Après mon bac, je suis parti un an faire le tour de lEurope en auto-stop. Puis j´ai travaillé un an dans l´entreprise de mon père pour renflouer mon carnet dépargne. C´est en 1977 que j´ai commencé, âgé de 22 ans, mes cours d´infirmier dans un hôpital de la région parisienne. Chaque mois, javais mes heures de stage dans un service différent. L´infirmière-monitrice, notre maitre de cours, nous avait montré, pendant les cours théoriques, comment faire un rasage intégral. Ce rasage est nécessaire chez les personnes devant subir un pontage : on lui enlève un morceau de veine de la cuisse ou du mollet, pour remplacer une artère du cur défectueuse.
Cest ainsi qu´au mois de Mai, j´arrive en cardiologie, dans le service du professeur spécialisé dans les pontages et le placement de pacemaker. Une douzaine de chambres individuelles, toutes bien occupées.
En arrivant le matin vers sept heures, je jette un coup d´oeil dans le livre de soins pour choisir mon patient. Je trouve un rasage à faire vers 15 heures chez une dame, Mme Paola R. Jinscris mon nom à côté pour le réserver et commence le travail de la journée, faire les lits, laver certaines personnes, distribuer le repas de midi, etc.
Vers quinze heures trente, je commence à préparer le matériel nécessaire au rasage. Sur mon chariot, je dépose savon à raser, deux-trois rasoirs à usage unique, gant de toilette, essuie-mains et un flacon-poudreur contenant du talc. Arrivé devant la chambre, je toque à la porte et entre. C´est encore l´heure des visites et la chambre est pleine de monde. Paola, d´origine italienne, est couchée sur le lit, entourée par la ribambelle de tous les siens. Respectant mon horaire de travail, je demande à la famille de sortir et je leur propose d´aller boire un café à la cafétéria de l´hôpital, deux étages plus bas. Son mari, visiblement un homme jaloux, me demande ce que je vais faire. Je lui explique quelle va avoir un rasage complet et qu´elle pourra ensuite prendre sa douche. Le tout durera bien une heure
ce que je n´ai pas dit, c´est que le rasage se fait du cou jusqu´aux pieds. Pas un poil ne peut subsister, sinon le chirurgien se fâche et je reçois le blâme mauvais pour mes points de stage.
Paola est âgée de 24 ans, elle est petite, environ un mètre 55, mince de taille et des seins parfaits que j´estime être du 75-80B. Ses cheveux noirs descendent au milieu du dos. La peau basanée est douce au toucher. Pour tout dire, elle me plaisait bien.
En se déshabillant, elle a rougi, un peu honteuse de se montrer nue devant un homme étranger.
J´aimais bien ces situations lorsque je devais soigner des jeunes femmes ayant pratiquement mon âge. Chez les vieilles, la majorité à 85% des soins à donner, cest bien différent
Je prends un grand essuie de bain et lui demande de se coucher dessus, en l´aidant à l´ étaler sur le lit. Appliquant bien les règles du rasage parfait, la monitrice pouvant venir à tout moment contrôler, je commence donc mon travail au niveau des épaules. Tout en la badigeonnant de savon à raser, je lui explique ce que je vais faire.
Les épaules terminées, je commence le rasage des seins. La technique demande de tenir le mamelon et de raser en étoile en partant chaque fois du centre. Je tiens son mamelon entre le pouce et l´index, le tirant une fois à droite, une fois à gauche. Je la regarde et vois qu´elle a de fines gouttelettes de sueur qui apparaissent sur son front. J´exagère mon travail en faisant rouler le mamelon entre mes doigts et je remarque que cela lui faisait de plus en plus deffet. Je lâche alors le mamelon pour tenir le sein en main, de manière à bien tendre la peau, pas prévu mais bon pour mon plaisir. Au tour du deuxième mamelon !
Elle transpire de plus en plus, fermant de temps en temps les yeux. Je sais maintenant quelle se laisse aller à augmenter son plaisir. Après lui avoir donc peloté pendant dix minutes les nibards, je passe au ventre vite fait, dans le but d´arriver plus vite aux parties intimes
Elle avait gardé sa culotte, et quand je lui ai dit de l´enlever, elle me dit :
— Là aussi ?
— Si, si, signora, je lui réponds. Je dois vous raser entièrement jusqu´aux pieds.
Je crois quelle a eu un coup de chaleur brutal. En enlevant son slip, elle est devenue toute rouge au visage.
