Suite :
Nous avons rencontré Céline B., DGS d’une communauté de communes de l’Est de la France. Elle aussi a subit les dérives de ce système bonus/malus. Elle raconte :
— Nous sommes une collectivité de taille moyenne, avec beaucoup de compétences à assumer mais avec peu de moyens et quasiment pas de dotation de l’Etat. Depuis l’arrivée de Macron au pouvoir, ces dotations aux missions de service public ont été réduites et le nombre de fonctionnaire pour les assumer également. Du coup, nos agents ont dû redoubler d’efficacité et faire de nombreuses heures supplémentaires pour assurer leurs missions. Et cela c’est, bien entendu, ressentit sur leur nombre de point bonus.
— C’est plutôt une bonne chose ?
— Dans une entreprise privée en pleine croissance, oui, sans doute Cette loi a d’ailleurs été faite pour dynamiser le secteur privé. Mais pour nous, collectivités, nous n’avons que peu de marge de manuvre pour rembourser ces points bonus. C’est sans doute aussi le but de cette loi : dégommer le secteur public et tout redonner au privé !
— Comment avez-vous géré cela ?
— Et bien, au début, je jonglais avec les jours de congés et les horaires. J’accordais des repos à ceux ayant accumulé beaucoup de points bonus, je laissais partir plus tôt les mères de famille, mais j’étais limitée.
— Ça n’a pas suffi ? Et accorder des primes ?
– Bien sûr que j’accordais des primes, mais dans une collectivité, si vous augmenter les charges salariales, soit vous devez emprunter, soit vous augmentez les impôts. Et ça, les élus qui pensent avant tout à leur réélection n’en veulent pas. Donc non, les aménagements d’horaires à eux seuls ne suffisaient pas et j’ai fini par être coincée avec un cas en particulier.
— Racontez-nous ce cas qui a tout fait basculer.
— Eh bien, pour faire face au manque d’agent, nous faisons appel à des services civiques, des jeunes, payés une misère et corvéables à merci. Nous en avons plusieurs et la plupart sont tellement nuls qu’ils ont le plus souvent du malus « à revendre ». Mais un des volontaires, lui, était différent et c’est réellement défoncé pour sa mission. Si bien qu’arrivé en fin de contrat, il avait beaucoup de bonus. Et autant, avec des fonctionnaires, je peux essayer de faire baisser la note sur une longue durée, autant là, la loi m’obligeait à solder son compte immédiatement. Impossible de lui donner des jours de congés, il était en fin de contrat et les élus m’ont refusé la prime nécessaire. Ils m’ont accordé moitié de ce que je lui devais
— Comment avez-vous fait ?
— J’ai convoqué le jeune dans mon bureau pour lui expliquer. Il était désolé pour moi et me disais qu’il comprenait très bien et que la moitié lui suffirait. Mais le système d’exotablette est bien fait et même si l’arrangement peut être en nature, il doit valider manuellement le remboursement de ses points. Du coup, même s’il se montrait arrangeant, il voulait quelque chose qui vaille le reste de ces points bonus. Je lui ai donc dit que j’allais trouver une solution et c’est là qu’il a proposé quelque chose.
— C’est-à-dire ?
— Pour résumer, avec sa demi-prime, il lui manquait 100 points et ne pouvait solder son compte comme ça. Il pouvait ajouter un paiement en nature, comme des vêtements de sécurité que la collectivité lui laisserait. Mais alors que l’on réfléchissait à quelque chose qui valait 100 points, il m’a alors dit clairement qu’il m’avait toujours trouvé très sexy et que s’il pouvait me voir entièrement nue là, maintenant, il considérerait que ça vaut les points manquants. Pendant quelques instants, je suis restée sans voix, choquée par la proposition.
— Effectivement, c’est une proposition pour le moins perturbante mais compréhensible. En effet, pour nos lecteurs, et si vous le permettez, je vais vous décrire physiquement. Vous êtes une très belle femme, brune, grande avec un visage respirant la gentillesse et un corps qui, on peut le comprendre, attire les regards.
— C’est très flatteur mais à mon avis exagéré Je suis surtout mariée et maman et je ne rajeunis pas !
— Et pourtant vous avez encore un corps superbe et vous plaisez énormément aux hommes qui vous entourent, la preuve avec ce jeune volontaire. Revenons d’ailleurs à sa demande.
— Bien. En gros, il m’a demandé de me déshabiller devant lui, dans mon bureau, pour que nous réglions nos comptes. J’ai immédiatement pensé à refuser et j’ai d’ailleurs commencé ma phrase en ce sens. Mais, honnêtement, je n’avais aucune autre solution en vue et sa proposition était, finalement, une aubaine.
— Et vous avez accepté ?
— Oui Vous savez, je ne suis pas spécialement prude, j’ai l’habitude de bronzer topless et j’aime m’habiller de manière assez sexy. Donc montrer mon corps à un gamin ne me posait pas trop de problème de conscience. Évidemment, si j’avais su ce qui allait se passer ensuite
— Nous y reviendront. Comment a-t-il réagit lorsque vous lui avez dit oui ?
— Il était surpris. Et un peu déboussolé aussi lorsque je me suis levée pour fermer ma porte de bureau à clef. Je suis une femme d’action et de parole, si je dis quelque chose, je le fais. Je lui ai demandé s’il voulait me déshabiller lui-même ou s’il fallait que je le fasse. C’est finalement lui qui s’en est chargé et il a clairement pris son temps et du plaisir.
— Vous pouvez nous ne dire plus ?
