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aventure d'un soir – Chapitre 1

aventure d'un soir - Chapitre 1



C’est une histoire qui s’est passée il y a 15 ans, j’avais 28 ans, mariée depuis 6 ans avec Philippe, un homme adorable qui me comblait dans tous les domaines, pas jaloux pour deux sous.

Ancienne chef guide, j’étais à la soirée annuelle des chefs scouts à laquelle mon mari m’avait laissé aller seule, n’aimant pas l’ambiance bon enfant de ces soirées et surtout ne sachant pas danser. J’étais habillée avec mon uniforme de guide, une jupe droite avec un chemisier blanc sur une lingerie blanche très sage, le foulard de circonstance, les cheveux blonds que j’avais laissé pendre, parfumée à l’eau de Rochas, je faisais petite fille sage. On grattait la guitare, on se faisait plaisir avec de vieilles chansons que nous reprenions tous. J’aimais l’ambiance, je me voyais encore dix ans plus jeune.

L’apéritif copieux et le repas fini, nous avions tout débarrassé, vaisselle et tables et la soirée dansante pouvait commencer.

J’avais déjà remarqué être observée par un jeune chef qui me talonnait partout.

Il s’appelait Marc, il avait 17 ans et il n’avait apparemment d’yeux que pour moi, il était chef scout dans le namurois.

Il ne manqua pas l’occasion de m’inviter à danser, ce qu’il faisait bien, me faisant rocker comme une diablesse, j’étais aux anges, Ces yeux brillaient, je sentais qu’il avait un faible pour moi. Il me proposa un rafraîchissement, ce que j’acceptais et nous nous retrouvâmes dans un groupe d’anciens nous commémorant nos vieux souvenirs.

Le temps passait, je dansais avec l’un avec l’autre, et ce n’est que lors d’une série de slows que je fus happée à nouveau par Marc.

Je me sentais bien dans ses bras, j’étais contre lui, la musique était belle, je me laissais aller, il me guidait comme un chef.

Puis un slow qui me rend folle, je m’accroche à mon cavalier, il en profité pour me coller fort et prise à mon piège, je sens qu’il bande, J’aime sentir l’homme bander pour moi, mais il est jeune, j’ai envie de l’émoustiller et d’autre part, la morale me retient, je ne fais rien, je me laisse bercer, je le laisse oeuvrer, il sait que je sens son émoi, et mon silence l’encourage à profiter de la situation. Nous ne faisons qu’un, moi contre lui, son sexe à la verticale entre nos deux ventres. C’est jouissif pour moi, pour lui certainement, je me sens mouiller, je sens mes seins se tendre, qu’est ce que je suis en train de faire. C’est trop tard, je profite de cette relation intime entre lui et moi cachée à tous. Je le sens excité, je sens qu’il fait de petits mouvements avec sa tige contre mon ventre, il se frotte, il veut me faire sentir son envie de moi, c’est réussi, j’en mouille, je suis dans ses bras, il me caresse le bas du dos, je m’écrase au maximum à la rencontre de son sexe très dur, il n’en peut plus, il éjacule , je le serre plus contre moi, je suis morte excitée, mais ici je ne peux rien faire.

Tout le reste de la soirée, l’envie de sexe était là toujours plus pressante. Ce n’est que vers une heure du matin, apprenant par son chef hiérarchique que Marc habitant à plus de 60 kms n’avait pas de point de chute que je proposai de le prendre en charge jusqu’au lendemain.

Vu son âge, sur la route du retour, je lui fis comprendre que ce qui s’était passé devait rester entre nous et que j’avais eu un grand moment de faiblesse, que je l’aimais bien et qu’il devait oublier.

Il m’avoua son faible pour moi, que je représentais son fantasme féminin, qu’il était fou de mon parfum, que habillée en guide avec une jupe droite, il était fou de moi.

Tout le trajet, bien qu’excitée comme une puce, je ne fis plus rien de répréhensible.

Une fois à la maison, Philippe nous accueillait et nous faisait part que le lendemain matin, il avait été convié à une partie de pêche et qu’il partait de bonheur.

Cette nuit, mon cher et tendre me fit l’amour comme un dieu, je n’étais pas avec lui, c’est Marc qui me faisait l’amour, j’avais fait un transfert, j’ai connu un orgasme d’une rare intensité, et je crois même que j’ai du tellement feuler, que Marc doit m’avoir entendu jouir.

