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Après l'orage – Chapitre 1

Après l'orage - Chapitre 1



Il tombait des cordes. Abrité sous l’auvent de l’entrée du cinéma-théâtre, j’attendais patiemment une problématique autobus. Fatigué de faire le pied de grue, je profitai d’une accalmie pour me lancer sous l’averse. Je marchais vite et je m’arrêtais souvent pour me protéger. Je sentais l’eau me dégouliner dans le dos et ma chemise légère me collait à la peau. Au moment où je cherchais un refuge, une voiture stoppa à ma hauteur. La portière s’ouvrit et une voix de femme m’interpella.

— Montez vite.

Je ne réfléchis pas et obéis sans un mot.

— Vous êtes trempé.

— Forcément, répondis-je

— Que faites-vous par ce temps et en chemise ?

— Je sors du cinéma. Il faisait beau quand je suis entré mais l’orage est arrivé. Je n’avais pas prévu et je n’ai que ma chemise.

— Vous allez attraper la crève. On n’a pas idée.

Je me tournai vers mon interlocutrice qui me sourit. Une courte chevelure rousse bouclée sur les épaules, un petit corsage fleuri et une jupe légère qui lui découvre le genou. J’aurais pu plus mal tomber, me dis-je.

— Où habitez-vous ?

— De l’autre côté de la ville.

— Et vous êtes venu de si loin pour aller au cinéma ?

— Cela m’arrive souvent. J’aime bien me promener, cela me change des livres.

— Vous êtes étudiant, je présume ?

— Oui, en dernière année.

— Vous n’allez quand même pas rentrer chez vous dans l’état où vous êtes.

— Que voulez-vous que je fasse ?

— Vous êtes pressé?

— Non, pas trop. Mais je n’aime pas rentrer trop tard.

— Vous êtes un garçon sérieux.

— Si vous le dites !

— Venez, je vous emmène chez moi. Vous allez vous sécher et prendre de quoi éviter la bronchite. Cela ne vous ennuie pas, j’espère ?

— Vous êtes bien aimable mais je ne voudrais pas vous déranger.

— Mais vous ne me dérangez pas, au contraire, cela me fait plaisir de rendre service à quelqu’un dans l’embarras.

Elle me sourit franchement et dans le mouvement qu’elle fait pour changer de vitesse, sa main accroche sa jupe qui remonte assez pour me découvrir presque jusqu’en haut des cuisses. C’est vrai que j’aurais tort de refuser son aide. Elle n’a pas fait un geste pour rabaisser son vêtement.

Il pleut toujours autant. En arrivant chez elle, je sors pour ouvrir la porte du garage puis la referme, tandis qu’elle me précède dans l’escalier qui mène au rez-de-chaussée. Je la suis de très près au point que je sens son parfum. En aurait-elle humecté son slip en sachant bien qu’elle cherchait l’aventure ? Sait-on jamais avec les femmes ? J’admire ses jambes qu’elle a fines et bien cambrées. En me penchant un peu, j’aperçois une petite culotte rose très fine qui ne cache presque rien.

Elle me fait entrer dans une vaste pièce aux murs décorés d’estampes érotiques. Ça y est, je suis bien tombé sur une jolie fille qui cherche fortune. Elle m’invite à me déshabiller, sort puis revient avec un grand peignoir.

— Mets-toi à l’aise si tu veux. Je vais faire sécher tes vêtements. Tu peux aussi prendre un bain chaud pour te remettre.

Tiens ! Elle me tutoie. Elle sort. Je me déshabille et passe le peignoir puis, je m’assois dans un divan large et profond devant une pile de revues de toutes sortes que je feuillette distraitement. Comme je suis nu sous le peignoir, je m’imagine la dame en train de se faire son petit cinéma, comme je me fais le mien. Je l’entends s’affairer dans la salle de bain. Je tombe sur une revue aussi érotique que les estampes, ce qui a le don de m’émoustiller. Je sens ma queue me chatouiller à la vue de toutes ces jolies demoiselles qui montrent sans aucune gêne leurs seins aux pointes bien érigées, leurs chattes grandes ouvertes sur leur entrée d’amour et les bittes prêtes à les pénétrer. Le bruit de l’eau qui coule me distrait soudain.

