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Astrid et Julia – Chapitre 19

Astrid et Julia - Chapitre 19



Dernièrement, j’ai fait connaissance avec notre voisin le plus proche, un homme de soixante-seize ans, Patrick. Très sympathique au demeurant – il avait accepté de prendre pour nous, alors que nous étions absents, un colis de La Poste. Il a perdu sa femme il y a deux ans et la solitude le pèse. Pour le remercier, je l’ai invité prendre l’apéro. J’ai ma petite idée dernière la tête.

Pour l’occasion, mes deux femmes se sont habillées et maquillées avec classe, rien de provoquant dans leur allure. Des robes courtes avec des décolletés raisonnables, mais qui leur donnent un aspect plus qu’attirant.

Elles accueillent notre hôte avec chaleur. On voit simplement dans son regard qu’il est surpris par leur grande beauté et leur similitude. Lui-même est d’une grande prestance, ne faisant manifestement pas son âge, il est vêtu d’un pantalon blanc et d’un polo bleu qui lui confèrent un aspect très moderne.

Nous papotons autour d’une coupe de Champagne. Il nous apprend que sa femme est décédée d’un cancer saleté de crabe il y a juste deux ans. Ils n’ont pas eu d’enfants. Mariés trop tard, sa femme, malgré de nombreuses tentatives, n’a pas réussi à lui donner ce bonheur. Il nous pose des questions sur notre vie à tous les trois. Nous lui répondons franchement. Il nous regarde d’un air surpris :

Vous voulez dire que vous êtes la mère et la fille et qu’Hervé est votre amant à toutes les deux ?

Oui lui répond Julia, on est même ses soumises. On fait tout ce qu’il nous demande de faire et on obéit.

Vous n’avez quand même pas des relations incestueuses ?

Si ! Pourquoi, ça te gène, reprend Astrid. J’aime ma fille au-delà de l’amour filial que je lui porte et elle me rend la pareille.

Non, ce n’est pas ça, mais c’est inhabituel pour moi. Jamais je n’ai vécu une telle situation.

Il y a combien de temps que tu n’as pas fait l’amour ? demande abruptement Julia.

Il rougit, hoquette ; surpris par la tournure sexuelle que prenait la conversation ; et dit : « une dizaine d’années, depuis la révélation du cancer de ma femme et l’ablation d’un de ses seins. Elle n’a plus voulu que je la touche, disant qu’elle n’était plus une femme.

Mais depuis, tu te masturbes non, ou tu vas voir des prostituées ?

Au début, j’ai essayé, mais je n’arrivais pas à finir et puis le temps a passé et je ne bande même plus. Ma libido est à zéro. Les escortes girls c’est pas mon truc.

Je fais un signe à Astrid qui comprend ce que je veux. Elle se lève et vient s’asseoir à côté de Patrick.

Tu es bien tombé avec nous. Tu vas voir, on va te rendre heureux à nouveau.

Elle se penche vers lui et pose ses lèvres sur les siennes. Elle force sa bouche avec sa langue. Il répond dans un premier temps timidement, puis s’enhardit en partant à la découverte de son corps. Ses mains empaument ses seins et font rouler ses tétons.

C’est le moment que choisit Julia pour venir les rejoindre. Elle se met à genoux, débraguette notre hôte et sort de sa gangue un petit spaghetti. Elle essaye de le faire bander en le suçotant et massant ses couilles, mais rien n’y fait, il ne se passe rien.

Vous voyez, je vous l’avais dit, je suis impuissant dit-il en pleurant. Pourtant vous êtes deux femmes magnifiques qui s’offrent à moi et je ne suis même pas capable de vous honorer.

Ce n’est pas grave, ne pleure pas, rétorque Astrid. Tu vas y arriver. Tu as essayé de prendre du Viagra ou du Cialis ?

Non, jusqu’à présent, je n’en voyais pas l’utilité.

Le Cialis c’est mieux, car l’effet dure plusieurs jours, dis-je en prenant la parole.

J’ouvre un tiroir de la commode à côté de moi et je prends un comprimé de vingt milligrammes que je lui tends.

Avale ça avec un peu d’eau. Il faut une bonne demi-heure pour que ça fasse effet. Pour te mettre à l’aise, on va tous dans la chambre.

Mes deux femmes se collent, nues contre lui et l’encadrent dans le lit. Elles l’ont déshabillé. Il est sur le dos désormais. Il va avoir le droit à une longue séance de caresses pour le décontracter. A aucun moment, elles ne vont toucher son sexe. Il va leur rendre la pareille, mais lui va être plus intrusif. Ses doigts vont explorer leur chatte et leur petit trou. Il va être même plus directif en leur demandant de se gougnotter devant lui.

