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Baise dans les bois – Chapitre 2

Baise dans les bois - Chapitre 2



Baise dans les bois (2).

Après ce merveilleux 69 et un moment de repos Patrick sest retourné sur le ventre, le visage tendu vers ma face et ma interrogé : « As-tu aimé ? » Encore bouleversé par cette première expérience je lui répondis : « Fabuleux ! Tu suces divinement. Ma seule expérience de cette sorte, cétait avec une prostituée, dans ma voiture, lorsque jétais étudiant et cela navait rien à voir avec ce que tu mas fait tout à lheure. » ; Avec une petit rire il me dit : « Pas étonnant. Cest toujours mieux avec un mec. Les filles sont toujours gênées et ny mettent pas la même fougue ».

De sa main droite il se mit à me caresser voluptueusement les pectoraux, puis lépaule et le bras gauche, glissant vers laine, pendant que de son collier de barbe il me frôlait les joues, le cou. Le corps détendu, la respiration apaisée, je concentrais mon esprit sur le désir renaissant sous cette main chaude et légère comme une plume. Je sentais ma verge amollie et encore humide de salive et de sperme se redresser lentement sous lafflux du sang et le gland venir frotter contre mon nombril. Visiblement je nétais pas assouvi et Patrick le voyait bien, qui tout en me caressant les couilles me souffla : « Quelle belle bite. Jaimerais bien me la prendre dans le cul. Cela te dit ? » Pour toute réponse je me mis à lui flatter les fesses exposées à mes yeux, bien blanches et rebondies, fasciné par lombre de sa raie et le mystère de lanus encore caché en celle-ci.

Sans plus aucune gène qui serait due à ma nudité et à la sienne en ce bois éclairé par la lune, je maccroupis entre ses jambes musclées et commençais par un baiser au creux des reins, suivis dautres sur la peau douce des fesses, puis léchais en salivant lintérieur de sa raie, cherchant avec ma langue son petit trou. De mes deux mains jécartais ses globes fessiers, pour atteindre enfin lendroit secret recherché. Je crachais sur son illet et de ma langue en forçait doucement le passage souple, chaud et odorant. Patrick redressait le cul pour venir au-devant de ces caresses intimes, visiblement enchanté et sous son ventre ainsi décollé du sol, sa queue prenait une belle amplitude.

« Attends » me dit-il enfin en se relevant et en me faisant faire de même. De ses deux mains il empoigna mes couilles et les fit rouler entre ses doigts, avant de saisir ma tige pour une masturbation lente. Lorsque sous sa main mon vit eut encore gonflé et soit devenu dur comme du bois, il sapprocha du tronc du hêtre, bras appuyés sur ce dernier, cul offert, me disant « Maintenant prends moi ». Sans hésiter je collais ma verge contre sa raie, glissait le gland vers son anus, poussait légèrement, puis lui agrippait les hanches des deux mains et passait en force. Il eut un faible cri de douleur, accompagné dun frémissement, mais ne se raidit pas. Mon gland était en lui et peu à peu tout mon manche lembrocha, jusquà ce que mes testicules viennent heurter ses fesses.

Je restais un moment immobile, savourant cette sensation de dominer un mec, mon sexe dans ses entrailles, bien au chaud, excité par les contractions du sphincter refermé sur lui. Je plongeais ma main droite vers son membre viril dressé et le masturbais, tandis que Patrick me chuchotait : « Vas-y mec , cest vachement bon ». Déchaîné par ces mots, je commençais des va et vient de plus en plus rapides avec mon sexe en lui et ma main sur le sien. Je le baisais comme je navais jamais baisé ma femme, avec une vigueur qui ne faiblissait pas, encore accrue au contraire par les feulements de plaisir de mon partenaire. La jouissance montait en moi, envahissant tout mon être, avant de se concentrer dans mon sexe et dexploser en de puissants jets de foutre dans le ventre de Patrick. Ce dernier éjaculait presque au même moment, rependant sa semence tiède et gluante sur ma main et lécorce du hêtre, dans un grand cri dextase.

Je suis resté ainsi de longs moments, empalé en lui, soufflant comme un phoque, la sueur coulant sur le visage, sous les bras e au bas du ventre, alors que mon amant, ma main toujours sur son vit encore bandé et humide de sperme, frissonnait toujours.

Ce nest quaprès de longues minutes que jai commencé à me séparer de lui, mon vit ramolli et visqueux glissant doucement hors de son cul. Je lâchais son membre viril, essuyait ma main droite sur son ventre et lembrassait tendrement dans le cou et sur les épaules. Il tourna sa tête vers mon visage pour me rendre un baiser en pleine bouche.