— Tu viens m’aider ? J’ai besoin de tes deux bras pour tendre la corde à sécher. L’eau est chaude, tu peux venir te plonger dans la baignoire. A propos, je ne me suis pas présentée, je m’appelle Sylvie. Et toi ?

Ce n’est pas que je n’en aie pas envie, mais je me trouve bien dans ce divan que j’hésite à me lever.

— Tu ne viens pas ? Allons, je t’attends.

Je ne bouge pas, plongé dans la lecture des aventures très chaudes des filles en photos. Un friselis de tissu me fait tourner la tête. Elle est devant moi, en chemisette ultra courte et transparente, sous laquelle apparaissent les seins altiers haut placés surmontés de deux pointes comme des petites cerises qui percent le tissu léger. Plus bas, un slip blanc (tiens ! Elle a changé de culotte !) tout aussi fin ne masque rien d’une toison aussi rousse que la chevelure. Elle est belle, très belle et attirante. L’effet est immédiat et ma bitte, déjà bien mise en forme par la lecture, se dresse comme un i, faisant une bosse sous le peignoir. Je suis ébloui, c’est le moins qu’on puisse dire et je reste sans voix.

— Eh bien ? Qu’en penses-tu ?

Silence de ma part.

— Tu es devenu muet ? Ah oui ! Je vois, tu bandes déjà. Est-ce possible que je te fasse cet effet ? J’en suis flattée et ravie. Et tu ne dis rien, tu ne fais rien. D’habitude, on se rue sur moi et on m’arrache presque ma culotte. Toi tu restes sans réagir.

— Je récupère après la saucée prise à la sortie du cinéma.

— Tu ne viens pas prendre ton bain ?

— Non, je me suis lavé dans l’évier !

Je la regarde, et, d’un geste timide, tends la main vers elle. Elle s’approche en souriant tout près et laisse mes doigts s’insinuer sous sa chemisette où ils découvrent le fin tissu du slip déjà humide. La sueur, le bain ou le désir ? Elle ouvre légèrement les jambes, laissant le passage à mes doigts fouineurs et je masse lentement la petite bosse qui gonfle le slip tout à fait trempé. Je sens la fente sous le tissu.

— Tu mouilles déjà bien fort. Qu’est-ce qu’il se passe ? Pourquoi mouilles-tu comme ça ?

— En voilà une question ! J’ai envie, voilà tout. Tu fais tout pour.

— Je ne t’ai encore rien fait.

— Oh ! Je mouille toute seule quand j’ai envie. Cela a commencé dans la voiture. Je te sentais tout humide de pluie contre ma cuisse et ton odeur me troublait. Je sentais ma culotte s’humidifier rien qu’à t’avoir tout près de moi.

— Pas possible ?

— Je n’y peux rien, je suis faite comme ça. Tu es content ?

— Oui, mais…

— Mais quoi ?

— Tu es belle.

— Ah ! Merci pour le compliment. Tu es gentil. Viens près de moi. J’ai envie que tu me caresses sur tout le corps.

Elle s’assoit à côté de moi, s’étend, écarte ses jambes, me prend la main et la niche au creux de ses cuisses. Lentement, je fais jouer mon index sur son slip, je l’infiltre dans le petit creux du tissu qui épouse les lèvres de sa chatte. Elle mouille car mon doigt est tout humide. Je la regarde car elle a glissé ses mains sous sa nuisette et se met à jouer avec ses mamelons déjà érigés et durcis.

— C’est bon, tu sais, ton doigt sur mon clito, j’aime quand tu me caresses la fente comme ça. Tu sens ma mouille sur mon slip. Si tu continues, tu entreras dans ma moule comme un rapide dans un tunnel.

Je trouve la comparaison un peu forcée. Mais c’est vrai qu’elle mouille comme une source vive. Je continue mon mouvement, puis je glisse mon doigt sous le slip.

