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Au service (pas st secret) de Madame – Chapitre 5

Au service (pas st secret) de Madame - Chapitre 5



— Je peux encore le signer s’il plait à Madame que je le fasse.

— Non, tu n’as pas compris, c’est délibérément que je t’ai fait signé celui-ci. J’ai flashé sur toi.

— Madame veut dire qu’elle a eu le même coup de foudre que son esclave pour Madame ?

— Exactement, ma chérie. Alors voilà, tant que nous sommes que les deux, j’aimerai que tu sois mon amour, plus ma soumise. Sauf si l’envie nous prend, cela va sans dire.

— Mais Madame, je n’ai jamais été autre qu’une servante et maintenant l’esclave de Madame. Une esclave volontaire et non obligée et il me plait de me cantonné dans mon rôle de soumise dévouée.

— Mouais, ce n’est pas gagné d’avance. Et bien soit, je ne veux pas aller contre ta volonté de rester ma soumise. En fait, c’est vrai que je te préfère de beaucoup ainsi, ma belle négresse. C’est bien pour cela que je suis amoureuse de toi et de ton corps si merveilleux quand il jouit

Elle m’installait devant sa coiffeuse, entrave mon corps de mes ornements d’esclave, je mouille comme une fontaine. Madame étale de la crème sur mon crâne et de me raser avec douceur. Une fois mon crâne à nouveau lisse, elle le caressait longuement, le baisait de sa bouche et me le léchait en me masturbant d’une main. Je parvenais à embrasser Madame. Cette nuit fut merveilleuse autant pour Madame que pour moi. Je fus heureuse qu’elle oublie mon anneau sur ma langue. Je pouvais ainsi lui donner bien plus de plaisir.

En me levant, je repensais à ce que me disait Madame la veille. Pour moi, punir un autre esclave n’avait aucun sens. Mon désir le plus cher était bien de servir Madame au mieux de mes compétences, certes, mais de là à remplacer sa main pour punir à tout va des esclaves, je ne me l’imaginais tout simplement pas. C’est Madame qui, pour la dixième fois m’expliqua ce qu’elle entendait par punir. Certes, c’était en majorité des esclaves, mais pas des esclaves déjà dressé. Je fus soulagée quand elle me demandait à dresser d’autres soumis, comme cette asiatique qu’elle voulait absolument acheter. De plus, la vente aura lieu ce soir et il me fallait encore faire mon ménage.

Après le déjeuner de Madame, je m’attelais au ménage comme à la lessive. Lorsque je vis arriver Madame, je crus défaillir. Nue, elle portait des menottes à ses chevilles et ses poignets en passant l’aspirateur. Prise au jeu de Madame, nous avons fait le ménage, ainsi que toutes les autres tâches, de concert en nous amusant comme des petites folles. Sans oublier le principale, cela va de soi, jouir à n’en plus pouvoir faire le moindre mouvement. Aussi, après avoir récupéré quelques forces, je me surpris à fesser Madame, une douce fessée en réalité. Madame appréciait beaucoup quand elle en jouit avec force, me répandait sa cyprine sur mes cuisses qu’elle se fit un plaisir à lécher. Je compris ce que Madame voulait dire maintenant, quand nous n’étions que toutes les deux. Alors me prit l’envie de me faire fesser par Madame. Je me couchais sur elle et plaquais sa main sur ma croupe. Elle me fessait avec la même force que mes mains, en se masturbant de l’autre. Je me branlais aussi et nous avons jouis ensemble pour notre plus grand des plaisirs. Madame me fit encore l’aveu de son amour pour son esclave et m’embrassa encore et encore avec la tendresse qui caractérise Madame.