Apaisés, nous sommes retournés vers nos voitures, respirant profondément lair tiède et parfumé des bois, les corps détendus, ivres de liberté. Par moments nos mains ségaraient sur des fesses, des épaules ou nos bras enlaçaient les hanches de notre partenaire, accompagnés dexclamations salaces et de gros rires. Arrivés près de nos voitures, nous bandions de nouveau. Patrick, les fesses appuyée sur sa voiture, me flatta la verge et les couilles, me disant : « Tu mas magnifiquement baisé, en vrai hétéro, mais tu ne sembles pas encore assouvi. Moi non plus du reste. Veux-tu continuer et être ma femme maintenant »

Cette fois jhésitais vraiment. Ce nest pas lenvie qui me manquait, il suffisait de voir létat de mon sexe dressé à mort. Mais cela me faisait peur. Peur de la douleur, peur dy prendre goût, peur de me sentir honteux après lacte. Mais ses mains semparaient déjà de mon cul, écartant les deux globes, glissant les doigts dans ma raie, pendant que sa bouche venait sur la mienne pour une magnifique pelle. « Naie pas peur mon chéri, laisse toi aller, tu ne le regretteras pas. » souffla-t-il entre deux baisers. De nouveau son sexe bandé se colla contre le mien en une douce pression alors que dun doigt il pénétrât mon anus. Par un balancement de son ventre, il roulait sa pine sur la mienne, ranimant ainsi un violent désir en moi.

Mes dernières résistances tombèrent au contact de ce beau corps et dune bite si dure et si chaude caressant la mienne, aussi dune voix rauque je lui dis : « Vas-y. Prends moi. Je te fais entière confiance. Tu sais que je suis vierge, fais donc attention ». Fougueusement je lembrassais à pleine bouche et serrais sa poitrine contre mon torse. Son doigt fouillait toujours ma rosette et sintroduisait progressivement dans mon anus, me procurant un grand frisson. Je repensais alors à mes nombreux doigtages sous la douche, la tête pleine de fantasmes de membres virils me pénétrant au plus profond.

Mais Patrick ne voulait pas me prendre à sec. Il ouvrit la portière de sa voiture, sortit un tube de gel de sa boîte à gants. Dun signe, il minvita à me pencher sur le capot de son véhicule,, le cul en arrière, mécarta largement les jambes de ses genoux, me massa les épaules pour me détendre, puis le dos, enfin les fesses pour mexciter. Je sentis quil menduisait la raie dun grand filet de gel. De ses doigts il étendit le produit, en déposa sur le sphincter, lintroduisant ensuite dans lanus. Avec un doigt, puis deux, il méchauffa les viscères, de plus en plus profondément. Le lubrifiant faisait son effet, détendant les muscles de mon intimité et ouvrant mon cul. Lintroduction dun troisième doigt se fit sans aucun mal. Le sexe bandé contre le rebord du capot, les couilles serrées, lanus en feu, les fesses tendues vers mon partenaire, tremblant dattente et de désir, jétais offert à ses assauts, toute volonté abolie.

Jai senti son gland couvert de gel se poser sur ma rosette si bien préparée et sintroduire en douceur, sans effort et sans douleur. Celui-ci passé, mes muscles se sont refermés sur la verge de Patrick qui me pénétrait dun seul élan, pour enfin buter contre ma prostate. Un plaisir inouï sempara de moi, vite accentué par les mouvements de ce membre chaud, gonflé et rigide dans mon rectum. Javais la sensation de ne plus faire quun corps avec mon amant, grâce à cette verge pleine de sang et palpitante, glissant et roulant en moi, partageant ainsi sa vie, son souffle, sa jouissance. Le mouvement saccélérant, je commençais à donner des coups de cul vers le ventre de mon ami, pour mieux enfoncer son vit, malignant sur son rythme intense. Cest en hurlant de plaisir que jai reçu dans mon tréfonds la semence abondante de mon mâle dominant et que jai éjaculé en grands jets de foutre sur mon ventre et le capot de la voiture sur lequel jétais penché.

Reprenant ma respiration, je meffondrais dans les bras de Patrick et nous tombions, enlacés, sur lherbe du sous-bois. Après quelques baisers échangés, épuisé, je mendormais sur sa poitrine, le nez dans sa toison, le bras gauche entre ses jambes. Lorsque je méveillais au petit matin, jétais seul, nu, étendu dans lherbe près de ma voiture. Avais-je rêvé ?

Me relevant, je constatais que mon short et mon polo étaient déposés sur le toit de ma bagnole et quun papillon portant un numéro de téléphone mobile était glissé sous mon essuie-glace. Ainsi cette aventure était bien réelle, javais fait lamour avec un mec, étant successivement mâle et femelle et jen avais éprouvé un immense plaisir. Lui aussi sans doute puisquil moffrait la possibilité de le joindre et donc de le revoir.

Pensif, jenfilais short et polo à même ma peau tachée de sperme séché, mettais le papillon dans ma poche, me glissais au volant et quittais les lieux en sifflotant, tel un athlète victorieux.

Patrocle

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