Cela fait une bonne heure que Georges profite de moi au maximum.
Insatiable perverstenace.
Vicieux, averti, il a renversé la situation. « La piégeuse allumeuse, piégée »
Jai pris mon pied. Pour la mission originale prévue, ce nest pas bon pour moi.
Jai oublié de dire, que derrière un paravent chinois, ses toilettes personnelles, avec lavabo, douche. Je me lave.
Je le rejoins, il est rhabillé. Pantalon, chemise, chaussettes, chaussures.
« Alors ? Ma cochonne friande de bites, salope, extraordinaire chienne, putain, petite déesse, tu suce très bien et je connais le sujet.
Tu baises bien, tu es soumise, tu aimes ça, tu aimes lHOMME, compliments à ton mari, il ta formée à notre plaisir, je dis merci. Cadeau!! »
« Reste découverte, ma puce, ballade toi à poil, je bande, UN REGAL de te voir !!
Tu as joui, avec tonton Georges. Surprise hein ? »
« Euh OUI, Cétait bien jai aimé »
« Vas à la fenêtre, reste là ! Ne bouge pas. Reste droite, les mains derrière ta nuque, tends ta poitrine vers la cour… Ouvre moi cette chatte, ECARTE tes cuisses »
« Je narrête pas de bander salope, comme tu es souple, cest trop bon !! »
Je fais absolument tout ce quil veut. Je ne comprends pas. Il veut mater ??
Jouir de cette femme nue. Que pour lui. Je vais vite savoir.
« Allo ? PAUL, tu es dans ton bureau ? Oui ?»
« Alors, Regardes vers le mien, à la fenêtre, Cest pas mal… »
Je réalisede lautre côté de la cour intérieure, (immeuble dans Paris), 2 fenêtres, donc un appartement, un bureau ! Situé au même étage.
Je vois un homme, ouvrir sa fenêtre, à environ 6/7 mètres, cheveux blancs, trapu, 68/70 ans aussi, il tient un téléphone3
« Paul ? Tu la vois ?? Belle pouliche, hein ?? »« Tu ne peux pas savoir comment elle est bonne ! Une pompeuse de dard, grandiose, somptueuse, rarement vu ça, même les pétasses du bureau »
« Surtout, bouge pas TOI ! Montre-TOI ! Cest mon associé, offre ta chatte, Caresse toi pour lui ! »
« Allez ! Vas-y »
« Tu aimes texhiber, TON mari me la dit, un soir, on était beurrés tous les deux. On sentend bien, hors des affaires »
Lautre vieux, entend au téléphone, signe du pouce vers le haut « Extra !!
Lair enchanté »
« Allez ma garce, tu es belle à poil, branle toi pour nous !»
Je commence à me caresser les seins, à deux mains, je balance mes hanches, de côté, descends la main droite vers ma chatte, je louvre, je branle le clito, vite, puis légèrement, je mets plusieurs doigts dedans, je mouille, toute secouée de me donner à ces salauds, au point que.
Je vais ENCORE jouir .!!
« OUVRE la fenêtre en grand ! Quil te voit bien. »
« Tu sais, en vrai, pour les contrats, cest LUI qui décide de TOUT !
Fais lui plaisir, tu auras ta signature…
Parce que, si jétais seul, je ne donnerai rien, tu viendrais me sucer gratos… »
« Tout est filmé ! » dit-il.
« Il y a 2 caméras dans le bureau, regarde en haut à droite, derrière toi, à lentrée et au dessus de mon bureau, ça capte toute la pièce, ultra perfectionné.
Bien obligé, avec tous ces requins, méfiant jenregistre mes entretiens, aussi avec ces pétasses de secrétaires quand elles me sucent. Au cas où »
« Tu vois, je suis un vrai salaud ! UN VRAI ! Tu es faite pour me gâter »
« Allez, balance toi, branle toi !»3
Jouvre, me place face à lhomme, me caresse à fond, partout.
Petit hic
Le voisin du dessus ! A ouvert sa fenêtre, à cause de la chaleur, (que 2 étages).
Il tombe sur une fille complètement nue, elle se fait plaisir, sans honte, en face de son appart. Il nen revient pas…
Je massure que seuls les 2 peuvent voir.
Je continue, en bonne salope exhibe, à les stimuler, jouvre les fesses, comme ça George de son côté voit aussi ma chatte couler JE JOUIS TRES VITE !!
Le type du 2ème, la cinquantaine, avait sorti sa queue, il crachouille son sperme !!!!
« PAUL ?? Viens nous rejoindre, cette gazelle est chaude à point, viens mon pote !!
Son mari me la prêtée à ton tour, dépêches toi ! »
« Alors ma caille, cet après midi, tu ne pensais pas en prendre autant dans le fion ?
Tu es une vraie gourmette, comme jaime, la chatte obligeante, bien mouillée,
le cul aussi, les seins et les fesses fermes, tentantes, charnues.
