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Bonus Malus – Chapitre 10

Bonus Malus - Chapitre 10



Suite :

— D’accord, donc vos arrangements incluaient des partenaires multiples régulièrement

— Disons de temps en temps. En fait, comme pour le reste, ces « partouzes » se sont produites presque naturellement, sans avoir à se forcer, comme une suite logique des choses. Comme je vous l’ai dit, après mes deux premières visites d’ordre vraiment sexuel, j’étais baisée environ une fois par semaine puis le rythme est monté à 2 ou 3 fois lorsque j’ai commencé à y prendre vraiment goût et que je permettais à quiconque me plaisait de me sauter alors qu’il venait pour une pipe ou un strip-tease.

On me baisait dans mon bureau en fin de soirée mais également dans le bureau de certaines collègues ou sur les chantiers. Par exemple, un jour, lors d’une visite dans une zone commerciale en travaux, je me suis fait prendre à la hussarde par un de mes ouvriers derrière une petite cabane en préfabriqué qui servait de vestiaires aux gars. Le mec m’a juste suivi alors que je voulais inspecter un coin des travaux, m’a annoncé la somme de bonus qu’il venait de transférer sur le compte de l’entreprise et a relevé  ma minijupe. Je ne portais pas de culotte car j’étais également en train de répondre à une demande d’exhibition collective et il m’a donc limé vite fait, sans prononcer un mot contre cette cabane. Puis il s’est retiré et à jouis dans ma bouche, à ma demande car je ne voulais pas avoir du sperme qui me coule entre les jambes durant cette réunion où il y avait des élus. Donc, bref, je me faisais sauter partout et tout le temps.

Le truc c’est qu’ils y avaient forcément des jours, au moins 3 ou 4 par mois, où je n’étais pas disposée à me servir de mon vagin. Mais les collègues que je recevais pendant ces périodes eux, ne voulaient rien savoir. Certains se contentaient de me baiser la bouche et de me recouvrir le visage de leur sperme mais ne donnait alors que moitié du bonus prévu. D’autres au contraire voulaient quoi qu’il en soit me baiser. Je leur offrais alors mon cul qui, durant parfois 4 jours d’affilée, se faisait copieusement défoncer par mes agents qui se donnaient le mot pour grouper leurs demandes durant cette période. Je savais donc qu’une fois par mois, j’allais me faire sodomiser à la chaîne. Mais du coup, je devenais une experte dans ce genre de pénétration et finalement y trouvait également on plaisir.

Mes semaines étaient donc faites de strip-tease, d’exhibitions en public, de baises intenses et longues dans mon bureau, de petits coups vite fait dans un couloir, etc. J’avais de moins en moins de temps et d’envie pour travail, mon cerveau ne pensant qu’à la prochaine demande que j’allais recevoir et qu’il me tardait de satisfaire. Une fois, je devais travailler sur un dossier important mais je n’arrivais pas à me concentrer, trop en manque de sexe. Je me suis donc levée pour me promener dans les bureaux à la recherche d’amusement. Je suis allée voir mon comptable qui, lui, travaillait sérieusement sur le même dossier que moi, mais sur les aspects financiers. Je lui ai dit que cela faisait longtemps qu’il n’était pu venu me voir et je lui proposé une petite pause. Mais il m’a repoussé en me disant qu’il avait vraiment beaucoup de travail. Je me suis alors assise sur son bureau, jambes écartées devant lui, exposant ainsi mon sexe trempé sous son nez. Il m’a alors dit qu’il voulait garder son bonus pour partir plus longtemps en vacances cet été et je lui ai dit que je ne voyais pas où était le problème. Je voulais juste qu’il me baise, pas qu’il donne son bonus. Ce fût le premier à me sauter sans aucune contrepartie. Il m’a prise sur son bureau alors que la porte derrière nous n’était pas verrouillée et que n’importe qui pouvait entrer.

