Après avoir laissé lamentablement Laure, contre mon grès, dans les couloirs de la Sorbonne, je ne savais trop comment allait continuer cette nouvelle relation Les débuts étaient prometteurs, mais jaurai compris quelle me tienne rigueur de la conclusion un peu bâclée de notre première journée.
Je lui téléphonais donc le soir même pour mexcuser et linviter par la même occasion à boire un verre quand elle serait disponible.
Elle me dit de passer la prendre à la sortie de sa salle de cours, à son école, à 17h30 mardi.
-« Mais, si je viens te chercher à la porte, Adeline me verra et se demandera la raison de ma présence. Je préférerai un peu éviter ça si possible. »
-« Cest à prendre ou à laisser. »
-« OK, cest bon, tu as gagné. Mais tu ne sais pas encore quoi » avec un petit rire et je raccrochais.
Pffff bravo, pensais-je, quest ce quelle peut bien mijoter ? Je verrai bien
Déjà, je pensais lui offrir un petit cadeau que jadore : une chaîne de pied. Je trouve ça si sensuel et si un des premiers cadeaux que joffre à mes copines Pour le reste du programme, cétait plutôt un flou très artistique impro certainement jaime bien ça.
Le jour même jallais à un de mes magasins préférés où jachète tous mes bijoux et ceux de mes copines. Jy vais souvent accompagné, et ça fait toujours sourire malicieusement la vendeuse de me voir arriver avec une nouvelle amie
Jai choisi une jolie chaîne en argent, assez simple, mais très fine et sensuelle. Largent allait bien avec son teint de porcelaine. Paquet-cadeau et zou !
Cinq minutes avant la sortie, jattendis devant la porte, et je vis un petit renflement où je pourrai me dissimuler si par hasard Adeline venait à passer. Je ne tenais pas du tout à ce quelle me voit. Et puis mince, cétait bien Laure, sa meilleure copine, qui mavait dit de lattendre, au risque de voir Adeline. Elle se débrouillera si besoin, jallais lattendre devant la porte !
17:30. Bizarre. Aucun bruit ne provenait de la salle Je tendis davantage loreille Rien. La petite garce mavait bien eu ! Ca commençait bien !
A cet instant une main me tapota lépaule. Je me retournais alors et une bouche métreignit sauvagement et furieusement avant même que jeus le temps de déterminer la personne. Laure ! Nous nous embrassâmes alors fougueusement. Mes mains parcourent ses doux cheveux et passèrent dans son dos pour la caresser tendrement. Hum quel délice
Elle relâcha son étreinte et me dit :
– «Que voilà un courageux chevalier, qui était prêt à braver de graves dangers ! » en riant aux éclats « je ne savais vraiment pas si tu allais oser ! »
-« Je ne fuis jamais devant mes responsabilités. Je ne suis plus avec elle. Cétait plus pour toi que je ne voulais pas trop faire de vagues. Cest ta meilleure amie quand même. Je ne veux pas être la pomme de discorde entre vous. »
-« Cest pas grave. » Elle me prit la main et voulu monter lescalier proche.
— « Viens donc ! » me dit-elle avec un petit sourire espiègle.
Nous grimpâmes les marches quatre à quatre, sans trop savoir où elle memmenait. Au dernier étage, elle se dirigea vers le fond du couloir, lair sûre delle. Arrivé au fond du couloir, un petit renflement nous permettrait de ne pas être vu
Elle me prit par les épaules, me déséquilibra et me jeta presque au fond, et, avant même que je nai pu réagir, elle déboutonna mon jean.
-« Laure, jadore ce genre de trip, mais là, nous sommes dans ton école, à une heure où pas mal de gens peuvent passer »
Je ne pus finir la phrase car elle avait déjà baissé mon pantalon et jouais avec mon caleçon.
-« Tu vois, moi aussi je peux faire ça où jai cours » me dit-elle avec un grand sourire et en commençant à agiter un peu le contenu de mon caleçon.
