J’étais en vacances, et ma compagne travaillait à cette période. Je m’ennuyais ferme, deux semaines de vacances sous la pluie! J’avais pris plusieurs mauvaises habitudes, je me couchais tard, je traînais au lit… mais par dessus tout je tournais en rond…
Ayant un appétit sexuel important, plus que celui de ma femme, et cherchant une activité, je me rabattais sur des sites pornographiques du web. C’est fou ce que certaines photos sont bandantes. De plus tout les fantasmes y sont représentés, même les pires d’ailleurs. Je me contentais de chercher des photos ou des vidéos de ma nouvelle lubie. Depuis quelque temps, je me découvre un sérieux penchant pour les femmes un peu voluptueuses, voir certaine fois assez fortes. Je confesse que ce genre de chasse demande un tri énorme! La plupart des modèles sont inintéressantes, mais il m’arrive de trouver des perles rares: beau visage, énormes seins et cul rebondi! Ces trois critères me sont nécessaires pour nourrir mon fantasme. Parfois je tolère une playmate aux fesses plates, mais attention! Faut vraiment que le reste en vaille la peine. Quand je suis satisfait j’essaie d’enregistrer l’image sur mon ordinateur, dans un album cochon intime.
Ce safari rose avait fini en rituel matinal. Chaque matin, je préparais un café, bien noir et sans sucre, que je buvait dans la cuisine, d’une seule traite! Ce qui me permettait d’ouvrir le premier oeil, pour le second aussi je préparait un peu de ce breuvage dont je pense être devenu dépendant le matin. Cependant je descendait ma tasse avec moi à la cave, dans ce que j’appelle le QG. ! En fait, mon ordinateur était posé sur le bureau situé dans une pièce à part de la cave. L’endroit est sinistre mais propre. Seule une petite fenêtre, au raz du plafond, permet un contact avec la lumière naturelle du soleil. Le bureau était situé de manière à ce que je puisse m’asseoir face à la fenêtre, qui donne sur l’entrée de la maison. La cave étant au trois-quarts enterrée, la fenêtre se situe au ras du sol coté extérieur. Quand il pleut je me lève pour regarder les gouttes d’eau éclater, mon regard est alors au niveau du sol, cette une vue imprenable sur ce spectacle. Mais après deux semaines d’incessantes averses on se lasse vite du spectacle.
Un matin, en fouillant sur la toile une énième fois, je réalisais que j’avais des érections de plus en plus fréquemment, longtemps et de plus en plus dures. Je pensais ne plus pouvoir continuer ainsi, il fallait que je me soulage, j’en avais mal au sexe de bander depuis si longtemps. Je découvrais mon album coquin pour la première fois, je n’avais pas chômé! J’enclenchais un diaporama pour que la série de clichés défile seule, me laissant ainsi les deux mains libres pour me caresser. Les yeux collés à l’écran je commençais a me palper par dessus ma braguette. Mon sexe étais coudé par le manque de place, je décidai de le désentraver en douceur… Lentement je défis les quatre boutons un à un. Chacun d’eux m’avait titillé, surtout le troisième qui permit à ma verge de se déployer tel un diable à ressort qui surgit de sa boîte, en soulageant la douleur! Pourtant le diable restait encore dans sa boîte pour le moment. Je regardais l’état de mon boxer, la bosse et les quelques tâches encore humide qu’il arborait, témoignaient de mon excitation. J’attrapais ma tige violemment à travers la toile fine de mon boxer moulant et le tortura savamment en reluquant les photos débordantes de chairs sensuelles sur l’ordinateur.
