Sous le soleil des tropiques.
(texte écrit en 2001)
Quelques mois avant mon 60ème anniversaire, j’ai eu la chance de gagner un lot intéressant au Loto national.
Après avoir changé ma voiture vieillissante, j’ai été tenté par un voyage exotique. Je connaissais déjà la Martinique et la Guadeloupe où j’avais séjourné une quinzaine de jours à chaque fois.
Cette fois-ci, les heures d’avion pour rejoindre l’île de la Réunion ne m’ont pas arrêté. Ce n’est pas parce que j’avais un bon pactole à dépenser que je n’ai pas cherché à faire des économies. J’ai ainsi prospecté diverses agences de voyage avant de me décider pour GO VOYAGES qui m’offrait les meilleures conditions de séjour et diverses activités organisées ou libres une fois sur l’île. Dans la mesure où il y avait des places en classe affaires disponibles, malgré le surcoût, j’ai préféré cette option. Le voyage serait plus confortable.
Au début du mois d’avril, je me suis présenté en fin de journée à l’aéroport d’Orly Ouest d’où partait mon avion vers La Réunion. Onze heures plus tard, après un vol sans histoire, notre Airbus se posait sur l’aéroport de Sainte Marie, à quelques kilomètres de la capitale de l’île. Il était presque 10 heures du matin locales. J’avais hâte, comme bon nombre de mes compagnons de voyage, de me dégourdir les jambes. Ma valise récupérée, le groupe auquel j’appartenais a été pris en charge par un accompagnateur.
Après un trajet d’environ une heure en bus, nous sommes arrivés à notre hôtel. Voyageant seul, je devais partager ma chambre avec un compagnon de séjour. Vers 13 heures, nous avons tous été conviés au pot d’accueil au bord de la piscine.
Là, les conditions de notre séjour nous ont été précisées, principalement les horaires de départ des excursions organisées la première semaine et les balades que nous pouvions effectuer seuls. Nous étions mis en garde en raison du coucher rapide du soleil vers 18 heures. Il valait mieux ne pas se trouver en brousse loin des sentiers battus au moment du crépuscule.
Les trois premiers jours se sont passés rapidement. Avec mon compagnon de chambre, je m’étais lié aussi avec deux des célibataires du groupe, du même âge que moi et qui étaient très sympathiques. Nous formions un joyeux quatuor !
Le quatrième soir, je me suis renseigné auprès d’une réceptionniste sur les possibilités de louer une voiture pour faire une escapade solitaire en direction du volcan, car je voulais y retourner pour faire des photos, chose assez difficile quand on est en groupe.
La réceptionniste était une métisse à la peau très claire. Elle me dit alors :
Il n’est pas nécessaire de louer une voiture. Demain, c’est mon premier jour de repos. Je te propose de me rejoindre sur le parking de l’hôtel dès le lever du jour. Je te servirai de guide, car ma famille habite à proximité. Je connais bien les lieux.
D’emblée, Angèle (tel était le prénom inscrit sur son badge) me tutoyait. Bien évidemment, j’en ai fait autant ! Grande et belle femme créole aux cheveux noirs de geais, d’environ 30 ans, elle avait des formes généreuses. Mon regard a été attiré comme par un aimant par sa poitrine, moulée étroitement par un tee-shirt siglé au nom de l’hôtel sous lequel on distinguait un soutien-gorge qui semblait avoir beaucoup de mal à la contenir.
Ses lèvres rouges pulpeuses semblaient être un appel au baiser ou à une bonne fellation. Dans les yeux noisette passaient des éclairs de lubricité quand elle me regardait avec un grand sourire. Sa jupe descendant légèrement au-dessus des genoux moulait une paire de fesses rebondies.
Lorsque je la rejoignis le lendemain matin, sa tenue était plus décontractée. Elle portait un tee-shirt blanc ample à manches courtes sous laquelle ses seins étaient libres de toute entrave et dont j’apercevais les tétons bistre en transparence. Un short taillé dans un jean coupé à hauteur des genoux, blanc également moulait encore plus étroitement ses hanches et ses fesses. Elle s’était inondée d’un parfum à la senteur de cannelle qui fleurait bon !
