Belle fille 14
Je serre contre moi les corps de mes (belles) filles en regardant s’éloigner la voiture de mon épouse Brigitte. Cette dernière est amoureuse de son neveu Maxime et surtout de son sexe.
Elle est prête à tout pour lui, au point de le rejoindre et de gommer ainsi, toutes les années qui unissaient nos vies.
Je ne sais ce qui me rend si morose ce soir. Est-ce qu’elle ait voulu m’humilier avec ses confidences sexuelles ou bien de savoir notre union définitivement perdue ?
En me ressassant ces interrogations, je me rends à l’évidence que je ne suis pas un saint. J’ai couché avec ses deux filles, ce qu’elle sait désormais. De plus, je suis éperdument amoureux d’Aurélie, ce qui, je dois le reconnaître, fait que l’amour pour mon épouse s’étiole.
Mon aînée dit :
— Ne t’inquiètes pas PAPA’, connaissant mon cousin, il se lassera vite et maman te suppliera pour revenir à la maison.
Je ne la reprends pas qu’elle ait dit papa’ et lui réponds :
— Non Laetitia, cette fois, c’est définitivement fini ! Après les révélations de ce soir, il ne peut en être autrement ! Il est fort probable que nous divorcions, ta mère et moi.
Aurélie prend alors la parole :
— Rentrons maintenant, nous aborderons ce sujet plus tard !
Je lui sais gré de sa délicatesse, elle pourrait profiter de l’opportunité qui s’ouvre à elle de disposer de moi totalement, elle n’en fait rien..
Nous rentrons à la maison et je m’assieds sur le canapé, près de mon ange blond, pour poser ma tête sur son sein. Aurélie me câline presque maternellement, alors que sa sur s’affaire à nous servir un verre d’alcool.
Ce n’est pas dans nos habitudes, mais là, la chose s’avère presque nécessaire, après un tel choc émotionnel.
Nous trinquons, mais le cur n’y est pas ! Je leur avoue mon sentiment de culpabilité, celui d’avoir trahi leur maman.
C’est alors qu’Aurélie dédramatise la situation en s’écriant :
— Oh là là ! Le vilain garçon ! Il mérite une fessée ! Tu en penses quoi, Laeti ?
Si je me demande si elle plaisante, je vois le visage de Laetitia s’illuminer d’un grand sourire.
— D’accord soeurette, on finit le verre et on s’occupe de ça !
La perspective de ce petit jeu finit par m’amuser et me détendre. À moins que ce ne soit dû au breuvage. Peu importe ! Le résultat est là ! Je vais m’abandonner à leurs caprices. Ça va me faire du bien de penser à autre chose.
Ma chérie me souffle à l’oreille :
— Déshabille-toi mon amour et montre-nous tes fesses.
— Maintenant ?
— Bien sûr, maintenant ! Après tu t’agenouilleras sur le canapé, le cul offert !
Encore un de ses jeux coquins auquel je vais me soumettre avec plaisir.
Les deux filles disparaissent dans la cuisine, le temps que je me mette nu et avec la posture exigée. Aurélie s’approche, avec en main une serviette de cuisine avec laquelle elle me bande les yeux.
J’entends marcher dans la pièce, des portes s’ouvrir et se refermer, mais il ne se passe rien !
Je reste en position, de longues minutes, à attendre leur bon vouloir.
J’entends des pas se rapprocher et, sens tout à coup des doigts me frôler les fesses, sans que je sache à qui ils appartiennent. Elles se sont mises de part et d’autre de moi. Une main glisse entre mes jambes pour effleurer mon sexe. Les manipulations expertes lui font prendre vigueur. Puis, brusquement, je reçois une bonne claque sur la fesse droite, puis une autre sur la gauche. Houille ça pique !
L’avalanche de claques douloureuses qui suit a un effet curieux. Ça me surexcite !
Je bande à en avoir mal, tant la situation m’émoustille. Cette punition’ qui m’est infligée a un effet libérateur pour mon esprit chagrin.
Tout s’arrête brusquement et j’entends des petits bruits derrière moi. Sans avertissement, deux doigts s’insinuent dans mon fondement pour m’oindre de gel lubrifiant.
Je sais ce qui m’attend !
L’objet froid qui entre en moi dilate mon anus. C’est le gode ceinture ! Ce ne doit pas être le vibromasseur de Brigitte car il est probable qu’elle l’ait embarqué.
Là, c’est assurément Laetitia qui me chevauche. Je reconnais son parfum.
Je tâtonne autour de moi pour trouver la main d’Aurélie, sans succès !
Ma cavalière assure sa position et m’enfonce son pieu au plus profond. Je râle, mais de plaisir !
Si Aurélie s’est révélée habile avec cet engin, sa sur est très douée, voire experte !
Elle me sodomise mieux que le gars qui m’avait pris dans la voiture. Ses mouvements de bites sont langoureux. Et puis, progressivement, sa respiration s’accélère, signe de son émoi.
Le rythme de ses pénétrations augmente et les premiers jurons fusent après quelques minutes.
Quand Laetitia s’enflamme, elle devient vulgaire et ça a le don de m’exciter !
