J’avais dix-sept ans, et un jour pendant les vacances d’été, je bouquinais torse nu et en short sur mon lit. Ma soeur, trois ans plus jeune que moi, déboule dans ma chambre et me demande de l’aider pour ses devoirs de vacances. Elle portait un t-shirt rose et un short blanc assez court. Son t-shirt était tendu par son soutif.Rien que de la voir, je commençais à bander.
Elle me montre son cahier de devoir ; c’était un exo de grammaire française, que je trouvais assez facile. Elle s’assit à côté de moi sur le lit et je lui expliquais comment faire son devoir. On était dos appuyé au mur. J’avais passé un bras autour de ses épaules, et on rigolait un peu entre deux explications. moi rien que de vois ses cuisses nues et d’avoir son sein droit à portée de mes doigts, je bandais à mort.
Je commence à lui faire des chatouilles. Elle se tortille en rigolant. je lui touche les cuisses, je remonte vers son entrejambe, elle me touche la braguette.
Je lui enlève le t-shirt, et lui masse le soutif, on s’embrasse sur la bouche. Sa main effleure la bosse de mon short.
Je lui dis : "Tu veux la voir ?"
— Oui, qu’elle me répond.
— Ben enlève mon short. On se met debout, elle fait glisser mon short puis mon boxer. Ma queue bandée est à l’horizontale.
Je lui dis : "Toi aussi, je veux te voir nue".
— Ben, fais-le, dégrafe-moi.
Je détache son soutien-gorge, et lui enlève son short et son petit slip.
On s’embrasse très serrés, je lui palpe les seins, elle sourit en gémissant ; ma queue dure frotte contre sa cuisse. Elle me touche les couilles par en dessous, ce qui m’excite à mort.
Je lui dis : "Tu te caresses quand t’es dans ta chambre, seule ou avec tes copines ?" Elle me dit que oui, que c’est son amie Sandra qui lui a appris. Je lui dis de me montrer comment elle fait, et je me branle aussi devant elle. Super bandant.
Je la couche sur le lit, sur le dos. Je m’allonge sur elle et me masturbe jusqu’à jouir sur son ventre et ses cuisses.
Après, on va se nettoyer dans la salle de bain, et on revient dans ma chambre ; elle est sur mes genoux, je lui titille l’intérieur de sa fentine, jusqu’à la faire bien mouiller.
A suivre…
