Le lendemain matin à l’heure de la prière, Angélique a du mal à se concentrer.
Comme le veut la règle, la prière se passe en commun dans la grande salle de réfectoire avant le petit déjeuner. La mère supérieure ouvre la séance avec le « Je vous salue Marie », s’ensuit un moment de silence dédié au recueillement personnel. Puis le signal est donné pour s’assoir et prendre le frugal petit repas. Les novices toutes habillées de blanc sont groupées dans la même rangée. Mère Supérieure « préside » en bout de table. Sur Thérèse est en face d’Angélique légèrement décalée en diagonale. Angélique scrute son regard mais n’arrive pas à l’accrocher.
Elle n’a pas oublié la séance d’hier ? Pense-t-elle. A quel jeu joue t’elle avec la Mère Supérieure ? Suis-je une heureuse élue ? Je suis pourtant certaine que parmi toutes mes Surs, d’autres doivent aussi faire envie et être aussi salopes.
Après le déjeuner, chacune revient dans sa chambre pour se préparer aux divers travaux de la congrégation. En passant devant la chambre de ma voisine, Sur Nadège, je perçois des gémissements significatifs. Inquiète ou plutôt curieuse, je frappe discrètement. Les bruits s’arrêtent et au bout d’un court instant, la porte s’ouvre entre-baillée. Sur Nadège est derrière en chemise de nuit transparente laissant deviner une poitrine on ne peut plus agréable à regarder. Le regard d’Angélique descend au niveau de l’entrejambes où un triangle brun légèrement voilé par la chemise, trahi l’absence de culote. Sur Nadège capte le regard de sa visiteuse et s’excuse de sa tenue.
« Bonjour Sur Angélique, excusez-moi, j’étais en train de m’habiller. Que me vaut votre visite ? »
« Bonjour Sur Nadège, j’ai cru entendre comme des plaintes venant de votre chambre et je me suis inquiétée. »
Les joues de Nadège se mettent à rosir.
« C’est gentil mais non, je vais bien. Voulez-vous entrer un instant, le travail collectif ne commence que dans 45 minutes. Je vais passer ma robe. »
« Ne vous gênez pas pour moi Sur Nadège, je vous trouve très mignonne comme cela. Vous me semblez avoir un très joli corps. Il est si rare que nous puissions laisser voir notre corps depuis que nous avons quitté la vie civile »
Angélique n’était pas dupe des petits gémissements qu’elle avait perçus, c’est pourquoi elle s’était enhardie dans son appréciation.
Les joues de Sur Nadège étaient passées du rose au rouge mais sans se démonter, elle reprit la main.
« Vous avez raison ma Sur, malheureusement je n’ai pas la même chance avec vous. Seule votre jolie frimousse est visible. Je ne puis qu’imaginer, accepteriez-vous de me montrer ? »
Angélique s’approche ostensiblement de Sur Nadège.
« Sur Angélique, j’ai vraiment envie de voir votre corps. Votre poitrine qui tend le haut de votre robe m’attire voulez-vous me faire plaisir ? »
Elevant son scapulaire, Angélique fait glisser lentement sa robe à ses pieds et se retrouve juste habillée de ses bas noirs soutenus par un porte jarretelle, son soutien-gorge assorti d’où émergent deux splendides seins aux tétons dressés sur une aréole brune, pas de culote.
« Vous avez un corps splendide Sur Angélique, si j’osais, je le caresserais »
« Nadège, appelez moi Angélique dans l’intimité et osez, j’ai également envie de vous. »
Les deux corps se touchent et les mains se promènent en peu partout jusqu’à explorer les cavités génitales. Les bouches sont ci près l’une de l’autre que s’ensuit un échange de baisers fougueux où les langues s’entrelacent et lèchent les visages.
« Avoue-le, tu te branlais Nadège quand j’ai perçu les petits gémissements »
« Oui Angélique j’ai souvent envie de jouir et je n’ai que ce moyen mais puisque tu es là c’est toi qui vas me faire jouir. J’ai envie que tu me bouffes la chatte »
« Toi aussi Nadège, tu vas me branler, regarde, tes paroles me font mouiller, entre tes doigts dans ma chatte et donne-les-moi à sucer. J’aime le goût de mon jus »
Après cet épisode, Angélique s’accroupie aux pieds de Nadège et après avoir remonté la chemise de nuit, entreprend de lécher et d’aspirer le clito de sa partenaire.
