Mon mari, fidèle à ses principes de partage, dénoue le petit lacet de ma nuque, fait glisser le voile … En même temps, rapidement, Georges m’ôte le string si mince. Ses mains effleurent mes seins, hanches, chatte et il me présente !
JE SUIS INTÉGRALEMENT NUE ! PROVOCANTE, UNE STATUT DE CHAIR ! LIVRÉE !!
DE NOUVEAU ! Surtout destinée à ces 2 hommes, SI VILAINS !
« Vas voir Mr Luc, ma biche, je crois qu’il veut apprécier ta couleur…de plus près »
Je reviens vers les deux balourds grossiers. Dans ce rayon de soleil chaud, la belle lumière fait briller, émerger toutes mes formes, seins, ventre, cuisses, cul… Sculpturale, magistrale, majestueuse, déhanchée, je marche lentement, je chaloupe, en un mot j’allume !!
Sur mes talons hauts mes courbes s’exagèrent, se soulignent, fracassent, débordent.
Gil, ce campagnard mal dégrossi, me saisit, m’installe sur ses genoux, écarte mes cuisses, vérifie mon bronzage intime !
Il ouvre des soucoupes à la vue de ma chatte épilée entrouverte et brune !
Il écarte mes petites lèvres, impudiques, dégage mon bouton, le mouille, contemple la couleur rose pâle de cette chambre du plaisir…
JE M’ABANDONNE TOUT DE SUITE à ce rustre mal élevé, CHALEUREUSE, GENTILLE, GÉNÉREUSE, ETRE À EUX EST MON DEVOIR cet après-midi !
En signe de pleine adhésion, je l’embrasse goulûment sur la bouche.
Lui lèche la nuque et l’oreille, humble.
Le moment est délicat. Luc pétrit et malaxe ma poitrine s’approche pour sucer…
Les babines bavent, les yeux injectés, l’alcool DECUPLENT son désir…Il faut agir… !
Soudain Georges décide :
« Guy, Allons en repérage du domaine. Je reprendrai des photos »
Aussitôt, Ils me laissent seule entre les pattes boudinées des frères passablement éméchés et énervés. Surexcités ! Hors de contrôle. Je l’ai dit : IVRES d’alcool et de MOI !!
Georges fait le signe : « VAS-Y »« Anne, on part pour une heure et demi facile, soyez sage ! » ECLATS DE RIRES. Mari en tête. Tu parles, il me refile aux deux lascars, oui. Simplets, lourdauds, VRAIMENT MOCHES et AFFREUX ! MAIS PAS MANCHOTS !
(En fait, j’appris plus tard, Georges ne veut pas « partouzer » avec eux, trop de risques de chantage).
A moi de convaincre !
Pétrie et fouillée, fourragée, retournée de partout. Grotte d’amour, trou de balle, léchée, doigtée… Trempée, survoltée. IL FAUT QUE JE SUCE !!!
Je leur dis :
« Gil, Luc, donnez moi vos bites !! Vite ! Je veux vous boire, j’ai soif ! »
Je sors les engins du pantalon velours, IDENTIQUES ! C’est jouissif !
Mes 2 abominables frères sont écarlates, au bord du malaise.
Anne, nue, vorace, gourmande, affamée, débute sa dégustation fermière.
Veut du lait d’homme !Mon langage cru les aiguillonne, dynamise.
« A poil mes hommes chéris ce sera mieux. Vous allez jouir, je bouffe la bite, j’adore.
Je suce les couilles, les vide, recommence, je bois votre lait ! Je vais vous traire la queue.
Oh que je les aime déjà…, Donnez à Anne ! »
Gil et Luc sont nus, DISGRACIEUX ET DIFFORMES, un peu ridicules les bites dressées.
Plutôt épaisses, grasses mais dures, non circoncises, juste pour me remplir la bouche.
A savoir, un de mes talents, c’est découvrir le gland en tirant la peau flétrie du prépuce uniquement à la force de ma langue ! Croyez moi c’est jouissif et demande du soin….
Les queues sont moelleuses, sirupeuses, gluantes, obscènes, salées…cependant goûteuses.
J’obtiens facilement deux belles rasades que je déguste avec passion, admiration ! Important ! Ça ! Ils l’ont pas souvent ces deux-là !
« Anne encore, encore, lèche vingt dieux ! C’est trop bon, Encore salope »
Je leur « tire » 3 belles rations en une heure !! Ils sont KO.
Je sais que je dois les rendre « accroc » de moi.
Oublier la concurrence. Qu’ils en redemandent.
Je passe un texto à mon mari.
« Ne revenez pas avant une heure, je vais BAISER ! »
« Ok ! PROFITE ! ESSORE-LES ! Puis une suite :
« SI ILS TE VEULENT ENCORE ET LE DISENT JE T’OFFRE UN BEAU BLACK ! ! »
Chouette ! Sympa le mari.
GIL ET LUC sont de vrais gorilles sur les torses et les bras. Les couilles sont poilues, les pubis une forêt ! La langue s’y perd mais je lèche tout. Vous savez que j’adore lécher un corps d’homme.
J’ai lapé leurs seins, les dos, les fesses, les ventres gras …en chienne dévouée, reconnaissante, fidèle, admirative, vénérante et tendre…
Forte de ce savoir faire FLATTEUR, je les tiens. Je vois bien qu’ils ont envie.
