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Aventure d'une transformation – Chapitre 1

Trop sexy - Chapitre 3



Ce matin, quand je me suis levé, j’étais bien loin de me douter de comment allait finir la journée. Où plutôt, comment je serais quand la journée serait finie.

Comme toujours, en me réveillant, j’avais une trique pas possible. Et comme toujours, j’avais mis mon réveil assez tôt pour pouvoir trainasser un peu au lit. Ce matin là, j’ai été pris d’une petite envie de branlette, et bien entendu, je l’ai satisfaite. Je me suis secoué le manche, en pensant a toutes ces femmes qui ont pu être des objets de fantasme pour moi, jusqu’à sentir le sperme remonter le long de ma bite, pour venir couler entre mes doigts. Quel délice… Le seul truc ennuyeux, c’est de devoir nettoyer après, mais on ne peut pas tout avoir non plus.

La journée de boulot, ma dernière avant la fin de mon contrat, se passa relativement bien. Les collègues, et moi même, étions tout de même un peu triste a l’idée que nous n’allions plus nous voir, mais j’étais trop fatigué pour réaliser que j’étais "libre". A peine rentré a la maison, je m’installe bien au fond de mon canapé, et zappe les chaines, en espérant tomber sur un truc a peu près intéressant qui m’occuperai le temps de me reposer un peu. Mais malheureusement, les plans se trouvèrent compromis par mon téléphone qui vibra.

-Allo.

Ma voix était un peu pâteuse. Au bout du fil, ma cousine, qui se demandais si j’allais bien, et qui voulais m’inviter a venir manger chez elle et son ami le soir même. J’hésitais, et me disant que j’allais pouvoir dormir le lendemain, je pris la décision d’accepter. Avec un soupir, je me rendis dans la salle de bain et pris une bonne douche. En sortant, encore le téléphone. Et toujours ma cousine. Sa voix me parvint dès que j’eus décroché.

-Fred ? C’est encore Marina. Ça te dis de dormir a la maison ? Comme ça, si on boit un peu, tu n’auras pas a reprendre la voiture. Et, si ça te gêne pas, j’aurai besoin de toi demain pour aller faire quelques courses.

-Euh… Ouais, eh ben, pas de problème, je prévois des fringues de rechange alors.

Sur ce, elle me salua, et j’allais chercher quelques affaires supplémentaire que je mis dans un sac. Je pris au passage une bouteille de vin, histoire de ne pas arriver les mains vides. Mes clés en main, je ferme l’appartement, et grimpe a bord de ma voiture.

Un petit moment, et quelques kilomètres, plus tard, je me gare sur leur parking, je descend mon baluchon, et sonne a leur porte. Will, le copain de ma cousine viens m’ouvrir et m’invite a entré. On discute un peu, je lui offre la bouteille, et je vais faire la bise a Marina. Le début de soirée se passa de manière agréable, un bon petit apéro, suivit d’un tout aussi bon repas. Puis, pour digéré, un jeu vidéo sur la Wii, tous ensemble. Jusque là, tout allait parfaitement bien, mais un petit orage grondait légèrement au loin.

L’orage, petit a petit, se faisait plus fort. Et soudain, violent coup de foudre, black-out complet. Un flash bleu, puis le noir et le silence. Sur le coup de la surprise, j’avais fermé les yeux, et en les rouvrant, je ne perçut pas tout a fait le changement. Will, se leva pour aller remettre les plombs qui avaient du sauter a la cave. A peine avait il refermer la porte, que la lumière d’un éclair passa par la fenêtre pour éclairer la pièce. C’est a ce moment que je compris que quelque chose n’allait vraiment, mais alors vraiment, pas rond.

Moi qui était, trois minutes plus tôt, assis a un bout du canapé, me voila sur un pouf. Sans avoir changer de place. Pire encore, qui vois-je assis a ma place? Moi même. Encore pire, il me semble avoir quelque chose de lourd sur la poitrine, un truc qui me passe entre les fesses, et plus rien entre les jambes. Je pense que mon visage, enfin pas vraiment le mien, devait reflété la définition même de la stupeur. Tout autant que ma cousine, qui apparemment avait pris ma place dans mon corps. La lumière revint, et c’est le dernier souvenir clair que j’ai avant un moment.

A la surprise succéda la panique. Et le retour de Will qui ne comprenais rien n’arrangeait pas les choses. Personne ne savait ce qui s’était passé, combien de temps cela allait durer, et surtout, comment nous allions faire. En bref, beaucoup de cris, de discussion, de colère, de peur, et de pleurs. D’ailleurs, ça fait franchement bizarre de se voir pleurer. Puis petit a petit, le calme revient. Le copain de ma cousine semblait avoir compris l’essentiel et en était au même point que nous.

