Belle fille 9
Au matin, Aurélie et moi nous réveillons ensemble. Un petit bisou sur les lèvres confirme que je ne rêve pas. Ma belle est bien là ! Je me penche pour sucer son mamelon et rapidement je sens son téton durcir sous ma langue. Ma main glisse dans son dos, sur sa fesse, sur sa cuisse, tandis que je tête son sein.
Elle me dit, désolée :
— Oh chéri ! J’aimerais bien, mais je dois absolument faire pipi! Ça te dit de me regarder faire ?
– Dis donc! Tu commences fort la journée avec une telle proposition !
– Aller, viens, suis-moi !
– Je te suis
Nous partons, tous deux nus vers la salle de bain. Au lieu de se mettre sur les toilettes, elle m’invite plutôt à monter dans la baignoire, puis de m’y asseoir. J’ai compris !
Je sens frémir mon sexe, involontairement excité par la situation.
Elle se tient debout face à moi et un jet puissant sort de sa chatte. Mon ventre est éclaboussé de liquide chaud. Elle se cambre et j’en prends plein le visage. Sans qu’elle ne me le demande, j’ai ouvert la bouche. J’essaie de la boire et me rapproche de la source pour m’abreuver. Totalement trempé, je déglutis tout ce que je peux avant de lécher les dernières gouttes. Son clitoris sous ma langue devient si sensible, qu’elle jouit en peu de temps. Ce qu’elle vient de me faire a dû l’exciter terriblement pour réagir aussi promptement à mon cunnilingus.
Son souffle retrouvé, elle se tourne pour me faire dos et s’assied sur moi. Elle se pénètre d’un coup, d’un seul, sur mon membre dressé. Sa position est mal aisée pour bouger, aussi, c’est moi qui lui donne des coups de reins en lui tenant la taille, tant bien que mal.
Faire l’amour dans une baignoire n’est pas chose aisée, mais la situation est si excitante !
Je suis sur le point de jouir quand Laetitia ouvre la porte.
Nous sommes surpris de la voir arriver si tôt dans la mâtinée.
Elle regarde mon visage détrempé, sa sur qui oscille d’avant en arrière et comprend vite la situation.
– Humm ! Vous êtes adorables tous les deux ! J’ai bien fait de venir maintenant
Elle s’approche, s’agenouille, m’embrasse tout en caressant la poitrine de sa sur.
J’adore ses lèvres serrées lors de nos baisers et sa langue si agile.
Elle me souffle :
– Vas-y continue à la baiser !
Elle recolle ses lèvres sur les miennes et sa langue fureteuse m’excite à nouveau. Tant, d’ailleurs que je ne peux plus me retenir et tapisse l’antre de ma bien aimée.
Laetitia a bien compris combien j’aime ses baisers et continue à m’embrasser goulûment. Aurélie s’est relevée pour nous observer avec un petit sourire complice.
A bout de souffle, je la repousse tendrement. Elle semble satisfaite de sa prestation.
Après une toilette bien méritée nous redescendons tous les trois, complètement nus.
Je consulte mon téléphone, pas de réponse de Brigitte. J’essaie de l’appeler, sans succès ! Ça commence à m’inquiéter. Quand j’en parle à Aurélie, elle envoie un message à sa mère et, dans la minute, obtient une réponse, qu’elle me fait lire :
Pas beaucoup de réseau. Je vais bien !’
Bon ! Elle pourrait appeler à partir du téléphone fixe de sa sur, mais je suis rassuré que tout aille bien pour mon épouse.
Les filles me proposent de regarder un porno apéro’, comme elles disent. Devant mon air ahuri, elles m’expliquent que l’on va se faire un apéritif en regardant un film porno. J’avais bien compris ça, mais pourquoi regarder un film X ?
En tout cas, Laetitia se dirige sans hésiter vers ma cachette et se saisit de mon disque dur amovible pour le brancher sur le téléviseur.
Aurélie prend la télécommande et sélectionne un film essentiellement lesbien. J’avoue bien aimer les femmes qui se produisent dans cette vidéo. Elle a tapé dans le mille en choisissant celui là !
Elle zappe le générique et s’appuie sur mon épaule. Laetitia fait de même de l’autre coté.
J’enlace mes deux filles pour les câliner en regardant l’écran.
Le film est pornographique à souhait, puis les scènes deviennent de plus en plus osées et m’émeuvent énormément, à cela s’ajoute les caresses que me prodiguent les deux surs. Leur main me palpe entre les jambes et, forcément, je bande à nouveau.