Je lui dis :
— Oh oui Laetitia! C’est bon !
— Prends ça ! Et puis ça ! Tu l’aimes ma grosse queue, pas vrai ?
— Oh oui ! Défonce-moi !
Ce qu’elle fait un long moment avant de s’interrompre, pour malaxer mon membre. Elle s’y prend si bien que j’éjacule rapidement de nombreux jets sur le canapé. Elle reste collée à moi, en me donnant de petits coups de reins, pour stimuler encore un peu plus mes sens.
Elle me souffle à l’oreille, à voix très basse :
— Je t’aime mon chéri !
Elle sait que mon cur est à sa sur, mais j’accepte volontiers ses mots tendres, après son déchaînement de violence.
J’ôte mon bandeau, pour chercher ma bien aimée et la vois, en retrait avec un petit sourire satisfait. Je tends la main vers elle pour quémander sa présence et c’est sa sur qui me tourne la tête pour m’embrasser. Elle le fait si divinement que je m’abandonne entièrement
C’est à trois que nous passons la nuit dans mon lit. Très chastement, tout en douceurs câlines.
Le lendemain, les deux surs sont encore endormies quand je descends leur préparer un plateau pour le petit-déjeuner. Je prends au passage mon téléphone sans le consulter et vais les rejoindre afin de les réveiller.
Encore somnolentes, elles me bisent les lèvres et font de même entre elles.
Je caresse la joue d’Aurélie, tout en restant contemplatif de sa grande beauté. Quelle chance j’ai de pouvoir l’aimer, malgré notre différence d’âge.
Nous buvons ensemble notre café et je compulse machinalement mon téléphone.
Brigitte m’a envoyé un message, il y a presque une heure de cela, dont voici la teneur :
« Regarde ça, espèce de salaud! C’est ce que j’ai eu dans le cul en arrivant hier soir ! Humm, comme il était bon ce ramonage ! »
Il y a une photo d’un homme debout, dont on ne voit que le bas du corps, c’est probablement son neveu. Par contre, je reconnais sans difficulté ma belle sur agenouillée et suçant celui qui doit être son fils, qui, il est vrai, est bien monté.
François est nue, et je ne peux m’empêcher d’admirer les deux gros obus de sa poitrine. Elle est sacrément fournie de ce coté là !
Mon indifférence à cette provocation est probablement due au fait que je ne reconnaisse pas mon épouse au travers de ce texto. Elle, la femme cultivée, capable d’écrire de telles vulgarités, ça ne lui ressemble pas ! La bellicité de ma femme ne m’émeut pas plus que ça, et je tends l’appareil aux filles pour qu’elles prennent connaissance du message de leur mère.
Avant qu’elles n’émettent un commentaire, je place mon doigt sur mes lèvres pour leur suggérer le silence. Je ne souhaite pas, que l’une et l’autre, puissent juger leur maman.
Pour dire quelque chose, Laetitia déclare :
— Elle a de sacrés nichons, tante Françoise. T’as vu ses tétons comme ils sont gros !
— C’est vrai ! Mais les miens ? Ils ne te plaisent plus ? Demande Aurélie
— Oh que si !
Laetitia bascule ma chérie sur le dos et se précipite pour gloutonner la poitrine de ma douce.
C’est vraiment un réveil en fanfare ! En quelques minutes, elles sont tête-bêche, à se dévorer mutuellement la chatte.
Le spectacle est érotique au possible. Il n’y a pas à dire, observer deux filles faire l’amour, c’est sacrément excitant !
Le postérieur d’Aurélie m’appelle et je me penche pour dévorer son petit trou. La position est mal aisée pour accomplir ma tâche, aussi je dois me résigner à abandonner.
Aurélie me propose de prendre une photo d’elles en soixante-neuf. « Pour maman » précise-t-elle !
Si je prends la scène en image, ce n’est pas pour me venger de mon épouse. Mais juste pour affirmer la complicité que j’ai avec mes filles. De plus, je n’ai pas envie que son gourou de neveu puisse voir le corps dénudé de ses cousines. Et surtout pas celui de ma chérie !
C’est Laetitia qui jouit en premier sous les coups de langues de sa soeur et qui finit par s’écrouler, à bout de souffle. Aurélie s’allonge sur le dos, les jambes ouvertes pour m’attendre.
Pas longtemps !
Laetitia nous laisse dans l’intimité et les retrouvailles avec ma chérie sont des plus voluptueuses.
En début d’après midi, les filles proposent que nous allions à la fête foraine.
Soit ! Ce n’est pas particulièrement dans mes loisirs préférés, mais aujourd’hui j’ai envie de me distraire comme un enfant. Ce n’est plus pour surveiller les gamines, comme j’ai pu le faire si souvent dans le passé. Là, je me sens rajeuni et j’ai besoin de m’amuser.
Au tir à la carabine, je me débrouille plutôt bien et nous repartons avec des ours en peluche. Nous mangeons des barbes à papa, faisons de la grande roue, mais aussi le train fantôme où Laetitia profite de l’obscurité pour me caresser la nuque !