Je me suis endormie en deux minutes, je n’ai même pas entendu mon cher et tendre partir à la pêche.

Quelle fut ma surprise vers 7h00 du matin de voir entrer discrètement Marc dans ma chambre. Je faisais semblant de dormir, je voulais voir ce qu’il manigançait. Il s’approcha du lit, j’étais là avec une jambe en dehors des draps sur le côté, il s’approcha, il huma mon odeur, il me regardait, puis il remonta doucement le drap, découvrant mes jambes, j’avais un shorty très échancré et un top blanc moulant.

Simulant le sommeil, je me mis sur le dos les jambes légèrement écartées lui exposant toute mon intimité. Il était à mes pieds, il caressait mes pieds, puis mes jambes, puis mes cuisses à l’intérieur là où c’est doux, il aventurait un doigt dans l’échancrure du shorty, je marmonnais, je simulait être dans une rêve, je disais Philippe, prends moi … !

Marc en profita pour m’ôter mon shorty et m’écarter les jambes, il était là à tout découvrir, il explorait mon intimité, il me sentait.

Je devais sentir, car pas lavée, mon mari m’ayant honorée la nuit, il avait devant son nez une odeur prononcée de femelle.

Il dégageait mes lèvres, il écartait avec un doigt, j’étais excitée, je mouillais à nouveau, il aventura un doigt dans mon vagin, il recueillait du liquide qu’il goûta comme du nectar.

J(ouvrais alors les yeux et fit l’étonnée, que fais-tu là, tu me violes, il était penaud, il me disait qu’il n’avait pu résister à la tentation sachant mon mari parti et moi dans une tenue qui devait être sexy dans mon lit.

Il n’avait pas dormi de la nuit, il m’avait entendu hurler dans les bras d’un autre, il s’était caresser dans les draps et ce matin il me voulait, il voulait me posséder. J’étais en état second, je le voyais bander comme un chêne dans son boxer, et je ne sais ce qui me pris, j’ai avancé ma main et j’ai pris son sexe au travers du boxer, il avait une tige énorme, il s’écroula sur le lit et se mit à m’embrasser comme un fou, j’en respirais mal, il était plein de fougue, ses mains épousaient toute les parties de mon corps, j’étais l’objet de ses fantasmes, il avait ses mains sur mes seins sous le top, les tétons étaient dressés comme jamais, j’allais connaître un grand moment.

Je me déshabillais, j’étais assise sur lui, les seins pointant avec arrogance livrés à ses mains douces. Je sentais à nouveau sa tige cherchant son chemin dans mon entrejambe, je l’aidai à entrer dans mon entre humide et chaud, il était énorme, il s’enfonça doucement dans mon vagin, l’épousant parfaitement, c’était jouissif, ma mouille abondante facilitait la progression. Une fois bien au fond, une petite pose durant laquelle on s’est embrassés comme des fous, nos langues se sont mélangées, nos salives se sont confondues et puis j’ai eu envie de lui, à califourchon sur lui, je me suis mise en mouvement progressivement, montant et descendant sur cette tige en acier, son visage trahissait ses envies, il ne sut tenir longtemps en moi et il éjacula avec puissance en moi ce qui me fit hurler. Il ne débandait pas, on resta ainsi repus de longues minutes, lui toujours en moi bien tendu, ah les jeunes.

J’avais envie de lui en levrette, position que j’affectionne, car on vous sent bien au fond et quand vous limez, les sensation à l’intérieur sont très fortes.

Je me glisse sur le bord du lit, je prends sa tige en bouche, je le suce,les hommes aiment, je sens qu’il va venir, je m’arrête, je me positionne sur le bord du lit à genoux, il est derrière, il a mes seins en mains, il peut voir tout de moi, mon sexe béant, qui coule, ma rosette serrée, il avance sa tige, il la frotte ici et là, il pousse son gland dans mon sexe qui l’accueille et en une fois il est au fond me faisant presque basculer.

je le sens , il est au fond, il me remplit bien, il commence à me limer, j’aime être limée, limée longtemps, il vient d’éjaculer, il va tenir des minutes, je sens doucement le plaisir me gagner, je laisse venir et puis je ne sais me retenir, j’explose dans un orgasme comme rarement j’en ai connu, il ne sait non plus se contenir et je le sens éjaculer en moi au fond. que c’était jouissif.

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