Mon confesseur ma dit de me laisser aller à mes instincts, à cause des médicaments que je prends, qui me forcent à me masturber depuis longtemps. Drôle de réponse après la confession. En tout cas il ma donné une pénitence : deux aves. Autrement dit rien, il ma fait simplement promettre de me refréner un peu, ce que je fais, en partie au moins.
Cest aussi de ma faute : avant de marier, ma famille ma averti :
— Tu sais 35 ans de plus, ça ne compte pas beaucoup maintenant, tu verras plus tard quand tu auras 30 ans, il sera vieux, incapable de thonorer normalement.
Je me moquais de leurs recommandations. Jaimais lhomme. Plus tard jai beaucoup trop aimé quand il me faisait lamour : cétait un homme qui savait bien baiser. Il savait me baiser, me lécher, menculer. Jaimais tout ça.
Bien sur lâge a eu raison de lui, il est mort. Jen suis réduite à me contenter seule. Je me fais souvent jouir. A la suite de la maladie, mon médecin ma ordonné de prendre ce sacré traitement qui fait je suis bien obligée de ma caresser plusieurs fois par jour.
Je me trouve dans le salon de réception du magasin. La patronne ma donné à feuilleter lalbum de ce quelle vend. Un luxueux recueil où tous les produits sont photographiés, avec une légende détaillé.
Jai beau être assise, il nempêche que la vue des phallus me donne des envies de jouir. Heureusement que la vendeuse vient me voir.
Elle maide à faire mon choix entre les godemichés. Je ne sais trop lesquels choisir.
— Ecoutez, le mieux est de les essayer. Je crois être la seule à le faire. Mais pour éviter les contaminations je les recouvre toujours de préservatif.
— Je voudrais essayer quatre des modèles.
— Venez avec moi dans la salle.
Elle me fait descendre dans la cave, bien aménagée. Je dispose dun large fauteuil, dun téléviseur, dune petite tablette sur laquelle elle dispose mon choix.
Jenlève ma culotte à sa demande, même si elle voit ma chatte.
— Laissez vous aller, je vais mettre en route le dvd. Pendant son absence, je vois une image apparaître : le bas ventre dune blonde qui commence à se tripoter la chatte. Cest dun réalisme parfait. Je regarde le film avec voracité ; Il me semble que cest mon sexe. Je coule complètement quand elle revient.
Elle me fait écarter les jambes en mettant mes talons sur les accoudoirs du fauteuil me fait avancer au bord du siège. Le bas de ma robe est rabattu sur mon ventre. Je sens ses doigts me chatouiller un peu le clitoris. Cest bon, elle sait donner du plaisir aux autres femmes. Elle choisit le gode qui convient pour le début.
Je la sens venir sur moi, en même temps que la fausse bite. Elle la fait aller et venir le long de ma fente sans jamais y entrer. Je soupire de désir quand enfin elle consent à me baiser.
Il y a longtemps que je nai pas eu le vagin occupé. Je nen reviens pas du plaisir que javais fini par oublier. Je ne peux mempêcher de parler :
— Cest bon, narrête pas.
— Je suis lesbienne, je sais comment donner du plaisir aux autres filles.
— Tu vas me faire jouir. Je jouiiiiiiiiiis.
Premier essai : je vais prendre cet engin. Elle tient à me faire essayer les autres.
Je ne connaissais pas du tout le suivant. Cest le même en plus fin.
Je regarde la fille sur lécran, elle se branle avec le même que celui qui ma fait jouir. Jen suis au deuxième essai. Elle me touche un peu le clitoris avant daller sur le cul. Jaimais bien me faire sodomiser. Je sens sur lanus quelque chose de parfaitement fait pour le cul. Ca entre facilement, trop presque. Elle me le met lentement au plus profond. Je sens mon anus souvrir de plus en plus. Je ferme les yeux avant de me toucher le bouton pour me branler. Je me masturbe sans honte devant le regard de cette fille. Je prends un plaisir différent, le plaisir que jaimais le plus. Finalement je pousse un grand cri quand arrive lorgasme.
Je sens à peine un léger baiser sur mes lèvres. Quand elle change pour le dernier.
— Ce dernier est différent, il vibre, tourne et caresse également le clitoris et le cul.
Je le sens quand elle le pose sur mon puits. Jentends un léger bruit :
— Nai pas peur, cest normal, au bout dun moment on est tellement prise pas le plaisir quon oublie tout. Je ne sens pas grand-chose au début. Elle me le met à fond. Jentends toujours le petit bruit qui sefface quand les billes se mettent à tourner à lentrée de mon con. Je sursaute du plaisir nouveau. Elle met en route le vibreur qui communique à tout mon appareil sexuel des sensations fortes.
Le tout est complété par des caresses sur le clitoris et lentrée du cul. Cest pour moi le plaisir parfait, total.
Elle remonte vers la caisse. Je sens que je vais en avoir pour bonbon. Jai oublié de remettre ma culotte. Je fais bien tellement je suis mouillée.
Elle emballe mes achats en mettant un autre « cadeaux » dans une boite bien décorée :
— Joyeux Noël.
Javais oublié que nous étions le 24 décembre. Je me sauve comme une voleuse pour aller chez moi. Je dois en avoir assez eu dans le ventre pour la journée.
Je déballe les godes, ils y sont tous, neufs ceux là. Dans la petite boite cadeaux je trouve des plugs anaux. Les modes demplois indiquent quils sont vibrants. Là, je ne peux me retenir, je suis nue cette fois. Je pose un gros coussin sur le lit, me couche dessus, écarte bien les jambes. Je suis devant la glace, je peux bien voir ce que je fais. Pour faciliter lintroduction je mets dabord le plug dans le con. Une fois bien mouillé, jintroduis lentement le plug dans le cul. Il entre facilement plus que ce que je croyais. Quand il est bien en moi je nai quà appuyer sur le bouton de la base : il vibre aussitôt. Je ressens le besoin de jouir encore. Je me branle un peu : mes mains ne sont pas assez légères. Je me lève avec se sacré plug dans le cul. Je suis obligée de marrêter en route : je jouis comme ça sans rien faire de particulier, sinon le plug qui me masse lanus. Je suis appuyée au mur. Quand les spasmes sarrêtent je peux aller cherche un gode. Je prends le premier essayé. Je suis à nouveau couchée, face à la glace. Je me vois me baiser.
Nimporte quoi peut se passer, je ne bougerais pas tant que je ne suis pas satisfaite complètement. Quand je jouis jestime que cest la dernière fois pour aujourdhui. Je sais que je suis comme un ivrogne qui jure de boire son dernier verre. Jenlève le gode et le plug. Je les lave même pour quils puissent servir à nouveau. Je range mes nouveaux amants dans le tiroir de la table de chevet. Jusquà quand, jignore totalement.
En tout cas je me souviendrai de mon Noël. Et de cette fille qui ma révélé ce nouveau monde du plaisir.