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aventures de drague – Chapitre 1

Panne et dépannage - Chapitre 6



Ces aventures de drague sont bien réelles. De ce fait, elles sont parfois courtes, ou brutalement interrompues. Elles sont présentées, un peu dans le désordre, au gré de mon inspiration du moment, en courts chapitres dont l’intitulé est un thème, suivi d’un numéro d’ordre.

Routiers -1

A Paris, sur le rond-point de la porte de la Villette, est garé un routier italien. Il est 1h du matin. Par la vitre de sa portière, placée haut, j’aperçois un jeune mec costaud, torse nu. Je fais le tour du rond-point. Il a ouvert sa portière. On est un soir d’été, il fait chaud, et il ne porte qu’un slip en mailles. Je refais le tour du rond-point et me gare, de façon à pouvoir le mater. Tout à coup, il se tourne et se penche pour chercher quelque chose dans la cabine. Dans cette position, il montre son cul, revêtu d’un slip à mailles bien tendu sur ses fesses. Dans la lumière des lampadaires, on distingue mal les mailles, mais on voit bien sa raie du cul, comme s’il était à poil. Un connard se gare juste en dessous de sa portière pour mater de près. Le routier referme sa portière. Fin du spectacle. Dommage

Routiers -2

De nuit, je fais mon exhibition dans ma voiture, sur le périphérique parisien, froc et slip aux genoux, plafonnier de la voiture allumée. Je roule à hauteur des routiers. La plupart ne remarquent rien. Un tourne la tête et a l’air intéressé. Je me touche la queue. Il fait un appel de phares. Je réponds par le même signal et le suit. Il prend l’autoroute du sud. Je le double au moment où je sais qu’il y a un talus herbeux à un embranchement d’autoroute où je pourrai me garer (illicitement mais il est 2h du matin). J’arrive à me garer. Il freine et cherche une place un peu plus loin. Pendant ce temps, j’enlève froc et slip, et vais me coucher sur la banquette arrière, jambes repliées en l’air et cuisses écartées, tous mes « appâts » bien exposés. Bien sûr, j’ai laissé la portière ouverte. Il arrive, sort sa bite et se branle en me mâtant. Il mouille un doigt et me doigte. Ca l’excite vite, et il m’envoie du sperme sur le ventre. Il repart, et je rentre me coucher.

Routiers – 3

Sur un parking d’autoroute, la nuit dans le Sud de la France. Je vais aux toilettes. J’y trouve un routier, face à un urinoir, bite à l’air. Je pisse, et je sors. Je suis en short, court et assez large entre les jambes, sans slip dessous. Je m’allonge sur une table de pique-nique, bien éclairée par un lampadaire. J’ai les jambes bien écartées et on peut voir mes couilles. Le routier sort, et me voyant s’approche de moi. Il mate, puis glisse sa main dans l’entrebâillement du short, sort ma bite et la branle. Deux mateurs approchent. Le routier lâche ma bite, se mouille un doigt et me doigte le cul. Puis s’en va. J’écarte encore plus les cuisses pour les mateurs. Ils s’en vont. Tant pis.

Routiers – 4

Sur ce même parking, toujours de nuit. Un routier, installé à la place du passager, se reposait, pieds posés sur le tableau de bord, jambes nues. Sa portière était ouverte, et un mec, monté sur le marchepied, me semblait discuter avec lui. En m’approchant, je m’aperçois que le mec n’est pas jambes nues, mais complètement à poil en dessous de la ceinture, et que le mec sur le marchepied lui tripotait l’entrejambe. Je m’assois sur un banc et les regarde faire. Le mec sur le marchepied s’en va. Je prends sa place. Je commence à branler le routier. Il ne bande pas. Je lui pelote les couilles, puis, me mouillant un doigt, passe sous son entrejambe et commence à le doigter. Le mec ondule un peu du cul. C’était ça qu’il voulait. Je le doigte un bon moment, puis le laisse. Le premier mec revient alors et recommence à le tripoter.

Arabes 1

En ville la nuit, le long d’un canal qui passe sous un pont. Un passage piéton longe le canal, bordé d’une rambarde, pour prévenir des chutes dans l’eau. Il fait sombre. Je vois un attroupement d’une dizaine de mecs. Je m’insère dans la mêlée. C’est très chaud. Une main me débraguette et je me retrouve bientôt froc et slip aux chevilles. Un mec me suce. Derrière, un autre m’enfonce un doigt. Le doigt ressort et je sens une bite le remplacer. Ce con me baise sans capote ! Je me dégage et m’en vais.

