Il y a quelque temps avec Béné nous avons commencé un travail sur elle et son petit cul.
Au début elle ne voulait pas entendre parler de sodomie, ni même d’un doigt dans son cul. Un jour, chez elle avec son mari à nous amuser, elle nous demande de la prendre tous les deux en même temps. Au début nous avons été étonnés et lui avons dit que si elle ne voulait pas par le cul, ça allait être compliqué. La réponse a été :
— Bah ! Tous les deux dans ma chatte, depuis le temps que j’en prends et que tu me la dilates avec ta main (en me regardant) elle doit bien être capable d’en prendre deux. Et puis si ça ne rentre pas, forcer un peu les garçons, j’ai envie d’être bien remplie ce soir !
On n’a pas hésité longtemps, son mari s’est installé sous elle et moi derrière elle. Il a mis sa queue dans sa chatte et moi je suis entré après. Effectivement c’était simple. Elle nous lance :
— Vous voyez les garçons, facile !
Et je lui réponds :
— Oh ! Que oui, il y aurait même la place d’en mettre une de plus !
— T’inquiète. Me répond-elle.
Nous commençons à la prendre comme ça, des allées et venues chacun son tour ou alors en même temps. Vu ses cris c’est quand on avance tous les deux en elle qu’elle préfère. Après quelques minutes elle nous dit :
— Putain c’est gros, mais c’est trop bon, j’aime quand vous m’ouvrez la chatte, me faire défoncer comme ça, j’aime quand je suis toute dilatée. Rajoutez-moi des doigts !
Mieux placé, j’ajoute un doigt, puis deux. Elle était trempée et très ouverte. Elle a joui une première fois, nous a demandé de nous retirer pour faire une "pause". En fait elle a profité du miroir en face du lit pour voir comment sa chatte était ouverte. Après inspection elle s’exclame :
— Bah voilà une jolie chatte les gars, comme j’aime être, prête à prendre plus, bien mouillé. Elle se tourne vers moi et me dit :
— Tu viens y mettre ta main pour montrer à mon mari comment tu me fais triper quand tu me fistes ?
J’ai bien entendu pas hésité un instant, je n’ai pas eu besoin de beaucoup de temps pour que ma main rentre. Entre deux râles de plaisir elle explique à son mari la sensation :
— Tu n’imagines à peine la sensation, tous les recoins de ma chatte sont sollicités. Je sens ses doigts bouger en moi, son point s’ouvrir et se fermer. C’est trop bon, avec ça je suis bien rempli et une fois qu’il a enlevé sa main je suis encore plus ouverte et j’adore regarder ma chatte dans cet état ! À ce rythme je vais bientôt pouvoir m’en prendre deux ! J’en mouille rien qu’à l’idée.
Je continue à m’amuser jusqu’à la faire jouir et de nouveau, après que je me suis retiré elle regarde sa chatte en se caressant. D’un regard provocateur elle me lance :
— Toi l’expert du doigt, si on passait aux choses sérieuses ? J’ai envie de me faire fouiller le cul de la même manière que ma chatte ! Je sais j’ai toujours dit non mais j’en ai très envie maintenant !
Je l’ai calmé un peu en lui disant que ce nest pas ce soir que j’allais pouvoir lui mettre une main dans le cul mais que j’étais d’accord pour commencer l’apprentissage de son cul. Je l’ai installé à quatre pattes en lui ordonnant de sucer son mari. Moi derrière elle j’ai commencé à lui caresser l’entrée de son anus avec du gel. Au début elle était tendue mais son mari a su l’occuper et j’ai pu réellement faire mon travail. Rapidement mon doigt est entré facilement. J’ai été surpris par cette facilité mais je n’ai rien dit. J’ai continué à jouer avec son cul puis j’ai ajouté un deuxième doigt qui à mon grand étonnement est entré très facilement lui aussi !
— Dis, Béné, j’ai comme l’impression que je ne suis pas le premier à passer par là ?
Entre deux coups de langue, elle me répond :
— Euuuhh, bon j’avoue ça fait plusieurs semaines que tous les soirs je joue avec cul et j’ai bien moins peur maintenant. Mais je préfère quand tu me le fais, j’aime être ta chose entre tes doigts, j’aime les sentir me fouiller. Tu sais parfaitement où aller pour me faire décoller !
— OK, pas de soucis. Et tu as utilisé quoi ?
— Un peu de tout, au début un doigt, un stylo, puis une carotte. J’ai essayé une courgette mais je n’y suis pas arrivé.
— Ne t’inquiète pas je vais assez te travailler le cul pour que même la courgette devienne l’échauffement.
Sans qu’elle s’en rende compte pendant notre conversation, je venais de lui mettre trois doigts. Elle ne pouvait plus me parler tellement elle jouissait. Cette fois c’était une vraie pause, elle en profita quand même pour aller voir ces trous. Un peu déçu :
— Mince mais mon cul n’est pas ouvert !
— Ne va pas trop vite, il le sera bien assez tôt avec les exercices que tu vas faire tous les soirs.
— Hummmm j’en mouille déjà, en attendant je vois que ma chatte est encore ouverte et demandeuse, remets-moi ta main et ajoute des doigts de ton autre main tant qu’à faire !
— Décidément t’aimes vraiment que je te défonce !
— Oh ! J’adore !
Ma main rentre toujours aussi facilement, j’essaie de mettre un doigt de plus sans y arriver, ce n’était plus le moment.
— Pas grave dit-elle, je vais la garder bien ouverte et vous aller me la remplir avec votre sperme ! J’ai envie de sentir du chaud en moi ! Si vous avez envie de me prendre encore un peu ne vous privez pas.
Son mari :
— Oui je vais te prendre mais par la bouche et jouir dans ta bouche.
— Hummm comme ça je pourrais tout avaler ! Et toi tu vas me faire quoi ?
— L’idée de te prendre bien fort et jouir dans ta chatte bien ouverte me plaît beaucoup.
— Oh punaise je vais me faire prendre comme une chienne par la bouche et la chatte ! Ne vous privez pas les garçons, en même temps bien sûr !
Elle s’installe dans sa position favorite, à quatre pattes, et nous commençons. Nous avons joui tous les trois en même temps et après un instant Bénédicte s’exclame :
— J’ai mal à la mâchoire, à la chatte et au cul mais putain qu’est-ce que j’aime quand vous me défoncez comme ça ! À refaire le plus vite possible !
Voilà comment a commencé le travail anal avec Bénédicte.