Je lui demande alors d´écarter les jambes et je vois apparaitre, au milieu de la touffe poilue, sa fente intime déjà légèrement luisante de cyprine. Là, je me suis dit « attends ma fille, c´est pas fini ».
— Je vais d´abord vous couper les poils avec les ciseaux, je lui dis.
— Vous ne laissez rien ? demande-t-elle timidement
— Non, il ne peut rien rester !
Au moyen des ciseaux, je lui enlève sa toison épaisse et imprégnée de cyprine odorante. Je crois bien quelle l´a remarqué aussi et elle n´ose plus regarder dans ma direction.
Une fois le gros enlevé, je commence à étaler le savon. Je tire sur les lèvres pour bien en mettre partout. Son clitoris, dégagé et reluisant, est déjà gonflé par le plaisir. Cette fois-ci, j´en profite bien et lui triture la moule à fond. Le rasoir dans une main, j´utilise l´autre pour tenir les lèvres bien tendues, entrant mes doigts dans son vagin, puis les ressortant. Parfois jappuie un doigt sur son bouton sensible, si bien qu´elle finit par soupirer. Elle transpire de plus en plus et sa respiration devient saccadée. Sa tête tourne d´un côté vers l´autre. Elle est au bord de la jouissance !
J´arrête tout à coup et lui demande :
— Ça va ? J´arrête ou je continue ?
— Encoreencore, elle soupire, la voix rauque.
Cette fois, à l´encontre du risque d´être éjecté de l´école d´infirmier, suite à la plainte qu´elle pourrait faire, je me lance à fond pour qu´elle arrive au bout de sa jouissance. J´enfonce deux doigts dans son vagin et un doigt de lautre main appuie sur sa rondelle imprégnée de cyprine ayant coulé le long de sa raie fessière. Je me mets à la masturber énergiquement et lui enfonce le doigt dans le cul. Elle se met à trembler de tout son corps, ses mains se crispent dans les draps. Je quitte son cul pour baisser le pantalon blanc et dégager mon dard tendu. Je lui prends la main, la place sur ma pine et, en la tenant, je commence à me caresser. Je sens qu´elle augmente le rythme et lâche sa main qui continue à me branler.
Jaccélère mes doigts dans son vagin, lui remets le doigt dans le cul. Elle se mord la lèvre inférieure pour ne pas crier, sa tête virevoltant dans tous les sens. Sa main autour de mon chibre tendu au possible me serre à faire mal. Mon doigt s´enfonce entièrement dans son cul. Je le fais tourner dans tous les sens, le ressort à moitié pour le renfoncer. Je dégage les deux doigts de son vagin et me mets à les frotter contre son clitoris gonflé à bloc. Sa mouille coule le long des cuisses, mouille la main de mon doigt enfoncé dans sa rondelle écartelée. Soudain, son corps s´arcboute, elle ne tient plus sur le lit que par les épaules et les pieds. Cest la jouissance qui la terrasse. J´arrête la main qui me sert le vit car je sens aussi mon plaisir monter. Une fois qu´elle est revenue à ses esprits, encore haletante, je lui soulève la tête de manière qu´elle doive sappuyer sur son coude. Tournée vers moi, j´approche mon dard durci de sa bouche et pose le gland sur les lèvres entre-ouvertes. D´un mouvement du bassin, je m´enfonce dans sa cavité buccale. Aussitôt, elle se met à me pomper, me masturbant de nouveau de sa main libre, suçant mon gland comme un cornet de glace. Sa langue tourne autour de mon membre pendant qu´elle l´enfonce au fond de sa gorge pour le ressortir ensuite. Il n´a fallu que deux minutes et je jouis, lâchant des jets de sperme qui remplissent sa bouche sa bouche. Le trop-plein coule sur son menton et elle le récupère de sa main pour ne pas faire de tache sur les draps. Elle déglutit plusieurs fois avant d´avoir tout avalé.
Me regardant, les yeux pleins de larmes, elle me dit :
— Mer… Merci, cela fait un mois que mon mari me délaisse, car il a peur pour mon cur C´est la première fois que je le
Je lui coupe la parole :
— J´en avais très envie aussi
Après avoir passé son corps au talc pour déceler les poils qui seraient restés, je lui propose de se doucher après mon départ.
Je range mon matériel et, une fois terminé, je laisse tomber sur le sol quelques gouttes d´éther, pour couvrir les odeurs de notre aventure.
Le lendemain, elle se faisait opérer et moi je changeais de service. Je ne l´ai plus revue.