Quand je décidai de lâcher le fauve, affamé par sa captivité et excité par le fantasme, j’introduisis mes deux pouces sous mon caleçon pour le soulever légèrement d’abord. L’air frais s’engouffra, par cet nouvel ouverture, dans la fournaise qui abritait mon sexe. Ce courant chemina entre les replis du collier de ma verge, moite, bouillante et intégralement épilée. J’adore tellement cette sensation que je remit ma banane à cuire dans la cocotte minute. Je remonté mon caleçon, et pour m’exciter encore un peu, j’arrêtais de me toucher un peu sans quitter le moniteur des yeux. Regarde mais ne touche pas! Excitant comme quand on se fait attacher aux barreaux du lit. J’adore… Le petit courant d’air excitant m’avais appelé la présence de la fenêtre, elle était démunie de rideau ou de volet. Je m’inquiétais soudain. Je réfléchis, en trois ans personne n’était passé me voir par cette petite fenêtre en arrivant à la maison. A contrario moi j’apercevais souvent les jambes des individus qui venait sonner à la porte. De plus, pour me voir me branler, il aurais fallu passer par le jardin, et même encore l’instant serait bref. Ayant à peu près étudié toute les options tactiques, je repris mon activité solitaire.
Je recommençais la cuisson à la vapeur, il fallait remuer un peu. Cette fois encore avec mes deux pouces je me procurais de l’air frais. C’était tellement bon. Cette fois par contre, j’avais sortir mon sexe à moitié. J’avais le gland dégoulinant de sève. J’en profitait pour lubrifier ma tige sur une bonne partie de sa longueur, décuplant la sensation des caresses. Ne luttant plus, je sortis mes deux boules toutes lisses de leur prison en rabattant l’élastique du boxer juste en dessous d’elles. Mes couilles remontées, la main qui me branlait venez taper dessus de temps à autre. Je souffrais un peu. Est-ce que j’aime ça ?
Le tour des photos fût terminé ; je le laissais défiler. Les yeux fermés, je m’abandonnais de plus belle à mon plaisir. Finalement mes vêtements commençait à me gêner. Sans lâcher mon sexe, je me leva pour descendre tout cet attirail le long de mes cuisses avant de me rasseoir, les yeux fermés et les mains qui continuaient de jouer avec toute mon anatomie.
Les couilles bien empoignées dans une main, je caressais mon phallus sur toutes sa longueur avec l’autre. La jouissance tardait mais fini bien par monter, c’est à ce moment là que quelqu’un toqua à la fenêtre!
Mon sang ne fit qu’un tour, je bondit du fauteuil, remontais maladroitement un jeans trop moulant sans remettre le caleçon comme il fallait, puis en voulant fermer le diapo-rama qui défilait toujours dans la foulée, j’avais malencontreusement versé mon café froid, complètement oublié sur le clavier et la souris. C’est pas grave, de là où elle était cette personne ne pouvait pas voir l’écran. Qui était-ce ?
La vision fût terrible ! Ma belle-soeur se contorsionnait, à genou pour regarder par la fenêtre. M’avait elle vu en pleine pratique ? J’étais tétanisé… je restais sans bouger devant la fenêtre, je suivis son regard, elle semblait regarder au fond de la pièce. Ouf! elle me cherchait du regard visiblement, signe qu’elle ne m’avais sans doute pas vu. Je me repris et décidais de lui ouvrir la lucarne. Elle était tout sourire comme à son habitude:
"Bonjour, dit elle.
-Salut Stéphanie…" Je m’aperçus que je respirais fort, encore essoufflé. Mais je souriais.
Ma belle-soeur… c’est elle qui m’a fait découvrir mon goût pour les femmes bien en chair.
Elle à un beau visage, et de très gros seins, son fessier n’est pas bombé, mais il reste correct. En plus elle est toujours maquillée et s’habille souvent sexy, des jupes un peu courtes et légères parfois, et très souvent elle mets sa belle poitrine dans un décolleté qui, j’en ai eu plusieurs fois l’impression, lui plaît de me mettre sous le nez. C’est au cours d’un repas de noël qu’elle m’apprit à apprécier les charmes de la volupté, en se penchant devant moi ou en s’asseyant devant moi, je vous conterai ça une autre fois.
Aujourd’hui, comme d’habitude, elle portait ses vêtements fétiches, une jupe noire légère avec des collants tout aussi noir. Elle avait aussi un décolleté sous sa veste. Elle avait un parapluie entre les mains, la tige de celui-ci reposait contre un des ses splendides seins.