Le Cialis commence à faire son effet. Julia s’en aperçoit et embouche son vit doucement et en entier. Elle n’a aucun mal, car il est petit. Elle a alors la surprise de le sentir grossir entre ses lèvres pour prendre des proportions agréables. Il est surpris de l’effet qu’elle lui procure. Il y a bien longtemps qu’il n’a pas été sucé comme ça. C’est lui qui accentue le mouvement pour pratiquer une irrumation profonde. Sa femme n’en était pas fan. Elle préférait être donneuse que receveuse. Julia a compris, elle se laisse faire et l’accepte au fond de sa gorge. Astrid n’est pas en reste, elle vient s’asseoir sur le visage de Patrick qui lui lèche la chatte avec avidité et la fait gémir.

Son sexe est désormais bien dur, jamais il ne l’avait été comme ça. Il est aux anges. Il a très envie de la petite, cette petite garce qui le fait bander. Elle le chevauche alors et s’empale sur lui. C’est trop fort, son antre est brûlant, l’absence de jouissance depuis plus de dix ans fait qu’il ne peut se retenir et éjacule dans son con baveux.

Alors tu vois, lui dit Julia, tu y es arrivé. Par contre, si tu veux qu’on continue avec toi, il va falloir améliorer ton hygiène ; tu sentais la pisse et la bite mal lavée ; et surtout ne pas éjaculer trop vite, j’aurais bien joui moi aussi si tu m’en avais laissé le temps.

Oui, tu as raison sur tous les points, mais je ne pensais pas faire l’amour avec toi ce soir. Une petite jeune comme toi, c’est inespéré. Ça ne t’a pas trop dégoûtée que je sois sale ? Tu n’as rien dit quand je te coïtais la bouche.

Non, Hervé nous a habituées à supporter ce genre d’inconvénient. Mais si on décide de te faire venir régulièrement, il faudra changer. Bon, ce n’est pas tout, mais je sens que maman voudrait t’essayer. Elle a eu l’air d’apprécier le travail de ta langue. J’ai l’impression que le Cialis te réussit, tu bandes à nouveau. Tu as déjà enculé une femme ?

Non, mon épouse n’a jamais voulu. Elle pensait que c’était réservé aux pédés.

Pourtant c’est le summum de la domination pour une femme que d’être sodomisée. Ma mère et moi, on adore ça se faire défoncer le fion. Tu veux essayer avec elle ?

Oui, je veux bien.

Maman ! Tu veux bien te mettre à quatre pattes ! Bien, commence déjà par bien lui lécher la rondelle, tu mets deux doigts dans son cul et tu forces. Ne t’inquiète pas, elle adore. Je vois que tu bandes dur. Tu peux maintenant t’introduire en elle. Ça va ?

Oui c’est bon, c’est incroyable comme je suis dur. Quelle soirée !

Voilà, tu es complètement dans son rectum. Tu vas pouvoir la déglinguer. Allez ! Vas-y !

Il va alors pendant de longues minutes travailler son trou de balle. Astrid hurle son plaisir sous ses actions. C’était sans compter sur Julia qui se glisse sous eux et lèche la chatte de sa mère qui l’inonde de sa mouille. Elle lance un ordre à Patrick :

Viens alternativement dans ma bouche et dans le croupion de maman.

Mais c’est sale !

Je ne te demande pas ton avis. Fais-le !

Patrick est aux anges. Non seulement sa libido est repartie, mais en plus, à son âge, il a à sa disposition deux femmes splendides qui acceptent tout de lui. Il ne sait plus avec qui finir : la gorge de Julia ou le fondement d’Astrid ? Quelle chance il a de les avoir pour voisines. Il s’aperçoit en plus qu’il est résistant. Ce qui l’achève, c’est quand je viens me mêler au spectacle et que j’irrume Astrid. Il pousse alors un cri et inonde la gorge de ma jeune adolescente qui l’avait à ce moment en bouche.

Nous nous écroulons tous dans le lit. Cette nuit va être un feu d’artifice pour Patrick, il va faire reluire mes compagnes une bonne partie de la nuit et les mener plusieurs fois au septième ciel. Il repart au petit matin tout guilleret, les laissant satisfaites et repues de sexe.

