Mardi soir j’avais prévu de passer la soirée avec Béné, je souhaitais lui parler de Nadine. L’idée n’a pas été forcément bien acceptée au début mais rapidement Béné a montré de l’intérêt pour Nadine… Enfin surtout son cul.
Début de soirée au restaurant, j’avais réservé une table à « L’institution » un grand classique de Lyon. Nous parlions de choses et d’autres mais je sentais Béné ailleurs.
— Qu’est-ce qui ne va pas ?
— Bon j’vais être cachée. On va se séparer avec mon mec, on ne se comprend plus. Il n’aime pas mes jeux et moi j’aime pas baiser à la papa. Et puis je suis de plus en plus attiré par les femmes.
— Mince, c’est un peu raide annoncé comme ça mais ça a le mérite d’être clair.
Je ne connais pas son mec plus que ça et à vrai dire le peu que je l’ai croisé j’ai bien senti qu’on n’allait pas être des grands potes.
— Euh quand tu dis « attiré par les femmes » ? Je suis placé où dans ton futur ?
Avec le temps je me suis attaché à Béné, pas amoureusement mais elle est devenue une femme avec qui j’aime bien échanger et surtout m’amuser.
— Franchement je ne sais pas trop. Tu t’es trouvé ta Nadine, est-ce que tu as encore envie de t’occuper de moi ?
Je ne lai pas vue venir celle-là.
— Bien sûr, d’après toi pourquoi je t’ai envoyé la photo de son cul. C’est bien pour qu’on s’amuse tous les deux et puis j’ai envie qu’elle devienne ta soumise.
Un peu penaude, elle continue.
— Je l’avais pas compris comme ça. Mais elle est plus âgée que nous ?
— Oui et alors, elle sait ce qu’elle veut.
— Elle veut quoi ?
— En fait tout a commencé quand elle a cru me faire découvrir le fist…
— Elle se prend une main dans le cul ?
— Non elle n’est pas encore à ton niveau, mais dans sa chatte oui. Je pense même qu’il y a assez de place pour que tu y mettes tes deux petites mains.
— Ouaaah deux…
— Oui deux mais attends. Elle m’a dit que sa cop’s…
— Sa cop’s ? Elle est lesbienne ?
— Je ne sais pas trop mais en tout cas elle s’amuse avec une autre fille et c’est cette autre qui la fiste.
— Pas mal ça.
— Coquine !
— Aller continue après la tentative de découverte, je sens que je mouille déjà.
— Alors que je lui démontais la chatte au boulot je lui ai parlé de toi et de ton cul. Que je pouvais y mettre une main. J’ai bien cru qu’elle allait demander à ce qu’on se rencontre le soir même tellement elle avait l’air d’aimer l’idée.
— Ça aurait pu.
— En fait non je n’ai pas voulu. Je voulais l’amener vers l’idée que tu allais la fister et non moi. Je te rappelle que je veux qu’elle soit ta soumise.
— OK j’aime beaucoup, mais sa cop’s ?
— Je ne sais rien sur elle. Mais il est prévu qu’on se fasse une rencontre tous les quatre.
— Humm un plan à quatre. T’es un veinard toi, trois femmes pour toi tout seul !
— Pas sûr, sa cop’s a l’air lesbienne et non bi.
— Ah dommage pour toi.
Béné se trémoussait sur sa chaise.
— Tu as envie de faire pipi à bouger comme ça ?
— T’es con toi. Mais non.
Elle s’approcha de mon oreille.
— J’ai un plug énorme dans le cul. Je m’amuse à le faire bouger en moi. Il m’ouvre bien c’est tripant.
— Parfait alors tu seras prête à te faire défoncer.
— Et comment prête. Je le suis depuis ce matin en fait.
— Pourquoi ?
— Tu te rappelles la vendeuse du magasin de lingerie ?
— Bien sûr !
— Elle m’a invité à déjeuner chez elle aujourd’hui. Sur le coup je ne savais pas trop comment ça allait se passer mais j’ai décidé de me préparer à toute éventualité.
— T’as raison et puis de toute manière je t’ai toujours dit d’avoir le cul prêt et à ma dispo !
— C’est vrai. Le repas sest vite passé, elle m’a rapidement demandé si elle pouvait me remettre une main dans le cul. Elle adore faire ça et en rêve la nuit…
— Peut-être qu’elle voudrait essayer ?
— J’y viens justement. En fait sous ses airs de timide elle n’est pas débutante. Elle m’a fisté, fait jouir, elle a pris son pied, nous avons joui toutes les deux. Mais je voulais aller plus loin, du coup je me suis occupé d’elle. Je n’avais pas encore pu inspecter son cul mais en fait il a dû en prendre pas mal des bites. Il est juste ouvert ce qu’il faut. Avec patience et douceur et au bout d’une heure son cul avait avalé ma main jusqu’au poignet. Je te laisse imaginer le pied qu’elle a pris. Elle criait de jouissance me demandant de bouger ma main.
— Ah ouais pas mal ça !
— Oui très bon, je pense que je vais aller la voir de temps en temps. Je mouille à l’idée de la surprendre à sa boutique pour « essayer » de la lingerie avec elle dans la cabine.
— Ses collègues vont se poser des questions. Mais bon c’est marrant comme jeu. Alors Nadine tu veux te la faire ou pas ?
— Même si elle est plus âgée que nous pourquoi pas, un cul à éduquer et puis je suis intrigué par sa cop’s. Tu n’as même pas idée de son âge ?
— Non et puis arrête de faire une fixette dessus, l’important c’est qu’elle est très sexy et puis qu’elle est prête à devenir un jouet pour toi, non ?
— Si si, un cul rien que pour moi… Je me fais déjà des films. On les rencontre quand ?
— Je pensais lui proposer ce week-end, t’es OK ?
— Carrément ! Toute cette conversation m’a mis l’eau à la bouche, enfin plutôt l’eau à la chatte.
Nous avons bien ri à sa blague. Le repas a continué avec divers sujets majoritairement tournant autour du sexe. Malheureusement nous n’allions pas pouvoir passer la nuit ensemble et fallait bien finir cette soirée correctement. Du coup je proposai à Béné un plan.
— Je vais aller dans les toilettes, tu vas venir me rejoindre et je te laisse deviner la suite.
— J’ai une vague idée de la suite… Fripon !
Comme prévu Béné est arrivée à peine une minute après moi, pas le temps de discuter elle s’est précipitée sur mon pantalon pour en sortir mon sexe et le sucer avidement. C’était sauvage, brutal mais terriblement bon. Au lieu de jouir dans sa bouche elle me demanda de la faire dans son cul. Je n’y voyais pas d’objections, bien au contraire. Je lui remonte ça jupe, fais glisser son string. Le plug est effectivement bien en place et fait partie de ses plus gros. Je le tire doucement pour le sortir et découvrir son trou ouvert. Ma bite rentre très facilement. Béné me dit que même aussi ouverte elle sent bien mon sexe chaud et dur en elle. Elle le préfère à tous les plugs. J’accélère de plus en plus vite et fort… Jusqu’à jouir.
Pour ne pas en perdre une goutte, Béné remet le plug et me lance :
— De cette manière je suis tout lubrifié pour continuer à jouer chez moi.
Nous nous sommes quittés peu de temps après en direction de nos maisons respectives nous donnant rendez-vous samedi soir pour une folle soirée de sexe.