— Oh Oui ! Oh oui ! Enlève ma petite culotte, je veux que tu voies dans quel état est ma chatte. Regarde mes seins comme ils sont gonflés. J’aime les peloter quand on me caresse la fente. Joue avec mon clitoris. Je le sens tout dur et tout sorti de son étui.

Je fais glisser sa culotte, la soulève et lui ôte sa nuisette, tandis qu’elle fait tomber le peignoir qui me recouvre. Nous sommes maintenant nus.

— Reste assis et ne bouge plus.

Elle se penche sur moi, prend ma bitte entre ses mains et se met à la caresser, faisant saillir le gland entre le pouce et l’index, puis, elle humecte ses doigts et, tendant ma bitte d’une main, elle la masse lentement de l’autre en donnant un mouvement tournant, ce qui a le don de me faire frémir. Évidemment, je ne reste pas inactif. J’ai introduit mon médius dans sa fente et fait un mouvement de va-et-vient tout en frottant mon pouce sur son clitoris à chaque mouvement de mon doigt. Elle mouille, elle mouille, elle coule comme une petite fontaine au point que sa cyprine forme une corolle sur le coussin sur lequel elle est couchée.

— Tu caresses bien, tu sais. J’aime tes doigts sur mon clito. Tu fais bien ça. Tu m’excites fort, je sens que je vais bientôt jouir, si tu continues à ce rythme.

— Toi aussi, tu me masses bien. On ne m’a jamais massé comme ça. C’est bon à ma bitte.

— Répète. Dis-moi encore que c’est bon à ta bitte, ce que je te fais. Dis-moi que je t’excite. Je sens ton mandrin tout gonflé. Il est dur dans mes mains.

— Oui elle est dure. Je vais te la mettre dans la moule et tu m’en diras des nouvelles.

— Oh non ! Pas tout de suite ! Continue à me caresser la chatte. Fais-moi jouir avec tes doigts. Dis que tu vas me faire jouir avec tes doigts.

— Oui, je vais te faire sauter au plafond.

— Ouiiiiii ! Ouiiiiii ! Fais-moi sauter au plafond. Frotte fort avec ta main. Mets tes doigts dans ma moule, j’adore. Ils sont chauds. C’est meilleur qu’avec ma bitte à moteur.

— Ah ! Tu as une bitte à moteur ?

— Oui, bien sûr !

— Et tu t’en sers souvent ?

— Oui, quand je suis toute seule.

— Va la chercher ! Je vais l’essayer sur toi.

— Non pas maintenant, fais-moi reluire ma chatte. Fais-moi bien jouir avec tes doigts dans ma moule et sur mon clito. Tu sens comme il est dur.

— Oui ! Il est tout sorti de son étui rose.

— Je suis ta chatte chaude et humide et tu es ma bitte.

— Oui ! Tiens bien la queue de ton chat. Et masse-la fort.

— Oui, mais je ne veux pas te faire jouir maintenant, je veux ta grosse bitte dans ma cramouille et je veux sentir ton jus de couilles quand tu me la foutras dans mon vagin.

— Oui, tu l’auras.

— Tu me feras jouir avec ta pine gonflée de jus ?

— Oui, je te le promets.

Cette conversation chaudement érotique nous a tous deux bien échauffés. Sylvie se tortille sur le divan, et masse ma bitte tout en continuant à me dire des mots cochons. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps et d’une main ferme, je l’arrête à temps. Je sens le foutre qui bouillonne dans mes couilles. Mais je continue à jouer avec son clito. J’ai entré trois doigts dans son vagin et je les fais aller de plus en plus vite.

— Oh ouiiiii ! Oooooh ouiiii ! C’est boooon ! En… co… re… Ouiiiiii ! Enco….. re ! Encore ! Ouiiii ! Plus viiiiite ! Plus viiiiiiiiite ! Oooouh !Oooooouh ! Je… vais… oh… jou… ir ! Je… vais… jouiiiiir ! Ouiiiiii ! C’est boooon ! N’ar… rê… te… pas…! N’arrê… te… paas ! Ooh ! Ca… y… est… Ca… y… est ! Je jouiiiis ! Je jouiiiis ! Je menvole ! Aaaaaaah ! Aaaaaaaaaah ! Aaaaaaah ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiis ! Aaaaaaah !