Le lendemain soir, au même endroit, c’était pratiquement désert. Une seule silhouette, accoudée à la rambarde. En m’approchant, je vois un arabe, d’une cinquantaine d’années, costaud, froc à moitié baissé et cul à l’air. Je lui passe la main à la raie, puis l’enfonce entre ses jambes, pour aller palper une superbe paire de couilles, bien grosses. Je le laisse et vais m’asseoir sur la rambarde, à une vingtaine de mètres. Je vois arriver un mec. Il se place derrière l’arabe, et lui enfonce une bite déjà raide. Il joue alors à la lui mettre bien à fond, puis à la ressortir, puis à la remettre, … L’arabe endure tout ça sans broncher. Le mec finit par jouir. En passant devant moi, il me fait un clin d’il et un signe de tête vers l’arabe. Je vais alors enfiler l’arabe. Ca rentrait comme dans du beurre !

Arabes-2

Dans un bois, il y avait une marre asséchée, assez profonde. Une fois descendu dedans, on avait la tête juste à la hauteur du bord de la mare. Je vois deux mecs, à poil en dessous de la ceinture, allongés, jambes écartées, exposer leurs parties intimes, au bord de la mare. Dans la mare, un papy arabe, matait. Je m’installe dans la même tenue que les autres. Et je regarde ce qui se passe. Le papy fait son choix et va doigter un des mecs. Je sursaute presque en sentant une main sur ma cuisse. Un autre papy arabe, en contrebas de moi, dans la mare m’avait choisi. Il commence à me doigter. Je me laisse faire avec plaisir, tout en matant l’autre se faire doigter.

Dans le courant de l’après-midi, d’autres papys sont arrivés et d’autres exhibitionnistes aussi. Et le jeu a continué. J’ai été doigté par 3 papys différents.

Arabes-3

Dans le même bois, le long d’un sentier, je trouve, sur le côté, un jeune mec bronzant à poil, allongé sur le ventre, sur un renfoncement herbeux. Il me semblait se marrer. Je comprends en arrivant à sa hauteur. Derrière lui, un papy arabe, assis sur un tronc d’arbre, lui matait le cul. Je m’agenouille à côté du jeune et lui masse le dos, de plus en plus bas. Puis je lui écarte bien les fesses, un bon moment, pour offrir au papy, une bonne vue de la raie et du petit trou du jeune. Quand je repars, le jeune me fait un clin d’il complice.

Arabes-4

Toujours dans ce bois, un sentier de drague, assez large était bordé de bancs. Un papy était assis, seul sur un banc. Un mec d’une trentaine d’années, en jogging, s’assoit à côté le lui, pied sur l’assise du siège, et cul reposant sur le dossier. Je vois le papy tendre sa main vers le cul du jeune. Je les dépasse, prends un chemin de traverse, et reviens les mater, par derrière, à travers les fourrés. La main était enfoncée dans le pantalon, et, à ses mouvements, je devine qu’il le doigtait. Comme très souvent l’été, je portais un short court, assez large aux cuisses, et, sans slip dessous. Je reviens sur le sentier, et vais m’allonger face à eux, cuisses bien écartées. Le papy me mate vite les couilles. Le mec en a marre du doigtage, et s’en va. Je prends sa place, et je sens la main du papy rentrer dans mon short, par derrière, et un de ses doigts trouve vite mon anus.

Arabes 5

Dans un autre bois, un mec m’aborde et on se met à discuter. Pas vieux, pas moche, l’air sympa, mais.. il ne me faisait pas bander. « La bandaison, papa, ça ne se commande pas ! » On se quitte. Je le retrouve ailleurs un peu plus tard. Un arabe, assez grassouillet était allongé sur le dos, par terre, le cul surélevé, car appuyé sur un tronc d’arbre. Mon mec le baisait bien virilement, pendant que l’arabe se branlait frénétiquement.

