Voilà une aventure qui m’est arrivée il y a quelques temps. Je suis une femme de la quarantaine, encore assez agréable à regarder bien qu’un peu trop enveloppée !. Je suis mariée et heureuse en ménage. Mais je n’ai pas souvent refusé un petit ’extra’. J’ai eu des aventures, des amants, mais jamais encore comme cette fois-là.
J’étais à faire mes courses dans une grande surface. Il était environ 14 heures et les clients n’étaient pas très nombreux. Il est vrai que je me sentais un peu ’excitée’. Cela se voyait-il ? Je ne sais pas. Toujours est-il que je remarque un mec d’environ trente ans qui n’arrête pas de me reluquer. J’y fais à peine attention. À un certain moment, il s’approche de moi par derrière sans que je ne le voie et en arrivant à ma hauteur, il me met la main au cul, d’une façon qui ne prêtait pas à confusion. Une belle caresse, bien appliquée.
D’habitude, je me serais offusquée, j’aurais protesté… Mais là, je ne fais rien. Je ne sais pas trop ni pourquoi ni comment… Le mec me dépasse, se retourne et me sourit. Je pense que je lui ai rendu son sourire, je n’en suis pas sûre car j’étais troublée. Très troublée, même. Je termine mes courses. J’avais passé la caisse que revoilà le gars. Il s’approche de moi et me dit : ’tu décharges ton chariot et tu me rejoins au bar.’ C’était plus un ordre qu’une proposition. Cette façon de faire a encore accentué mon trouble. Je me suis sentie excitée et incapable de réfléchir. Si bien que quelques minutes plus tard, je me dirigeais vers le bar, un peu comme une automate, la tête dans le brouillard et la chatte déjà un peu mouillée.
Arrivée à proximité du bar, je l’aperçois qui m’attend à une table. Je pense qu’il va m’offrir un verre pour faire ma connaissance et me faire des propositions, mais non. Il se lève, s’approche de moi, me prend le bras et me dit : ’Viens, on va chez moi ?’ Il est vrai que sa façon de faire m’a excitée encore un peu plus. Et me voilà dans sa voiture, puis dans son appartement sans bien réaliser ce qui m’arrivait. On était à peine rentrés, la porte était à peine fermée qu’il me dit : ’Mets toi à poils.’ Et je me suis déshabillée, sans rien dire, devant ce gars que je ne connais pas ! Drôle de situation ! Surtout que pendant que je me foutais à poils, il s’était assis dans son fauteuil et qu’il m’observait avec attention.
Vous ne pouvez pas savoir dans quel état j’étais. J’avais honte, mais j’étais heureuse d’avoir honte. J’ai enlevé mon corsage, laissant voir mon soutien gorge, et mes seins car il était très transparent. J’ai dégrafé le soutien gorge et mes seins sont apparus. Je les ai d’abord cachés avec mes mains, puis j’ai baissé mes mains pour m’attaquer à la jupe et mes seins se sont mis à ballotter, impudiques. Puis la jupe a suivi et je me suis retrouvée devant lui en petite culotte. Je suis restée ainsi. Je pensais que ça suffirait. Il m’a fait signe de me retourner et je lui ai montré mes fesses. Quelle honte ! Quelle douce honte ! J’ai alors fait glisser ma culotte et en me baissant pour l’ôter, je sentais son regard sur mon cul ainsi offert. Je n’avais plus aucune pudeur et c’est très simplement que je me suis retournée, lui dévoilant ma chatte. Il faut dire que je suis presque totalement épilée je n’ai qu’une petite touffe de poils, courts, en forme de petit triangle, au dessus de la fente qui est donc bien visible. Les jambes serrées, ma chatte n’est pas visible, bien sûr. Alors j’ai écarté mes jambes. Lentement. Mes pieds étaient serrés, mais j’ai écarté les genoux, en me baissant un peu. J’ai continué. Et je me suis retrouvée accroupie devant cet homme que je ne connaissais pas, nue, jambes entièrement écartées, lui montrant mon intimité le plus largement possible ! Il m’observait. J’ai posé mes mains sur mes cuisses et j’ai attendu. Puis je me souviens que j’ai relevé mes seins avec mes mains, comme pour les lui offrir. J’étais en train de vivre un de mes fantasmes : m’offrir entièrement à un inconnu. Puis il s’est levé et m’a fait signe de le suivre.
On a pris le couloir et, en ouvrant une porte qui était celle de sa chambre, il m’a dit : ’mets toi en position, je vais pisser.’ Je suis rentrée dans la chambre. Le lit était juste en face de la porte. Je m’y suis étendue, sur le dos, j’ai écarté les jambes au maximum et je l’ai attendu. ?a a duré un petit moment puis il est revenu. Il a quitté son pantalon et son slip. Il bandait ferme. Cela ne m’a pas étonné. Il est venu sur le lit, s’est placé entre mes jambes, et, sans même s’aider de ses mains qu’il a placées sur mes épaules, il m’a pénétrée. Profondément. Avec force. C’était bon. Quelques va et viens, et il a joui. J’ai eu mon plaisir en même temps. C’était super. Je n’avais jamais baisé comme ça ! Je me souviens avoir crié sans retenue. J’ai joui comme une salope que j’étais, pendant qu’il me remplissait de son sperme, sperme qui ressortait de mon con à chacune de ses entrées.
?a a duré quelques minutes puis il s’est retiré, s’est levé, est parti vers la salle de bains en me disant : ’rhabille-toi’. C’est ce que j’ai fait, sans me laver. J’avais du sperme sur la chatte, sur mes cuisses, mais je me suis rhabillée comme ça. Il est revenu, habillé lui aussi et il m’a dit : ’ Au revoir, et à un de ces jours, salope’. Je lui ai répondu ’au revoir, oui !’. Et je suis partie, le con ruisselant. Je sentais le sperme dégouliner sur mes cuisses. J’étais honteuse, mais tellement heureuse !
Je me suis aperçue alors que je n’avais prononcé que cette dernière phrase qui indiquait que j’étais prête à recommencer, à me faire sauter par un inconnu, comme une pute, mais gratuitement, et sans rien dire. Je ne vous dis pas comme je suis retournée souvent dans ce magasin, en espérant rencontrer mon baiseur !
Donnez moi votre opinion sur ma conduite. Que dois-je faire ?