Elle se laisse tomber sur moi en enfonçant ma bitte au fond de sa gorge. Je me libère tout en la caressant et je regarde sa chatte ouverte et coulante de son foutre.

— Oh ! Que c’était bon.

— Tant mieux !

— J’ai envie que tu remettes ça.

— Quand tu veux.

— Je suis prête. Frotte ta bitte sur mon clito pour voir l’effet qu’elle me fait.

J’accède à son désir et fais glisser mon gland sur son bouton durci. Elle frissonne un peu. Je remarque la cyprine qui coule doucement de sa moule brillante. Punaise ! Ce qu’elle peut mouiller ! Je n’ai encore jamais vu ça.

— C’est bon tu sais, mais ta bitte fera un meilleur effet dans ma cramouille. Pour frotter mon clitoris, tes doigts sont meilleurs. C’est plus rude et cela me fait sauter. Je préférerais aussi une langue parce que c’est un peu râpeux et ça gratte sur mon clito. Tu veux essayer ?

— Pourquoi pas ? D’ailleurs, j’aime sentir un clito tout dur sur le bout de ma langue. Mais je n’apprécie pas de travailler tout seul. J’aime quand une femme me branle la bitte pour la faire gonfler, puis la tète pour la faire juter doucement et se régaler du liquide qui en sort. J’adore surtout quand elle me prend la bitte d’une main et ma caresse de l’autre après avoir mouillé ses doigts à sa cyprine.

— Tu vois que nous allons bien nous entendre. Je pense que tu es un fin connaisseur. Moi aussi, j’aime quand trois doigts me fouillent la chatte, entrent profondément dans le vagin pendant qu’un pouce me titille le clito ou qu’une langue ferme et courageuse me le suce jusqu’à me faire un peu mal. C’est ce que tu vas me faire, dis ? Oui ?

— Bien sûr que je vais te le faire. Mais toi, tu vas me sucer le nud jusqu’à ce qu’il soit dur comme un morceau de fer et tu te l’enfonceras dans la cramouille. D’accord ?

— Oui, mais pas ici, c’est trop étroit. Viens dans la chambre, nous serons mieux, le lit est large.

Je la prends par la taille, en posant la main sur le sein dur au mamelon érigé, tandis que mon autre main fouille la chatte humide à souhait. Elle m’a saisi la bitte et me traîne ainsi vers la chambre. Elle me lâche et s’étend de tout son long sur le lit drapé de rose et de lilas, les cuisses largement ouvertes pour que je découvre sans peine sa moule ornée d’un merveilleux gazon roux. Je reste ébahi, en extase devant ce sexe béant qui semble m’appeler.

— Regarde ma chatte. Qu’en penses-tu ?

— Quelle belle chatte tu as ! Elle est très attirante.

— Qu’est-ce que tu attends pour la lécher ?

— Tu es si pressée que cela ?

— Bien sûr ! J’aime tant une langue, je te l’ai dit. J’aime faire l’amour. J’aime me faire baiser avec tendresse. J’aime sentir une pine dans ma moule mais aussi me faire embrasser partout sur mon corps. J’aime quand on me suce les bouts de seins pour les faire durcir, j’aime quand on me chuchote des douceurs dans l’oreille et qu’on me dit "je t’aime" pendant que la bitte s’enfonce loin dans ma foufounette.

— Tu me parais bien romantique.

— Oui, je suis aussi sensible autant à des mots doux et des bisous tendres sur mes seins et ma chatte qu’à une pine qui me laboure le ventre de toutes ses forces. Viens !

— Oui, je viens.

— Tu vas me faire l’amour comme j’aime.

Je me penche vers elle, vers ses jambes écartelées, vers son ventre lisse un peu bombé. Je pose ma bouche sur la sienne et lentement je fais le tour de ses lèvres avec ma langue. Je remonte vers les yeux, tourne sur le lobe des oreilles que je suçote légèrement. Elle soupire, remue un peu.

