Après mon histoire d’inceste avec mes soeurs, qui dieu merci ne sont pas tombées enceinte, j’ai passé une grande période de trouble. Nous nous évitions dans la maison et je voyais mes résultats baisser en flèche. Je fut alors convoqué par ma prof principale, qui est aussi ma prof d’histoire.
Elle à 22ans, blonde aux yeux bleus, un décolleté à faire bander tous le saints et un magnifique visage.
— Alors Mark, qu’est-ce qui ne vas pas? Tu étais plutôt bon en début d’année pourtant.
— Je sais madame, mais… je passe actuellement une période de trouble.
— Quel trouble exactement?
— Je… je ne peux pas vous le dire…
— D’accord… Tu devrais en parler à la COP.
Son téléphone sonna.
-Excuses moi une minute.
Elle se pencha pour attraper son téléphone dans son sac et je pus parfaitement voir ses seins. J’eus immédiatement une érection que j’essayais de contenir avec mes mains.
Elle s’assied sur une table et commença à parler. Comme elle était en jupe, j’avais une vus parfaite de son entrejambe. Je voyais son sourire verticale se dessiner sous sa culotte. Mon érection redoubla. Cette fois je n’en pouvais plus. J’attendis qu’elle raccroche pour me rapprocher et commencer à malaxés ses seins.
— Mais qu’est-ce que tu fais?! Arrête tout de suite! Tu es fou?!
Je ne répondis pas. Je réussis à la plaquer contre une table et continuais à triturer ses nichons tout en l’embrassant. Étonnamment, elle se laissa faire. Je descendis ma main pour caresser son vagin qui commençait à mouiller. Après quelques minutes, nous nous retrouvâmes en 69. Je léchais sa chatte et titillait son clitoris comme un obsédé tandis que je ressentais les bienfaits de la pipe qu’elle me taillait. Dans un râle de jouissance, je lâchais mon sperme chaud et collant, dans sa bouche, qu’elle s’empressa d’avaler. Je me mis face à elle et me hurla:
-Pénètres moi Mark! Je te veux en moi!
Elle écartait sa chatte avec ses mains.
— Mais madame, je…
-Fais-le! Et au fait, je m’appelle Justine.
Je m’exécutais donc. Ma bite rentra de plus en plus profond dans son vagin qui mouillait comme une fontaine et commençais mes mouvements de va et vient. Justine criait comme une folle. Je malaxais ses seins et l’embrassait en même temps. Je criais, criais aussi son prénom et je jouis. J’ai déversé ma semence en elle. Au moment où j’allais me retirer, elle entoura ses bras autour de ma taille pour m’obliger à rester en elle et nous avons continué ce manège pendant 10 minutes après quoi je suis sorti de la salle de cour.
Au moment où j’allais quitter la salle, elle me dit:
— Si tu veux de bonnes notes, vient me voir.
Je peux vous prévenir que ce n’est pas la seule histoire qu’il me soit arriver.
Je tiens à préciser que toutes mes histoires sont vrais.