Vous connaissez mon goût pour les hommes plus jeunes.
Ils démarrent vite, ils sont vite à nouveau à pied d’oeuvre.
J’en ai encore la preuve la nuit du 31 décembre.
Comme à notre habitude, le 31 décembre est l’occasion de se retrouver tous en famille avec les pièces rapportées et les amis des amis.
Nous sommes une petite cinquantaine dans notre propriété de Lustin en bord de meuse.
Nous sommes tous aux préparations diverses de cette soirée qui se promet d’être comme d’habitude exceptionnelle.
Mon fils de 20 ans a invité un ami rencontré en Angleterre, un dénommé Georges, un être très bien élevé qui en cuisine est un orfèvre.
A ses côtés, j’apprends plein de trucs sur les mise de tables avec peu de choses.
Ce garçon plein de charme ne me laisse pas indifférente et de son côté, ses regards sur mes formes me laissent à croire que je devais aussi lui plaire.
Nous sommes au petit déjeuner en train de finaliser le programme de chacun pour la journée.
Comme à mon habitude, je suis descendue, oubliant que Georges est là, en pyjama, un pantalon bleu fluide moulant mes formes et un top blanc laissant deviner la forme de mes seins libres.
Georges n’a d’yeux que pour mes appas, je dois l’avouer bien exposés.
Débarrassant la table, penchée pour remplir le lave-vaisselle, je me suis inclinée de manière à tout lui faire découvrir.
Je prends tout mon temps consciente de l’effet que je lui procure.
J’en suis, je l’avoue, assez excitée.
J’aime ses regards sur moi, surtout que mon mari est décevant dans ce domaine.
Toute la journée, il est à mes côtés, mon fils François étant lui au choix des musiques pour la soirée dansante prévue.
Sachant qu’il ne me lâcherai pas de la journée, ayant des tâches communes, je m’ habille pour l’émoustiller.
J’ai l’impression d’avoir 20 ans à nouveau.
J’ opte pour un jeans ultra moulant, épousant mon derrière rond et je choisi un chemisier sexy assez décolleté avec un soutien push up assez indiscret;
Je le sens à l’affût de tous mes mouvements vouloir ici ou là découvrir mes charmes.
Je sens le fond de mon slip s’humidifier.
Ce Georges me fait de l’effet.
Mon mari me délaissant quelque peu, je suis en appétit.
Les courses terminées, les plats préparés, les tables dressées, je me réserve une heure de bon temps pour me bichonner.
Mon bain à bulles, mes huiles, me voilà dans mes pensées, je m’imagine avec Georges, mes doigts s’égarent, je me fais plaisir.
Sortie de la salle de bain et choix difficile de ma tenue pour ce soir.
Une robe fuseau échancrée avec un dos nu vertigineux, voilà mon choix.
Il s’agira de ne pas trop bouger au risque de tout dévoiler.
Tous sont sidérés de ma tenue, l’effet escompté est là.
Le souper se passe bien, tous nous avons bu plus qu’il ne faut, certains sont déjà loin, à commencer par mon époux dont le verre est toujours vide.
Minuit, en s’embrasse tous, et sans le faire exprès quand Georges m’embrasse, il m’embrasse à moitié sur la bouche, accident ? volontaire ? , j’en suis émoustillée et à nouveau, mon imagination déborde.
La musique s’invite et tous, on danse.
Mon mari avachi dans un fauteuil est incapable de me faire danser, et c’est Georges qui saute sur l’occasion et qui m’emmène à son bras.
Ce sont des slows, nous dansons serrés, il me dit combien il est subjugué par ma tenue, qu’il aimerait rencontrer une personne comme moi pour partager sa vie future.
Ces paroles m’électrisent, à nouveau, l’excitation me gagne, je me rapproche de lui, nous ne faisons plus qu’un.
La musique est magnifique, un vieux machin, je le sens accroché, une main dans mon dos, une autre sur mes fesses, je suis bien, je le lui dis, il se rapproche encore, je le sens excité lui aussi, il bande, il ne s’en cache pas, il me le fait sentir, j’aime, je m’écrase encore plus pour le sentir pointer d’avantage.
Je suis sur un nuage, je ne peux aller plus loin et s’est avec regret quand les rocks sont là, que nous nous séparons avec tristesse.
Lui comme moi, savons que nous ne pouvons franchir la ligne.
Ce n’est que tard dans la nuit, après avoir tout ranger que chacun regagne sa chambre, moi avec mon époux totalement dans les vapes.
Je ne puis trouver le sommeil, mes pensées sont toutes à Georges.
A 5 heures, n’ayant pas encore dormi, je me lève pour aller boire un verre dans la cuisine.
Je descends en pyjama et surprise, dans la cuisine, Georges est là en slip aussi insomniaque.
J’ouvre le frigo, je prends une bouteille d’eau et il est là dans mon dos.
Il me fais de petits bisous dans le coup, je frissonne.
Il est contre moi, tout contre moi !
Je sens sur mon derrière son émoi, il bande.
Je pousse mon derrière vers cette excroissance qui prend de l’ampleur.
Il m’empoigne les seins, il les évalue, il les trouve à son goût.
Il descend, il caresse mon ventre, il insinue une main dans mon pantalon.
Je lui dis qu’on ne peut pas, il insiste, il est là où il faut, je suis incapable de dire non.
Il me retourne, il soulève mon top, mes seins sont à sa merci.
D’une main je frotte son membre tendu au travers de son slip.
Il est dur, très dur, je frotte et frotte.
Il me dit d’arrêter sinon il ne répond de rien.
Je m’abaisse, je sors sa tige, je la lèche, je prends son gland en bouche, je gratte avec mes ongles ses belles boules, il me dit ne pouvoir se retenir plus longtemps, je veux tout son liquide, il explose, j’avale tout ce jus, tout ce nectar.
Il me relève, une main insinuée dans mon pantalon, il débusque mon bouton et savamment il m’amène à l’orgasme, j’hurle silencieusement, je suis encore sur ma fin, il me soulève et me dépose sur le bord de la table, il a repris de la vigueur, il abaisse mon pantalon, il m’écarte les cuisses, il me pénètre de toute sa force, ça rentre comme dans du beurre, je suis empalée, j’aime, je suis remplie entièrement par cette verge plus épaisse,plus longue que celle de mon mari.
Il se met en mouvement, il me lime, je sens viscéralement tous les coups, je ne vais pas savoir tenir plus longtemps, je jouis, il s’en rend compte, il est en phase, il jouit aussi en moi, je sens les jets en moi, je suis aux anges.
Je l’aime, il m’aime, que faire …