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Autisme dérangeant – Chapitre 1

Autisme dérangeant - Chapitre 1



Bonjour, je m’appelle Sandrine et j’ai 42ans et j’ai un fils de 16ans Maxime qui est autiste depuis son plus jeune âge, un autisme profond vu qu’il ne communique que par des sons et un une expression facile totalement béat.

Son père est un lâche qui s’est séparé de moi dès que le diagnostic de l’autisme fut décrit prétextant moins de chômage dans cette région au lieu de celle là, c’est pourquoi j’ai du l’élever seul et vivre un véritable enfer par la suite.

Depuis son plus jeune âge Maxime se touche beaucoup à ce niveau là, vers 6-7 ans il se frottait, vers 10 ans exhibais fièrement son membre bien tendu et vers 13 ans se l’astiquais bien comme il faut. Un peu paniqué je décida alors d’appeler son spécialiste qui le suit depuis le diagnostic mais là j’ai eu une réponse à faire peur :

— C’est normal madame, son retrait du lien social et de sa parole ressorte par cela.

Inutile de vous dire que la piscine, plage et les autres activités en commun était donc impossible je me demandais parfois comment il ne pouvait pas avoir mal !

Cela ne servait à rien de crier ou de le punir car au fond il ne comprenait pas pourquoi je l’interdisait de se faire du bien et au fond de moi je me posais aussi la question…

La période critique était bien entendu l’été ou les vêtements sont plus légers aussi bien pour moi que pour lui, l’hiver cela pouvait aller encore il suffisait de lui mettre un bon jean et on n’y voyait que du feu mais là avec les shorts et les slips…

Étant donné sa maladie il était impossible de lui faire prendre un bain seul, j’étais obligée de l’assister car il pouvait faire des bêtises dans la salle de bain ou se brûler avec l’eau chaude. L’endroit critique pour sa toilette étant évidemment son pénis qui s’allongea très rapidement au simple contact du gant, de vous à moi je dois vous avouer que je resta bête en vue de la taille de son membre il devait faire un bon 18cm, vous vous en doutez je ne m’attardai pas à cet endroit là.

Je le fit sortit de la douche mais en vue de la chaleur j’étais obligé de le laisser en caleçon, dehors il devait faire 42 degrés c’était l’été.

Maxime ne débandait pas pour autant, cela m’énervait je dois vous le dire mais il me regardait avec un sourire absent comme s’il ne savait pas pourquoi cela venait juste quelque chose de tout à fait normal.

Le soir j’ai pour habitude de lui faire un câlin pour l’endormir, alors je lis tranquillement un bouquin allongée à coté de lui en lui caressant les cheveux mais il paraissait angoissé alors je le prit dans mes bras.

Très vite il vint sur moi comme font certains enfants, je pensais qu’il avait peur donc je me laissa faire mais très vite je remarquait que quelque chose de dur se frottait un peu plus bas de mon ventre, je le poussa un peu et je remarquait que sa légendaire érection était de retour c’est alors que j’eus une idée que je regrette encore.

Une idée qui était venu avec l’énervement de voir toujours la même vision celle de son sexe bien tendu.

Alors je décida de lui enlever le caleçon pensant bêtement que cela allais passer.

Grosse erreur je pense que son membre était deux fois plus dur et il se rallongea sur moi aimant cette sensation de frottement, totalement paniquée je le poussa sur le coté et là je pouvais remarqué sa peur sur son visage, visiblement il ne comprenait pas ma réaction et ma tenue n’était pas là pour arranger les choses j’avais chaud et j’avais juste ma culotte et une nuisette.

Ma conscience de mère désespérée revient je me dis que je serai peut être que la seule fille qu’il connaitra dans sa vie alors je laissa mon instinct dérouté prendre le dessus. Je décida de le masturber légèrement en lisant mon livre pour me donner bonne conscience, des sons sortit de sa bouche je pense qu’il aimait cette sensation. Quelques minutes plus tard un peu dégouté de tenir le membre de mon propre fils dans mes mains je décida d’arrêter mais lui ne voulait pas visiblement il vient une fois de plus sur moi collant son pénis sur mon bas ventre.

— *Tu ne connaitra jamais ça je pense*

Sur cette pensée je décida de retirer mon sous vêtement et de le prendre dans mes bras, sa verge très dure se frotta sur mon bas ventre, un sourire béat de satisfaction était visible sur son visage.

— Pas comme ça Maxime…

Je pris donc son sexe sous son corps écrasant de jeune adulte et je le dirigea vers l’entrée de mon vagin, je lui mima le mouvement qu’il fallait faire et il ne mit pas longtemps à comprendre, d’un coup brutal il me pénétra me faisant limite mal je sentais son sexe dur comme du béton en moi et j’avais mon propre fils qui me faisait l’amour, un amour insouciant et interdit mais justifié à mes yeux.

Des bruits de satisfaction sortait de sa bouche mais aucune phrase ni aucun mots, je sentais son sexe faire des vas et viens de plus en plus rapide quelque fois je le sortais pour voir s’il n’était pas près à éjaculer je passais mes doigts sur son prépuce pour lui donner encore plus de plaisirs vu qu’il était circoncit à un moment je me souviens même lui avoir fait une fellation, j’aimais sentir le sexe de mon propre garçon dans ma bouche après tout il n’était que la chaire de ma chaire.

Mais je pense qu’il préféra largement mon vagin, je mis mes mains sur ses fesses pour lui donna plus de hargne, il me pénétra de plus en plus fort avant de sentir couler en moi son éjaculation, je sentis au moins trois jets puis c’est moi qui du le retirer de moi car il s’était écroulé sur moi.

Son sexe était encore un peu dur quand je l’avais mes mains, je l’essuya avec mes doigts avant de le laisser dormir nu avec moi.

Depuis cette soirée là c’est presque tous les soirs que je le motive à se "vider" en moi afin de le calmer un petit peu, en prenant soins de prendre la pilule afin de ne pas me mettre enceinte de mon propre fils, un peu plus tard je lui fit découvrir la sensation du préservatif sur son sexe de jeune homme.

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