Le lendemain matin, Will me réveille involontairement en partant au travail. Malgré tout ce qui s’était passé, il lui fallait aller bosser. Pas de problème pour moi et ma cousine, heureusement. Elle est à son compte, et tient une boutique d’objets de décoration. Pour ma part, comme je l’ai dit précédemment, je suis désormais au chômage. Je jette un coup d’il à l’horloge, six heure et demi. J’ai encore le temps de dormir un peu. Mais de nouveau, ça me chatouille entre les jambes. Et puis après tout…
Je repars à l’exploration, de nouveau, je ne tarde pas à jouir. C’est fou cette sensation, si divin… Je ramène mes doigts trempés à ma bouche, et goûte mon jus. J’adore ça. Un véritable délice. De nouveau mes doigts repartent à l’assaut de ma moule. Je me sens déjà accroc, et je n’arrive pas à comblé cette envie. Un mouvement un peu trop ample, et voila que j’effleure mon petit trou. Ce n’est pas comme pour un homme. C’est moins… Désagréable. Enfin, ça peut être agréable pour un homme, mais là, ça me semble plus propice, mieux. Je m’introduis un doigt. De mon autre main, j’alterne caresse sur la poitrine, et sur mon clito bien tendu. A nouveau je m’envole. Ma première pensée à la suite de cet orgasme? Vivement que je me fasse baiser.
Puis, merde, je suis un mec! C’est quoi ces pensées! Et puis, avec qui? Will? Hors de question. Un autre mec? Non, je vais m’amuser avec le corps de ma cousine n’importe comment. Déjà que j’en profite pas mal… Et pourquoi pas une expérience lesbienne? Oh, il faut vraiment que j’arrête de penser au sexe.
C’est sur cette pensée que Marina sort de la chambre, en caleçon, avec une trique plus que visible. Rien qu’a voir, ça me fait envie, tout en dégoûtant mon côté masculin. Je me sens toute chaude… Marina s’approche et s’assoit à côté de moi.
-Fred, j’ai un problème, ça va faire une demi heure que je suis réveillé, et ça ne passe pas, me dit-elle.
Gloups. Une demi heure? Deux petites choses: une, ça fait un sacré bout de temps pour une érection matinale. Et deux, depuis une demi heure, j’ai fait pas mal de choses, pas forcément discrète. Je ne répond plus, que mal à l’aise:
-Euh… Eh bien, je sais pas moi.
-Je devrais peut être faire comme toi? Tu sais, faire des trucs perso avec un corps qui est pas à moi… suggéra-t-elle, un peu amèrement.
Eh merde, grillé.
-Marina… Je ne voulais pas, mais je n’ai pas pu résister… Je veux dire… Et puis mince, je ne sais pas combien de temps on va rester comme ça, autant apprivoiser mon corps non? T’imagines si une envie aussi violente me prenait en publique et que je ne sache pas comment ça se manifeste? C’est un peu comme toi, si tu te mettais à bander sans savoir quoi en faire, m’emportais-je.
Ouais, bon argument un peu bidon, je l’accorde. Mais apparemment, ça avait marché, parce que ses traits se sont relâchés, et elle a soupiré. Elle pointa du doigt ma verge dissimulé par le tissu, enfin, mon ex verge.
-Bon, alors j’en fais quoi moi?
-Essaie les glaçons. Mais ça risque de faire un peu mal. Ou sinon…
Je fis un geste de bas en haut pour lui faire comprendre. Elle rougit.
-Je… Mais… Je sais pas faire… bégaya Marina.
-Oh, voyons… J’imagine que tu as déjà fait ça à ton copain, c’est pareil.
-Ouais, mais non. Y a les sensations en plus là, c’est perturbant.
-Et alors quoi? demandais-je. Tu veux que je te montre comment faire peut être.
Silence. J’aurais mieux fait de fermer ma grande bouche, encore une fois. Enfin, sa petite bouche en l’occurrence. Petite réponse timide de sa part:
-Oui…
Nouveau silence. Qui s’éternise en plus. Je ne sais pas vraiment quoi faire là. Puis une idée me traverse la tête.