— C’est bon, tu sais.

Je la fais taire en l’embrassant fougueusement, tortillant ma langue dans sa bouche à la rencontre de la sienne. Puis je descends sur les seins. Je les lèche un à un, m’arrêtant un instant sur les pointes gonflées que je suce comme pour en tirer le lait. Elle réagit immédiatement, gémit, me prends le visage et le pousse vers son bas-ventre.

— Lèche ma chatte, j’en ai envie. Je te veux. Fais bien reluire mon clito avec ta langue et suce-le très fort comme si tu voulais l’arracher. Fais-moi plaisir, veux-tu ? Que veux-tu que je te fasse ?

— Branle-bien ma pine lentement avec tes doigts puis tu me la suceras en continuant à la branler. Mais je te laisse faire ce dont tu as envie. L’improvisation, c’est bien, n’est-ce pas ? Laisse faire ton inspiration, comme tu laisses faire la mienne. Je sens que je ne serai pas déçu.

— Moi non plus, je ne le suis pas. Tu m’as déjà bien branlée et je sens que ta pine va me faire sauter au plafond. Dis que tu vas me faire jouir comme une reine !

— Tiens, les reines jouissent plus fort que les autres femmes ?

— On le dit et je le crois.

— Tant mieux ! Moi je pense que toute femme jouit lorsqu’elle est bien préparée.

— Et bien baisée.

Lentement, avec des gestes mesurés, je commence à la caresser des deux mains en commençant pas le cou, titille le lobe des oreilles, effleure le cou, passe un doigt douce- ment sur les lèvres. Mes mains descendent sur les seins, je lui pince légèrement les pointes déjà toutes durcies, continue alors vers le nombril tout creux où j’entre le bout du médius en tournant légèrement. Je m’arrête un instant pour la regarder. Ses paupières à demi-closes, elle semble savourer ma caresse, car elle gémit doucement, un léger râle. Je reprends mon voyage sur son corps. Mes mains descendent sur les cuisses dont j’apprécie le velouté si doux juste sous la toison rousse. La peau blanche contraste d’ailleurs avec la couleur feu du pubis. Ma droite remonte vers la chatte. Sylvie frissonne et je remarque que les cuisses s’ouvrent lentement.

— Caresse-moi la chatte, s’il te plaît !

— Tais-toi et laisse-moi faire. Ne bouge pas et surtout ne me touche pas.

Toujours aussi lentement, je passe le bout de mes doigts sur la peau tendre de l’entrecuisse, provoquant une réaction rapide: les cuisses s’écartent largement sur une chatte charnue aux petites lèvres longues et épaisses qui s’ouvrent sur un vagin d’où s’écoule une liqueur parfumée. Sylvie veut à tout prix poser sa main sur sa chatte. Je l’en empêche en y posant la mienne. Elle se soulève pour regarder dans le grand miroir qui couvre une partie du mur d’en face.

— Tu ne peux pas rester tranquille et me laisser t’exciter comme j’en ai envie.

— C’est plus fort que moi, j’ai envie de ta bitte dans ma moule et tant que tu ne me la mettras pas, il faut que je bouge. Tu m’excites très fort.

— Sois patiente, tu l’auras ma bitte je te le jure.

Elle se recouche.

— J’aime bien regarder quand on me caresse. J’aime bien voir les doigts ou la bouche farfouiller dans ma cramouille. Cela me fait mouiller plus fort.

— Je vois cela, on dirait que ta chatte est entourée de perles fines. Un vrai collier. Dommage que ce ne soit pas des vraies, je pourrais les prendre et t’en décorer le ventre.

— Tu ne serais pas un peu poète, toi ?

— C’est un grand mot. Disons que j’écris pour passer le temps.

— On peut savoir quoi ?

— Des histoires cochonnes où il est question de chattes, de bittes, de léchage de queues ou de moules, de baise.