Il était temps que je prépare Madame à sortir pour la vente. Une fois prête, sur son trente et un, sublime Madame, elle m’habillait d’une de ses robes fendues et ouverte à souhait. Entre mes cuisses, je fixais la courte laisse. Madame me sourit quand je lui tendais l’extrémité. Elle posa délicatement sa bouche sur mon cou, tel le papillon se posant sur le fragile coquelicot. Elle se baissait, enfilait une ravissante paire de ses chaussures à mes pieds en me les embrassant. J’avais de la peine à reconnaitre Madame depuis l’incident du parking. Cependant, ce n’était pas pour me déplaire, je donnerais ma vie pour Madame. Assise devant, près de Madame, j’écarte sa robe de paillette pour mieux caresser ma Maîtresse. Une fois la vitesse réglée, elle pose son pied nu sur son siège en me souriant et plongeant sa main merveilleusement entre mes cuisses offertes. D’une main, je la branle, de l’autre, je masse chacun de ses seins. Elle jouit à presque perdre la maitrise de l’automobile. C’est à peine si je parviens à l’aider à redresser. Nous étions blanches de peur, elle s’arrête. Furieuse de ce qui aurait pu arriver, elle m’interdit de la caresser à l’avenir. Consciente du risque, elle n’avait pas besoin de me le dire, j’avais déjà compris. Cependant, je me suis allongée sur le capot en la suppliant de me cravacher durement ce qu’elle fit pour se calmer. Enfonçant le manche de sa cravache dans mon cul, elle m’entendit hurler :

— Soyez encore plus sévère Madame, beaucoup plus sévère.

En arrivant chez le ministre, elle me tenait par la laisse. D’une main savamment glissée sous ma robe, elle caressait mes fesses endolories. Dans un recoin discret, elle m’embrassait tendrement dans le cou avant de gagner la salle de vente. Une esclave du ministère vint s’enquérir sur le choix de Madame sur cette asiatique. Madame sembla furieuse d’apprendre qu’un autre avait eu l’outrecuidance de miser aussi. L’esclave lui montrait l’homme, un homme somme toute assez commun, sans prestance. Aussi, elle m’envoya auprès de cet homme le troubler par quelques caresses buccales sur son corps. Je ne me fis pas prier pour exécuter cet ordre. Comme Madame, je désirais aussi que cette esclave nous rejoigne. La vente commençait, l’asiatique était le quatrième lot. Dès le second lot, un homme, je mis le plan de Madame à exécution. L’homme ne refusa pas mes attentions, une négresse au crâne fraichement rasé qui vient lui sucer sa queue, une queue que je trouvais ridiculement petite et fine, sentant mauvais qui plus est.

Au moment du quatrième lot, l’homme était sur le point de jouir et jouissait au moment où Madame leva son bras. J’aveuglais l’homme en l’embrassant copieusement et Madame remportait l’enchère. J’achevais l’homme en le faisant jouir sur ses cuisses et me retirais prestement. Près de Madame, je lui fis mon rapport détaillé. En se levant, la tache de son sperme sur son pantalon blanc crème était visible de tous et tous rire en le voyant si mal à l’aise. La vente se poursuivait. Un autre lot accrocha l’intérêt de Madame. Un homme, il était noté à son sujet que c’était une larve à tout faire.

— Je vais le prendre pour que tu te fasses la main sur lui.

— Madame est trop bonne, mais serais-je le punir aussi bien Madame le ferait ?

— Tu verras, il te suffira juste de te calmer, pas comme sur le parking, viser là où ça fait mal avec une petite pointe de sadisme. Regarde, on nous livre cette belle esclave.

— Madame a eu raison, elle est très belle.

— Et attends de la voir nue. À genou, toi !

La jeune asiatique se posa près de Madame, on lui fit signer les documents de propriété et la jeune femme devenait la seconde esclave de Madame. Madame me pria de sortir avec elle pendant que Madame misait sur cet homme.

Dehors, je me fis plaisir en caressant ce corps qui ne bronchait pas. À ma question de savoir si elle parlait notre langue, elle me répondit avec un oui Maîtresse qui me fit rire aux éclats. Son corps était sans reproche, presque parfait si une vilaine et méchante balafre ne traversait pas ses fesses.

— Qui t’a fait ça ? Madame ne va pas être contente de l’apprendre.

— C’est un des gardes du ministère avec son bâton.

— Suis- moi, Madame doit voir ça et de suite.

Dans la salle, Madame jubilait, elle avait eu cet homme pour un prix modique. Je lui fis part de ma découverte. Furieuse, elle se levait et fit signe à l’un des commissaires de la vente de venir promptement. Devant la balafre, Madame demanda une explication au commissaire. Ce dernier, fort emprunté, voulut expliquer que l’esclave était malencontreusement tombée sur l’angle d’une marche. L’esclave montra du doigt le garde incriminé en expliquant qu’il voulait la violer. Là, Madame rentra dans une de ses rages dont elle a seule le secret. La vente s’arrêta nette. On fit venir le garde sur l’estrade pour qu’il s’explique.