-A une seule condition, exigeais-je.
-Laquelle?
-Je veux tes accessoires pour te faire du bien, et savoir comment ils marchent.
Elle parait choqué, mais se résigne et accepte. Je suppose qu’elle doit se demander comment va réagir Will en rentrant le soir si elle est toujours dans le même état. Le pauvre, s’imaginer sa femme en train de bander pour lui, ça doit être terrifiant. Je tapotais le matelas et lui ordonnais:
-Installe toi.
Elle s’exécuta, et ôta tout vêtement. Je repoussais les couverture, laissant apparaître mon corps totalement nu. J’aurais sérieusement bander si je m’étais vu comme ça. Bon dieu que je suis bonne! Je lui caresse le torse, tout en descendant doucement vers le sexe tendu. Vu les frétillement qu’il a déjà, ça ne sera pas long à passer. J’atteins la base, et doucement, je le prend en main. Je ne vais pas abîmer mon outil tout de même. C’est un peu surprenant de masturber une queue sans en ressentir les effets. Son souffle s’accélère alors que j’augmente la cadence. Et soudain, une giclée, puis une autre. Et encore une. Petit à petit, son jus sort, et me coule entre les doigts. J’en ai pris sur un sein. Marina prend de profondes respiration, et je la branle doucement pour finir.
-Alors, ça fait du bien? m’informais-je avec un grand sourire.
-Oui… répond-elle dans un soupir.
Je retire ma main poisseuse, pleine de liquide blanchâtre, l’observe et me questionne:
-Tu en fais quoi d’habitude?
-Ça dépend, si on n’a pas le temps, je l’essuie, sinon, je lèche.
Ouaw, confession trash. On dirait que son côté masculin ressort, elle ne m’aurait pas dit ça comme ça quelques minutes auparavant. Je lui tend mes doigts.
-Tu veux?
Un par un, elle les lèche. J’aurais gerbé si j’avais du avaler du sperme en tant que mec je pense. Mais elle, non.
-Il m’en reste sur le sein.
Elle se redresse et viens le lécher. Purée, j’aurais jamais du, c’est reparti, téton qui pointe dur, moule trempée.
-Hum… A ton tour là, et vite.
Elle rigole, se lève et reviens avec une boite provenant de sa chambre. Dedans, assortiment de DVD porno, et de jouets, avec du lubrifiant. Je jette un coup d’il. Il y a le gode classique, sans fantaisie. Puis un truc relié par un câble avec une télécommande, un qui semble faire des mouvements de pénétration tout seul, un truc comme un uf… Bref, un véritable assortiment.
-Eh beh! m’exclamais-je. Ça, c’est du matos.
De nouveau elle rit, et prend le gode normal.
-Bon, ça, pas besoin de faire les présentation. Ça, elle prend celui relié aà la télécommande, c’est un jouet pour deux. Ton partenaire, ou toi même si t’as envie de le faire en solo, règle l’intensité. Celui-ci, l’uf, tu tourne, il vibre, t’as plus qu’à le mettre au fond, et zou. Lui, on l’appelle le Rabbit. Ce petit truc au dessus vient te caresser le clitoris pendant que tu te le met. Un délice. Et enfin, must du must, le up and down. En gros, il fait des mouvements de va et vient à l’intérieur.
Je fais un petit sifflement admirateur. Je ne la savais pas si portée sur la chose. Et cette collection, je sens que je vais m’éclater avec. Et le lubrifiant, là tout de suite, c’est pas franchement nécessaire.
-Tu devrais commencer à les essayer à ce que je vois…
Assise en tailleur comme je l’étais, elle avait une vue parfaite sur mon minou, ouvert, luisant de ma mouille qui suintait. Je fis un sourire d’excuse. Je me regarde, un peu gêné.