Dans le silence qui s’installa, je réfléchissais a tout vitesse a toute sorte de choses. Puis l’idée la plus pressé qui me venait, c’était de trouver un moyen de garder ça secret. Je fis face a Marina.

-Demain, tu laisse la boutique fermer, tu n’auras qu’a dire que tu es malade. Moi, j’ai fini mon contrat, pas besoin de s’en soucier.

Elle répondis par l’affirmative d’un mouvement de ma tête. Je poursuivis.

-Pour le moment, je ne vois pas comment on peut inverser le cours des choses. C’est surement l’orage qui aura fait ça. Tu sais, genre l’électromagnétisme dégagé par la foudre combiner a électromagnétisme de notre cerveau ou un truc a la con dans le genre… Mais a moins de mettre les doigts dans la prise, je pense qu’il faudra attendre le prochain gros orage…

Une nouvelle fois, aucune réaction. Trop de chocs a la fois surement. Will eut une bonne idée.

-Et si nous allions dormir ?

-Euh… hésitai-je.

Je me voyais mal dormir avec lui. Encore moins me déshabiller. Certes, il avait déjà du la voir nue des tas de fois, mais pour le moment, c’était mon corps, donc hors de question qu’il y touche ou qu’il le regarde. Et l’idée me traversa que je ne tenais pas a ce qu’il touche a mon autre corps.

-Ce n’est pas que je ne t’apprécie pas hein, continuai-je, mais je pense que je vais dormir sur le canapé… Enfin, je veux dire… Tu comprend quoi…

Brrrr, que ça fait bizarre cette voix. Il me sourit.

-Ne t’en fait pas, je n’allais pas te le demander, me rassura-t-il.

Je jetais un regard a Marina, pour voir ce qu’elle en pensait, et elle releva la tête pour parler avec ma voix. Encore plus flippant je dois dire.

-Je suis désolé Will, mais je vais dormir dans la chambre d’amis. Je sais que je ne tiendrai pas a ce que mon corps dorme avec la copine de Fred s’il en avait une.

-Je comprend, lui répondis son ami.

Ouf, sauvé. En se levant, il repris.

-Je vais vous laisser alors, si vous avez quelques petites choses a vous dire… On ne sait jamais.

Je jetais un regard a Marina, qui haussa un sourcil et rosit légèrement. Will parti sans rien dire de plus que "Bonne nuit", et nous nous retrouvâmes seuls. Je me raclais la gorge, gêné, et pris la parole le premier.

-Si tu veux des affaires demain, tu en as dans le sac là. Et on ira en chercher a mon appartement au cas où… Mais je voulais te demander… Je risque d’avoir tes… Enfin, mes tu-sais-quoi ?

Là, elle n’étais plus rose, mais rouge, et vu la chaleur de mes joues, je ne devais pas en être bien loin aussi. Elle répondis en bégayant que non.

-Toi aussi… Si tu as besoins d’affaires… Mon armoire est dans la chambre.

Elle se contenta de ça, et parti a son tour dans la chambre d’amis. Me voila seul. Pardon, seule. Je soupir, regarde autour, puis décide de faire de même. Je déplie le canapé (c’est étrange de ne pas avoir la même force que d’habitude) et commence a me déshabiller. C’est là que je sent cette chaleur dans mon bas ventre. Je décide de ne pas y penser, mais une fois en sous vêtement, ça deviens obsédant. Je me couche, et éteins pour être tranquille.

Ma conscience me tenaille. Dois-je ou non me laisser tenté par cet appel de mon corps ? J’ai la chance de pouvoir découvrir ce que ressent une femme, vais-je la laisser passer ? Mais après tout, ce n’est pas mon corps, c’est provisoire…Bref, plein de condition morale qui s’effondrent a peine un sein frôler.

Quelle douceur que cette peau, et quels sensations aussi. Je caresse mon téton qui pointe vers le plafond. Je sent une décharge me parcourir tout le corps. Mes mains me caressent, me découvrent. Enfin, je m’attaque a l’essentiel, ma chatte. J’ôte mon string, déjà mouillé de la cyprine que je sent couler depuis un petit moment. Une jolie petite minette toute rasé m’apparait. Je pars a l’exploration. Chaque contact avec la peau de cette zone est en soi un mini orgasme. Quand je me pénètre d’un doigt, ouaw! Je me sent couler a flot. Je n’en peut plus, je viens caresser ce bourgeon qui m’appelle et là, c’est une véritable tempête. J’étouffe mon cri avec mon oreiller, je tremble de partout, je mouille comme une rivière, et j’ai l’impression d’être branché sur du 10 000 volts. Le temps de me remettre, je sombre dans le néant du sommeil, la tête pleine de sensation nouvelles, et l’idée germante que cette transformation n’aura pas que des mauvais côtés…

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