— Oh là là! Qu’est-ce que ce doit être chaud. Dis, tu m’en feras lire ? J’ai envie de m’exciter le clito avec des histoires de culs. Viens me voir demain et je te montrerai tout ce que je peux faire en lisant des histoires bien chaudes de bittes et de moules.

— Oui, mais pour l’instant, laisse-moi continuer à te faire du bien. Je veux te faire jouir.

— Oh oui, j’en ai envie. Donne-moi ta bitte à sucer, je vais la rendre dure comme une barre de fer et tu me la mettras dans la moule. Fais-moi reluire la cramouille avec ta langue et tes dents. J’adore qu’on me mordille le clito, ça me rend dingue. Ne te prive pas surtout.

Je ne veux pas la priver de son désir et lentement, je pose ma bouche sur sa chatte qu’elle tient grande ouverte avec ses deux mains. Le bout de ma langue bute contre son clitoris qu’elle fait sortir de sa gaine rose. Ciel ! Qu’il est gros ! On dirait une petite fève cramoisie. Je le lèche sans pour autant délaisser les petites lèvres, elles aussi bien gonflées. Tout en lui suçant la moule, je tends les mains vers ses seins. Les pointes sont dures comme de petits rubis. Je les flatte du bout des doigts puis je les prends carrément entre mes doigts et les triture. Quels mamelons ! Les rubis sont devenus des fraises des bois.

— Oh ! Ce que c’est bon ! Tu me rends folle avec ta bouche et tes mains. N’arrête pas ! Oh oui ! C’est bon ! C’est… bon… En-core… En… co… re ! En… cooo… re ! Comme… tu… me… lèches… bien… Tu vas encore me faire jouir. J’ai… me…ça… Oh ! Que c’est… boooon ! Oh ! Ta… langue… suuur… mon… cli… to… riiiis !! Encoooo… re… en… cooo… re ! Ouiiii ! Je… vais… jou… iiiiiir… ! Oh ! Mes seins ! Pin… ce-les… en… coooo… re… Oh ! Je… mouillle… Je… cou… ou… le… Arrrrrê… te ! Arrrrêête ! Je… veux… ta… bi… tte ! Je… veux… ta… bitte… dans ma moule ! Mets-… la… moi viiite… viiiiiite.

Je n’en ai pas encore envie, bien que ma pine soit prête à l’action, mais je tiens à faire attendre Sylvie jusqu’à ce que sa chatte soit à point pour recevoir mon braquemart. Je tiens aussi à ce que la femme me prouve ses talents de suceuse et je lui présente ma pine déjà tuméfiée par l’excitation. Je m’étends donc sur elle en soixante-neuf et lui enfonce ma bite dans la bouche tout en lui léchant le clitoris en feu.

— Oh ! Que c’est bon ! Que c’est bon ! En… co… re… Que tu suces bien ! Ça me passe partout. Quelle bonne minette. J’en veux encore. Fais-la durer longtemps.

Elle n’est pas en reste et pompe ma pine comme si elle voulait l’engloutir tout entière dans sa bouche. Je sens le foutre monter dans ma pine et à ce rythme, je ne vais pas le tenir longtemps. Sylvie gémit sous ma langue, elle se tortille comme un ver et me lance des propos de plus en plus cochons.

— Ouh ! Ma cramouille en feu ! Oh ! Ta bitte en bouche ! Quel festival de baise. Viens me baiser fort avec ta grosse queue. Je ne veux pas jouir comme ça. Je veux ta bitte, je veux ta bitte, je veux ta bitte ! Donne-moi ta grosse bitte. Donne ta grosse bitte à ma moule baveuse. Je t’aime ! Je t’aime ! Viens mon amour ! Viens me baiser !

Elle me fait tourner sur elle, saisit ma pine entre ses doigts et la place à l’entrée de sa grotte d’amour, tout en se massant le clito de sa main libre. Je pousse doucement et ma bitte pénètre dans sa moule trempée de sa cyprine. Son vagin se contracte et ma bitte reste prisonnière.