« Oh oui, c’est bon Angélique ! vas y mets ta langue dans mon con, je sens que je monte, je vais partir. Je pars Ouhaaaaa. Viens sur le lit, je vais te bouffer à mon tour »
Couchées, les deux corps se frottent, les chattes trempées s’unissent. Nadège se dégage pour écarter les cuisses d’Angélique et la faire jouir de ses sucions et aspirations du clito.
Cela ne tarde pas l’orgasme monte et Angélique explose avec un jet de cyprine digne d’un vrai femme fontaine.
Les deux Surs satisfaites, se rhabillent et se quittent sans un mot comme si elles étaient honteuses de ce qui venait d’arriver.
En rentrant dans sa chambre, Angélique décide de ne pas prendre de douche pour garder l’odeur de Nadège et d’enfiler une petite culote pour récupérer le jus qui humecte encore abondamment sa chatte et sa toison.
En ressortant de sa chambre Angélique croise Sur Thérèse les bras chargés de documents.
« Bonjour Sur Angélique. Comment allez-vous ? je vais faire du rangement à la bibliothèque si vous êtes libre et si ça vous dit, vous pouvez venir avec moi »
« Bonjour Sur Thérèse. Je veux bien, j’allais au jardin mais je n’ai rien de bien précis voulez-vous que je vous aide à porter ces livres ? »
« Volontiers, suivez-moi »
Arrivées à la bibliothèque, Sur Thérèse explique à sa Sur ce qu’elle a projeté de faire. Elle veut réorganiser la dernière rangée du haut.
« Angélique, approchez l’échelle de la rangée de A à G et descendez-moi les livres, nous allons les reclasser avec les nouveaux »
Angélique s’exécute et en redescendant une brassée de bouquins, presque au bas de l’échelle, Sur Thérèse s’approche pour les récupérer mais en profite pour passer ses mains sous la robe d’Angélique en caressant ses cuisses jusqu’à sa petite culotte.
« Sur Thérèse, est-ce bien le moment ? »
« A la vue de vos jambes gainées de noir sous votre robe, Angélique j’ai revu notre rencontre d’hier et je constate que vous m’excitez toujours. Mais dites-moi, votre culote est mouillée, je vous fais donc de l’effet. »
Angélique qui n’a pas envie de mentir, ne répond pas et termine sa descente de l’échelle.
« Soyons sages Sur Thérèse, quelqu’un peut venir à tout instant. Nous aurons l’occasion de nous retrouver quand vous le désirerez. »
« Sur Angélique, j’ai fait part de notre entretien à Mère Marie, comme elle me l’avait demandé, sans lui donner de détails mais en lui expliquant vos inquiétudes quant au vécu de votre foi. Elle m’a dit qu’elle allait vous proposer une rencontre pour faire le point. »
« Elle m’a convoqué hier soir après le repas et nous avons discuté très librement. Elle s’est beaucoup intéressée à ma personne »
« Je vois. J’ai des rapports très particulier avec Mère Marie. Vous a-t-elle dit qu’elle vous trouvait jolie ? »
« Oui. Cela vous surprend ? »
« Non car je sais qu’elle apprécie beaucoup les belles et jeunes novices et vous savez que moi aussi je vous ai trouvée très jolie. Je ne serais pas surprise qu’elle essaie de vous séduire »
« C’est fait Sur Thérèse elle a voulu jouir de mon corps comme vous mais moi je n’ai pas pu la toucher. Avec vous c’était partagé et j’en ai un très bon souvenir »
« La salope ! Oh pardon ça m’a échappé »
« Nous somme entre nous Sur Thérèse, je pense aussi que c’est une salope comme nous aussi, mais comme elle m’a dit et comme vous le pensez, il n’est pas bon de contrarier la nature, même si nous la forçons un peu cela ne nous empêche pas de vivre notre foi. »
« Vous m’excitez Sur Angélique. Nous pourrions aller la voir ensemble et voir sa réaction. C’est la mère Supérieure elle a autorité sur nous mais peut être pouvons-nous prendre le dessus dans cet exercice particulier »
« J’accepte mais je vous laisse le soin de conduire l’entretien, ma position de nonne est de rester très soumise. »
« Nous irons la voir ce soir après le dîner »
« OK Sur Thérèse »
« Dans l’intimité vous pouvez m’appeler Thérèse tout simplement mais attention vis-à-vis des autres membres de la congrégation. »
« Merci thérèse »