Elle conduisait avec virtuosité sur les routes sinueuses un petit 4 X 4 japonais dont la capote était rabattue. Après un trajet assez long (le site du volcan est à l’opposé de Saint Denis), nous sommes arrivés à un petit restaurant genre auberge en bord de route à proximité des dernières coulées de lave. Il était tenu par les parents d’Angèle, mon guide.
Après voir cassé la croûte rapidement, nous savons pris deux chevaux qui nous attendaient à l’ombre (prévoyante ma belle Angèle) et nous nous sommes engagés sur un sentier montant vers le sommet du Piton de la Fournaise. La température était assez fraîche et cette balade était très agréable, tantôt à découvert quand il fallait franchir des coulées de lave refroidie, tantôt sous les arbres où les oiseaux chantaient dans une joyeuse cocaphonie…
Nos chevaux devaient bien connaître le trajet, car à chaque fois qu’ils se sont arrêtés, j’avais l’opportunité de faire de beaux clichés. Parfois, je devais m’éloigner un peu de la piste pour choisir un angle approprié. Je fis aussi quelques belles photos d’Angèle.
Lorsque nous sommes redescendus à l’auberge, il faisait presque nuit. La mère d’Angèle, une créole au teint plus foncé que celui de sa fille, nous proposa de dîner à la table familiale avant de passer sous la douche et d’aller nous coucher.
Je ne m’attendais pas à ce genre de proposition. Après un dîner typique, nous avons regardé tous les quatre des photos de l’île tout en bavardant. Il devait être 22 heures quand Angèle, sans aucune gêne devant ses parents, m’a proposé de partager sa chambre.
Nous nous sommes dirigés vers une petite maison un peu à l’écart. La chambre de la belle était indépendante. Dès que la porte a été refermée, Angèle s’est littéralement collée à moi, m’offrant sa bouche pour un baiser passionné. Je sentais ses seins contre ma poitrine. Elle a glissé une main sous ma chemisette pour venir agacer mes tétons. Avait-elle deviné que j’aime cette caresse ?
De mon côté, je remontai son tee-shirt et je le fis passer par-dessus ses épaules. Waouh, quelle vision fabuleuse dans la semi-obscurité. Des seins ronds, légèrement tombants (avec une telle masse, c’est compréhensible) avec des pointes turgescentes de la taille d’un gros pois que je vins agacer de mes baisers. D’elle-même, Angèle fit glisser son pantacourt et un minuscule string et se retrouva intégralement nue devant moi. Je me déshabillai rapidement aussi, et malgré mon âge, ma bite était déjà bien dressée face à ce beau corps de femme, désirable et généreux.
Angèle se mit à genoux devant moi et prit mon sexe en bouche pour entamer une fellation savante, alternant des aspirations jusqu’au fond de sa gorge et des léchouilles sur la hampe et les bourses. Waouh, j’avais rarement été sucé de telle façon, et pourtant, cela m’était arrivé un grand nombre de fois : les femmes semblaient se délecter de mon sexe pas très long, mais assez trapu. Je ne pouvais rien faire d’autre que passer mes mains dans son abondante chevelure.
J’attendais autre chose. Doucement, j’ai relevé Angèle et je l’ai poussée jusqu’à son grand lit. Une fois allongée, je lui ai fait un cunnilingus, léchant sa fente aux lèvres bien marquées, aspirant son clitoris avant de simuler une pénétration de ma langue. Une odeur de musc se mêlait à celle de la cannelle encore très présente. La belle ronronnait de plaisir, plaquant ma tête sur sa vulve d’une main et caressant ses tétons de l’autre. Lorsque je la sentis prête, je plaçai un préservatif sur ma bite et je vins entre ses jambes pour la pénétrer.