La voir ainsi hum quelle était belle et désirable Javais à peine eu le temps de la regarder. Elle sétait habillé de toute beauté ! ! Petit cache-cur noir bien décolleté qui me permettait dadmirer un superbe paysage, jupe noire et des collants ou des bas ! Argg ! Ma deuxième marotte
Elle me regarda avec un petit air suppliant de petite fille sachant quelle va faire une bêtise ; ce qui ne lempêchera pas de la faire Sa main pénétra mon caleçon et son contact avec mon sexe me fit frissonner. Enfin, elle baissa le sous-vêtement la gênant dans son entreprise et commença à me branler doucement, puis plus vivement.
-« Alors ? Monsieur ne semble pas aussi gêné que cela ? »
Je neus encore pas le temps de répondre quelle approcha ses lèvres de ma verge et les passa sur toute la longueur, sortant la langue une fois arrivée au gland. Que cétait bon.
Elle continua consciencieusement et en sappliquant sa fellation qui était véritablement divine. Elle modulait son ardeur, ses coups de langue et ses jeux de lèvres, quelle avait pulpeuses et très belles. A cela, elle ajouta pour me mettre vraiment à bout tout un jeu de mimiques, dexpressions de visage totalement chavirantes !
Lesprit vraiment ailleurs, je réussi à mettre mes mains sur ses épaules pour la prévenir de limminence de ma jouissance. Elle continua de plus belle. Le monde aurait pu sécrouler autour de moi, je naurai même pas fait attention tant jétais aux anges ! Finalement, après avoir essayé de retarder pour en profiter au maximum, ma résistance fut anéantie et vaincue et mon orgasme me parut durer une éternité. Le temps sétait ralenti autour de moi. Laure de son côté essayait davaler tout sans rien perdre ce quelle arriva presque exceptée une goutte coulant à la commissure droite de ses lèvres.
Terrassé par un tel orgasme, comme je nen avais jamais eu jusque là, je meffondrais presque par terre. Je me rhabillai assez vite. Elle, de son côté, était grand sourire et apparemment semblait très contente de son effet !
-« Alors ? A ton avis, jai perdu depuis 2 ans sans pratique ? » en riant aux éclats « Je nen suis pas tout à fait sûre. Quen penses-tu, comme ça, rapidement ? Mon petit échauffement est-il convenable à ton goût ? Suis-je meilleure quAdeline pour les jeux de langue ? »
Moi, un brin moqueur, et gros menteur, en rigolant :
-« Pas mal pour un début, mais jespère que ça va saméliorer !! Bon potentiel ne demandant quà être améliorer et développer. »
Elle se jette sur moi pour me chatouiller en me traitant de gros mufle ! On continue de bien rigoler et de samuser comme des gamins encore quelques minutes, en sembrassant.
-« Jai un petit truc pour toi, et tu me sembles têtre vêtue pour la circonstance. »
Je lui pris la main et nous retournâmes dans le couloir où un long banc semblait nous attendre.
-« Assis-toi ici sil te plaît. Voilà, comme ça, et ne croise pas tes jambes. »
Elle me regarde, lair un peu intrigué. Je magenouille devant elle et lui tendis mon petit paquet, quelle déchire tout de suite.
-« Oh merci beaucoup ! Cest quoi au fait ? »
Je lui prends la main et lembrasse, puis attrape la chaîne. Ma main commence à descendre le long de sa jupe, doucement. Je la sens frissonner un peu. Mes doigts continuent leur descente et courent maintenant sur ses collants (ou est-ce des bas, je ne le sais encore). Mes lèvres ont suivi de peu mes doigts et parcourent ses jambes. Jarrive à sa cheville gauche, que je masse doucement, lentement, en prenant le temps. Puis je lui attache enfin sa chaîne. Je continue dembrasser ses jambes gainées.
Je la regarde alors droit dans les yeux. Quelle est belle, pleine de charmes et de vie. Resplendissante.
Mes mains remontent un peu le long de ses jambes. Je remonte également afin de lembrasser et de la prendre dans mes bras. Heureux. Je crois que nous le sommes vraiment. Mes mains redescendent et se glissent sous sa jupe.