On apprendra de lui que, quelques jours plus tard, il s’est enhardi et a dragué ouvertement la pharmacienne du village, âgée de quarante-huit ans et divorcée. Le soir même, elle était dans son lit ; elle n’attendait que ça. Il l’a d’abord gamahuchée de longues minutes avant de la prendre en levrette dans la cuisine. C’est elle qui lui fournit le Cialis. Elle dit de lui que c’est un excellent amant et qu’elle voudrait désormais vivre avec lui. Elle a été très étonnée de sa douceur quand pour la première fois, il a pris son cul. Jamais elle n’avait été sodomisée. Normal, il a eu de bonnes professeures !

C’est lui qui nous a raconté cette suite. On en a parlé longuement. Il ne désespère pas qu’un jour il puisse nous l’amener dans notre lit. Nous attendons ça avec impatience, car elle est plus que mignonne et, d’après lui, a un corps magnifique avec de très beaux seins. Je rêve déjà de pouvoir faire coulisser ma bite entre eux.

Les jours passent, je vis heureux avec mes femmes. C’est bientôt l’anniversaire de Julia. Elle va avoir vingt ans. Deux ans déjà que j’ai fait sa connaissance. C’est une bonne soumise perverse qui sait très bien satisfaire les hommes ou les femmes qui passent entre ses mains. Avec Astrid, sa mère, on a concocté une soirée exclusivement pour elle. Ce sera une surprise. Quand elle nous interroge, elle se doute bien qu’elle sera orientée cul, mais elle n’a aucune idée du cadeau qu’on va lui faire.

En attendant, on l’a mise au régime « sans sexe ». Pendant une semaine, elle n’a même pas eu le droit de se masturber. Nous faisions l’amour devant elle et je faisais monter aux rideaux sa mère. Elle me suppliait de la prendre ou demandait à sa mère de la gamahucher, mais aucun ne répondait à ses demandes. Pourtant, quand je la voyais transpirer et que sa chatte suintait, je n’avais qu’une envie, la transpercer pour qu’elle atteigne le nirvana comme sa mère.

Le jour arrive, mon achat a été livré et je l’ai installé sur une estrade sous une bâche dans la pièce où nous allons recevoir nos amis, des libertins comme nous. Il y aura bien sûr Marc et Julien, leurs compagnes Sophie et Chloé, Sabine la copine de fac de Julia récemment pervertie, Patrick et sa nouvelle compagne, la pharmacienne, Caroline, qu’il a convaincue de nous rejoindre dans des soirées débridées quelle bombe cette femme elle a toujours le feu aux fesses ; elle m’a d’ailleurs demandé de la baiser en solo dans sa pharmacie, Patrick n’étant pas au courant.

D’autres couples qui ont jalonné notre vie et deux « hardeurs », Jo et Max, aux sexes disproportionnés, recommandés par Maître Hubert.

Julia pour l’occasion est habillée ; si l’on peut dire ; d’une mini-jupette ras la moule qui laisse apparaître un string ficelle dont on se demande à quoi il sert et d’une minuscule redresse-seins. Elle est perchée sur des souliers à semelle compensée. C’est incroyable ce qu’elle peut être excitante dans cette tenue.

Sa mère, qui accueille au fur et à mesure les invités, n’est pas en reste. Elle a choisi de ne pas mettre de sous-vêtements. Elle est vêtue d’une simple robe rouge sans manches dont le décolleté plongeant arrive jusqu’au nombril révélant à moitié ses deux globes magnifiques desquels émergent deux tétons turgescents. L’échancrure dans son dos révèle la raie de ses fesses. Comme toujours, elle est sublime. Elle est pieds nus.

Un buffet somptueux a été préparé. Il est en self-service. Je n’ai pas voulu que des extra s’en mêlent. Les invités s’y dirigent dès leur arrivée. L’alcool coule à flots et la plupart commencent à être sérieusement pompettes. Il est temps de démarrer la soirée.

Je monte sur l’estrade, prends un micro et m’adresse aux gens présents :

Ma chère Julia ou plutôt, mon amour, c’est aujourd’hui ton anniversaire, tu viens d’avoir vingt ans. Nous avons voulu, ta mère et moi que ce soit pour toi un jour inoubliable. Nous te faisons deux cadeaux. L’un ne le sera que si tu acceptes, l’autre, nos invités pourront en profiter. Viens me rejoindre s’il te plaît.

