Cela fait longtemps que j’ai perdu le compte. Celui des instruments qu’il a utilisés. Je sais qu’il y a eu des paddles, des martinets, cravaches, bâtons et je ne sais quoi d’autre. Chacun m’a fait pleurer et hurler dans mon bâillon god provoquant des hoquets et des peurs de m’étouffer. Perdu le compte des coups qui se sont abattus, pas seulement sur mes fesses, mais aussi mes cuisses offertes ainsi que mes mollets saillants. Parfois la main de mon Maître caresse mes chairs pour mieux apprécier le résultat, et je les sens toutes gondolées, durcies par les coups, sans plus de sensibilités. Cela fait longtemps aussi que je divague dans une ouate bizarre et agréable, j’ai perdu tout lien avec la réalité, je ne suis plus qu’un réceptacle à coups. Je ne me pose plus la question du pourquoi, c’est ainsi, j’accepte, même si je n’ai pas beaucoup d’autres choix.
Je réalise que les coups ont cessé, je me sens anesthésié à partir du dos, une douce euphorie me baigne. Mon Maître me détache, et je m’écroule à ses pieds. Sans hésiter je me jette à ses pieds, et mime de les embrasser, ce qui est impossible puisque ma bouche est distendue. Il me laisse faire, je suis pris de frénésie à me caresser contre ses chaussures. Sans plus y penser ni me retenir, je n’ai qu’une envie, c’est de jouir. Ma queue et mes couilles sont toujours enfermées, mais me mettant à genoux, je me masse le sexe au travers de la gaine, et avec folie je serre de plus en plus fort et de plus en plus vite. Mon sexe en bandant tire encore plus sur toutes les pointes maintenant bien ancrées dans mes chairs délicates et je jouis dans une violence inouïe et m’effondre sans force. Je sens le sperme avoir du mal à sortir, contenu par la gaine cloutée, la douleur est maintenant intenable, je veux dormir, et jouir encore. Pour la première de ma vie, j’ai encore envie de jouir après un tel orgasme, usuellement, je me dégoute et me promet de ne plus jamais recommencer. Là j’espère que cela ne finisse jamais.
T’ai-je permis de te faire plaisir salope ? Tu vas apprendre que tu n’as droit à aucun plaisir sans mon consentement, pas même celui de chier quand tu veux, ou boire quand tu as soif. Je ne veux que de la souffrance pour toi, tu n’es fait que pour cela.
Cela m’excite de l’entendre. Fou que je suis. Il me redresse et me suspend par les bras, les jambes bien écartées. Commence alors une séance de ball busting atroce, renforcée par la tension de la gaine qui comprime bien mes couilles, et des pointes qui lacèrent un peu plus ma peau tendre déjà à vif. Il frappe de son genou replié, encore et encore, m’insultant et me promettant de couper mon sexe si je jouissais à nouveau sans son autorisation. La douleur est si vive que je me dis que mes couilles n’y survivront pas, avant de m’évanouir et de m’échapper à la douleur insupportable.
Quand je me réveille je suis allongé par terre, la bouche dégagée. Je n’arrive plus à la refermer, les muscles étant fortement endoloris, mais au moins je peux respirer plus facilement, même si mon collier est toujours trop serré à mon cou. Allongé sur le dos, je sens mes fesses très douloureuses, je passe la main dessus et je suis effaré de constater qu’elles sont complètement gondolées, et que la sensation de toucher est très bizarre. J’ai des croûtes sur les cuisses et les mollets. Mais c’est surtout mon sexe qui me lance, les couilles sont endolories et la peau me brûle partout. Mon Maître approche avec la clé que j’ai apportée, et m’ouvre la gaine cloutée dans laquelle je suis enfermée depuis plus de 24 heures, moi qui ne la portais pas plus d’une heure. Chacune des pointes a perforé ma peau en plusieurs endroits et est bien incrustée. Maître doit forcer pour la décoller, et je hurle de douleur, comme s’il m’arrachait la peau, il rit. Je ne fais rien pour me défendre.