Wooah ! Des bas ! Hum jadore vraiment trop et son petit air malicieux me fait penser quelle devait le savoir
Je joue sous sa jupe à effleurer son entrejambe, le haut des cuisses, à bien la caresser sur sa culotte qui devient de plus en plus humide. Joueur, je la lui retire en la regardant droit dans les yeux. Elle ne semble pas trop chaude à vrai dire mais elle avait allumé un feu qui semblait lui échapper…
Je la porte à mon visage pour la sentir hum, quel délice Puis, je me recule un peu. Là, son visage prend une drôle dexpression, mélange de curiosité, de mécontentement, de frustration
-« Vas-y, abandonne toi à mon regard. Donne moi du plaisir en ten donnant. »
-« Non, tu es là pour ça. Finis ce que tu as si bien commencé sil te plait. »
Le regard que je lui lance lui fait comprendre que cest moi qui dirige là. Elle commence à sexécuter, doucement. Ses mains détachent son cache-cur, me laissant découvrir un soutien gorge noir en dentelle très joli. Elle se caresse lentement, faisant descendre ses mains. Avec le bout des doigts, elle effleure ses bas en remontant doucement vers son entrejambe et relevant sa jupe. Je peux voir alors son joli fruit, presque défendu, bien taillé avec une pilosité de brune peu fournie, mais pas épilé. Très joli ! Puis, elle passe légèrement sur son pubis, ses grandes lèvres. Je la vois un peu tressaillir alors. Elle glisse son index entre ses petites lèvres et commence à gémir. Ses yeux se ferment pour apprécier davantage. Moi, je suis aux anges : voir Laure, à demi-nue au milieu dun couloir, se donnant du plaisir, en bas et avec une chaîne de pied Quel dommage de navoir rien pour immortaliser cette image
De sa main droite elle écarte largement ses grandes lèvres pour que sa main gauche joue avec ses petites lèvres, son clitoris et lentrée de son vagin. Son minou est maintenant tout trempé. Décidant que je lavais suffisamment laissé jouer toute seule, je me rapprochais en silence. Je crois que de toute façon elle nétait plus là. Doucement à quatre pattes, jarrivais à quelques dizaines de centimètres de son abricot.
Elle remonta sa main gauche vers sa bouche quelle ouvrit alors pour goûter à son nectar. Profitant de loccasion, ma bouche prit la place de sa main absente. Elle grogna quand ma langue à plat remonta alors tout le long, en tournoyant par moment. Arrivé à son clitoris, je lagaçais du bout de la langue, jouant avec, laspirant un peu, le suçotant. Mes mains ne restèrent pas inactives et lui caressèrent les jambes, le ventre, sa poitrine toujours prisonnière.
Comme jadore le faire, je pris tout mon temps, pour la faire languir, la faire doucement, mais sûrement, monter petit à petit, pour la faire me supplier de la terminer. Par moment, je remontais lembrasser, lui faisant partager son nectar si précieux et bon.
Enfin, je décida de la finir en beauté. Je pénétra son intimité de mon index droit, tandis que javais libéré sa poitrine de ses entraves et entreprenait de lui caresser avec ma main gauche. Ma langue continua à être joueuse, mais se fit plus précise, plus adroite, plus régulière et plus appuyée, tandis que mon index prenant un rythme proche de celui de ma langue.
Quelques secondes suffirent alors pour la voir se redresser, les yeux révulsés, gémir de plus en plus fort et crier un bon coup, en se laissant retomber.
Son cri ayant peut-être alerté quelquun, je me rassis vite à côté delle et lembrassa fougueusement, sans trop la laisser se remettre de ses émotions, et lenveloppant de mes bras pour ne pas trop exposer sa poitrine au cas où
Enfin remise, elle me dit :
-« Du potentiel, sans aucun doute, mais qui demande encore un peu de pratique pour sexprimer pleinement. Mention honorable. » en riant.
Quelle était belle quand elle riait. Encore plus belle que quand elle jouissant. Jétais sous le charme. Elle se rhabilla, pris ses affaires puis nous nous dirigeâmes vers lescalier.
Arrivés à la porte vitrée qui sépare le couloir du palier, nous rencontrâmes Marie, une copine dAdeline et Laure très jolie avec des traits de visages très fins, qui nous regarda marcher bras dessus bras dessous en souriant, tout heureux que nous étions. On discuta un peu, puis partîmes chacun de son côté.
Cest alors que je crus entrapercevoir un clin dil de Marie adressé à Laure