Aurélie se saisit de la main de sa sur et toutes deux se relèvent. Laetitia se serre contre ma chérie et leurs bouches s’unissent. Je ne regarde plus l’écran, juste mes deux filles enlacées dans un baiser torride. Elles se détachent après plusieurs minutes et je ne peux m’empêcher de flatter leur croupe ferme. Je suis excité à souhait, mais Aurélie m’invite à attendre une dizaine de minutes avant de les rejoindre dans ma chambre.
En attendant ces dames, je consulte l’état du compte bancaire sur l’ordinateur.
Surprise ! J’y vois pas mal de dépenses récentes avec la carte de Brigitte. Ce qui m’attire l’il ce sont des achats pour de la lingerie et surtout une très grosse somme pour un magasin de téléphonie.
Je reste perplexe sur ce montant énorme pour un téléphone, surtout qu’elle n’a pas de réseau. Je me rassure et comprends que son ancien téléphone doit être hors d’usage et qu’elle n’est pas encore au point pour bien utiliser le nouveau.
J’arrête mes songeries, on m’appelle en haut !
Les filles se sont habillées et sont sexy à souhait ! Elles se tiennent côte à côte, enlacées par la taille. Aurélie me dit :
« Tu vas t’asseoir sur la chaise pour nous regarder. Laetitia voudrait t’attacher les mains, ça te dit ? »
En guise de réponse, je lui bise les lèvres et m’exécute. Je tends es bras derrière le dossier.
Quand Laetitia m’emprisonne, je sens déjà une forte excitation qui les fait sourire.
Et puis Elles m’oublient, pour m’offrir une séance inoubliable.
Tout se passe avec beaucoup de lenteur, tendresse, effleurements. Elles s’effeuillent mutuellement dans un érotisme à couper le souffle. Ce spectacle vivant est surréaliste ! J’en prends plein les yeux, mais aussi, je m’éduque en retenant certaines pratiques pour satisfaire ma chérie. Je retiens surtout qu’il me faudra être moins empressé et être plus appliqué, pour lui prodiguer les préliminaires.
Elles sont nues sur le lit et roulent l’une sur l’autre, dans un sens puis dans l’autre. Quand elles sont tête-bêche pour se manger la chatte, je n’en peux plus d’impatience.
Puis, c’est après plusieurs minutes avec les jambes entremêlées pour se frotter mutuellement le pubis, qu’Aurélie tend le bras sous l’oreiller pour se saisir du gode de ma femme.
Sa sur l’attend jambes ouvertes, mais me nargue en suçant son pouce, mimant ainsi une fellation qui me ferait bien envie je n’étais pas immobilisé.
Avec un petit sourire elle annonce qu’il y a des piles neuves. Elle actionne un bouton et le pénis artificiel se met à vrombir, elle écarte ensuite les lèvres de Laetitia puis enfonce l’objet dans la chatte de sa sur. Cette dernière se cabre et cherche à repousser l’invasion hors du commun qui lui remue les sens.
Je suis tendu au maximum quand ma chérie se met à baiser sa sur.
Oui, baiser c’est le mot ! Après une première pénétration en profondeur, elle prend un rythme qui fait vite échapper des soupirs à sa partenaire. Cette dernière bascule dans sa grossièreté habituelle quand elle s’apprête à jouir. Aurélie se déchaîne et semble accorder son rythme à celui de sa sur, comme pour lui infliger des coups de reins sauvages. Même quand Laetitia hurle sa jouissance, ma belle continue à la maltraiter par les invasions de son phallus.
Même si j’ai les bras ankylosés, les poignets meurtris je bande comme un âne. Je meurs d’envie de les rejoindre et trépigne sur ma chaise en les implorant.
Aurélie me jette un regard malicieux, sort de sa sur pantelante et s’approche de moi, pour me tendre le gode. Quand elle m’approche la chose près du visage, je comprends ce que je dois faire.
Et me voilà à sucer un pénis artificiel. Il est bien fait, avec des veines apparentes, des proportion raisonnables, mais en plus de la cyprine qui le tapisse, il y a un arrière goût de caoutchouc, pas très agréable. Elle fait quelques mouvements dans ma bouche et, satisfaite de ma prestation, elle me détache enfin les mains.
Je n’ai pas le temps de me masser les bras qu’elle s’est mise à quatre pattes. Avec tous les évènements précédents, je suis dur comme du fer pour la prendre en levrette, mais elle me dit :
– Tu t’es trompé mon chéri, remonte un peu !
Je me positionne sur son anus et l’opération s’avère délicate. Heureusement Laetitia vient à notre secours avec du lubrifiant. Quand mon sexe est au plus profond d’Aurélie, la sur s’essuie les doigts sur mon sillon et, ça me plaît tant que je lui tends ostensiblement mon postérieur.