A ces mots, Julia monte sur le podium. Je lui prends la main et je lui dis :

Il y a maintenant près de deux ans que nous nous sommes rencontrés, depuis, nous sommes devenus tous les trois, avec ta mère, des complices dans la débauche. Je vous aime toutes les deux et je n’ai jamais voulu défavoriser l’une d’entre vous. Nous en avons discuté longuement ta mère et moi, nous sommes tombés d’accord. Il est temps de franchir une nouvelle étape. Nous voulons un bébé et il n’y a que toi qui peux nous le donner.

Je regarde Julia, elle est interloquée, un long silence s’établit dans la salle. Avant qu’elle puisse réagir, je poursuis :

Nous voulons et nous espérons, toi aussi, qu’il naisse dans la légalité. C’est pourquoi, solennellement, devant toute cette assistance, je te demande ; je me mets à genoux en prononçant les derniers mots ; Julia, veux-tu m’épouser ?

Julia se met alors à pleurer et dit :

Oh, Hervé, maman, je ne m’y attendais pas, mais c’est le plus beau cadeau d’anniversaire que vous puissiez me faire : un mariage et un futur bébé. Toi maman surtout, car tu fais preuve de beaucoup d’abnégation en acceptant cela.

Astrid lui coupe un instant la parole et dit en riant : « Je ne me retire pas, nous continuerons à vivre ensemble, dans le même lit ! Je ne tiens pas à abandonner Hervé. C’est un trop bon amant. »

L’assistance éclate de rire. Julia poursuit :

Dans ces conditions, Hervé mon amour, ma réponse est OUI, OUI, OUI, je veux être ta femme et vous donner un enfant à tous les deux et je vais te le prouver.

La salle applaudit à tout rompre. Elle se met alors à genoux, baisse mon pantalon et mon slip et, oh stupeur découvre, coincé entre mon pubis et mon sexe dressé, un petit sac en plastique dans lequel se trouve une bague de fiançailles, un solitaire aux milles facettes. Elle passe le bijou à son annulaire gauche, puis des deux mains branle mon vit. On peut voir le brillant monter et descendre le long de celui-ci. Elle embouche alors ma bite et, après quelques aller et retour, me fait juter sur sa langue et sur son visage. Elle lève alors la tête, me regarde dans les yeux et me dit :

Je suis à toi pour toujours mon amour.

Sa mère la rejoint et nous nous étreignons tous les trois. La soirée démarre bien. Je suis aux anges. Reste à montrer le deuxième cadeau à ma promise. J’ai préparé mon discours en ces termes.

Ma chérie, à partir de demain, tu ne vas plus prendre la pilule. Jusqu’à ta fécondation, tu ne pourras plus faire l’amour avec un autre homme que moi. Je tiens à être le père de notre enfant dis-je en riant. Aussi, pour ta dernière soirée de débauche, regarde le cadeau que nous t’avons fait.

Je tire alors sur la bâche et je découvre une magnifique machine à baiser et à traire.

Oh comme elle est belle ! dit Julia. Je vais pouvoir l’essayer tout de suite ?

Oui, tu veux qu’on t’installe dessus ?

Oh oui et tu choisis les plus gros olisbos pour mon petit cul et ma chatounette.

Je fais un signe à Julien et on l’installe à plat ventre sur ce qui ressemble à un banc de musculation. A une extrémité, un gros moteur avec un bras ressemblant à une bielle de locomotive à vapeur, de l’autre deux ventouses au bout de deux tuyaux vont rejoindre un engin d’aspiration, semble-t-il, placé sous le banc. Sa tête est redressée par une mentonnière.

Julien ajuste les deux ventouses sur les seins de Julia et met en route la pompe. De mon côté, j’équipe la bielle de deux godemichets annelés : un énorme pour sa chatte, un autre, plus petit pour son cul. Je les fais pénétrer dans ses trous et j’appuie sur le bouton de mise en route. Les machines commencent à faire leur effet. Ses mamelles sont aspirées et viennent remplir les deux organes de succion. Elle gémit et commence à jouir d’autant que les deux dildos effectuent leur travail inexorable, sans faillir.

Je m’adresse alors aux spectateurs et je leur dis que la bouche de ma fiancée est à leur disposition pour qu’ils puissent la coïter à leur gré. C’est alors la queue ; drôle d’euphémisme ; pour s’introduire à loisir au fond de sa gorge. Pour elle, les orgasmes s’enchaînent d’autant que j’ai mis la machine à la vitesse maximum. Elle dégorge maintenant de sperme. Maître Hubert, présent, demande qu’on fouette son dos et ses fesses. Ce qui est fait immédiatement. Ça accroît encore son plaisir.

