Le temps était bon malgré un vent à décorner les bufs, et javais revêtu une jupe, un chemisier et une veste. Lorsque nous sommes arrivés sur lesplanade, le vent se mit à souffler et les nuages commencèrent à pointer le bout de leur nez. La météo lavait prédit, quun coup de tabac sannonçait, peut être même de lorage. Le temps se dégradait au fil des minutes, et les touristes se faisaient plus rares. Nous descendions sur un ponton où une flottille de bateaux était amarrée, et désirant comme tous estivants immortaliser le lieu, mon mari me demanda daller au bout de lestrade de bois pour prendre une photo. Sitôt que je méloignais de lui, une rafale de vent vint retrousser ma jupe et dévoiler mes fesses que la ficelle de son string ne pouvait occulter à son regard. La bourrasque me fouettant les cuisses je ne men aperçut pas. Ce nest que lorsque des quolibets fusèrent depuis une goélette et que je me retournais vers deux hommes qui se rinçaient lil du spectacle doù je compris la situation. Cette scène de me voir ainsi exhibée, lexcita et que dautres profitent de mes charmes le ravissait, et il se mit à me photographier. Plutôt que plaquer ma jupe contre mes cuisses, je laissais les rafales de vent disposer de ma tenue. Je mamusais de la situation, tant pour le regard de mon mari quà celui des marins.
— Venez boire un verre avec nous ! Lança lun deux.
— Tas un des plus beaux culs que jai jamais vu ! Tu ne portes pas de culotte ? Hurla lautre.
— Désolée, je suis avec mon mari, et encore désolée pour vous, je porte une culotte ! Répondis-je.
— Il nest pas partageur ?
— Il faudrait le lui demander ! Je mapprochais de la goélette laissant ma jupe flotter au gré du
vent et découvrir mes cuisses et le petit triangle blanc de mon string. Greg était resté à quelques dix mètres de nous, spectateur de la scène, nintervenant pas. Il continua de me prendre en photos.
_ Allez ! Monte cinq minutes pour discuter un peu !
Jacceptais en faisant un signe à Greg de me rejoindre. Les deux hommes nous invitèrent dans la cabine plutôt que de souffrir des rafales de vent sur le pont. Lun se nommait Mickael et était un bel homme dune trentaine dannées, tandis que le second, Charles, malgré ses presque soixante dix ans paraissait avoir encore de beaux restes. Je masseyais sur une banquette avec à mes côtés nos deux hôtes, alors que mon mari prenait place face à nous dans un fauteuil.
— Vous avez une très jolie femme, qui grâce au temps sait montrer ses atouts ! Dit Charles,
tandis que Mickael nous préparait un grog.
— Merci pour le compliment, répondit Greg, et jai remarqué que vous les aviez appréciés.
— Malheureusement quune toute petite partie, rétorqua Charles, et en vous invitant à venir
boire un verre, jespérais bien en découvrir dautres. Mais jai posé la question à Madame tout à lheure, peut être nêtes vous pas partageur ? Tout en interrogeant mon mari, son regard se posa sur ma poitrine puis sur mes cuisses que ma jupe découvrait dans ses moitiés.
— Je partage déjà, puisque tout à lheure vous lui avez reluqué ses fesses, non ?
— Ne dites pas que vous avez acceptez notre invitation que pour boire un grog, lança Mickael
qui préparait les boissons. Et toi, minterrogea-t-il, pourquoi tas dit à ton mari de venir, tavais envie de quoi ? Dun mec comme moi, ou dun vieux ?
Tout en fixant du regard mon mari pour connaître sa réaction, Charles posa sa main droite sur mon genou, elle glissa sur ma cuisse, la découvrant un peu plus en retroussant ma jupe. La seule réaction de Greg fut de se caler de tout son aise dans son fauteuil pour me regarder me fourrager par ce vieux de soixante dix ans !
— Ton mari à lair daimer le spectacle, me dit-il dun sourire vicieux, et toi aussi tas lair
daimer ça hein ? Tu jouais la petite bourgeoise tout à lheure sur le quai, mais taime bien aussi quon soccupe de ton cul, non ?
Je ne répondais pas, un peu à lécoute de la réaction de mon mari, mais la seule quil eut, fut un sourire de complaisance à légard du vieux qui poursuivit sa caresse.
— Voilà un homme civilisé et courtois, lança Mickael qui sassit à ses côtés en posant les grogs
sur la table basse. Puis nous bûmes nos verres, où il devait y avoir plus de rhum que deau dans la boisson. Nous discutions de nos vacances, du bassin dArcachon Alors que les doigts de Charles sétaient glissés sous mon string, après avoir retroussé ostensiblement ma jupe sur mon ventre. Comme pour provoquer mon mari, il dévoila mon sexe à leurs regards en écartant le peu de tissu qui le cachait. Presque viscéralement je laissais mes cuisses sentre ouvrir, pour facilité les doigts sillonner mes lèvres qui sattardaient de temps à autre pour agacer mon clitoris, qui sous lexcitation, qui sortit de son capuchon de chair comme un bourgeon. Lalcool faisait déjà son effet, et lorsque je sentis les phalanges sinsinuer dans ma vulve, je mentendis geindre.
