Ma femme, Huguette, est du matin et moi du soir. Ceci posé, il lui arrive de me réveiller par ses mouvements quand elle se masturbe avant de se lever. Pourtant la veille au soir je lui ai donné tout mon sperme soit devant, soit derrière et le plus souvent dans la bouche. A chaque fois elle prend son pied, soit par le sexe soit par la gourmandise en avalant ma semence. En plus les après midi, souvent elle reçoit une copine chère avec laquelle elle « samuse » : elle me le dit toujours.
En vérité Huguette est une belle salope. Ainsi jai pu prendre son amie Arlette comme maitresse devant elle avec son accord. Cétait disons une belle partie à trois, avant de dévier vers lamour en commun de cette fille bien faite, pas sotte du tout, bref une femme normale, attirée par le sexe, tous les sexes, même.
Au début tout cest fait rapidement. A force de me parler des plaisirs interdits quelles prennent avec son amante, jai insisté pour participer. Il en a fallut du temps pour que mon épouse arrive à convaincre Arlette que jétais bon baiseur quelle ne le regretterait pas.
Nous avons pu mettre au point la tactique classique du mari trompé. Je devais arriver un jour pendant quelles se masturberaient, je râlerais un peu avant de baiser la femme devant lautre quelle lécherait en même temps. Le plus fort est que ça a marché.
Jentre chez moi sans faire de bruit, vers 15 heures : bien sur elles sont couchées toutes les deux, nues, se masturbant. Avant dagir je contemple le couple de gouines affairées à se donner du plaisir.
Huguette qui mattendait me voit la première. Elle ne dit rien sinon en sadressant à son amante :
— Oui, cest bon, branles moi encore.
— Je voudrais te sucer.
— Tout à lheure, finis-moi avant.
Jarrive à ce moment là. Bien sur, surprise feinte de ma femme, surprise réelle de la part de son amie ; qui sur le moment, malgré son plaisir en cours voulait fuir. Huguette la retiens :
— Restes que veux tu quil nous fasse ? Quil nous baise et alors, on le fait bien toutes les deux.
Je nécoute pas la conversation, je me déshabille en bandant déjà. Je vais baiser Arlette qui me plaît bien. Elle est contre ma femme, presque affolée. Pourtant je ne lui veux pas de mal. Huguette comprend mon but. Elle embrasse sa copine sur la bouche pour la rassurer.
Comme Arlette est restée sur le dos, je peux facilement lui garder les cuisses ouverte : jai pu voir sa chatte bien mouillée. Maintenant que je suis sur elle, je pose ma bouche sur la sienne en remplacement de celle de mon épouse. Le miracle se produit quand nos langues fraternisent. Mis comme je suis, Huguette peut lui caresser les seins.
Enfin lacceptation quand Arlette pose ses talons sur mes reins. Jai laccès direct à son fourreau. Et quel abricot mouillé à souhait, mur assez pour que ma queue se trouve bien dans ce havre. Je commence les va-et-vient : elle suit le mouvement.
— Tu es sacrément bonne à baiser. Tu es douce dans ton con.
— Et toi tu sais bien me la mettre.
Ma femme avait raison, cette fille est une valeur sure dans léchelle des baiseuses, comme elle aussi. Je vois quHuguette se masturbe en nous regardant : elle aura ma bite dici tout à lheure. Je suis un peu surpris de sentir un doigt sur mon cul, puis dans mon cul. Cest surprenant et bon à la fois. Elle me le met à fond. Ca rajoute à mon, plaisir montant.
Le sperme nest pas loin quand elle accélère delle-même le mouvement juste avant de jouir autour de ma queue. Je ne me retiens même pas : je jouis dans son vagin. Je reste en elle jusquau moment où je débande : dommage, je serais bien resté dans son ventre accouplé à lamante de ma femme.
Ma femme justement veut sa part normale. Quand je quitte la chatte dArlette cest Huguette qui me prend la bite : elle sait bien me faire bander encore en me suçant : elle doit prendre son pied à cause de la présence sur ma pine de mon sperme et surtout de la cyprine qui est restée collée sur mon sexe.
Sa langue fait vite le ménage en me réveillant. En me prenant dans sa bouche ce sont ses lèvres qui me font bander plus fort. Huguette me veut : elle ma fait bander encore une fois. Reste à savoir ce quelle veut : ses doigts lont faite jouir il y a peu, je me demande comment il faut que je la baise.
Elle me regarde avec son air de me dire encule moi. Elle se met en levrette pour quArlette lui passe de la cyprine sur lanus. Elle fait un peu plus, elle lui tapisse larrière train et en profite pour rentrer deux doigts précurseurs de ma queue.
Je peux maintenant entrer dans le rectum sans problème : Huguette me demande souvent de la sodomiser pendant quelle se branle. Jentre très lentement dans le cul, comme jaime bien, je ne force pas un seul instant ; elle ouvre son cul comme elle veut. Elle commence à gémir de plaisir qui saccentue quand Arlette passe sous elle pour la sucer. Bien sur Huguette sarrange pour la lécher : elles continuent leur gouineries. Il nempêche que le doigt dArlette arrive, je ne sais trop comment à sintroduire en entier dans mon cul.
Cette fois, comme jai jouis il y a peu, je tiens le coup : Huguette jouit souvent : je le sens bien. A mon tour de jouir : je donne mon sperme sans réserve au cul de ma femme.
Les deux tribades sen donnent à cur joie. Ma présence les excite davantage. Tout y passe, y compris un mutuel fistage. Cest ma femme qui entre sa main dans le vagin de notre compagne pendant quelle se fait mettre toute la main dans le cul. Je suis étonné de voir la main évoluer lentement dans son anus dilaté au maximum : je ne pensais jamais quun anus puisse se détendre autant.
Elles mexcitent tant que je prends ma queue dans la main pour me faire du bien. Je vois que la bouche dArlette est libre : je lui donne ma queue à lécher : elle sen tire fort bien. Je jouis juste à coté de sa bouche : je lui en donne sur le front, le menton et les seins. Elle ma sucé comme une fille normale, pas comme obligée de me satisfaire pour que je lui pardonne de baiser ma femme.
Je nai rien à pardonner : elle fait parti du couple, enfin je le pense. Cest la réalité plusieurs jours plus tard après que nous ayons décidé de la faire cohabiter avec nous pour faire un vrai ménage à trois où chacun peut baiser lautre sans problèmes dépassés de jalousie. Elle nous contente tous les deux : le couple normal et nous la contentons soit à deux, soit en couple. De plus, nous nous aimons damour comme des amants solides.