Permettez-moi de me présenter dabord, je suis connu sous le pseudonyme Ambrosium,
Il est bien sur évident que je ne confierais ni mon nom, ni celui des personnes impliquées.
Voici donc mon récit qui sest passé il y a plusieurs années.
Chapitre premier.
Le commencement:
Mon école secondaire, une école à concentration artistique, cela vous donne une petite idée de ce à quoi elle ressemble, je la trouve assez laide avec toutes ces peintures bizarres aux murs. Je faisais partie dune classe spéciale pour les adolescents ayant de légers troubles dapprentissage, étant dailleurs le moins atteint de tous, je parle là bien sur des problèmes qui ne sont pas réellement apparent, je nai pas lair dun retardé et je ne souffre que du syndrome dasperger. Pas suffisamment pour me nuire, mais assez pour me gêner dans mes études, expliquer de façon simple, je narrive pas à me concentrer. Jétais le cas limite de la classe, limite car jaurais pu être envoyé en classe ordinaire.
Pour ma présentation physique, je mesure 5 pieds 10 pouces, cheveux châtains, yeux clairs entre brun et vert avec des reflets dorés au soleil, je ne suis pas sportif, disons que je suis dans la moyenne et que même si je ne suis pas le meilleur et physique, je me débrouille bien. Pour ce qui est de la taille de mon engin, il mesure 16 cm de long sur 7 de diamètre.
Notre prof sappelait Judy, de longs cheveux noirs en cascade lui tombent dans le dos, un visage aux traits doux et au charmant sourire et des yeux dun bleu de glace. Elle devait avoir 27 ans à cette époque, une poitrine ferme et qui devait faire dans le C, mais jadmets ne jamais lui en avoir parlé.
Je peux, de mémoire, vous décrire chaque fille attirante de la classe.
Tous dabord, Lucie, style latino avec des cheveux noirs lisses et qui semblait soyeux et léger vu sa façon de les faires bouger. Elle avait une faible poitrine mais un fessier qui compensait largement, rond et ferme. Je crois que tous les garçons de la classe fantasmaient dessus.
Ensuite, Cindy, petite, elle devait faire dans les 5 pieds, svelte, ses cheveux bouclés bruns auxquels elle avait ajouté des mèches blondes qui lui allaient très bien. Faible poitrine mais tout comme Lucie, un fessier de rêve.
Par après, Marilou, charmante brunette à la chevelure épaisse, de ma taille avec de yeux brun noisettes une belle poitrine dans le B, en plus, elle était réellement charmante toujours de bonne humeur.
Pour finir, Lauriane, elle est digne dêtre top modèle, je vous le jure, bon daccord, faible poitrine dans le A, mais elle est flexible à un point incroyable. Et sexy, je crois que son père est italien et sa mère brésilienne ou quelque chose comme ça. Elle est bien bronzée des yeux dun brun profond qui vont avec sa chevelure et un sourire aux dents parfaites.
Voici donc la description des élèves les plus attirantes de ma classe.
Et voici mon histoire.
Jétais le genre délève à toujours être en avance à0 ses cours, je détestais lidée darriver en retard. Javais de très bonnes notes et jaimais bien lécole, mais pas tellement le genre délèves qui sy trouvaient.
Donc, jétais à coté de la porte, attendant que mon prof ouvre la porte et que les cours commence, et bien quil restait une demi-heure avant le début des cours, je profitais généralement de ce temps pour relire mes cahiers de notes et peaufiner mes devoirs.
Jentendis un déclic annonciateur de louverture de la porte et men étonnais, après tout, il restait une demi-heure avant le début du cours.
Judy apparut dans le cadre de la porte et me lance un sourire me dit :
-je pensais bien te trouver là, jaurais besoins daide pour replacer le local, ils viennent dy donner un cours dinformatique et nont rien replacé.
-bien sur, aucun problème.
Jentrais dans la classe, posais mes affaires sur mon bureau et commençais à ranger les ordinateurs, ce qui à deux fut rapidement fait, quoique cela fut à grand regret car le fait que Judy devait se pencher pour déposer les ordinateurs me permettait de voir sa culotte de dentelle bleu, comme je lapprendrais plus tard, le bleu était sa couleur préférée. Ceci fini par provoquer chez moi une érection, si elle la remarqué, elle nen na rien dit mais je crois qu’elle savait vu les regards discret quelle lançait à mon entre-jambe.
Une fois le ménage prêt, je mapprêtais à sortir lorsquelle me retint en disant :
-Jaimerais te parler.
-daccord, fut ma réponse.
Je prenais une chaise et masseyais devant son bureau, le temps quelle-même sassied.
-Écoute, jai remarqué ta réaction tout à lheure. Me dit-elle.
Jétais prêt à me faire gronder.
-je ne vais pas te faire la morale si cest ce qui tinquiète, je veux juste te dire quà ce stade de ladolescence, ta mère pourrait temmener voir un spécialiste pour sassurer que ton développement est normal.
-pourquoi?