— Que Madame me pardonne, mais elle a voulu fuir. Alors, je n’ai pas eu le choix.

— Fuir, je n’y crois pas une seconde mon cher. Alors trouvez autre chose sinon c’est chez moi, dans mon donjon que vous en répondrez !

— Ben je la voulais pour moi, voilà.

— Espèce de fumier. Manon, donne-lui une leçon.

Mon coup de genou fit mouche et la cravache, que Madame me donna, fit le reste. Encore furieuse, Madame décidait de rentrer. Même le ministre en personne ne put la retenir. Ses titres de propriété en poche, le soumis fut chargé dans le coffre, la nouvelle assise derrière et moi, je fus chargée de calmer Madame de mes tendres attentions sur son corps. Une fois à la maison, elle enfermait l’homme esclave dans une cage du donjon. Avec Madame, nous avons été au salon avec la nouvelle de Madame. Nue, nous l’avons soigneusement inspectée par des attouchements jouissifs pour la belle asiatique. La belle nouvelle ne se fit pas prier pour jouir sans comme une mesure.

— Bien, j’appelle le ministre, je veux une ristourne sur le prix de cette belle enfant.

— Que Madame m’excuse, est-ce bien utile ? Il m’apparait qu’à la lumière du salon, cette trace devrait disparaitre d’ici quelques jours.

— Ce n’est pas une raison, c’est la première fois qu’une chose aussi scandaleuse arrive et je ne vais pas laisser passer cela, c’est bien trop grave. Viens ici toi. Manon, comme allons-nous l’appeler ?

— Je ne sais pas Madame, demandons-lui son prénom pour commencer.

— Oui fais donc. Allo, Madame de la Mousse-en-Bière. Passez-moi le ministre et au trotMonsieur le ministre, je suis encore sous le chocje comprends, mais apprenez que je ne peux pas laisser les choses ainsi. Aussi, j’exige le remboursement de la moitié de la somme, ce que me parait raisonnable vu l’incident désastreuxouidemain, sans faute, c’est entendu.

— Madame, je me prénomme Magali.

— Ce n’est pas très asiatique comme prénom.

— Que Madame sache que je n’ai jamais vécu en Asie, je n’y suis même pas née.

— Ah, voilà qui est quelque peu fâcheux. Il nous faut te trouver un prénom asiatique, mais lequel ?

— Si Madame me le permet, j’en connais un !

— Oui, Manon.

— Châu, ce qui signifie perle en vietnamien.

— Magnifique, Châu, voilà un merveilleux prénom. Il lui va à merveille. Tu seras notre perle, Châu.

— Je remercie Madame de sa bonté.

— Manon, tu lui donne le règlement maison, tu lui explique tout, je vais me coucher. Qu’elle dorme avec toi cette nuit ma chérie.

— Avec plaisir Madame.

Châu fut sous le charme de Madame. Elle qui m’avouait croire n’être qu’une vulgaire esclave au service de Madame. Je lui confiais que Madame et moi l’avions choisie pour sa grande beauté et rien de plus. Je lui fis lire le règlement en son entier et l’informais sur la maison et ses us et coutumes. Très vite, une profonde amitié nait entre nous. En passant près de la cage du soumis de Madame, je lis le titre de propriété. Il indique que cet homme est proche de la trentaine, qu’il sait presque tout faire après un intensif dressage de trois ans. Il est encore mentionné qu’il ne se plaint pas ou peu. Son seul défaut serait de vouloir résister à certaines punitions, comme le fouet. Là, Madame va être contente, je la sais très portée sur le fouet pendant ses soirées de luxure. Dans ma chambre, je montre à Châu comment être parfaitement vêtue avant ne plus pouvoir résister à son corps que je couche et aime. Elle se montre particulièrement dégourdie. Très vite nous jouissons en cur de nos ébats saphiques.

