FRANÇOIS FAIT UNE DÉCOUVERTE
Sur le chemin de lappartement les trois jeunes gens cheminent en silence. Annie est partagée : dun coté la participation de son père lémoustille. Elle devine que Lucien apportera un piment érotique à la relation entre les trois jeunes. De lautre elle redoute cette même présence : Cela ne va-t-il pas détruire lentente entre eux ? Comment réagira Martine ? Et François quand Lucien lenculera ? Sil le faut, elle avouera sa relation avec son père pour les calmer et leur faire admettre le nouveau déroulement de la partie récréative de laprès-midi.
Les leçons sont vite expédiées. Annie na pas la tête aux études.
— Quest-ce que tas ? sétonne Martine. Tu veux pas quon fasse cet exercice ?
— La prochaine fois. On na pas dinterro cette semaine.
— Moi non plus, affirme François pas fâché que pour une fois ils réservent plus de temps à la bagatelle.
— Embrasse-moi, implore Annie.
Elle ne souhaite pas que son père les surprenne pendant les caresses échangées avec son amie. François, lui, il a lhabitude et les laisse tranquille, mais Lucien simmiscera et cela, elle ne le veut pas ! Les lèvres se rejoignent.
— Viens !
Annie lentraîne dans sa chambre. Si son père rentre, elle espère lentendre et avoir le temps de prendre une attitude correcte si elle est encore avec Martine. François reste assis au salon. Il a compris depuis longtemps quil navait rien à gagner à embêter les filles quand elles se gnougnoutent, au moins au début.
— Vous mappellerez quand vous aurez besoin de moi.
Il se plonge dans une bande dessinée. Au bout de quelques minutes les gémissements provenant de la chambre le font sourire. Il croit reconnaître la voix de sa sur. Annie lui fait prendre son pied, devine-t-il. Ce sera bientôt le tour de celle-ci mais cest lui qui va sen charger. Il patiente encore. Une idée le fait sourire. Pourquoi ne pas prendre de lavance et se déshabiller ici, au salon ? Sitôt pensé, sitôt fait ! Il reprend sa B.D. tout en se caressant machinalement.
Il tend loreille. Plus de bruit. Pourquoi ne lappellent-elles pas ? Il en a assez dattendre. Il repose la B.D. et se dirige vers la chambre dAnnie. Les deux filles sont sur le lit, entièrement nues elles aussi. Leurs affaires jonchent le plancher. Sa sur devrait faire plus attention, sa jupe sera toute froissée. Lui au moins a plié son pantalon et la posé sur le dossier dune chaise avec son t-shirt et ses sous-vêtements ! Annie surplombe Martine la tête entre les cuisses de sa sur. Elles se donnent mutuellement du plaisir.
— Encore ? Vous avez pas fini ?
Annie secoue la tête négativement.
— Vous en avez pour longtemps ?
Pas de réponse. Il sapproche, passe une paume sur les fesses de son amie. Et sil la baisait là, pendant quelle fait minette à sa sur ? Pas facile quand celle-ci soccupe de lemplacement en y introduisant lindex. Reste lautre trou, mais là il ne la jamais fait. Il a peur dune réaction violente.
De son coté Annie ne veut pas recevoir François dans cette position. Elle serait incapable de le contrôler si Lucien arrivait et ça, cest primordial.
— Encore quelques minutes à patienter mon gros. Tu peux nous caresser, tu sais.
Il passe les mains entre les deux corps et samuse à titiller les bouts de seins.
— Ouiii !
Le geste déclenche la jouissance de Martine. Annie suit peu après. Les deux filles se démêlent, sassoient sur le lit.
— Je pensais que tu nous aurais porté à boire ? reproche Annie.
— Excusez-moi, quest-ce que tu veux ?
— Moi, un Orangina.
— Et toi Martine ?
— Moi aussi.
Il revient quelques secondes plus tard avec deux boites dOrangina et un coca.
— Ne faites pas de saleté par terre, prévient Annie.
Ils boivent en silence.
François termine le premier. Il dépose la boite sur la table de chevet. Il est impatient de commencer. Ces filles avec leurs caresses réciproques, quelle perte de temps ! Il ne comprend pas comment elles y prennent du plaisir. Cela ne lui viendrait pas à lesprit de caresser un garçon !