— Et bien, il a d’abord retiré mon chemisier, bouton par bouton pour ensuite me l’enlever et me mettre en soutien-gorge. Il était comme hypnotisé par ma poitrine qui se révélait progressivement. Moi-même, j’étais sûre de moi au début mais à mesure qu’il me déshabillait, je sentais monter une sensation de gêne. Cela ne s’est pas arrangé avec la suite puisqu’il a dans la foulée fait sauter mon soutien-gorge.
— Il vous a touché ?
— Pas tout de suite, non. Il a d’abord pris un peu de recul pour mater mes seins nus au milieu de mon bureau. Il prenait vraiment un grand plaisir à regarder mon corps et cela me rendait assez fière, finalement. Du coup, lorsqu’il a demandé de caresser mes seins, je n’ai pas vraiment pu dire non
— Qu’est-ce qui vous en a empêché ?
— Mes tétons qui pointaient, peut être (rires). C’est vrai que j’étais un peu excitée et que la perspective d’un jeune homme caressant mes seins ne me déplaisait pas. Heureusement, il n’a pas abusé de la situation et après avoir m’avoir peloté un peu, il a repris son « travail ». Il a ouvert ma jupe par la fermeture sur le côté et l’a fait tomber au sol doucement. N’ayant évidemment pas prévu de me mettre nue à mon bureau ce jour-là, ma culotte était d’un banal affligeant et il a semblé déçu de ne découvrir qu’un slip de coton blanc. Sans doute, pour une femme comme moi, imaginait-il que je porte au quotidien des strings, des bas ou des porte-jarretelles !
— Vous en portiez parfois ?
— Rarement C’est assez inconfortable. Mais j’ai dû m’y mettre ensuite
— Revenons à la scène avec ce jeune homme. S’est-il arrêté là ?
— Vous rigolez ! Il avait exigé de me voir nue, il n’allait pas s’arrêter si près du but ! Non, à nouveau il a pris un peu de recul, m’a demandé de tourner sur moi-même pour mater mes fesses, tout de même bien mises en valeur dans cette culotte puis s’est rapproché et l’a faite glisser jusqu’à mes chevilles. En la baissant, il avait le visage juste en face de mon sexe et je me suis demandé un moment s’il n’allait pas l’embrasser ou plus encore. Mais non.
— Vous l’auriez laissé faire ?
— Non, voyons ! Je suis une femme fidèle. Enfin, je l’étais Qu’il me touche les seins, c’est une chose, mais qu’il me fasse un cuni, là cela aurait été de l’infidélité. Non, il m’a juste demande demandé d’écarté un peu les jambes, que je maintenais très serrées, de tourner sur moi-même à nouveau mais, enfin m’a remercié et a complimenté mon corps. Je lui ai alors demandé de valider ses points sur sa tablette et de sortir sans jamais dire un mot de cela à quiconque.
— Promesse qu’il n’a pas tenu, finalement ?
— Difficile à dire, en réalité. Un bruit a couru sur la manière dont j’avais soldé son compte. D’abord en plaisanterie puis, avec la bourde d’un élu qui a dit à des agents n’avoir accepté de donner qu’une demi-prime, la plaisanterie est devenue un doute. Alors, est-ce qu’il s’est vanté de mon strip à un ancien collègue ou pas ? Je ne le saurai jamais.
— Toujours est-il que les points bonus continuaient de s’accumuler dans votre collectivité et que vous ne trouviez pas de solution.
— Oui. J’essayais de gérer mais c’était un casse-tête. Et la facilité avec laquelle j’avais régler le problème du service civique trottait dans ma tête. Je précise aussi que j’étais dans le collimateur des élus et que j’avais quelques prétentions à gravir encore des échelons. Je ne devais donc pas me planter sur ce coup !
— Qu’est-ce qui vous a décidé ?
— Lors d’un rendez-vous avec un représentant du personnel à propos justement des points bonus en retard des agents, celui-ci a insisté sur le fait que j’avais pu trouver une solution pour le jeune service civique et qu’il suffisait que je fasse la même chose. Puis il a ajouté, mi-figue mi-raisin, « à moins que cela ne convienne qu’aux hommes » puis il a souri pour bien montrer que ce n’était qu’une plaisanterie. Moi, j’étais fatiguée de devoir démentir ce bruit et voulant changer de stratégie, j’ai donc répondu, de manière provocante, que je serai ravie de lui offrir ce que j’avais offert au jeune mais qu’il n’avait pas assez de point bonus pour cela. Et en disant cela, je me suis levée me suis assise sur mon bureau, juste à côté de lui, les jambes croisées, ma jupe remontant à mi-cuisse.
— Et cela l’a calmé ?
— D’abord, je l’ai cru car il semblait gêné. Je pensais lui avoir cloué le bec mais il est entré dans mon jeu et a posé une main sur ma cuisse nue en me disant « Et vous m’offrez quoi pour mes points ? »
— La provocation est une arme à double tranchant, n’est-ce pas ?
— Comme vous le dites ! J’étais coincée. Sois je l’engueulais pour ce geste déplacé et devais trouver une solution pour les points, soit je me laissais aller à un nouvel écart de conduite et réglais un premier problème. Comme vous le savez, j’ai choisi la deuxième solution.
— Et il a eu droit à quoi ?
— J’ai hésité quelques secondes à ce que j’allais faire, secondes durant lesquelles il a gardé sa main sur ma cuisse. Puis j’ai cédé et ai écarté en grand mes jambes, posant mon pied droit sur l’accoudoir de son fauteuil. Je lui offrais donc une vue imprenable sur mon string et mes cuisses grandes ouvertes. J’ai remonté ma jupe jusque sur mes hanches et l’ai laissé me mater autant de temps qu’il voulait. Puis il m’a dit que c’était magnifique mais que, selon lui, ça ne valait pas ses points en retard.
A suivre…