La gaine est remplie de sperme, de pisse, de sang dans une drôle de couleur. Avec il saisit l’étron que j’ai perdu tout à l’heure et l’écrase avec les pointes. Il m’ordonne de lécher et nettoyer la gaine, qu’elle soit comme neuve. Je ne réfléchis pas, je ne veux pas réfléchir, je la lèche doucement, me déchirant le bout de la langue si sensible, rajoutant un peu de sang à celui déjà présent. Le goût est indéfinissable, je m’applique, comme si ma vie en dépendait, mais il me faut bien 10 minutes pour arriver au résultat qu’il souhaite. Je saigne de la langue et des gencives, quelle curieuse torture, cela ne m’excite pas du tout, mais je ne suis pas trop en état de penser, je suis partagé entre l’envie de baiser les pieds de mon Maître et celle de m’enfuir de cet enfer. Je choisis la première option et me met à 4 pattes pour lécher ses chaussures. Il les soulève et me sentant encore plus misérable, je lèche ses semelles sales. Il les essuie sur mon visage, avant de me gifler longuement. Je suis sonné.
Mon Maître me remet le bâillon god au fond de la gorge, tout de suite je sens l’angoisse monter. Il me fait rentrer dans une cage à 4 pattes, elle est un peu juste pour ma taille, je dois rentrer ma tête entre les bras pour y tenir dans cette position. J’ai les croisillons sous les genoux, c’est douloureux. Mes poignets sont cadenassés aux deux coins de la cage, tout comme mes chevilles aux deux autres coins. Je ne peux pas trop bouger. Cela ne suffit pas à mon tortionnaire qui m’écarte les cuisses pour les attacher à la cage avec des lanières de cuir. Mes jambes sont écartées au maximum. Un ceinture vient parachever mon immobilisation passant par le haut de la cage et me comprimant le ventre aussi fort que mon Maître peut tirer, entravant un peu plus si besoin était ma respiration. Je suis super mal, mes muscles sont mis à rude épreuve, je voudrais implorer mon Maître mais je ne peux émettre qu’un faible bruit. J’ai peur de ne pas arriver à respirer et de m’étouffer ainsi, c’est sur, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps.
Maître ouvre un trappe à l’arrière de la cage, je ne vois pas ce qu’il fait mais je sens une fraicheur sur mon cul. Il m’enduit de crème, c’est apaisant pour mon cul irrité, mais je sais bien que ce n’est pas pour cela qu’il le fait. Il entre trois ou quatre doigts et force bien l’entrée, je gémis dans mon bâillon, j’aime cette sensation d’être pris ainsi. Je sens son pouce et sa main qu’il veut rentrer, la pression est très intense, la douleur aussi, mais il n’insiste pas plus que cela, me laissant à la fois soulagé et vide. Mais pas pour longtemps. J’entends un raclement, et un objet se positionner sur mon cul. J’entends mon Maître faire quelques réglages, et pousser l’objet au fond de mon cul. Il est imposant et surtout sans fin, de la taille environ de mon plug que j’ai pris pour venir le voir, mais sans l’amincissement à la base permettant de soulager l’anus et de le maintenir en place. Je me sens très rempli ainsi. Un moteur se met en route et je sens l’engin en moi se retirer puis revenir me fendre en deux. Mon Maître a installé une fuck machine en moi. La sensation est étrange, ma prostate est comprimée, je sens une envie d’éjaculer mais rien ne vient. Je tremble de tous mes membres, ne sachant si c’est de plaisir, de souffrance ou de désagrément.
Bonne nuit la pute, demain tu auras le cul bien ouvert.
Je n’en crois pas mes oreilles, je ne peux rester ainsi plus de quelques minutes, mon Maître s’éloigne, la lumière s’éteint, je pleure doucement.