Angèle prit ses jambes en dessous des genoux pour les replier dans une pose d’une indécence totale. Je me positionnai à l’entrée de son sexe et d’une seule et lente poussée, je vins coller mon pubis contre le sien. Qu’elle était chaude et humide ! Je commençai mes mouvements alternatifs en sortant à chaque fois de sa gaine pour bien revenir jusqu’au fond où je sentais ses muscles intimes masser mon gland. Que c’était bon ! Nous prenions notre temps. Rien ne nous pressait et nous savourions cette étreinte qui peu à peu nous conduisait vers une jouissance totale et partagée.
Pour se dégager, Angèle me fit basculer sur le dos. Elle m’enfourcha et après avoir retiré le préservatif usagé, elle me reprit en bouche pour faire renaître ma bandaison. Cela ne tarda pas, car en plus de sa bouche, elle se servait de ses seins pour masser mes couilles. Lorsque ma bite a été bandée comme elle le souhaitait, elle m’enfila une nouvelle protection et vint s’empaler sur mon sceptre de chair.
J’avais devant les yeux ses seins magnifiques qui bougeaient au gré de ses mouvements. C’est elle qui me baisait, montant et descendant sur le pieu de chair qui était en elle : sur quelle baiseuse de premier plan j’étais tombé ! Au moment où je ne m’y attendais pas, la jouissance nous a emportés une nouvelle fois. En se dégageant, Angèle a fait couler mes dernières gouttes de sperme dans sa main et elle a massé ses seins avec en disant que cela les raffermissait !!!
Elle se leva pour se diriger vers le réfrigérateur. Nous bûmes un jus de fruits exotiques bien frais. Nous en avions besoin après ces deux joutes ardentes. La demi-pénombre régnant dans la pièce simplement éclairée de quelques bougies mettait sur nos corps nus des reflets dorés.
Nous bavardions comme deux amis de longue date, allongés côte à côte sur le lit. Je ne sais quel aphrodisiaque Angèle avait versé dans notre breuvage ou si c’est simplement sa composition qui me faisait de l’effet, mais je bandais à nouveau comme un taureau. J’étais un peu gêné, car nous avions déjà baisé deux fois, mais Angèle n’en avait visiblement pas assez :
Viens, j’ai envie que tu me sodomises. Sois sans crainte, tu peux y aller franchement, j’ai l’habitude.
Elle se mit en levrette, le cul haut levé et le buste allongé sur les draps. Je suis venu me mettre derrière elle, à genoux entre ses jambes. J’ai placé mon gland à l’orée de sa gaine étroite. Une petite poussée et j’étais au fond de son cul. Au travers du préservatif, je sentais la chaleur de son intimité que je devinais gluante de sécrétions.
Ma bite était bien serrée. Angèle ondulait et allait au-devant de la pénétration. Son ballet a fait que nous n’avons pas tardé à jouir à nouveau. Pour finir, nous avons basculé sur le côté, toujours l’un dans l’autre, et nous avons sombré dans un profond sommeil. Au petit matin, nous nous sommes réveillés pratiquement dans la même position. Nous nous sommes douchés ensemble avant de retourner à l’auberge où la mère d’Angèle nous a accueillis avec un sourire complice en demandant si nous avions bien dormi !!!
Elle devait connaître sa fille…
Après un rapide petit-déjeuner, nous sommes remontés en selle sur d’autres chevaux et nous sommes repartis sur les pentes du volcan pour faire d’autres photos. L’après-midi, nous avons repris la route côtière pour revenir à l’hôtel.
Je m’étais arrangé avec l’agence de voyages pour prolonger mon séjour d’une semaine…
Chaque fois qu’Angèle avait ses congés hebdomadaires, nous en avons profité pour aller nous balader ou faire de la plongée. A la nuit tombée, nous nous promenions en bord de mer et le dernier soir, nous avons baisé une dernière fois sur la plage, bercés par le bruit des vagues.
Mon séjour a été encore plus agréable que je ne l’espérais. Les trois semaines ont passé trop vite, mais j’en rapporte le souvenir d’une belle métisse au tempérament de feu et quelques dizaines de photos que j’ai hâte de faire développer par mon photographe habituel.