— Je te tiens ! Vas-y à fond. Baise-moi fort. Comme je sens bien ta bitte. Elle m’emplit toute et je la sens frotter dans mon vagin. Vas-y fort ! Plus fort ! Plus… fort ! Plus… viiite ! Plus… fort ! Pousse ta bitte au fond de mon ventre. Je la sens qui est au fond. Oh ouiiii ! Ouiiiiiiii ! En… core, En… core, ouiiiii ! Mon amour ! Je vais jouir avec ta bitte ! Ouiiiii ! Fais-moi jouiiir ! Ça y est ! Ça y est ! Je vais jouiiiiir ! Oh ouiiiiiiiii ! Aaaaaah ! Oui ! Je sens ta bitte qui se gonfle encore ! Jouis avec moi ! Chéri ! Jouis avec moi ! Ça y est ! Je jouiiiiiiis ! Je jouiiiiiiis ! Aaaaaaah !

A ce moment, je ne peux plus me retenir et je jouis bruyamment versant en elle tout mon foutre. Je tombe sur elle qui m’enlace pour me serrer de toutes ses forces.

Il fallut un moment pour récupérer, tant le plaisir était violent. C’est fou ce que l’amour rend paresseux. Nous restons tous deux collés et il nous est pénible de nous séparer. Nous sommes tellement bien l’un contre l’autre. Je la regarde. Ses yeux brillent toujours et un petit sourire fleurit sur ses lèvres.

— Je suis bien dans tes bras, tu sais et j’ai si bien joui. C’était très fort au point que j’ai cru que j’allais m’évanouir. Cela m’a fait une drôle d’impression, je me sentais partir. Je n’ai jamais connu ça et pourtant, sans me vanter j’ai acquis de l’expérience. Au fait, quel âge as-tu ?

— Vingt ans mais il me manque deux dents.

Elle éclate de rire, me reprend dans ses bras.

— Repose-toi un peu.

— Quelle heure est-il ?

— Près de minuit, pourquoi ?

— Pour rien. Le temps a passé vite.

— Tu trouves ?

— Oui. J’ai bien joui aussi.

— Je l’ai senti à ta bitte. Regarde le drap est tout trempé de ton foutre. Tu en avais une sacrée réserve. Tu en as toujours autant ?

— Je n’en sais rien, je n’ai jamais mesuré.

— Blagueur, va. Embrasse-moi.

Je me penche et pose ma bouche sur la sienne. Sa langue s’insinue entre mes lèvres tandis que sa main se replace sur ma queue devenue molle après s’être bien vidée. Son baiser se fait insistant. Je ne reste pas inactif et je lui caresse les seins dont les pointes regonflent.

— Refais-moi l’amour avant de rentrer chez toi.

— J’ai bien le temps, personne ne m’attend.

— Tu vis seul ?

— Non, mais mon père travaille, il ne rentre que demain soir ; il est cheminot ; il fait la ligne de Paris et dort au dépôt de la Courneuve. Ma mère est partie à Paris chez sa tante pour trois jours. J’en ai profité pour aller au cinéma. Tu vois, je me suis retrouvé dans ton lit.

— Tu regrettes ?

— Quelle question ! Comment veux-tu que je regrette tout ce que tu m’as donné ce soir. Et toi ?

— Je sens encore le frottement de ta pine dans mon vagin. C’était extraordinaire. Il est vrai que j’en avais envie depuis que je t’ai pris en voiture. Je ne sais pourquoi mais en te voyant trempé, je me suis imaginé que j’allais passer une bonne soirée et je ne suis pas déçue, au contraire.

— Moi non plus. Tu m’as comblé par tes caresses, ta manière de me sucer la bitte, la douceur de tes mains et la chaleur de ta moule. Mais comment fais-tu pour mouiller autant ? Ce doit être rare.

— Je n’en sais rien. D’habitude, je mouille normalement mais ce soir je sentais mon foutre couler de ma chatte comme une fontaine.

— Je m’en suis aperçu…

— Oh ! Que je me sens bien. Tiens ? Tu n’as pas faim ?

— Un peu. L’amour, ça creuse.