-Tu devrais en profiter pour aller prendre une douche, sinon, ça risque de te reprendre…
Je fis un petit geste du doigt en direction du pénis de ma cousine. Elle balaya mes dires d’un geste de la main. Un petit tic qu’elle a toujours eu, et que ça fait bizarre de voir reproduit avec mes propres membres.
-Tu m’as bien rendu service, et en échange, il me semblait que je devais te les montrer et te faire voir comment ils marchent… Je vais te faire voir. Ou sentir plutôt.
J’avais une sensation perturbante, un mélange de gêne et d’envie. J’eus un frisson d’excitation, et m’allongeait, puis écartais les jambes. Elle vint s’installer entre mes jambes, la queue gluante et pendante… Je sentis soudain ses doigts sur ma vulve. Ils sont bien moins agréable et moins fin que les miens, qui sont plus féminin. Mais comme elle a plus d’expérience, elle n’a aucun mal à me faire oublier ce détail. Elle me fait quelques caresses bien agréable. Sûrement pour me lubrifier un peu, mais je crois qu’elle ne se rend pas compte que ce n’est pas nécessaire, je suis déjà plus ouverte.
C’est à cet instant que je sens un truc froid entre mes lèvres vaginales. Je jette un coup d’il, et je vois le sextoy simple, en forme de pénis, et la moitié du gland qui dépasse encore. Marina force un peu, et le gland factice passe. Elle pousse encore, et voila que je l’ai au fond. C’est tout simplement extra. La sensation d’être remplie, puis d’un coup, les vibrations. Un raz de marée de sensations indescriptibles, de plaisir intense. Je me tortille sous les assaut de ma cousine dont j’ai le corps, je gémis de cette voix bien plus aiguë que celle que j’ai toujours eu. J’ai un instant de repos, elle change d’outil. Voila le tour de l’uf, qu’elle m’enfonce bien au fond de mon fourreau, et en fait vibrer un autre sur le clito. L’uf procure des sensations moins direct, plus profonde… Et elle change de nouveau, à chaque fois, juste avant que j’atteigne des sommets.
Puis enfin, celui qui bouge tout seul. Et là, elle ne change pas, elle me le laisse, et me laisse pousser un véritable cri, que je n’étouffe pas cette fois ci. Je me laisse entièrement retomber, à la limite de tomber dans les pommes. Je sens encore les vibration du sextoy au fond de mon vagin, puis il est doucement retirer. Je marmonne:
-Putain que c’est bon…
Je tourne la tête, et regarde le visage de mon corps, dont les yeux sont rivés sur l’antre de mon plaisir. Ses traits expriment apparemment le trouble. Et quand elle remarque que je l’observe, elle rougit, détourne le regard et se lève. Je peux voir son sexe dressé avant qu’elle ne me tourne le dos, en se dirigeant vers la salle de bain, en me disant qu’elle va prendre une douche.
Je ne répond rien, et je vais dans la chambre, cherche quelque chose à me mettre en attendant d’aller prendre la douche à mon tour. Je fouille dans les sous vêtements, et m’enfile un string affriolant, avec le soutien gorge qui va avec. Le tout, presque transparent. Je prépare le petit déjeuner, et ma cousine sort. Le temps de prendre un bol de céréales en silence, je peux remarquer les regards en coin que me lance Marina, et la légère bosse qu’elle cache bien sous le pantalon de survêtement. Je pars à mon tour à la douche, et en profite pour me caresser un peu sous l’eau. Mon excitation s’est enfin calmée, et mes caresse ne me mènent pas à l’orgasme. J’ai simplement une sensation de bien être en sortant. J’enfile de nouveau mes sous vêtements coquins, et achève de m’habiller. Un jean, et un top à bretelle bleu qui me fait un joli décolleté. Et je sais de quoi je parle.
Je sors et je vois Marina, la main en train de se branler la pine. En m’entendant, elle range l’attirail et s’excuse. Je viens à côté d’elle.
-Je pense qu’il faut qu’on parle un peu…