Maintenant, libérés, rassurés d’avoir tout le pouvoir ! Ils me « donnent » des parties de corps à lécher. J’accepte tout, juste un petit temps de désir…
Je les comble, assouvis leur orgueil, avant d’offrir ma chatte et mon cul à baiser…
Enfin ! Gil d’abord (mais peu importe ils sont pareils), me fourre son pieu, bien au fond de la chatte ! En levrette ! Les fesses bien ouvertes avenantes, hospitalières, quand je peux je les resserre et prend ses couilles en otage. Une furie.
Il me laboure sans délicatesse, Il ne pense qu’à jouir, cogne, râle, me traite avec sauvagerie, bestialité.
La nature revient !! La bête se réveille !
Son désir animal ravive, exalte en moi cette promesse d’un futur black et mes souvenirs avec ces noirs fougueux, les ouvriers de Georges…
JE JOUIS ! Je HURLE ! JE CRIE !
« Oui salaud baise ! Encore, défonce-moi ! Lâche-toi ! Bourre-moi ! Mon paysan ! »
Plus je crie, plus il cogne !
Son frère se branle dans ma bouche, attend son tour. Sa bite pleine, chair épaisse, lourde, pesante, m’envahit.
Gil jouit ! Se vide en moi, se déverse, se répand, s’épanche, dégorge, décharge.
Des jets puissants, longs. Je RE- JOUIS !!
C’est toujours la situation qui me rend plus dingue. Ces deux hommes, un peu affreux, m’excitent. Ce côté « la belle et la bête ». Je suis comme ça !
Gil sorti, Luc vient a l’entrée de ma chatte congestionnée et soumise.
« NON !! ENCULE-MOI ! Gros Cochon ! Je sais que tu en crève d’envie !
Prend mon cul IL EST A TOI !! » Il positionne son gland.
J’ai pris bien plus gros. Je sais que je vais l’engloutir naturellement.
« Vas-y ! Enfonce-toi. Doucement. Oui ! Plus ! Oui !!!! Vas plus à fond ! »
Il me pilonne par petite saccade, je l’aide, c’est moi qui donne le rythme
Mon cul bouillonne, frémit, la rosette dilatée se propose, s’ouvre, elle aime.
Je BLOQUE LE CHIBRE AVEC LES FESSES, j’emprisonne.
J’ai appris à jouir par le cul. Ce bout de chair qui coulisse là ! Indescriptible
C’est délicieux, il suffit de « huiler », souvenez-vous … Je l’ai fait chez moi.
Mon réceptacle a été tant visité depuis 7 ans, à présent, c’est une envie.
Mes deux hommes sont à point. Aucune putain « pro » ne leur fera JAMAIS ! Comme moi.
Aussi bien, avec ce GOUT, cet AMOUR…
« Dites, Mes hommes soyez sympas ! Dites à mon mari que je vous plais !
C’est vrai ! Hein ? »
« Bien sur, petite salope. Tant que ce dossier n’est pas fini, tu viendras nous pomper ici et SEULE !!!! Pas de chaperons ! Aujourd’hui c’était ton essai d’après Guy l’avocat. Il nous avait prévenus »
« Tu es une condition de la vente !!! Georges s’est engagé. On le tient par les couilles !
Il fallait bien le vérifier. Lui Guy, il s’en fout il est homo !! »
Mazette, je viens de tout comprendre ! Georges s’est fait avoir. !
C’est moi qui vais payer sa dette. Tant pis, je n’ai plus le choix.
Alain, Georges et Guy rentrent.
Je suis TOUJOURS plus nue que NUE, à genoux, en train de lécher les fesses de Luc sous la bite … Prête à le sucer encore, enfouir mon nez sur son gros ventre mou.
Gil me lèche le clito, super bien. Sur le dos la tête sous moi ! Je serre les cuisses.
C’est BON ! Malgré tout , j’étale mes fesses aux visions, grandement ouverte. « Et bien on s’amuse ici ! Ça va Anne ? »
La bouche pleine d’’une queue salivée, sans me retirer, je marmonne :
«Mmmm, Oui moi je suis…mmm…grave contente, demandez leur ! …Hummmm…»
Gil :
« Elle reviendra toute SEULE cette semaine ! On revoit le dossier avec nos trois voisins pour réunir les parcelles ! » « Anne les sucera aussi pas de raison ! On partage toutes les récoltes, on leur doit »
Georges :
« Ben oui ? ? Heu… ? Oui. Pourquoi pas ! Mais ça va augmenter les prix ? »
« On s’arrangera, Anne vaut très cher, elle n’a pas donné toutes ses réserves, elle peut plus se priver de nos bites ! Regarde là !!»
Les seuls qui ne parlent pas c’est Guy l’avocat et mon mari, un peu surpris.
Sur ce, Luc décharge tranquillement, posément, paisiblement, dans ma bouche, son dernier jet (5 fois quand même! Chacun), à l’aise…
Il s’assure que je ne laisse rien, je le polis bien, amoureusement, tendrement.
C’est important encore….
Tout propre il se lève. Nu. Se détend, s’étire, cool !!
« Ah ! HUMMMM ! Vingt dieux Alain !! C’est bon ! Ta femme ! Un rêve éveillé !
Exceptionnelle. Je la veux. Mais bon ça au moins c’est réglé ! On l’a ! T’es d’accord !!!»
Mon mari acquiesce… Naturel. Je ne le vois pas mécontent du tout, même un peu jubilatoire !
Merci Georges ! Me Voila avec 5 paysans sur les bras !
Enfin plutôt ailleurs !
Je vous raconte vite