Elle se lève, m’entraîne avec elle vers la salle à manger. Je m’assieds dans le divan et regarde les revues érotiques que j’avais commencé à lire pendant qu’elle se préparait. Elle a passé une petite robe courte et revient avec un plat de petits sandwichs garnis de toutes sortes de bonnes choses.

— Mange, mon chéri. Prends des forces pour après.

— Parce qu’il y a un après ? Je suis vraiment gâté ce soir et je bénis cet heureux orage qui m’a permis de te connaître.

— C’est gentil ce que tu dis, tu es un amour. Oui, il y a un après et tu vas me faire encore jouir avec ta bitte, tes doigts et ta langue. Je veux tout recommencer.

Nous dégustons lentement notre petit repas en amoureux. Il n’y a pas à dire, je suis bien tombé avec Sylvie. Le dernier sandwich avalé, elle me sert un délicieux mélange.

— Qu’est-ce que c’est ?

— Secret d’Etat ! Un petit cocktail de ma composition.

— De l’alcool ? Je n’en bois jamais.

— Ce n’est pas de l’alcool, c’est bien meilleur. Qu’en dis-tu ?

— Eh ! Eh ! C’est fameux. Parfumé et rafraîchissant.

Je sirote la boisson en la regardant boire son verre. Elle s’éloigne et met de la musique et baisse la lumière.

— Viens danser.

— Je ne sais pas danser.

— Eh bien, je vais t’apprendre.

Je me laisse conduire. Ce n’est pas compliqué car c’est un slow très lent. Elle m’a pris par le cou tandis que je l’enlace et pose mes mains sur ses fesses. Elle presse ses seins contre ma poitrine et son ventre s’accorde au mien. Je me rends compte qu’une douce euphorie me saisit. J’ai chaud malgré ma nudité. Sylvie approche sa bouche de la mienne et m’embrasse. Sa langue s’insinue entre mes lèvres et les force à s’ouvrir. Son baiser est absolument ravageur. Je sens la chaleur monter en moi, tandis que ses jambes semblent s’enrouler autour des miennes.

— Ca va mieux ?

— Oui, à part que j’ai chaud.

— Moi aussi.

— Je crois que c’est le cocktail que tu m’as servi qui me fait cet effet.

Elle ne répond pas mais sourit.

— Tu vois que tu danses bien. Serre-moi contre toi, je veux sentir ta bitte quand tu vas bander. Caresse-moi aussi, passe ta main sous ma robe, je n’ai pas remis ma petite culotte, ma chatte est nue et je sens que je remouille. Si je l’avais gardée, elle serait trempée de ma liqueur parfumée. Fais-moi encore l’amour et je m’endormirai dans tes bras.

— Mais je n’aurai rien à me mettre demain matin.

— Et alors, demain quand nous serons levés, je te conduirai chez toi, tu prendras tout ce dont tu auras besoin et tu reviendras ici.

— Mais j’ai du travail.

— Je sais, tu travailleras ici, j’ai tout ce qu’il te faut et puis tu seras près de moi. Je n’ai pas l’intention de te lâcher comme ça, tu sais. Allons, viens me faire l’amour.

Je la serre contre moi et ma main lui caresse les fesses puis s’engageant vers l’avant, se pose sur sa chatte. Mon doigt s’infiltre dans la fente. Ouh ! Comme elle mouille. Une vraie fontaine de Vaucluse. Sylvie se tortille contre moi et pousse son sexe contre mes doigts.

— Caresse mon clitoris comme tu l’as fait tout à l’heure, c’était si bon et ton doigt est si bon dessus. Chéri, je sens ta bitte dure contre mon ventre. Serait-elle déjà prête à me remplir la chatte et à me faire encore divinement jouir ?

— C’est quand tu voudras.

— Prends-moi comme ça, debout ; je n’ai jamais fait l’amour en dansant. Ce doit être drôle. Essaie de me baiser fort maintenant. Fais-le. Je t’aime.

Nous sommes presque de la même taille. Elle saisit ma pine entre ses doigts et doucement la place à l’entrée de son vagin puis elle pousse et lentement, ma pine.

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