Nous sommes dans un garage fermé. Mon Maître ouvre le coffre, me tire par la laisse pour me faire sortir. La douleur au cul et au sexe est intolérable, mais je ne peux lui en parler, il ne mavait demandé aucun préparation. Je le suis dans la maison, nous entrons dans un grand salon très moderne, à une pression de la laisse, je me mets à genoux, et instinctivement en position dattente. Mon Maître me fait approcher de lui. Sans prévenir il me gifle une première fois, me faisant chanceler. Je suis surpris mais je reprendre ma position. Les coups pleuvent forts, rapides, ma tête est brinquebalée dans tous les sens, les larmes coulent. Il se redresse, ouvre sa braguette, sort son sexe à demi dur, il me le met en bouche et je me mets à le lécher avec application avant quune claque ne vienne minterrompre. Je ne comprends pas. Il recommence, je reste passif, quelques secondes passent, je sens le liquide couler. Il mutilise en urinoir ! Bien entendu javale tout avec application et je le nettoie bien quand il a fini, je ne sais sil faut que je le lèche, jai peur de ses coups. Il retire son sexe, je reste la bouche ouverte tandis quil se rassied.
— A poil. Ce sont ses premiers mots.
Je me redresse en grimaçant le plug me fait atrocement mal, les pinces aussi, quant à mon sexe je nose imaginer son état. Je commence par enlever mon polo, dénudant ainsi la chaîne des pinces qui pend entre mes tétons.
— Quest-ce que cest que cela la lope ?
— Des pinces Maître
— Pourquoi as-tu mis des pinces ?
— Je voulais Vous montrer comme je suis à Vous Maître.
— Vraiment ? Tu es une chienne maso alors ?
— Non Maître je voulais Vous donner envie de me sélectionner Maître.
— Tu as dautres surprises comme cela ?
— Oui Maître.
— Bien nous allons voir cela. Approche.
Il navait pas rangé son sexe que je voyais durcir à notre échange, jétais content cela lui plaisait. Il prit les pinces dans ses doigts, et au lieu de me libérer comme je croyais, il les serra encore plus fort, marrachant malgré moi un cri de douleur. Jeu droit alors à une gifle.
— Tu cries et du gémis quand je te lordonne, tu as compris la larve ?
— Oui Maître.
Il tire alors fortement sur la chaîne pour vérifier quelle est bien accrochée. Je retiens mes hurlements, tandis que je sens mon sexe gonflé dans sa gaine cloutée, me remplissant dune nouvelle douleur dont il ignore tout encore pour le moment. Me tenant fermement par la chaine et les tétons étirés, il me gifle longuement, je suis sonné.
— Vas me chercher ton portefeuille.
Il me lâche la chaîne et dans un état second je vais prendre mon portefeuille dans ma veste. Je lui donne. Il en retire et trie tous les papiers.
— Je garde tes papiers didentité, je pensais toffrir le choix demain dêtre ou pas mon esclave, mais je crois que ce ne sera pas nécessaire. Jai décidé que tu mappartiendras, au moins jusquaux vacances de cet été. Et si tu pensais juste tamuser, cest trop tard la larve. Tu as envie de dérouiller, et cest bien, nous sommes très imaginatifs.
— Merci Maître. Puis je poser une question Maître ? Jétais un peu inquiet de la tournure des évènements quand même.
— Non la larve, tu nes rien dautres quune salope à ma totale disposition. Les trois mois qui nous séparent des vacances vont être ton purgatoire avant lenfer. Je tassure que tu ne vas pas regretter.
— Merci Maître. Jétais pris entre deux sentiments contradictoires. Cest bie ce que je désirais, mais je perdais totalement le contrôle.
— Continue à te désaper.
Jenlevais mes skets ainsi que mon pantalon, dévoilant ainsi la gaine puisque je navais pas de sous vêtement. Il me fit approcher, et commença à caresser le cuir, marrachant des sursauts de douleur, mon paquet étant terriblement contrait et percé depuis longtemps. Cela le fit sourire.
— Regarde-moi dans les yeux. Si tu quittes mon regard, je téclate les couilles à coup de pied.