— Une vraie petite fille, dit Charles, avec son sexe lisse, mais une vraie femme qui mouille bien !
— Une vraie salope ! Rétorqua Mickael, si tu permets, en sadressant à Greg,
— Pourquoi déguiser les mots ? Dit Greg en finissant son verre.
Mickael resservit une seconde tournée. Charles abandonna mon entre cuisses pour porter ses doigts maculés de ma quintessence féminine à ses lèvres, puis il déboutonna entièrement mon chemisier. Sa main glissa sous mon soutien gorge et sur ma poitrine pour décalotter mes seins du sous vêtement. Il se mit à les caresser et les malaxer tour à tour, et se penchant sur mon visage il plaqua sa bouche contre la mienne, forçant mes lèvres de sa langue. Ses doigts pinçaient et vrillaient mes tétons pour les supplicier et les distendre. De sa bouche il aspirait ma langue à men faire mal, nos salives barbouillaient nos visages. Il guida ma main vers sa braguette ouverte, doù jen extirpais une queue rabougrie doù suintait de son méat un liquide à moitié liquoreux.
— Va me sucer ma belle !
Je me mettais à genoux entre ses jambes, et cest avec écurement que je me mis à le masturber en lapant son gland poisseux, alors que courbé sur moi il continua à me presser ma poitrine. Presquhabituée à son odeur repoussante, je pris sa verge dans ma gorge qui enfin prit une raideur plus consistante.
Mickael était venu derrière moi et avait retroussé ma jupe sur mes reins puis ôté mon string. De ses mains il écarta mes fesses pour y plonger son visage. Sa langue se mit à parcourir mes lèvres en remontant lentement vers mon anus, où il sy attardait, essayant de le pénétrer du bout de son appendice. Devant le plaisir quil mapportait, je me cambrais davantage pour mieux moffrir à cette langue qui me fit gémir.
Charles appuyait sur ma nuque pour bien garder en moi sa queue odorante, alors que je vis mon mari, maintenant vautré dans le fauteuil en train de se masturber.
Après mavoir bien léché et enduit mes parties intimes de sa salive, Mickael menfonça lentement lun de ses doigts dans mon anus, voyant que je ne protestais pas, et quau contraire je me cambrais encore, trois de ses doigts vinrent le tarauder. Après avoir longuement amadoué mon illet, il vint se masturber entre mes fesses, appuyant au passage sur son gland qui butait sur ma rosette violacée.
Puis je sentis sa verge glisser dans les chairs de mes intestins jusquà ce que son ventre vienne se plaquer contre mes fesses. Tout en suçant le vieux, je me mis à haleter et gémir.
— Encule-la pour moi Mike, défonce la bien !
Devant le spectacle que joffrais à Charles et la soudaine frénésie de son ami à me sodomiser, je sentis des spasmes parcourir le ventre du vieux. Maintenant cest de ses deux mains quil me retenait par la nuque, quand son sperme vint souiller ma langue et ma gorge. « Avales tout ! » Bougonnait-il.
Son sperme âcre envahit ma bouche par un écoulement lent. Je laissais sa semence sécouler aux commissures de mes lèvres, tandis que Mickael se déchainait à clouer mon anus de manière violente. Sa brutalité à me posséder déclencha en moi un orgasme. Je recrachais la verge devenue molle de Charles pour haleter de toute ma gorge. Il mécrasa mon visage sur son pénis gluant en exhortant son ami : « Défonces-la ! Eclates lui son cul ! ».
Soudain Mickael cessa son va et vient dévastateur pour se raidir plaqué contre mes fesses. En même temps quil poussa un râle guttural je perçus sa semence chaude doucher par saccade mes intestins. Sa jouissance me procura un nouvel orgasme et mon corps fut parcouru de soubresauts incontrôlables. Ce nest que lorsquil se retira dans un chuintement de sussions, où de mon anus béant ruisselait son sperme, que je mavachis sur le canapé, jouissant encore des bien faits sa verge encore raide.
Quelques instants plus tard, pas tout à faite remise de mes émotions, le sperme de mon mari souilla mes fesses, en se mêlant à celui de Mickael qui engluèrent mon entre cuisses.
Nous partîmes aussitôt après. Ils nous demandèrent de revenir pour le lendemain, par politesse nous acceptions, bien que nous ne ny soyons pas rendu.