Je devenais complètement nymphomane et inconsciente. Mais au moins, ce jour-là, après pris un bon coup de queue, j’ai pu reprendre mon travail avec efficacité ! Mais mon agenda devenait vraiment contraint et mes activités de chiennes entraient de plus en plus en conflit avec ma vie de famille et mon travail. C’est ainsi, et j’en viens donc à votre question, que j’ai naturellement pensé à grouper certaines demandes.

La première fois, c’était un chantier. J’avais eu deux demandes durant cette réunion de chantier, une pour une pipe et l’autre pour baiser. Sans rien dire aux ouvriers qui étaient venu me voir le matin, j’ai décidé de coupler cela en fin de réunion. Du coup, quand celui qui devait me sauter est venu dans la pièce en travaux où nous nous étions donné rendez-vous, j’étais déjà en train de sucer son collègue. Ils ont tous deux été surpris mais je leur ai expliqué que, ce soir, je n’avais pas le temps de m’occuper des 2 séparément car je devais aller chercher mon mari à la gare.

Ils ont été amusés de m’entendre évoquer mon mari alors que j’étais accroupie, les fesses à l’air en train de branler un mec mais ils n’ont pas été déboussolés et ont bien profité de moi. Je précise que c’était évidemment la première fois que j’étais avec deux hommes en même temps mais après tout ce que j’avais fait, cela me semblait presque naturel. Je les ai sucé à tour de rôle puis ils se sont relayés dans mon sexe et mon cul chacun leur tours pendant que l’autre se faisait nettoyer le sexe. Quand je vous disais que des bites qui sortaient de mon anus de me faisaient pas peur

Ils sont ensuite venus les deux sur mon visage et m’ont littéralement recouvert de sperme. Je me suis simplement essuyée avec des mouchoirs (qui me quittaient plus mon sac) et j’ai réajusté ma minijupe sans avoir à me soucier de ma culotte puisque je ne portais quasiment plus jamais de sous-vêtement, histoire d’être prête à tout, à tout moment. Vingt minutes plus tard, je réceptionnais mon mari à la gare alors que mon anus était encore bien dilaté et qu’il lui aurait suffi de me caresser entre les jambes pour découvrir un sexe nu et poisseux de mouille et de sueur.

— Mais justement, concernant votre mari, durant tous ces mois d’activités sexuelles intenses, n’a-t-il rien remarqué ?

— Si, bien sûr et notre relation c’est d’ailleurs considérablement tendue durant cette période. Au début, je rentrais tard du travail, souvent fatiguée et peu disponible pour lui. Puis quand les choses sont devenues intenses, je continuais à rentrer tard et à rester au travail durant certains de mes jours de congés mais, par contre, j’étais en permanence affamée de sexe et le sollicitais de plus en plus. C’est finalement là qu’il s’est douté de quelque chose car je suis passée rapidement de la femme un peu coincée niveau cul à une nymphomane qui pouvait gober son sexe en entier dans sa bouche ou qui lui demandait à chaque rapport de la prendre par le cul, celui-ci étant d’une souplesse de plus en plus impressionnante ! Donc il pensait sérieusement que j’avais une aventure mais je ne pense pas qu’il imaginait à quel point je le trompais.

— Et ce niveau d’infidélité ne vous dérangeait pas ?

— Au début, bien-sûr que si. J’aimais mon mari et je m’en voulais terriblement de le trahir ainsi. Mais je ne voyais pas d’autres solutions et j’étais, comme je vous l’ai dit en début de témoignage, très carriériste. Je pensais donc pouvoir monter en grade rapidement, changer de collectivité et ne plus à avoir à faire ce que je faisais pour, enfin, reprendre une vie normale. Mais la situation a duré beaucoup plus longtemps que prévu, avec d’ailleurs l’accord tacite de mon président, j’y reviendrai, et je me suis prise au jeu. J’aimais de plus en plus me faire sauter par tous ces collègues et jouer les lesbiennes avec ma belle assistante. En fait, je crois que mon amour pour mon mari s’est progressivement éteint au fur et à mesure que mon amour pour le sexe, la soumission, la perversité augmentait. Durant les derniers mois, cela ne me dérangeait même plus de rentrer à la maison en venant juste de me faire tringler par 2 ou 3 mecs et en empestant le sperme. Quand je vous disais que je devenais une chienne, c’était aussi en termes de valeurs. Je n’en avais plus guère

— Vous disiez que vos agissements avaient reçu le soutien de votre président. Pouvez-vous nous en parler ?