-eh bien parce que lorsque que ce genre de chose commence à se produire chez un homme, cest quil commence à être prêt pour la conception, donc certains tests sont nécessaires.
Lorgueil qui mavait envahi lorsquelle avait employé le mot homme sévanouit dun coup, jai horreur des médecins. Toujours à ses fourrer les doigts où il ne faut pas.
-Il ny a pas dautres solutions? Je hais les médecins.
-bien jimagine que ta mère pourrait sen charger.
-ma mère!? Je mourrais de honte. Mécriai-je.
-que tu le veuilles ou non, il sagit de nécessité quil te faudra remplir un jour, préfères tu trop tôt ou trop tard?
-trop tôt, grommelai-je.
— bien, dit-elle.
-mais je refusais de me déshabiller devant ma mère et ne me sortez pas cet argument ridicule «quest-ce que ça change elle ta bien vue nu quand tu étais petit» parce que je vous ferais remarquer que certaines choses ont changé depuis.
-je te le dit, cest ton choix, tôt ou tard.
-mais il doit y avoir une autre façon, dis-je chavirer.
Visiblement touchée par mon état, Judy me dit :
-écoute, je vois que tu narrives pas à te résoudre je peux peut-être te proposer une solution.
-laquelle?
-je pourrais moccuper de ces test moi-même, du moins, la partie physique et une de mes amies est infirmière, il suffirait donc ensuite dun simple prélèvement.
-vous feriez ça pour moi?
-oui mais tu dois me promettre de ne rien raconter à qui que ce soit.
-je vous le promets.
-bon alors suis moi.
La classe dans laquelle nous suivions nos cours est assez petite et dispose dune porte à larrière du bureau du professeur, elle mène à une petite salle de bain disposant dune douche, dun lavabo et miroir. Cest là qu’elle ma emmené. Elle me pousse alors dans la douche et me dit :
— déshabille-toi.
Ce que je fis mais étant pris dune érection, je refusais denlever mes boxer, je peux vous dire que je me sentais bizarre à ce moment là et javais vraiment chaud.
-si tu ne veux pas mécouter, je ne peux pas taider.
Elle se pencha ensuite sur moi et me dit :
-ça taiderais si je me mettais nue aussi?
Jacquiesçais alors en hochant vivement la tête.
Elle commença alors à se déshabiller lentement révélant ses dessous sexy en dentelles bleu qui enfermait ses deux sein et qui cachait sa chatte. Pendant ce temps, jenlevais mon caleçon. Et jobservais le corps dune femme pour la première fois de ma vie. Jétais subjugué par la beauté de ce corps de femme qui éveillait en moi des pulsions animales.
Répondant à mon excitation montante, mon pénis commençait à se dresser de toute sa force pour sexhiber, fier et libre de toutes contraintes.
Judy me fit mallonger dans le bain.
-bon, je vais commencer et tu me diras si tu souffre, daccord?
-ou. Oui,
Jétais tellement stressé que jen avais de la misère à parler et que je tremblais comme une feuille. Remarquant mon état Judy sourit.
-ca va, calme toi, si tu restes calme et que tu te détends, tu auras le droit à une petite surprise.
Je pris alors de grandes inspirations pour me calmer le plus possible, tranquillement, je me calmais.
-bon tu vois, tu es capable, je vais commencer doucement.
Sur ce elle empoigna doucement ma verge dans sa main droite et de sa gauche mes testicules, quelle fit délicatement jouer lune contre lautre, alors quelle commençait doucement à décalotter mon gland et tirant doucement sur la peau.
La sensation de brûlure me fit monter les larmes aux yeux, voyant cela, Judy recueillie un peu de sa salive dans sa main avant de létendre sur mon gland, faisant disparaître cette sensation plus que désagréable. Je baissais la tête pour la regarder inspecter mon pénis avec minutie.
Puis, ayant terminée son inspection, elle me sourit.
-physiquement tout me semble en ordre, tu ne sembles pas avoir de misère avec ton prépuce et il me semble bien que tes testicules sont de tailles égales et de dimensions correctes.
-alors puisque tu es resté calme, je vais te donner ta surprise,
Sur ce, elle commença de lent va et vient sur ma verge, la douleur revint pendant un bref moment pour laisser place à une sensation inconnue du plaisir, comme si celui-ci était ressenti, non pas dans ma tête, mais dans mon membre. Judy continuait ses va et vient, ajoutant encore un peu de sa salive.
Je sentais alors une vive brûlure, provoquée par le plaisir et un liquide chaux et visqueux, dun blanc clair jailli de mon gland pour finir dans sa main.
-alors, me demanda telle, tu as aimé ta surprise?
Sur mes lèvres s’épanouit alors un sourire et dun hochement de tête je le lui confirmais.
-alors si tu veux, je pourrais parfaire un peu ton éducation.
Alors là, javais les oreilles qui commençaient à bourdonner et, chose qui me surpris moi-même, je sentis le sang me monter au visage.
Que répondre?
La suite bientôt, si vous aimez lhistoire
PS : Merci aux membres de ce merveilleux site, et bien sur leur travail qui nous permet de présenter nos histoire