— Dis Annie, tu veux bien ? Il y a si longtemps quon na pas baisé.
— Ce nest pas gentil pour ta sur.
— Elle nest pas jalouse.
— Que tu dis !
Inquiet il regarde Martine. Serait-elle jalouse ? Non, son sourire lencourage, ça lui fait plaisir que son frère se paye leur amie ! Annie regarde lheure. Bientôt quatre heures. Il est temps.
— Viens mon gros, je renonce à te faire attendre plus longtemps.
Il se jette sur elle le sexe à la main, prêt à lembrocher !
— Hé pas si vite ! Un peu de douceur. Jai besoin quon me câline, quon membrasse, me caresse auparavant.
Elle se dérobe. Pour le calmer, elle sagenouille devant lui et porte la verge en bouche.
— Aaah !
L’effet est immédiat, François cesse tout mouvement. Sa sur sourit, il laime cette caresse ! Elle a du la pratiquer toute la semaine ! Annie lèche la tige, sattarde sur le bout, lavale, le retire.
Son oreille aux aguets perçoit louverture de la porte dentrée. Son père arrive ! Un coup dil aux jumeaux. Ils nont rien entendu. La jeune fille sans lâcher le sexe se couche sur le lit et présente le gland entre ses cuisses. François na plus quà donner un petit coup de rein pour lintroduire. Double soupir.
— Aaah !
— Aaah !
Les vêtements de François rangés sur une chaise font sourire Lucien. Tout se déroule comme prévu. Sur le seuil de la chambre, il sarrête un instant pour admirer le spectacle. Les fesses du garçon qui sagitent entre les jambes de sa fille lattirent. Puis son regard accroche la poitrine de Martine. « Elle est presque aussi jolie quAnnie. Pourvu quelle baise aussi bien Euh y a pas de raison Mais occupons-nous du garçon avant. »
— Eh bien ! Je vois quon samuse ici ! sexclame-t-il en savançant.
— Hiiiii !
Martine tente de protéger sa nudité avec un pan de la couverture, mais celle-ci reste coincée sous le couple sur le lit. Annie qui a prévu la réaction de François noue ses talons sur les fesses du garçon et le maintient prisonnier.
— Je vous en prie ne vous dérangez pas pour moi !
Lucien sassied sur le lit. Le frère et la sur nen mènent pas large.
— Bonsoir ma fille.
— Bonsoir Papa.
— Tu me présentes tes amis ?
— Oui, lui cest François.
— Bonjour François.
— Euh Bonjour monsieur.
— Et voilà Martine.
— Bonjour mademoiselle.
Ni le frère ni la sur nosent bouger. Comment se sortir de ce mauvais pas ? Perturbés, ils ne se rendent pas compte combien lattitude dAnnie est étonnante.
— Ainsi jeune homme, pour remercier ma fille de vous autoriser à réviser chez elle, vous vous permettez dabuser delle !
François baisse la tête. Il tente de se dégager mais Annie le serre contre elle avec les bras et les jambes. Son sexe a diminué de volume et perdu sa raideur mais reste fiché dans le vagin.
— Euh Annie nest pas contre, plaide-t-il. Nest-ce pas Annie que tu es daccord ?
— Ce nest pas parce quelle est consentante que cela vous dispense den payer le prix.
Lucien se lève et déboucle sa ceinture.
— Mademoiselle Martine ?
— Euh Oui monsieur.
— Savez-vous où est le beurre ? Oui ? Allez men chercher un peu Oui Dépêchez-vous ! Plus vite que ça !
La jeune fille nest pas en mesure de se rebeller. Elle ne comprend pas la raison de la requête du père de sa copine mais sempresse dobéir sans même chercher à cacher sa nudité. Elle revient avec la plaquette sortie du réfrigérateur. Lucien le pantalon sur les talons se positionne derrière François.
— Donnez ! demande-t-il à Martine en tendant la main Non pas tout ça ! Juste un peu.
Elle ouvre le papier dalu. Il essaye de prendre du beurre sur le bout du doigt. Impossible, trop dur. Il prend la plaquette des mains de la jeune fille en casse un morceau et rend le reste.
— Vous pouvez le remettre en place.
Martine sexécute.
Lucien frotte lanus du garçon.