Au matin, je l’habille de sa tenue de service et de vice. Dans la cuisine, je l’instruis sur ce qu’elle doit connaitre. En montant le déjeuner de Madame sur le coup de dix-heure, nous pénétrons en silence. J’ouvre lentement les rideaux pour ne laisser pénétrer qu’un filet de lumière. Puis, près de Madame, Châu et moi, nous nous glissons, nues, sous les draps pour réveiller Madame en douceur. Quand Madame attrape la tête de Châu, je me retire pour aller faire pisser l’esclave de Madame. Derrière, dans le bac à sable, il est autorisé à se soulager. Dans ma main, la longue et fine cravache de Madame. Si quelque chose ne me plait pas dans son comportement, je cingle son cul d’esclave. Pourtant, je me retiens de ne lui causer de grandes douleurs. Madame m’avait demandé d’être calme avec un soumis, ce que je mettais sa requête à exécution. Pendant que l’homme se torche son cul sale de feuille de journaux, je lui montre ses défécations qu’il s’empresse de recouvrir de sable à la manière canine. De retour vers la cuisine, je vois Madame me faire signe de sa chambre, elle jubile et cela me rend heureuse. Dehors, d’un jet du jardinier, je lave à grande eau le soumis de ma Maîtresse. Il ne semble peu apprécier l’eau froide de ce matin de juillet. Au soleil, je l’attache près de l’étendage et rejoins Madame qui m’appelle auprès d’elle. Je le trouve avec Châu qui s’occupe de son anus de sa langue.

— Tu es une merveille de servante ma chérie. Je t’aime. Encore un peu de travail et tu seras prête pour administrer des punitions plus cinglantes. J’aime comme tu conduis cet esclave. Il obéit bien au moins.

— Il a de la peine encore avec l’eau froide. Je crains qu’il n’apprécie pas. Comment se comporte votre Châu ?

— Comme toi, elle est merveilleuse. Il lui reste à apprendre encore quelques trucs que je te charge de lui apprendre. Bon, il me faut un bain, je dois me rendre au ministère. Oh, ma douce Manon, fais-moi une photo de cette vilaine marque. Je veux pouvoir avoir de quoi discuter avec cet impertinent ministre de gens-foutre. Châu, je te charge d’apprendre et de faire tout ce que te commandera ma petite Manon. Ne sois pas trop sévère avec elle, pense à son cul si mignon.

— Non Madame, après cette nuit avec elle, je vais être comme vous l’êtes avec moi.

— Merveilleuses enfants, je vous aime toutes le deux.

Pendant que nous lavions Madame avec tendresse et amour, Madame ne pouvait s’empêche de se laisser aller à jouir de manière lyrique. Châu était sous le charme de notre Maîtresse. Elle me l’avouait après le départe de Madame. Ensemble, nous avons effectué toutes tâches ménagères. Puis, dehors, je libérais l’esclave de Madame en le tenant toujours en laisse. Nous l’avons promené et dans un coin, je l’ai obligé à lécher Châu pour son plus grand plaisir. Il ne se montrait pas très vaillant, ni très entrain en léchant la délicieuse vulve de Châu. Aussi, à l’aide de ma cravache, quelques coups bien sentis sur son cul le mirent en ardeur pour enfin faire jouir de manière sublime Châu. De retour à la maison, il se vit confier la tâche du repassage des vêtements de Madame et des miens. Madame m’avait laissé des instructions concernant Châu. Il lui fallait des livrées complètes de servante lubrique et lascive. Aussi, je téléphonais aux amies de Madame qui se firent un immense plaisir de venir promptement.

Dans le salon, Châu fut mesurée de toutes parts, caressée et autorisée à jouir des attouchements indécents de ces deux femmes vicieuses. Châu me confiait, après le départ des amies de Madame, aimer cette maison, je l’embrassais d’un long et tendre baiser. Pour l’homme, aucun vêtement n’était à l’ordre du jour. Aussi, en nous voyant nous cajoler, il se mit à bander et bien dur. Comme il n’en avait par reçu l’autorisation, un coup de cravache sur sa queue en érection le ramenait à de plus sage pensée. Le repassage terminé, Châu et moi, en l’agaçant à tour de rôle de la cravache, lui avons montré où ranger les vêtements de Madame et dans quel ordre très précis.

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