" Comment vastu? Demandais je.
-C’est à toi qu’il faut poser la question – avait elle dit d’un ton sec, puis d’un ton plus suave – Tu faisais quoi?
-J’écrivais des textes…
-Ah bon? Dis donc ça te met dans un drôle d’état d’écrire. Il faudra que tu me fasses lire, ça m’intéresse.
-Euh… tu sais c’est plein de fautes et…
-Arrête de mentir!"
Il y eut un long silence. Je rougis cette fois je pensais, sans certitude, qu’elle m’avait vu en pleine action, je me tûs pourtant, et baissa la tête. Elle poussa un soupir, et changea de position. J’aperçus la grimace de douleur qu’elle fit en se relevant, je compris alors qu’elle était là depuis un petit moment déjà. Elle releva un genou qui avait rougit sur la pierre glacée et trempée qui borde la maison. Lentement sa jupe glissa, comme Stéphanie était un peu plus relevé à ce moment, elle ne pouvait plus voir mon visage, dissimulé par l’encadrement de la fenêtre je profitais de la vue, sans rien voir vraiment, dommage. Elle finissait de se relever en disant "Sais-tu qu’il y a un miroir derrière toi ?" Je me retournai pour constater, alors que je le connaissais ce miroir, et il était là depuis longtemps !"J’ai absolument tout vu tu sais ?" Je me retournais à nouveau.
Elle avait trouver une nouvelle position. J’aurais plutôt appelé ça prendre la pose, elle était accroupie, les genoux entrouverts et les fesses sur les talons, elle bloquait sa jupe pour ne pas qu’elle se mouille par terre. Je voyais tout! Ses collants étaient noir mais très transparent. Son sexe ne se cachait derrière aucune culotte ou autre lingerie connue. Sa belle chatte était compressée par les collants qui écrasaient ses lèvres charnues, il n’y avait aucun poil en vue, et j’adore ça.
"Je savais pas que t’aimais les grosses ?
-J’aime pas ce terme… mais oui j’aime les formes.
-Tu veux pas continuer un peu… devant moi.
-Et ta soeur? Tu y penses?
-Oui ! Très souvent d’ailleurs ! Je me dis que cette garce a de la chance de t’avoir. T’es bien fait.
-Euh…merci. Toi tu m’as toujours excité !
-Toi aussi, dit elle en ouvrant sa cuisse d’une main caressante. Bon tu viens m’ouvrir ?
-T’es pas ouverte encore ?
-Petit rigolo. S’il te plaît… (suppliante)
-D’accord, mais avant, je voudrais immortaliser cet instant !
-Comment ça ?"
Je sortis mon appareil photo tout proche et le mit, à l’image de ma verge, sous tension. La belle eut une expression étonné, et finit par sourire et accepta le jeu. Enchaînant les poses de plus en plus évocatrices grâce au manche de son parapluie. "Regardes un peu ça mon petit!" Elle souleva ses seins de leur écrin et les étala sous mes yeux. Elle secoua trois fois les épaules pour les faire ballotter un peu avant de les compresser avec ses bras les faisant gonfler! "Tu seras dans mon album pour toujours Stéphanie ! Je penserai souvent à toi je te le promets." Elle prit quelque pose de plus avec le parapluie englouti par sa poitrine qu’elle manipule sans ménagements.
Elle finit par remballer ses appétissant melons, se redressa et revint à la charge :
"Tu m’ouvres maintenant, que moi aussi je puisse immortaliser l’instant ?
-Et comment tu comptes t’y prendre ?
-Moi j’ai pas besoin d’appareil photo, j’ai une excellente mémoire…
-Tu parles de mémoire visuelle ?
-Non ! De mémoire tactile, arrête de parler et viens m’ouvrir je suis trempée, et avant que tu poses la question, non, ce n’est pas la pluie qui m’a trempée…"
J’étais remonté lui ouvrir en courant…