Terrorisé je le regarde profondément. Les caresses sur la gaine deviennent pression de plus en plus forte, les pointes pénètrent la peau et me percent une à une, je magite dans tous les sens, sans quitter les yeux de mon Maître que je vois plein de plaisir, tandis que je pleure de souffrance. Maître me sert de plus en plus, faisant rouler les chairs délicates pour me procurer le plus de souffrance possible. Je narrive plus à respirer, mon sexe, malgré la souffrance, durcit, et mon Maître sen rend bien compte, il sourit. Il se lève, me tirant par la laisse et mon collier trop serré, et me fait pénétrer dans son garage transformé en donjon. Je suis attaché à une croix, les membres très étirés. Je nen peux déjà plus alors que je viens darriver. Il prend une corde et attache celle-ci à lanneau de ma poche en cuir pour létirer bien à lhorizontal. Mon paquet est ainsi bien offert. Je frémis quand je vous mon Maître prendre une cravache, je crains le pire, et le pire arrive : il me frappe fort sur le paquet ainsi exposé, tandis que je hurle autant de souffrance que de peur. Il recommence, encore et encore, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, de contrôler la souffrance qui est atroce, les couilles écrasées par les couilles, le sexe transpercé de partout. Comme si cétait insuffisant, il sinterrompt pour attacher des moins de 500 g sur chacune des pinces de mes seins, arrachant de nouveaux hurlements de ma part, je le supplie, lui dit que je ferais tout ce quil veut. Il sourit sachant quil me fera faire bien plus. Je me sens totalement à sa merci, détruit, les coups reprennent encore plus fort je crois. Il alterne, me fouette aussi le pubis, le ventre, les cuisses. Il se défoule profondément sur la chose offerte, je lui ai offert moi-même le supplice quil minflige. Je crois mévanouir, mais non pas vraiment, je suis dans un état différent, je ne sens plus les coups, je les vois mais rien ne remonte. Je sens juste une terrible excitation me prendre, une envie de jouir. Mon corps ne mobéit plus je viens au-devant des coups comme sil sagissait dun cul à défoncer, et je me mets à jouir comme un damné, provoquant un brutal retour à la réalité et à la souffrance toute entière de mon corps. Je suis hébété davoir pu jouir ainsi, et mon tourmenteur nen est pas moins décontenancé. Il arrête.
— Toi ma salope, je crois que nous allons bien profiter de toi avant de te jeter à la décharge.
Je nai pas la force de répondre. Pris dune excitation folle, il reprend la cravache et me cingle le devant du corps dans tous les sens, à toute vitesse, y compris mes bras et mes seins déjà très torturés. Quand enfin il arrête, je vois quil sest masturbé et a lui-même jouis. Jen suis heureux. Même si je ne contrôle rien. Il me remplit la bouche dun long bâillon en forme de plug qui descend jusquà ma gorge, et quil attache fermement autour de ma tête. Il essaie de serrer plus encore mon collier, mais cest impossible. Il lenlève pour créer un trou intermédiaire et me le remettre, je suis à la limite de la suffocation. Il sert un peu plus encore mes pinces dans mes tétons, ce nest plus quune plaie, et la douleur est terriblement vive lorsquil fait se balancer les lourds poids. Enfin il détache la cordelette qui maintenait mon paquet à lhorizontal et y accroche un très lourd poid étirant tout mon appareil dans une douleur qui me remonte profondément dans le ventre, prenant le dessus sur le plug dans mon cul qui est pourtant terrible. Cen est trop je ne peux pas, je veux partir, il est fou et moi aussi. Je voulais juste jouer. Pourquoi tout cela. Je bouge la tête, mais il ne fait pas attention, je nai pas lénergie dautre chose, pourtant il faudrait. Mais déjà il part, éteint la lumière, ferme la porte. Je pleure doucement, je voudrais mourir là. Jai mal partout et je ne peux rien faire. Cela ne doit pas faire une heure que je suis arrivée. Dans 23h je serais libéré. Je récupère mes papiers et tchao les vacances. Même si je suis très troublé par cette jouissance, surtout létat qui la précédée, cétait assez inouï.
Je suis dans une profonde somnolence lorsque je sens sa présence à mes côtés. La lumière est revenu.
— Bien on va passer aux choses sérieuses maintenant. Cela va être jouissif de te détruire, tu ne sauras même plus comment tu tappelles, tu seras juste la pute ? cela te plaît ? Tu serviras de pute à tous les mecs en manque, surtout les plus vicelards et les plus violents. Quest-ce que tu en penses ?
Je ne peux pas répondre avec cette bite de latex qui me rend la respiration si difficile, il malaxe la bourse cloutée mais je nai même plus la force de réagir à la douleur. Mais pourtant je réagis à lexcitation, dêtre touché, mais aussi les mots quil insinue en moi. Combien de fois me suis-je fait jouir avec ces images. Il sent mon sexe durcir et se mutiler un peu plus, ce qui le fait rire et se moquer de moi.
— Je nai jamais vu une chienne comme toi. Cela va être trop bon de te dresser.
Il me détache les bras et je mécroule au sol, soulageant temporairement létirement du aux poids. Je dois me relever sous les coups de cravache qui pleuvent sur mon dos, il me fait coucher sur un cheval darçon, les bras et les jambes de chaque côté, exposant ainsi mes fesses en lair.
— Tu avais encore une surprise, je ne lai pas vu celui-là. Il est bien gros pour un petit cul comme toi. Il appuie sur mon plug me faisant gémir de plus belle, je suis très irrité par le contact.
— Je crois que pour toi il va falloir sortir du gros matos, en même temps si tu es trop large, cela ne le fera pas trop. Va falloir que je réfléchisse.
Sans précaution il me retire le plug qui a séché dans mon cul depuis quil est là. Jai limpression quil me retourne les intestins, mais le soulagement est quand même immédiat. Jentends tomber quelque chose, je crains le pire. Et cest bien le pire.
— Tu ne tes bien nettoyé la pute. La règle cest simple, tout ce qui sort, rerentre. Je te mets cela dans la gamelle, tu te délecteras tout à lheure. Maintenant je dois moccuper de tes fesses. Cest simple je veux que tu ne puisses plus tasseoir pendant une semaine, tu vas voir cest assez sportif.