Avec ma tante et son mari Amodu49
J’ai 29 ans et cette histoire remonte à l’été 2005 ; donc j’en avais 22. Ma tante Evelyne (sur de mon père) m’avait invité à passer une semaine de vacances chez elle. Ce qu’il faut savoir, c’est que nous sommes une famille de naturistes et donc la nudité fait partie du quotidien et est, on peut le dire, obligatoire. Voici les quelques règles :
— pour dormir la nuit, pyjamas, chemises de nuit et autres nuisettes totalement interdits, exception faite aux filles de pouvoir avoir une culotte en période de règles.
— l’été, c’est pieds nus. Même les tongs sont interdites.
— les portes de salle de bains ne sont jamais fermées.
— si les garçons ont une érection, on ne se cache pas. On laisse le temps passer.
— Même en période de puberté, on reste totalement nus.
— Pas de poils autour des sexes. Epilation et rasage obligatoires.
Donc j’ai toujours vu ma tante, son mari Pierre et mes cousins (Jérôme et Nathalie) tout nus, tant à la maison qu’en vacances en centre naturiste.
Mon histoire commence vraiment le soir du 3e jour. Il était aux environs de minuit, tout le monde était couché. Mais voilà, je n’arrivais pas à dormir et j’avais soif, donc je descends à la cuisine pour boire un verre d’eau. En remontant, quelque chose m’a intrigué. Je voyais au bout de couloir une lumière. Je me suis approché et j’ai vu que cette lumière venait de la chambre de ma tante. La porte était légèrement entrouverte et je vois ma tante en train de masturber Pierre. Il lui dit "allez, si tu veux, c’est vrai que ça fait un bout de temps qu’on n’a pas pris de plaisir ensemble et comme tout le monde dort". Pierre était en train de bander, ma tante a commencé à lui faire une fellation. Cela a duré environ 3 minutes, puis les rôles ont changé : ma tante s’est allongée sur le dos, a écarté les jambes et Pierre a commencé à lui faire un cunnilingus pendant 3 minutes également. Ensuite, Pierre s’est de nouveau allongé sur le dos et ma tante s’est mise dans le sens inverse pour la position 69.
Et voilà le tournant : j’ai éternué. Pierre est vite venu ouvrir la porte et, assez énervé, me dit : "alors comme ça tu nous regardais". Ne sachant pas quoi répondre, il me dit : "pour la peine, viens". Je me suis assis sur le lit et Pierre me dit : "comme tu nous a dérangés, on va terminer ce qu’on a à faire, mais avec toi". Ma tante était en train de sourire et me demande de m’allonger sur le dos. Là, Pierre a commencé à me toucher les pieds, et ma tante a commencé à me masturber. A ma surprise, Pierre, toujours en érection, met sa bite juste à côté de ma bouche et me dit : "ça, c’est pour ta peine de nous avoir matés". Et j’ai donc commencé à le sucer, en même temps que ma tante me suçait. Cela a duré une minute quand Pierre a sorti du tiroir de son chevet une capote et l’a mise. Ma tante, sachant bien ce qu’il allait faire, s’est mise dans une meilleure position pour permettre à Pierre de la sodomiser. Ma tante me demande de prendre une capote dans le tiroir et de la mettre. Ma tante s’est retournée et j’avais grande vue sur ses fesses et j’ai donc sodomisé ma tante. Ensuite, ma tante s’est de nouveau mise sur le dos, regardant Pierre, a écarté les jambes et il a commencé à insérer son pénis dans la chatte. Moi, pendant ce temps, j’ai touché les pieds de ma tante. Là, Pierre me dit, : "allez à toi , viens". Et j’ai donc pénétré ma tante. Ça m’a fait des sensations bizarres. Là, je pensais au fait que je ne lui avais pas encore fait de cunnilingus ; alors j’ai enlevé ma bite de sa chatte et je lui ai fait un cunnilingus.
Puis ma tante s’est de nouveau allongée sur le dos au milieu du lit, moi sur sa droite, Pierre sur sa gauche. Pierre et moi avons enlevé nos capotes, puis ma tante nous a masturbés. Pierre et moi nous sommes ensuite masturbés nous mêmes et, presque en même temps, nous avons éjaculé. Le sperme a giclé sur le visage de ma tante.
Puis, nous sommes restés allongés encore pendant dix minutes à discuter. Ma tante et Pierre se faisant des baisers (Pierre essayant de ne pas mettre sa bouche sur du sperme) et moi, la main posée sur les seins de ma tante.
Heureusement que mes cousins dormaient et ne nous ont pas entendus.