— Ne vous inquiétez pas, j’allais y venir !  Je vous disais donc que l’infidélité envers mon mari me posais de moins ne moins de problème et je m’abandonnais un peu plus chaque jour à la perversion, notamment en groupant de plus en plus mes « rendez-vous ».  J’étais aussi de moins en moins regardante sur la quantité de bonus que la collectivité devait aux agents et ceci eux un effet inattendus : cela éveilla la curiosité de mes élus.

En effet, auparavant, mes collègues devaient accumuler énormément de bonus pour pouvoir me baiser. Mais, avec le temps, je les laissais me faire à peu près tout ce qu’ils voulaient pour 3 fois rien. N’importe qui, pour quelque point bonus, pouvait donc m’enculer sans que cela ne me gêne. Par exemple, j’avais pris l’habitude d’accueillir les nouveaux agents, qu’ils soient CDD ou simple stagiaire par une pipe « gratuite » dans mon bureau pour leur expliquer le système de bonus/malus chez nous. De la même manière, je faisais en sorte de limiter énormément le malus, de peur de voir mon nombre de pétées hebdomadaires diminuer ! Cette raréfaction des bonus et des malus en même temps n’était pas normale. Et si vous rajoutez à cela ne fait que je m’habillais de plus en plus sexy et que m’exhiber dans les bureaux à la recherche d’un peu d’excitation ou d’un coup vite fait devenait une habitude, vous comprendrez que mon Président ai vu rouge et ai voulu me voir.

Il est donc venu un jour pour me passer une soufflante pour me demander ce que signifiait ce comportement de traînée et pour que je m’explique sur la situation du bonus/malus. Et il voulait surtout que je fasse taire ces rumeurs sur moi parmi les agents. Plutôt que de démentir, j’ai tout raconté et ce vieux fossile sembla tomber des nues en apprenant ce que je faisais pour ne pas faire exploser son budget !  Je lui ai quand même bien fait comprendre que c’est son refus de payer normalement les bonus qui m’a contraint à utiliser mon cul et qu’à défaut d’augmentation ou de promotion, un minimum de considération de sa part était la bienvenue.

Il est reparti tout penaud de mon bureau en ayant exigé simplement une chose : que j’arrête de m’exhiber comme une chienne en chaleur dans le bureau. Pour le reste, je lui ai demandé texto s’il était d’accord pour que les agents de la comcom échangent des points bonus contre des faveurs sexuelles avec sa directrice. Mais il n’a pas répondu, manifestement dérangé par la question et m’a juste dit « soyez discrète » en ayant le regard complètement perdu dans mon décolleté. Alors qu’il partait, je me suis dit 2 choses : je pouvais continuer de me faire tringler comme je le voulais et j’allais devoir sans doute aussi me taper mon Président et certains de mes élus pour qu’ils la ferment

Dans les jours qui ont suivi, j’ai donc calmé le jeu en termes d’exhibition et de choix vestimentaires. J’évitais d’exposer mes jambes et mon cul dans les bureaux et j’ai limité l’ensemble des choses que je proposais à un cadre privé, ou au moins discret.

— Il s’est alors instauré une sorte de routine ?

— Non pas vraiment car, durant ces semaines, mon comportement avec les agents qui venaient me solliciter est devenu de plus en plus extrême et eux-mêmes me demandaient des choses un peu plus trash à chaque fois. Ce n’était donc pas une routine mais plutôt une escalade, une course en avant.

A suivre…

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