Le reste de la journée a été un véritable supplice. Nous avons passé notre temps, ma belle-mère et moi, à tenter de nous retrouver tous les deux, cachés, pour nous tripoter dès que possible.
Elle me mettait la main au paquet ; je lui caressais les fesses, parfois par-dessus sa petite robe dété, parfois dessous, furtivement ; je lui caressais les seins, les joues, les cheveux.
Tous ces gestes étaient plus sensuels que sexuels, ils étaient doux.
Mais ce nétait vraiment pas facile, car nous étions quand même assez nombreux, et moi mes enfants me prenaient pas mal de temps (jeux, piscines, etc ). Je ne leur reproche pas hein, jaime jouer avec eux.
Tout ça pour dire quil nous restait deux semaines à passer ici et que je comptais bien en profiter. Marie aussi dailleurs.
Le soir de notre première étreinte, elle ma glissé à loreille, alors que jétais allé laider dans la cuisine :
— oh mon gendre, mon Séb, tu mas tellement fait jouir tout à lheure Jai besoin encore de ta queue, de ta langue, de tes lèvres, de tes muscles
Et le Séb quest-ce quil a immédiatement fait en entendant ça ? Et bien oui, il sest mis à bander comme un âne (bon, ok ok, comme une mule pour changer).
Je lai embrassée profondément en la caressant partout. Elle a répondu fougueusement à mon baiser.
Mais si nous avions envie lun comme lautre de « remettre ça » (je la cite), encore nous fallait-il trouver et vite un moyen de laccomplir en toute discrétion.
Je ne pouvais quand même pas provoquer une nouvelle engueulade entre elle et mon beau-père !
Encore que Finalement Ce nétait peut-être pas une si mauvaise idée que ça
Jen parlais, quand je le pus, à ma belle-mère, qui elle trouva lidée excellente ! Voyez-vous ça !
Je lui demandais à propos de quoi ils sétaient engueulés la dernière fois, et elle mexpliqua que mon beau-père lavait caressée un peu brutalement, dune façon légèrement macho, en lui faisant comprendre quil avait envie de faire lamour et que cétait quand même un peu son droit vu quil était son mari. Elle lui avait parlé de migraine (aaaah LA fameuse migraine), dune « autre fois », enfin bref elle lui a fait comprendre quant à elle que cétait non quoi. Il la un peu bousculée, la faisant tomber sur son lit les pattes écartées. Puis il lui avait fait remarquer que se balader sans culotte, ce nétait pas très correct quand on recevait du monde, ce à quoi elle avait rétorqué que ce « monde » cétait sa fille, son gendre et leurs enfants et quelle ne voyait pas de mal. Puis il a essayé de se placer entre ses cuisses, et cest là quelle lui a envoyé un coup léger de genou dans ce quil est convenu dappeler ses couilles. Et cétait parti pour la grosse engueulade, avec retour final du beau-père dans sa propre chambre, sa queue dans la poche et ses couilles en capilotade !
Vicieusement, je lui conseillais, un prochain soir, de se faire plus chatte encore, voire provocante, de se montrer exprès nue devant lui, afin de laguicher, pour finalement parvenir au même résultat, dû à la même migraine. Je sais, cétait nul de ma part, mais bon il faut ce quil faut quand on veut baiser à nouveau avec sa belle-mère non ?
Elle provoqua cette engueulade le lendemain soir. Et pour gueuler, ça gueulait putain ! Même ma femme est allée les séparer dans la chambre.
Elle ma raconté le lendemain matin, au petit déjeuner, quelle était entrée complètement à poil dans la chambre de son mari et que, sous prétexte de chercher un bouquin, elle avait passablement agité son joli petit cul sous ses yeux, nhésitant pas à se pencher lentement et souvent devant lui pour bien lui faire voir ses deux orifices. Il a bien eu loccasion de voir son minou totalement lisse et a, bien évidemment, repris là où il avait échoué quelques jours auparavant. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, cela sest terminé de la même façon. Marie ma même dit quelle était parvenue à pleurer pour de vrai, larmes à lappui ! Ce que femme veut
Et quand je dis les mêmes effets, mon épouse proposa à peu de choses près la même porte de sortie pour sa mère, à savoir une grande promenade avec son gendre préféré qui lui avait « si bien réussie la dernière fois ».