Quand elles veulent faire un manège à sensations fortes, je capitule et préfère les attendre.
Une belle femme rousse, près de moi, entame la conversation. Non, c’est plutôt du rentre-dedans. Elle me fait du charme, en attendant son fils qui est dans la même attraction que mes amantes.
En d’autres temps, bien que de nature fidèle (?), j’aurais pu succomber à ses roucoulades, mais maintenant, je n’y tiens pas du tout. Elle réussit, dans la discussion, à m’arracher que je suis séparé de ma femme et y voit là, une occasion à saisir en redoublant de ses avances tacites.
Heureusement, sauvé par le gong, le manège s’arrête et les filles me rejoignent, suivi par un jeune au visage boutonneux d’acné.
La dame me dit :
— Vos filles sont très jolies, il n’y en aurait pas une pour mon fils ? C’est celui qui marche derrière elles.
Je tends la main vers mon amour, avant de lui rétorquer :
— Ce ne sont pas mes filles, madame. Aurélie est ma fiancée et Laetitia, ma future belle-sur !
Ma chérie a flairée la tigresse qui m’a accosté et vient vite se lover contre moi, mettant fin ainsi à mon embarras vis-à-vis de cette femme, qui s’éloigne déçue, voire dépité.
Aurélie me dit sur un ton, faussement, de reproche :
— Je ne peux pas te laisser plus de cinq minutes que tu te fais draguer !
— Je n’ai rien fait pour ça ! En plus elle voulait te marier avec son fils ! Qu’en penses-tu ?
Nous rions tous les trois, non pour nous moquer d’eux, mais juste pour la situation si incongrue que nous formons, mes filles et moi.
Plus tard, après avoir déposé dans le coffre de la voiture ce qui nous encombrait, nous allons flâner en ville.
Avec mes deux filles au bras, je ne passe pas inaperçu dans les rues. Comme je m’y attendais, j’ai le droit de visiter de (très) nombreuses boutiques et ma carte bancaire commence à chauffer.
Dans le dernier magasin, la dame de la caisse, tout en me lançant un regard complice, me touche explicitement les doigts en me rendant ma carte. Instinctivement, je retire ma main, mais fait un sourire amical, à cette dame bien plus âgée que moi.
C’est Aurélie qui propose le détour par le sex-shop où les deux coquines se lâchent ! Je ferme les yeux pour éviter de penser à la facture ! Je ne détaille même pas leurs achats.
La vendeuse nous reconnaît et demande discrètement si ma chérie est satisfaite de son achat précédent. C’est un gode qui fait tout ce qu’une femme moderne peut apprécier dans l’intimité.
Ma chérie lui répond, en me serrant le bras, qu’elle n’a pas eu encore l’occasion de bien le tester ! Sous entendant que je peux suppléer à cet appareil.
La vendeuse me lance un regard qui exprime : « Oh toi ! C’est quand tu veux ! » . Ce qui n’échappe pas à Aurélie.
Alors que nous nous éloignons, ma chérie me dit :
— Encore une qui te voudrait dans son lit !
— Ben quoi ! C’est normal, je suis l’homme parfait !
Si je plaisante en disant cela, je suis loin de le penser. Toutefois, il est curieux que je sois la cible de toutes ces femmes aujourd’hui. Est-il écrit sur mon front que mon épouse est partie ? Que je suis sur le marché des mecs disponibles ? Ou peut-être est-ce plus simplement, que mon esprit libéré de ses chaînes, y est plus attentif.
Laetitia avec son franc parlé, réplique :
— Un homme parfait ! C’est sûr ! Surtout au lit !
Et sa sur de lui rétorquer :
— Oh toi ! Ça va ! Tu as un copain, alors tu lâches mon mec !
Elle le dit en plaisantant, mais je décèle un fond de jalousie. Non envers sa sur, mais par la multiplicité des avances féminines à mon égard qu’il y a eu aujourd’hui.
Alors que je conduis sur la route du retour à la maison, je reçois un SMS.
Comme je suis au volant, c’est Aurélie qui le découvre et, livide, le fait lire à sa sur.
— C’est de maman ! Tu me le repasses après ! Je vais lui répondre à cette garce !
J’interviens pour répondre à Aurélie, très sereinement :
— Non chérie, je lirai le message plus tard et y répondrai moi-même.
— Non, mais si tu savais ce qu’il y a dans son texto, tu ne dirais pas ça !
Le téléphone de Laetitia sonne à ce moment. Sa conversation est difficile, à cause d’un manque de réseau, mais je comprends qu’il s’agit de son petit copain qui voudrait bien la voir ce soir.
Comme elle souhaite rester près de moi encore aujourd’hui, elle décline le rendez-vous. C’est alors que je propose qu’il vienne dîner à la maison. Ça sera l’occasion de le rencontrer, ce Florian.
Après notre arrivée, je prends enfin connaissance du message de Brigitte :
« Comme tu peux le constater, ce soir je vais bien m’amuser. Il »
Après avoir vu la photo jointe, il faut que je relise le texte du message, le plus calmement possible, avant de lui répondre !