Salut c’est votre folle de lycra.
J’étais donc dans la cabine d’essayage d’un magasin pour femme, habillé en femme et ma copine Coralie était partie avec mes vêtements d’homme, ainsi que les clés de chez moi. J’ai attendu de longues minutes, en regardant par le rideau de temps à autre, en espérant pouvoir sortir sans être vu de personne. L’heure tournait, et j’avais peur de me retrouver enfermé dans le magasin. Tout d’un coup le rideau s’est ouvert, une femme se présentant comme Sophie, m’a expliqué que mon amie avait payé les vêtements, et qu’elle ne s’attendait pas à trouver un homme dans la cabine.
«Vous êtes très mignonne ainsi vêtue. Cela me donne une idée. Quel est votre prénom ?»
Je me sentais inférieur à elle, je lui ai quand même répondu avant qu’elle n’ait refermé le rideau. Je ne savais pas où me mettre, tant mon malaise était grandissant. Quand le rideau s’est ouvert de nouveau, mais complètement ce coup-ci, Sophie était toujours là, mais accompagnée d’une dame d’un âge un peu plus avancé.
Autant Sophie était une belle femme d’une trentaine d’années, autant l’autre femme devait avoir facilement la cinquantaine, mais toute aussi belle. Franck, je vous présente Muriel, c’est une très bonne cliente à nous, j’aimerais que vous lui fassiez une petite toilette intime. Pendant qu’elle était en train de me parler, elle prenait aussi des photos de moi dans cette tenue, disons que ce genre de photos pouvaient très vite devenir compromettantes. Muriel avait l’air très surprise, mais aussi très heureuse de savoir ce qui allait se passer. Elle était habillée de façon très classe avec une jupe longue fine et douce, ses cheveux étaient blonds et ses yeux bleu océan. Je ne sais pas si c’était ma position d’infériorité, mais finalement Muriel me faisait très envie. Sophie a fait rentrer Muriel dans la cabine, elle lui a relevé l’avant de sa robe, lui a fait poser un pied sur le siège. Sophie lui a écarté son tanga, et c’est ainsi que j’avais une vue imprenable sur le minou de cette cliente si désirable.
Sa toison était luisante, belle et bien entretenue, compte tenu de ma parure, j’étais prête à devenir lesbienne pour goûter à cet entrejambe féminin. Sophie m’a fait comprendre qu’il fallait que je passe aux choses sérieuses, car nous n’avions pas beaucoup de temps devant nous. C’est ainsi que je me suis penché pour aller goûter au fruit défendu de Muriel, cela sentait très bon la femme désireuse. Sophie a estimé que j’étais un peu trop long pour passer à l’acte, et elle a plaqué ma tête contre la toison de sa cliente. Je pense que c’était l’excitation mais je me suis retrouvé en quelques secondes, le visage recouvert de la cyprine de Muriel. Le goût était formidable, en quelques secondes ma langue avait déjà reconnu tous les endroits sensibles de Muriel. Le tanga que Sophie avait écarté, était lui aussi tout trempé, il n’y a pas à dire la cliente privilégiée était vraiment très excitée. Maintenant, c’est Muriel qui tenait l’avant de sa robe, pendant que Sophie était en train de lui exciter la poitrine. Il n’y a pas à dire même dans cette cabine d’essayage Muriel était très bonne cliente car cela ne faisait pas longtemps que nous nous occupions d’elle, et elle était déjà en train de pousser des petits cris de plaisir.
J’avais les poils de la toison pubienne de Muriel qui me chatouillaient le nez, puis finalement Sophie m’a fait agenouiller pour que j’aie un meilleur accès au sexe de notre invitée. C’est vrai qu’ainsi positionné, je pouvais bien mieux profiter de son sexe et surtout me délecter de sa cyprine. Ma langue rentrait maintenant entièrement dans son vagin, pour en ressortir et aller lui exciter le clito. Il n’y a pas à dire, je commençais à être un expert, pour ce qui est du broutage de minou. Les cris que poussait Muriel commençaient à être de plus en plus longs et de plus en plus rapprochés, je n’avais plus aucun doute, sa jouissance était sur le point de venir. Je pense que l’action combinée de Sophie sur sa poitrine et moi sur son minou ont eu raison de la jouissance de Muriel. Elle a commencé à pousser de grands cris mais heureusement Sophie a eu la fraîcheur d’esprit de l’embrasser. Je ne voudrais pas dire mais j’ai eu l’impression qu’il y avait quand même une petite part de gourmandise dans les baisers que prodiguait Sophie à Muriel.
Pour le fun, je suis encore resté quelques instants à me délecter, alors que Sophie avait abandonné les seins de Muriel. Les deux femmes sont restées de longues minutes à échanger ce baiser, pendant que moi j’étais en train de me redresser et de faire tout ce que je pouvais, pour être présentable et ne pas attirer l’attention habillé en femme. Finalement leurs deux bouches se sont séparées, Sophie m’a regardé, elle avait l’air satisfaite. De son côté Muriel était en train de se rhabiller avant de nous quitter, et sans doute quitter le magasin, car il devait commencer à être tard. J’ai eu le droit à un roulage de pelle en règle de la part de Muriel avant de la voir disparaître de la cabine. De son côté Sophie est restée un peu avec moi à me caresser le sexe, ce qui, comme d’habitude, me faisait grand effet.