La lumière s’allume à nouveau. Les heures ont passé, et Maître est venu plusieurs fois, remettre du lubrifiant, me pisser dessus aussi, mais rien pour alléger ma souffrance. Je me sens complètement détruit, épuisé, bon à rien. Mes muscles et mes tendons me font mal partout, je n’imagine pas pouvoir me sentir bien à nouveau un jour. Malgré ma situation mon sexe est resté tendu toute la nuit, dur comme jamais, sans que je puisse me toucher, le sperme glissant doucement comme pour me vider contre ma volonté, la prostate écrasée sans cesse par le god allant et venant inexorablement. Avec un plaisir secret, je sens comme il ne force plus pour rentrer en moi, mon anus a cédé et je suis maintenant très ouvert, ce qui ne manque pas de m’exciter. Je sens que des sécurités sont en train de lâcher en moi, que plus rien n’a d’importance que d’être utilisé comme un jouet et de sentir la vie en moi au travers de la souffrance et la contrainte. Cela ne fait pourtant pas longtemps que je suis arrivé, mais sans doute étais-je prêt et Maître a su le voir en moi. Je sens mon cur rempli de désir tandis qu’il détache les liens qui me relient à la cage. Le god est enfin arrêté, laissant mon cul tout béant, et j’ai même le bâillon qui m’est à nouveau retiré. Je veux me précipiter à ses pieds, mais je m’écroule ne tenant pas sur mes genoux blessé, et je rampe jusqu’à lui pour lécher ses semelles avec dévotion. Un tremblement profond me ravage, je me sens rempli d’une onde de jouissance qui me terrifie : j’ai joui sans son autorisation et sans même me toucher.
Non mais que voilà une lope pareille. Ne t’ai-je pas interdit de jouir sans mon consentement. Même si tu ne t’es pas touché cela est interdit. Je voulais te proposer un peu de repos mais je suis trop bon pour toi.
Je me mets à genoux, je voudrais l’implorer mais je ne sais comment faire, je me presse à nouveau contre ses jambes, je prends l’initiative de coller ma bouche contre son short, je sens son sexe dur comme de la pierre, je le lèche un peu espérant qu’il me laissera le prendre en bouche, mais il se lève et me tire par les cheveux, avant de m’attacher à nouveau les bras en l’air. Il me remplit le cul avec un plug gonflable, j’entends l’air qui rentre, le ballon se gonfler. La pression est énorme, mais Maître continue sans sourciller, je commence à pleurer, à crier. Il stoppe le temps de me remettre le bâillon dans la gorge, qu’il sert comme un fou, et recommence à gonfler. Je hurle en silence, mais il continue, j’essaie de m’échapper, mais bien sûr je ne peux pas. Quand il arrête, je sens mon ventre gonflé par le plug monstrueux en moi. Il ne risque pas de sortir.
Maître prend une fine cordelette qu’il noue autour de mon prépuce qui devient rapidement rouge puis noir. Il prend des haltères et pend à mon sexe ainsi exposé 10 kg qu’il lâche progressivement. La douleur est fulgurante, mon prépuce va tomber j’en suis sûr. Je l’espère même pour me sentir ainsi libéré, mais cela n’arrive pas. J’essaie de contrôler ma respiration, c’est terrible. Puis c’est au tour de mes couilles d’être prises dans un parachute qui les tire vers le bas. Un nouveau poids de 10 kg, la douleur remonte vivement dans le ventre, je sens encore les coups reçus la veille, j’ai le souffle coupé. Je ne sais plus où j’ai le plus mal. Pourquoi autant de sadisme ? Je me promets de toujours obéir, je suis totalement terrorisé par l’imagination de mon tortionnaire. Je sais que je n’en sortirai pas vivant, mais je veux essayer de ne pas trop souffrir.
Ce n’est hélas pas fini, je me retrouve avec les deux tétons percés de deux aiguilles en croix. Les aiguilles sont épaisses, mais la douleur n’est rien comparée à ce que je subi par ailleurs. Une fine cordelette à la base, retenue par les aiguilles, permet à Maître de bien tirer sur les tétons. Cette fois ci ce sont des poids de 4 kg à chaque téton que je reçois. Je comprends que jamais des pinces n’auraient pu tenir. La sensation est indescriptible, l’impression que mon corps est tout attiré par le bas, je deviens spectateur de ma souffrance incapable d’assumer toute la douleur de mon corps. Maître s’amuse à faire balancer les différents poids, doublant la douleur ressentie, puis donne 5 coups de plus au plug et s’en va en me laissant. Il me promet de venir me libérer dans quelques heures pour me laisser rentrer chez moi.