Je pris un air le plus détaché possible, et me précipitai pour réserver dare-dare une chambre dhôtel dans la grande ville voisine. Réservation à 15h00, sous un faux nom bien sûr, pour « quelques heures » avais-je dit au réceptionniste.
Déjeuner très tendu, sans le beau-père qui faisait encore la gueule, et nous voilà partis, elle et moi, à 14h30 pendant que tout le monde samusait dans la piscine.
— où memmènes-tu mon chéri ?
— jai réservé une chambre à lhôtel Péridor, à
— hmmmm oh là là une chambre dhôtel ! ça mexcite tu sais
— ah oui ? je peux vérifier ?
— hm hm
— oooh mais cest vrai ça que ça texcite ma belle !
(elle était effectivement complètement trempée, inondant le siège de ma Clio)
— quand je te le dis !
— tiens, suce-moi pendant que je conduis
— pas de problème mon gendre
Et elle se penche sur le côté, me sort la queue du pantalon pour emboucher ma queue déjà dure comme du bois.
Comme elle sy prend bien ma belle-mère ; elle me malaxe les couilles, passe le bout de sa langue sur le bout de ma queue, me happe le gland, puis fait glisser ses lèvres tout le long de ma hampe Hmmm Dailleurs cest interdit de téléphoner au volant, mais y a-t-il une loi qui interdit de se faire sucer pendant quon conduit ? Bon, cest vrai que là, je men foutais bien notez !
Elle ma sucé la queue pendant un bon quart dheure.
Puis je lui ai demandé darrêter parce que nous arrivions (cest monsieur Tom-Tom qui me la dit).
Je ne vous raconte pas la tête du réceptionniste quand il nous a vus arriver ! Un homme de la quarantaine, les joues un peu roses, et une femme de plus de cinquante ans, manifestement nue sous sa robe, avec une chambre réservée pour laprès-midi seulement. Jai presque cru quil allait sétouffer le pauvre.
— chambre 218, cest au deuxième étage, msieur-dame
Jai payé, pris la clé, et jai laissé ma belle-mère monter les escaliers en premier.
Eh oh, je sais rester galant tout de même ! Menfin
Malgré ma galanterie, incontestable, jai bien évidemment profité de cette montée des marches pour observer ma belle-mère à qui mieux-mieux. Et plus spécialement une partie charnue et particulièrement appétissante de son corps. Quelle avait un beau cul mon Dieu ! Pendant quelle montait les marches, je voyais ses deux jolies petites fesses rebondies dont les muscles bougeaient en cadence. Je pouvais apercevoir son abricot par intermittence, et son petit trou si mignon, encore inexploré complètement.
Nous nous sommes brièvement arrêtés sur le palier du premier étage pour nous embrasser et nous caresser ; je soulevais le bas de sa robe, je sortais ses seins, ce qui choqua dailleurs énormément une sorte de touriste bizarre à chapeau qui sortait tout juste de sa chambre.
Puis nous arrivâmes à la porte tant attendue, celle de la chambre 218, et nous entrâmes en nous tenant la main.
Je sentais ses pulsations cardiaques là où passaient ses veines. Elle semblait émue, en plus dêtre excitée. Je létais aussi au demeurant.
Jai fermé la porte derrière moi et nous nous sommes littéralement jetés dans la chambre. Les rideaux étaient ouverts et la petite pièce était particulièrement lumineuse.
Ma belle-mère sest immédiatement mise à poil, nattendant pas que jaie le temps de seulement ôter mes chaussures (ce qui est long, 12 rangées de lacets !). Puis elle est venue se coller à moi, membrassant, me disant des mots doux, des mots tendres, des mots brûlants, des mots de luxure
Cela faisait longtemps que je bandais, moi.
Elle sest agenouillée devant moi et ma dit :
— va ouvrir mon sac, mon chou, va voir ce que jai apporté