Arabes-6

Toujours dans un bois, je vois un petit jeune tourner autour d’un arabe, d’une quarantaine d’années, bien habillé, en costard cravate (il y avait un parking non loin ; il avait dû s’accorder une pause entre deux rendez-vous). Ils s’enfoncent dans un fourré, je m’approche pour mater discrètement, excité à l’idée de voir un petit jeune se faire mettre par un arabe. Et, je vois l’arabe, pantalon et slip aux chevilles, mains aux genoux, se faire bourrer le cul par le jeune, très enthousiaste. Je me positionne à l’entrée du fourré. Je vois sortir le jeune, puis, un peu plus tard, l’arabe, qui avait pris le temps de se reculotter. Quand il passe devant moi, je lui mets la main au cul. Surpris, il s’arrête, puis, me regardant avec un sourire, repart dans le fourré. J’attends un tout petit peu, et je le retrouve « en position ». Je la lui ai mise au cul, évidemment, avec une grande facilité. Et lui, s’est enfilé deux bites à la file, pendant sa pause.

Nota : les deux histoires précédentes mettent en scène des arabes passifs. Si, si, ça existe !

Bois la nuit 1

Il s’agissait presque plus d’un parc que d’un bois. Une large allée était bordée par des « refuges » en brique, où on pouvait s’abriter et aussi trouver des tables de pique-nique. Derrière ces refuges s’étendait le bois proprement dit. Une nuit, j’y trouve un jeune, immobile, le froc baissé, juste pour mettre le cul à l’air. J’en déduisis qu’il aimait bien s’exhiber. Je lui passe la main au cul, et lui chuchote qu’on pourrait aller dans un refuge, où il y aurait des mateurs. Il me suit. Je trouve malheureusement un refuge désert. Je le place sur le dos sur une table, jambes relevées, et l’attire vers moi. Je le pénètre assez facilement et commence à le baiser. Un mateur arrive enfin, et se place près de nous pour bien profiter du spectacle. Il me demande si mon partenaire a un bon cul. Je me retire, et lui suggère d’essayer à ma place. Il met une capote et enfile le jeune. Malheureusement, celui-ci, que la situation avait excité, jouit sur son ventre. Je laissai l’enculeur terminer sa baise, et m’en allai. Après avoir joui, le jeune n’aurait pas accepté que je le pénètre à nouveau.

Bois la nuit 2

Autrefois, le bois de Vincennes, à Paris, était traversé par plusieurs routes carrossables. Un carrefour était réputé comme lieu de drague en voiture. Une nuit, j’y étais, dans ma voiture, garée le long du trottoir, vitre baissée, short et slip aux chevilles. Je vis un mec sortir de sa voiture et commencer à se promener. Il n’était vêtu que d’un tee-shirt et de baskets, nu en dessous de la ceinture. On le voyait à la lueur du clair de lune. Un mec en voiture alluma ses phares, et l’exhibitionniste vint volontiers de placer dans la lueur des phares, prenant des poses obscènes. Je matai le spectacle. Tout à coup, je sentis une main sur ma cuisse, le mec ayant passé son bras par la vitre ouverte. Je me laissai glisser sur mon siège, et écartai les cuisses. Le mec me pelota les couilles, puis glissa un doigt vers mon anus qu’il tapota gentiment. Il me chuchota qu’il adorait bouffer des culs. Je descendis donc de la voiture, et le suivit dans le bois. Il me fit me coucher en travers d’un gros tronc d’arbre, cul bien exposé. Il s’agenouilla, m’écarta les fesses, et m’étirant l’anus avec ses pouces, pressa sa langue contre. Il alternait des léchages et des pressions de sa langue sur mon anus. Je sentais progressivement mon anus s’ouvrir, et, enfin il pût y entrer le bout de sa langue. C’est la seule fois où je me suis fait « pénétrer » par une langue, et j’ai adoré.

Urinoirs de nuit 1

Dans une ville du sud de la France, il y avait un grand urinoir souterrain, de forme circulaire. Nous étions six ou sept à nous branler vaguement. Soudain arriva un gros costaud, en tenue de rugbyman. Il nous tourna le dos, baissa short et slip, et, mains aux genoux, arqua son cul vers nous. Après un moment d’hésitation, l’un de nous mit une capote, et l’enfila, visiblement très facilement. Pendant tout son enculage, le rugbyman excita son partenaire par des commentaires salaces. Quand le mec eût terminé, le rugbyman attendit, dans la même position. Un second mec se décida. Quand il eût terminé, le rugbyman se reculotta et partit. Il avait probablement éjaculé lors de sa seconde baise.

Remarque : ce texte, est, dans sa forme et dans son fond, assez différent des autres textes publiés sur le site. S’il rencontre un public, je continuerai volontiers par de nombreux chapitres. Dans le cas contraire, j’en resterai à ce seul essai

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