Elle comprend l’invitation et me pénètre directement de deux doigts qui s’animent d’une façon incroyablement délicieuse. Je suis aux anges d’être envahi ainsi alors que je sodomise ma bien aimée avec tendresse.
Quand Laetitia s’interrompt, je lui jette un coup d’il déçu par-dessus l’épaule, mais je comprends vite ce qu’elle trame en se saisissant du gode qu’elle lubrifie.
Au point où j’en suis avec elle, je peux lui accepter ça aussi!
Curieusement, quand elle me pénètre je n’éprouve pas de douleur, au contraire. Je sens que ça glisse tout seul pour m’envahir. Si elle a glissé une main entre ses jambes pour se caresser, elle ne me délaisse pas pour autant !
Elle se met à animer la fausse verge ! Alors là, c’est absolument génial. Elle s’y prend si bien que j’en oublie presque ce que je faisais, mais Aurélie contracte son sphincter et je reprends mon rythme avec une bandaison extrême. Ma chérie s’allonge sur le sol et moi sur elle.
Laetitia a suivi le mouvement ! Elle se couche sur mon dos, sans sortir de mon petit trou, m’inflige une sodomie de plus en plus sauvage et se met à m’insulter.
Elle a bien noté que j’aime ça !
Elle profère, entre autres :
— Tiens salaud Prends moi ça dan le cul Tu l’aimes ma grosse bite, pas vrai ? . Espèce de salope . Je bourre ton sale fion de pédé !
Elle se frotte le clitoris sur le haut de ma cuisse en rythme de ses coups de buttoir. J’ai l’impression qu’elle est réellement munie d’un sexe, tant ses mouvements sont coordonnés. Quand elle met en marche le vibreur, je sens une onde se propager en moi.
— Je te défonce le cul sale bâtard ! Je vais te déchirer le trou !
Ce déchaînement de mots et de coups de bite m’excite ! Je ne puis me retenir d’éjaculer dans le fourreau de ma bien aimée qui se trouve privée de jouissance, à mon grand regret. C’est la deuxième fois de la journée que j’éjacule avant qu’elle n’atteigne l’extase.
Nous sommes tous trois exténués et nous allongeons sur le dos, à même le sol. Une flaque de sperme s’est crée sous les fesses d’Aurélie qui n’en a que faire.
Laetitia tient son sexe en main, l’agite machinalement pour dire :
– Tu es génial Papou ! Tu es vraiment un sacré partenaire! J’ai failli jouir en étant sur toi ! Et toi ? Tu as aimé ?
— Comment te mentir ? Tu as remarqué que j’étais sensible de là ! Mais, je vais te demander une chose : Ne plus m’appeler Papou dans l’intimité ! Dis ce que tu veux, mais pas ça. Ça me gêne, tu comprends ?
C’est vrai, quand elle dit ça, je me retrouve dans le rôle de père et non plus d’amant.
La subtilité féminine leur fait vite comprendre mes sentiments.
C’est en chur qu’elles approuvent par :
-Compris mon chéri !
Je me penche vers ma bien aimée pour l’embrasser. Laetitia me caresse affectueusement le dos puis sa bouche enserre mon sexe maculé. Elle me nettoie avec application durant le long baiser que j’échange avec Aurélie.
Ma chérie émet un petit pet mouillé et nous demande :
– Qui veut mon jus ??
Laetitia et moi disons en même temps :
— Moi ! Moi !
Par galanterie je la laisse choisir et pendant qu’elle s’occupe de l’anus de mon amour, je lape la flaque brunâtre qui jonche le parquet.
Les filles ne s’en offusquent pas le moins du monde. Je me dis, en moi-même, que j’ai beaucoup changé ces derniers temps !
Après quoi, nous remettons de l’ordre dans la chambre et enfilons nos vêtements. Laetitia reprend le gode pour le nettoyer dans le lavabo. Elle nous demande à brûle pourpoint :
-« Je peux vous l’emprunter ? J’ai envie que mon Florian connaisse ça !
Je rétorque :
– À ce propos, ton copain sait-il que nous faisons l’amour ensemble ?
– Oh non ! Tu crois que je dois lui en parler ?
– À toi de juger ! Il risque d’être jaloux inutilement.
– Mais, moi je t’aime aussi PapEuh Mon chéri !
Elle s’avance pour m’enlacer, mais je lui préfère sa sur.
Voyant son air dépité, j’ai pitié d’elle et la prend à son tour dans mes bras. Quand elle me tend ses lèvres, je ne résiste pas.
Comme nous en avions convenus, Laetitia nous quitte pour rejoindre son petit ami.
Aurélie et moi avons la nuit devant nous.