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Brinit – Chapitre 1

Brinit - Chapitre 1



En ces temps troublés, les Danois cherchaient des noises

à ce brave Harald aux cheveux longs.

Il se disait successeur du bon roi qu’il venait d’occire

Dans une bataille dure et épuisante, il les repoussa à la mer.

Mal lui en pris, car Le Guillaume que l’on va conquérant nommer.

Près de Hasting débarqua.

— Hoho ! mon cousin cher, je viens chercher l’héritage mien.

— Que néni, cet héritage mien est

— Quoi ! Promesses à un Normand doit être tenue.

— Nous en découdrons.

— Mes bons barons, allons donc ce barbon au silence réduire.

Après un violent affrontement, Harald la vie perdit.

— Que voila mon cousin cher de l’entêtement vous fîtes

— Maintenant, les vers de terre galamment vous sodomiserez !

Allons mes braves, la nuit va tomber et les délices nous attendent

— A Nottingam ! aurait chanté un chevalier Jaque LeBrel

Devant le dit château, se présentant avec Armes et bagages,

Guillaume :

— Oh du château, ouvrez les portes à votre suzerain.

Les lourdes portes, grincèrent tant et plus, mais en vain,

mais elles finirent par s’ouvrir.

— Que l’on prépare un banquet, cette course folle

mon appétit ouvrit, mes braves barons l’ont molle.

— Annoncez moi à la mienne tante

— Mais sire elle déjà au lit être

— Que cela me va comme entente

Dites- lui donc d’être prête.

Mon sang est chaud et a besoin d’être refroidi

— Mais Sir comme je vous l’ai dit

elle est déjà dans son lit.

— Tant mieux la petite poulette

dans son fort est déjà prête.

Grimpant à 4 pattes les escaliers

montant la tour par palier,

Guillaume aux appartements arrive

— Ma douce tante, votre époux vient

de prendre de mauvaises habitudes.

Il est en train de faire

au fin fond des enfers

la cour au vers de terre,

Je viens de l’occire

de ma dague en fer

et vient ici requérir

votre conin à moi chérir.

— Oh ! Mon Dieu, fait la belle émue

Mon bon cousin

que m’en voilà chagrinée mais trop point

quand votre glaive de sang je vois

ma grotte tremblotte je crois.

— Écartez bien vos cuisses

belle tante que j’y glisse

en 2 temps ma saucisse.

— Mon neveu, il faut d’abord que je pisse.

— Faites ma belle mais

ne me faites attendre

ma trique à trop tendre.

— J’arrive rendre hommage

et ce n’est pas un fromage.

À ce pieux peu pieu

que ma grotte en feu

attends pour baiser à qui mieux mieux.

Après quelques Han ! délectables

il est temps de se mettre à table.

— Ma douce tante, goûtez moi

donc cette sausage de roi.

Vous m’en direz des nouvelles

car vos donzelles

aussi goûteront

de moi gai paturon.

— Sa majesté, dit-elle

Ne touchez pas mes donzelles

Avant qu’un bain vous prendre

Car du bouc ou du sanglier

vos odeurs se répandre

— Votre tube mignonne,

pour ma crasse sera bonne.

Guerroyer transpirer fait

comme un grand portefaix.

Se dirigeant, comme un dirigeant

vers de Hildegarde la chambre

à grand pat la bite en avant

Guillaume, de la Somme à la Sambre.

D’un pat de conquérant

vers ces jolis petit cons quérants.

Aussi leur pitance

dans les reins en errance

leur dû réclame

sans peur ni larme.

— Messire que votre flamberge

se loge dans mon auberge

Mes gros jambons

réclame votre saucisson.

— que voilà de belles paroles

qui ma bite affole.

Ouvrez bien votre corolle

que je puisse y glisser mon obole.

— Faites, prenez-moi Sire

de votre bâton

je ne puis maudire.

Mon dieu que c’est bon

Sans médire, il faut dire

que ta saucisse de Morteau

quel beau morceau

C’est autre que la chipolata

que m’enfile mon papa.

Va, vole et me nique

Dominique nique nique.

— C’est ta sur Dominique

— C’est de célébrité publique.

— Ah bon il faudra que je me la fasse

C’est une bonne chaudasse ?

Quand je déguste son bouton,

c’est mieux que Don Pérignon

— Mais a-t-elle encore

son label de garantie Ikea

parce que je vais le lui mettre dans le baba

paroles d’or

— A ma connaissance et au toucher

oui, elle l’a encore, je peux le jurer

Alors mon droit de cuissage

Je vais en faire usage.

Mène moi par la traine

que de son pucelage

je métrenne

C’est bon pour le plumage

disait un certain corbeau

de Rome volage

à un renard encore beau.

Avant qu’il le la lui mise en corp beau.

Ma mie, prenez donc

de moi le jonc

ces campagnes de baise

en ont un peu réduit la braise

Il faut que de mes batteries

ma libido ait quérir.

Oui mon doux seigneur,

ce queue qui fit mon bonheur

je ne saurai d’aisance

que lui rendre sa puissance.

Bien, flamberge est prête

pour moi satisfaite

de jeunes conins

jouer au coquin.

Frime

et pine

la routine

de la langue latine.

Comme

amour

et toujours

la frime riche

de la langue française

qui devrait être

baise et rebaise

et non pas Théodore de Bèze

Voila, j’espère que mon petit poème, fait à la place du petit déjeuner, vous a plu, en tout cas moi, il m’a diverti d’ajouter conneries sur conneries quelques fois en vers

peu de fois en verre. (trop tôt le matin)

PS les notions de cousinage, tante n’avaient pas le même définition qu’à notre époque.

à l’époque, entre nobles, tout le monde était soit cousin, oncle, tante, même sans lien de sang rapproché.

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