« Tu es vraiment bien membrée pour une salope, mon petit doigt me dit que ta queue va servir dans peu de temps.»
J’avais vraiment l’impression que, malgré son jeune âge, Sophie était une femme dominatrice.
Elle a fini par me quitter, en me laissant dans ma cabine d’essayage.
« Je pars fermer la boutique »
Que devais-je en conclure ? Elle allait fermer le magasin alors que j’étais encore dedans, j’ai entendu le rideau métallique descendre. Ce n’est pas grave me disait je, vais sortir par derrière la sortie du personnel, quand Sophie est revenue à ma grande surprise elle était encore accompagnée mais ce coup-ci d’une autre personne du magasin. Je te présente Christiane, c’est la patronne du magasin, c’est elle qui m’a fait rentrer dans la boîte car c’est une vieille amie de ma mère. Christiane tout comme Muriel était une très jolie femme mais je pense qu’elle devait avoir quelques années de plus.
« Je viens de raconter ce que tu venais de faire à notre cliente Muriel, je lui ai surtout parlé de la taille de ton sexe, ce qui lui a fait très envie.»
Pendant que Sophie me parlait, elle avait soulevé ma robe et sortie mon sexe pour que Christiane puisse voir mon attirail hors du commun, surtout dissimulé sous une robe.
Quand Christiane a vu mon sexe, elle n’a pu se retenir de sourire, mais surtout de s’en approcher, pour le saisir et le caresser. Sa main était douce et chaude, ce premier contact m’a fait beaucoup d’effet, sans vraiment me demander mon avis elle s’est mise à m’embrasser et surtout commencer à me masturber le sexe. Pendant que nous étions en train d’échanger ce baiser gourmand, Sophie s’est chargée de débarrasser Christiane de son chemisier et de sa jupe. Maintenant la maîtresse de l’événement était en train de masser le minou de Christiane à travers sa culotte. Bien évidemment, Sophie n’a pas pu se retenir de me donner ses doigts, tout humecter de cyprine, à sucer. Maintenant Sophie avait saisi mon sexe pour venir caresser la culotte tout humide de Christiane, d’excitation, je donnais déjà des coups de reins. Pour régler le problème d’accessibilité, Sophie a retiré la culotte de sa chef, et quelques instants après l’employée était en train de caresser le sexe de sa chef avec mon dard. Si je m’étais écouté, je l’aurais pénétrée sur-le-champ, mais ce n’était pas dans les projets de Sophie pour l’instant.
« Allez ma petite pédale, viens brouter le minou de ma chef, avant que tu ne la pénètres.»
Voilà comment j’ai quitté la bouche gourmande de Christiane, pour aller me retrouver entre ses jambes, même si j’adorais le goût de sa bouche, il n’y avait pas photo, j’avais une nette préférence pour sa cyprine. Je me suis senti un peu humilié, quand Sophie a saisi ma tête pour l’écraser partout sur la moule de ma future partenaire sexuelle. J’avais maintenant le visage complètement barbouillé du nectar intime Christiane, tout en sachant que j’avais déjà eu une première couche venant de Muriel. J’espère que ces sécrétions étaient bonnes pour le visage, et que cela allait me donner un bon teint.
« Ca y est, je suis prête ma petite pédale, viens me prendre, je ne demande que ça.»
Vu comment j’étais chaud, je peux vous garantir que je ne me suis pas fait prier. J’ai plaqué Christiane contre la paroi de la cabine d’essayage et à ma grande surprise, c’est Sophie qui s’est chargée de saisir mon sexe pour pénétrer sa patronne.
La pointe de mon sexe était contre le vagin de Christiane, et je l’ai pénétrée en un coup de reins. Très rapidement, ma partenaire, dont le dos adhérait à la cloison, s’est accrochée à moi avec ses jambes autour de ma taille, ce qui lui a écarté les jambes et facilité mon accès en elle. Ses bras étaient autour de mon cou et maintenant je commençais à aller et venir en elle. Christiane avait l’air de beaucoup aimer la position et elle s’était remise à m’embrasser avec gourmandise et passion désormais. Au fur et à mesure, à chaque fois que je la pénétrais, j’y allais de plus en plus fort et manifestement cela lui faisait de plus en plus d’effet. Sophie faisait tout pour ne pas se sentir inutile, et pour cela, elle excitait la pointe des seins de sa patronne, tout en me caressant la raie des fesses. La vendeuse était consciente qu’elle nous chauffait toujours un peu plus, Christiane soupirait de plaisir, tandis que moi je contractais mes fesses à chaque passage des doigts de Sophie. Dans une telle situation, je ne savais vraiment plus si je préférais me faire prendre par-derrière, ou prendre une femme.