Ta bouche, un calice On y plonge sa queue : et tu en redemandes ! »
« TU ME PLAIS VACHEMENT !! » «Tu fais ça avec tous vos promoteurs ??? »
« Restes toute nue, droite, ouvre-toi, ne bouge pas et réponds moi !!»
« Non, cest la première fois, à cause de vous et de notre contrat à signer, je sais que vous êtes un cochon dégueulasse, je voulais vous connaitre jaime les salauds.
Je ne suis pas déçue… ».
« Cest pas terminé, ma biche, le meilleur arrive.. !!! »
« Christine, Paul va venir, laissez le entrer»
« Si Alain vient, le mari de madame B, dites-lui que je suis occupé avec elle, quil mappelle, je ne veux pas être dérangé. ».
Paul entre, trapu, petit, très costaud, large aussi, un corps très musclé, bronzé, cheveux blancs, des yeux bleus dacier, regard daigle perçant.
Une boule anormale à la braguette. Il bande comme un cerf, oui !
« Je connais les pouffiasses de Georges. Comme ça taimes te montrer et taimes les bites ? «
« Tes belle, cest vrai, alors bouffe tout de suite ! Jai peu de temps ».
Il sort sa bite, 20 cm ! 5 de large, un bout mortel.
« Suce pas, bouffe ! Jai dit, croque là !! »
Je gobe le monstre, je pompe, jaspire. (Un grand classique maintenant)
« Mord doucement, mordille, je veux sentir tes dents, Obéis, bon sang…! »
« Tu as vu Georges, elle le fait ! Brillante salope, tu as raison ».
A genoux, toujours, je mords, suce ses couilles, une par une, je lèche, les mains derrière le dos, (Cest demandé), je suis son caprice, lui seul tend sa bite ou la retire…
Chienne attentive, jattends quil la redonne.
Je me régale de cette belle queue presque avec amour.
Je lhonore, comme si cétait ma première il apprécie
Je suis, comme à mon habitude à quatre pattes. Transposée dêtre dominée comme ça.
Georges caresse mon cul, passe sur la chatte, remonte vers les seins, triture les bouts, claques les fesses…
« Allez, Hue ma poulicheavance, bouffe le »
« Georges tu as vu avec quelle précaution elle suce !! Quel égard. On dirait que je suis son maque, tu la sors doù cette fille ? Elle pompe, mais cest inhumain !
Je la veux dans mon bureau tous les jours ! »
« Cest la femme dun de nos mandataires, elle veut le marché de Vincennes
Cest une vraie « accro » de cul ! daprès son mari »
« Il me la donnée, il la mise à poil pour moi, elle a rien dit, elle était heureuse !!!!! »
Elle attend ta décision et la mienne.
« Je comprends, évidemment tu las baisée, enculée et tout mon salaud »
« OUI !! ».
« Elle na pas bronché ?? »
« NON, au contraire elle voulait encore ma queue »
« Suce ma chérie, je vais tasperger, tu vas aimer !! »
Ils discutent presque comme si je nétais pas là. Commentaires sur mon cul, ma langue, sa douceur, la profondeur de ma chattebelle place à bites, selon Georges.
Là, enflammé, déraisonnable de joie, PAUL AUSSI CRACHE TOUT DANS MA BOUCHE !!!
Il en reste Un dernier jet sur mes seins…
« Vas tessuyer ! Reviens nous toute nue, bien propre, on va te baiser à deux. »
« Elle est belle à poil, faite pour lamour cette fille, elle prend toutes les bonnes poses, le cul offert, la chatte ouverte, la bouche qui attend ta bite, on sent quelle est sacrément bien préparée par son mec ! »
Je rentre à nouveau dans larène sans chaussures, mon collier en ivoire, mon alliance, CEST TOUT. Javance vers eux.
Georges est assis sur le canapé. Placée devant, jécarte ma chatte à deux mains et loffre à sucer à Georges. Quelques coup de langue, me massant le cul, je la donne pareille à Paul, il mordille le clito, décidemment
Je méloigne un peu, vire volte, tourne plusieurs fois sur moi-même, comme pour danser..Je veux quils me commandent.
« Messieurs, servez vous de moi, à vos ordres, entière, EXCLUSIVEMENT pour votre plaisir ».
« Faites ce que vous voulez, mes niches sont à vous, je suis votre jouet, votre prisonnière, je suce les 2 bites en même temps.
Jen veux une dans la chatte, une dans le cul, du sperme, du foutre, vous goûter, vous boire, je veux avoir mal à force de vous accepter dans moi »
« Traitez-moi de tous les noms, Aujourdhui, suis « La SALOPE des SALOPES » ».
En réalité, bien sûr que jaime.
Mais je songe avant tout à ma mission, obtenir ce fichu contrat.
Le téléphone sonne, cest Alain.
« Écoute Alain, tas encore un moment, on boucle le dossier là, elle veut quon la baise à deux, elle est complètement déchaînée ta femme, ultra bonne.
Elle demande nos bites à Paul et moi, on ne la tient plus ».
« Tu attends, OK ? Merci vieuxCest sympa ! Je te préviens »