Ceux qui ne sont pas occupés avec Julia se rabattent sur Astrid et peuvent profiter de l’entièreté de son corps. Ils ne s’en privent pas, les femmes plus particulièrement. C’est d’ailleurs en soixante-neuf qu’elles se mettent pour se gougnotter pour le plus grand bonheur des hommes qui peuvent avoir le choix des trous qu’ils vont envahir. Point de dilemme pour la plupart d’entre eux qui alterneront entre cul, chatte et bouche avant de laisser la place à d’autres.

Cela fait plus d’une heure que Julia a été placée sur la machine à traire et à baiser. Il est temps de passer au clou du spectacle.

Elle est placée sur un matelas posé à même sur le sol. Les deux hardeurs, Jo et Max, font alors leur entrée. Une rumeur d’effroi traverse la salle à la vue de leur sexe à demi-bandé. Je n’ai aucune crainte, car elle en a vu d’autres ; rappelez-vous avec le nain. Max va d’abord l’enconner pendant que Jo se fait sucer. Il va alors se mettre sur le dos pour que son acolyte puisse l’enculer. La double pénétration commence alors. Julia crie de douleur sous leurs assauts multiples, mais son cul surtout finit par s’habituer à la pénétration hors normes. Ses orifices sont très bien dilatés. Elle relève la tête et hurle :

Viens, mon chéri, c’est le moment ! Je veux que tu me prennes en triple. Choisis le trou que tu veux, je suis prête.

Les deux compères connaissent leur affaire, c’est la routine dans le monde du porno hard. Jo redresse ses jambes et s’avance sur le dos de ma compagne, bien en avant. On voit désormais les deux bites visibles qui remplissent la foufoune et l’anus de ma compagne. Je prends une bombe de lubrifiant et j’asperge ma queue d’abord puis son rectum ; c’est là que j’ai choisi d’aller. Je tente une première pénétration, puis une seconde : échec. Je me présente un peu plus sur le côté. Un cri de Julia, j’y suis.

De la voir ainsi triplement prise booste mon énergie. Peu de place pour bouger, mais je vais jouir en quelques secondes dans son fondement. Elle le sent et manifeste sa joie :

Oh, mon chéri, tu m’as inondée de ta semence. Je suis heureuse de t’avoir accordé ce privilège. Je n’ai pas fini, mais c’est sans importance.

Les deux hardeurs vont alors sortir d’elle et éjaculer sur son visage. Elle avale tout.

La soirée va alors continuer et se transformer en une vaste orgie jusqu’au petit matin. Le Cialis et le Viagra vont faire en sorte que chaque homme pourra faire l’amour à une femme différente sans aucune défaillance. Pour ma part, je ne me suis pas privé de me faire faire une cravate de notaire par Caroline la pharmacienne ; j’ai éjaculé sur ses seins somptueux ; et de craquer pour la première fois le cul de Sabine, la copine de fac de Julia. Je l’ai tellement défoncée qu’elle ne va pas pouvoir s’asseoir pendant plusieurs jours. En fait, c’est ce que j’ai cru, car je l’ai surprise une heure plus tard en pleine sodomisation par Max le hardeur… Elle avait l’air d’aimer ça !

Peu à peu, nos invités s’en vont. Ils nous félicitent tous pour cette soirée réussie. Astrid va se coucher et me laisse seul avec Julia. Nous sommes nus tous les deux. On se serre dans les bras l’un de l’autre. On se dit des mots d’amour, Julia est tellement heureuse de ma demande en mariage avec l’accord de sa mère. Je lui dis que je veux vraiment un enfant d’elle, que c’est mon désir le plus profond. Elle éclate en sanglots et me promet que ce sera le plus beau bébé du monde.

EPILOGUE :

Nous nous sommes mariés à la mairie huit mois plus tard. Julia était enceinte de cinq mois. La réception a été à l’image de notre vie de débauche, débridée. D’autant que le fantasme de beaucoup d’hommes et de femmes a été assouvi : faire l’amour à une femme enceinte.

Nous vivons toujours tous les quatre ensemble : Astrid ; heureuse grand-mère ; Julia, notre fille : Lucie ; l’enfant de l’amour ; et moi.

Ma vie sexuelle n’a pas changé et reste toujours partagée de manière identique entre mes deux femmes. Je suis, paraît-il, un très bon père. Elles me le rendent bien et sont toujours aussi amoureuses de moi, sans qu’aucune jalousie n’apparaisse de la part de l’une ou l’autre.

Le bonheur quoi !

FIN

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