Sentir mon sexe coulisser dans le vagin, étroit et bien lubrifié, de ma partenaire, me faisait penser qu’il n’y avait pas photo ; je préférais honorer une femme plutôt que de me faire honorer par un homme. L’inconvénient, c’est qu’il n’était pas évident de trouver des femmes qui aiment se faire prendre par un homme habillé en femme. J’étais assez fier, car j’avais un sexe de belle taille et bien rigide, qui manifestement plaisait bien aux femmes. Maintenant Christiane était en train de me mordre les lèvres et elle ne rigolait pas, j’étais limite à avoir mal. De son côté, Sophie ne faisait plus que me caresser la raie des fesses, mais elle était en train de se faufiler dans cette dernière. La conjugaison de la pénétration de Christiane et des caresses culières de Sophie faisait que je savais que je n’allais pas tenir longtemps avant de partir au plus profond de ma partenaire. Je comprenais maintenant pourquoi Sophie avait retiré le chemisier de Christiane, c’était pour que le dos de cette dernière accroche sur la cloison de la cabine d’essayage, car si ma partenaire avait été habillée je pense que cela aurait glissé.
Maintenant Christiane était en train de commencer à jouir, vu que j’étais aux premières loges, elle m’a littéralement cassé les oreilles avec les cris qu’elle s’est mise à pousser. Le plus dur, lors de sa jouissance, fut qu’elle se mit à me griffer le dos, et je peux vous garantir qu’elle avait les ongles acérés, de véritables griffes. Par-dessus ça, elle qui était accrochée à ma taille avec ses jambes, elle était en train de me broyer les côtes en me faisant une clé avec ses jambes. Contrairement à la jouissance de Muriel tout à l’heure, Sophie ne s’est pas chargée de faire taire ma partenaire en l’embrassant. Ce n’est pas pour cela que Sophie restait inactive, elle continuait à titiller la poitrine de Christiane qui criait toujours plus fort. En même temps vu l’heure avancée qu’il était, je pense que personne ne pouvait entendre la jouissance sonore de ma partenaire. Je continuais à donner de puissants coups de reins, bien au fond de Christiane, j’étais en train de me vider mon stock de sperme pour les années à venir. Il n’y a pas à dire ma partenaire était vraiment un bon coup.
Finalement elle a réussi à se calmer, c’est mon dos qui a beaucoup apprécié, elle est redevenue douce et câline en embrassant avec grande gourmandise. Elle aussi avait l’air d’être satisfaite de ma tenue toute douce et fort peu virile, la patronne du magasin en plus de m’embrasser, était maintenant en train de me caresser le corps à travers mes fines textures. De son côté Sophie était en train de nous caresser les cheveux et nous faire des bisous sur les joues, finalement quelque part, c’est elle qui avait tenu la chandelle. Quand les deux femmes ont réalisé l’heure qu’il était, elles ont décidé qu’il fallait que nous partions. Maintenant que nos pulsions sexuelles étaient un peu calmées, j’ai pu admirer le corps de Christiane qui était vraiment magnifique et encore plus pour son âge. Je peux vous garantir que dans la cabine, cela sentait bon le sexe, le sexe d’homme, mais surtout le sexe de femmes désireuses. Décidément il m’arrivait de belles aventures dans les cabines d’essayage, en même temps cela n’était pas pour me déplaire.
Sans vraiment de pudeur, Christiane s’est rhabillée devant moi, je fis de même elle s’est même chargée de me redonner une petite touche de féminité. En même temps, vu le contexte, il y avait du boulot d’autant que j’avais toujours une grosse érection difficilement dissimulable. Pour compenser le fait que je n’ai pas de perruque, Christiane m’a offert un superbe foulard. J’ai eu le droit, comme souvenir, à leurs culottes souillées et odorantes, que je me suis empressé de dissimuler sous ma robe.
« Tu as un visage androgyne, cela ne se verra pas dans la rue. Fais juste attention de ne pas traîner dans les quartiers mal famés. Veux-tu venir passer la nuit à la maison. «
J’avais bien compris, Christiane voulait m’inviter à dormir chez elle, alors que je ne la connaissais pas une heure auparavant. Bien évidemment, en y mettant les formes, j’ai décliné son invitation, même si elle était un peu tentante. Sophie s’est chargée d’éteindre les lumières du magasin sur le tableau électrique, pendant que Christiane et moi nous rapprochions de la sortie de service. Une fois dehors, toutes les trois nous nous sommes embrassées, avant de chacune partir de notre côté, moi à pieds avec des talons et les deux femmes en voiture. Maintenant il allait falloir que je rentre à pied à la maison où Coralie m’attendait, le seul hic c’est que j’étais habillé en femme pour le parcours.
J’espère que ce sixième chapitre vous aura plu, je me dépêche de finir le septième, car en fait j’ai coupé l’histoire car elle était trop longue, je suis très inspiré.
Bisous à vous