— Hii ! Cest froid ! se plaint François.
Le frère et la sur ont deviné les intentions de Lucien. Il ne leur vient pas en tête de se révolter. Ils acceptent linéluctable. Martine sassied à coté de François et lui tient la main pour le soutenir. Lucien tartine le cul, De lindex il assouplit le sphincter.
— Oui, il aime ça ! sécrie Annie qui sent la verge gonfler.
— Vous Vous me ferez pas mal ?
— Ce nest pas mon intention. Laisse-toi faire, tu ten trouveras bien.
Il essuie ses doigts sur la verge et la présente entre les fesses. Martine ouvre de grands yeux. Comment cette grosseur entrera dans ce petit trou ? Est-ce que ça va le déchirer ? François se prépare mentalement. Il tremble autant de crainte que dimpatience. Plusieurs copains lui ont raconté le plaisir que ça procurait et se moquaient de ses craintes. Il va à son tour expérimenter cette introduction. Pourvu que cela ne lui fasse pas trop mal !
Lucien pose le sexe sur la rosette.
— Je mets mon gland sur ton trou du cul, tu sens ? Alors, tu le sens ?
— Ou oui monsieur.
— Bien, je pousse un peu, tu le sens entrer ?
— Ou oui.
— Écarte les fesses. Martine, voulez-vous laider ? Annie aussi !
Les deux filles tirent sur les lobes. Le gland pénètre de quelques millimètres.
— Quand je te le dirai, tu pousseras comme pour aller au petit coin. Tas compris ?
Martine regarde fixement. Son champ de vision se réduit au gros sexe de Lucien et à lanus de son frère qui commence à sélargir.
— Suis bien mes instructions et tu nauras pas mal.
Lucien appuie sur la rondelle.
— Vas-y ! Pousse !
— Mmmh !
Le gland est avalé par lorifice.
— Oh ! Il est entré ! annonce Martine.
— Oui, jy suis.
— Cest vrai ? interroge François incrédule.
Il a eu un peu mal, une douleur fugace au passage du col, mais elle satténue rapidement.
— Puisquon te le dit. Maintenant, je vais menfoncer à fond.
Le sexe disparaît peu à peu dans le cul sous le regard étonné de Martine. Comment son frère supporte ça ? Il ne se plaint pas pourtant. Lucien se retire doucement.
— Oooh !
François a limpression que lon vide son corps.
— Quest-ce que tas, François ? sinquiète sa sur. Ça fait mal ?
— Non Oooh ! Aaah ! Aaah !
Il accompagne les allers et venues de la verge de soupirs et gémissements.
— Hein que cest bon une grosse pine dans le cul !
— Aaah !
— Tu peux baiser ma fille maintenant. Jespère que tu en es capable.
— Oh oui Papa ! Il est en pleine forme je le sens bien.
— Tant mieux !
Lucien retire sa verge excepté le gland.
— Recule sur moi, petit.
François obéit. Il sent la tige pénétrer son intestin. Dans le mouvement sa queue glisse hors le vagin dAnnie. On le pousse en avant, il se renfonce dans la jeune fille. Lucien se retire à nouveau.
— Aaah !
— Tu as compris comment il fallait faire ? Allons-y !
Les deux hommes coordonnent leurs mouvements. François tremble de tous ses membres. La double sollicitation dans son cul et sur son sexe accapare ses forces.
— Oh ouiii ! sécrie Annie, ouiii !
Le frémissement de la verge qui se communique à son ventre est une découverte. Cest la première fois que le garçon la fait jouir presque autant quavec son père différent ! Elle joue du bassin pour accentuer la pénétration.
— Aaah !
— Mmmh ! répond François en écho.
Martine est éberluée. Elle navait jamais vu son frère dans cet état. Elle jalouse Annie et son plaisir manifeste. Elle aimerait être à sa place.
Les deux jeunes atteignent ensemble les rives de lextase. François libère sa semence quAnnie reçoit avec un cri rauque. Épuisé, le garçon saffale sur la fille. Lucien, lui, est encore en pleine forme. Au lieu de terminer dans le cul passif, il retire peu à peu sa verge et sourit de voir Martine le regard fixé sur la tige qui nen finit pas de sortir. Elle est mûre devine-t-il et ne se refusera pas
(A suivre)