Le jour tombe, la voiture s’arrête, le coffre s’ouvre. La laisse est tirée et je me mets à 4 pattes sur le bas-côté aux pieds du Maître. Par instinct je lui baise les pieds avec dévotion. Il m’a libéré peu avant de ma punition terrible, a utilisé ma bouche puis mon cul pour son plaisir, m’a fait le boire et lui nettoyer le cul, avant de décider de me raser complètement la tête, la rendant lisse comme une boule de billard. J’ai dû remettre mon plug, qui est entré comme dans du beurre, tenant à peine. Mon cul est vraiment distendu, c’est une sensation très particulière. J’ai remis également ma gaine cloutée, cela a été douloureux car mes couilles et mon sexe sont meurtris de toute part, puis mes pinces qu’il a serré au maximum alors que mes tétons et mes seins me lancent sans arrêt ce qui m’inquiète. Je repars comme je suis arrivé. Simple détail il garde la clé du cadenas de ma gaine cloutée et a rajouté un cadenas au collier que je porte maintenant très serré depuis qu’il a rajouté un trou. Nous sommes sur une route de campagne, mes vêtements sont par terre, il a gardé mon argent, mes papiers, je n’ai sur moi que la clé de chez moi.
Tu rentres chez toi la larve. Ce que je t’ai fait endurer ces deux jours, eh oui cela fait deux jours, nous sommes dimanche, ce n’était que pour voir ce que tu supportais. Sache que je peux bien pire, pas seulement physiquement mais aussi dans la déchéance totale en te dressant comme un animal. Alors voilà, vendredi je serais au même endroit à t’attendre, coffre ouvert. Ou bien tu viens et c’est définitif, tu ne contrôles plus rien, ou bien tu ne viens pas, et je ne veux plus jamais entendre parler de toi. Il n’y aura pas de seconde fois. Pendant ces quelques jours tu as le temps de réfléchir et de décider, et de te préparer si tu veux venir. Cependant, sache que si tu ne viens pas, alors j’enverrais quelques dizaines de photos et vidéos prises par ce week-end à différentes personnes de ton carnet d’adresse. Juste pour compenser le temps que tu m’auras fait perdre. Ici tu es au milieu de nulle part, je t’ai laissé tes vêtements, tu t’en tires bien, débrouille toi pour rentrer. Oh j’ai juste gardé ton écharpe comme cela tout le monde verra bien ton collier de chien et le cadenas qui le ferme. Si le collier n’est plus en place ou ta gaine n’est plus là, inutile de venir vendredi. Est-ce que je suis bien clair, la larve ?
Oui Maître, merci Maître de vous occuper de la larve.
Tu sais ce qu’il te reste à faire alors. Oh un détail, tu ne devrais pas laisser ainsi tes mots de passe sur ton smartphone, j’ai eu accès à tous tes emails, et même tes comptes bancaires. Ne soit pas surpris de découvrir qu’il ne te reste presque rien sur tes comptes. Juste un acompte sur les frais que tu nécessites.
Je n’arrivais plus à penser, plus à respirer, je ne croyais pas ce qu’il venait de me dire. Les lumières de la voiture disparaissaient, je me sentais tout seul, en fait abandonné. Enfin libre mais je ne savais pas quoi faire, je repensais à tout ce que j’avais subi, en oubliant sans doute la moitié, sentant mon sexe souffrir au milieu des pointes dans une érection insoutenable. Je me cachais dans le fossé, et avec fièvre me caressait au travers du cuir et des pointes, libérant en quelques secondes un orgasme dévastateur. Je m’écroulais assommé de toutes ces émotions.