L’INITIATION DE MA SOEUR
Depuis presqu’un an, je me livrais sans retenue à notre chien Bobby en l’absence de mon mari.
J’éprouvais toujours ce mélange de sentiments, de honte à me livrer à cet animal qui ne pensait qu’à me prendre pour déposer au fond de mon ventre sa semence et me féconder, et le désir de ployer sous son poids, de sentir son ventre chaud contre mes fesses, de sentir son sexe m’écarteler jusqu’à la récompense suprême : sentir ses jets chauds et abondants s’écraser tout au fond de moi et crier de bonheur !
J’étais devenue sa petite femelle, soumise à ses envies, apprenant à me présenter devant lui bien cambrée, mes parties intimes bien ouvertes, qu’il fouillait de sa langue agile ou pistonnait sans ménagement pour mon plus grand plaisir.
Soumise n’est pas vraiment le mot exact, car c’était souvent moi qui prenait l’initiative des séances de léchage ou de saillies qu’il me prodiguait.
Cet été là, ma soeur, qui s’était faite larguée par son mec, était venue passer quelques jours à la maison pour se changer les idées.
Confortablement installées dans des transats, nous prenions le soleil.
Je ne portais qu’une petite culotte, elle, un peut coincée, avait conservé en plus son sous-tif.
Nous bavardions de tout et de rien et la conversation a fini par arriver sur la vie en général, et sur la sexualité.
Moi, tu sais, dit elle, depuis que jacques m’a quitté, c’est zéro de ce coté là !
Moi, je lui répond, Dany est souvent en déplacements, alors je me débrouille. J’ai mon petit doigt magique, en lui montrant mon index, et puis j’ai une petite bougie dans le tiroir de la table de nuit.
Et puis il y a plein d’autres moyens, tu sais !
Tu veux dire, me dit elle, que tu as un amant ?
Oui, non, enfin ce n’est pas un amant comme on l’imagine normalement.
Au même moment, je me mis a caresser la tête de Bobby qui était couché à coté de moi.
Il m’a regardé, se demandant pourquoi je le dérangeais, puis s’est levé, et fidèle à son habitude, a posé sa tête sur ma cuisse, sa truffe contre mon pubis qu’il a commencé à renifler.
Je l’ai repoussé gentiment en lui disant, non Bobby, pas maintenant, laisse moi .
Mais monsieur, décidé à n’en faire qu’a sa tête, enfonce encore plus son museau et commence à me lécher.
Le frêle tissu ne me protège pas beaucoup, et comme à chaque fois, je frémis de plaisir sous ses coups de langue.
Tournant la tête vers Lucie, je vois son regard ébahi.
Tu veux dire que c’est lui ton autre moyen ?
Et oui, tu vois, sa langue est agile comme tu ne peut pas imaginer, et elle me fait un effet …. lui répondis je en contractant mon ventre, sentant le plaisir arriver.
Indifférent à notre conversation, Bobby continuait à lécher ma petite culotte, sachant qu’il ne tarderait pas à ouvrir les vannes d’une source odorante qu’il aimait bien.
Je commençais à me tordre de désir, et bientôt ma petite culotte était imprégnée de mon jus d’amour.
Les yeux fermés, je me concentrais sur le plaisir qui arrivait. Je me sentais encore plus excitée que d’habitude, peut être parce que je me livrais à mon toutou devant une autre personne pour la première fois.
N’y tenant plus, je pliais les genoux pour retirer le frêle rempart, qui, il est vrai, ne servait plus à grand chose.
Dans cette position, toute mon intimité était offerte à la langue râpeuse qui s’activait de plus en plus vite, sur mon petit bouton, mes lèvres vaginales et mon petit oeillet, m’arrachant à chaque fois un soupir de plaisir.
J’ai joui rapidement une première fois, et comme cette langue semblait infatigable,une deuxième, avant de repousser Bobby, le prenant par la tête pour le faire reculer.
Les yeux clos, je savourais mon plaisir en reprenant mon souffle, puis j’ai tourné la tête vers Lucie en souriant.
Elle semblait horrifiée.
Mais, c’est dégueulasse me dit elle, il lèche tout ce qui passe à sa portée, le cul des autres chiens, sa bite et tout et tout, comment peut tu faire ça ?
Si tu y avais gouté, tu comprendrais ma vieille, lui dis je.
C’est bon, c’est bon, tu ne peut pas savoir! Et après, tu ne peut plus t’en passer. Regarde dans quel état il m’a mise. Passant mon doigt sur ma chatte, je le retirais, brillant de mouille qui suintait encore au fond de ma grotte.
Bobby revenait à la charge, sa truffe s’insinuait de nouveau entre mes cuisses.
Arrête Bobby,tient vient voir, tu as un autre bonbon à sucer, lui dis je.
Je me suis levée, lui présentant mon doigt plein de mouille et l’ai dirigé vers le pubis de Lucie.
Ah non ! je ne vais pas me faire lécher par une chien, me dit elle brutalement en essayant de se lever.
Mais la truffe de Bobby avait suivi mon doigt et sa langue était déjà en action.
Tu verras, dis je, même à travers la culotte ça va te faire de l’effet.
Le premier coup de langue à semblé l’électriser, tout son corps s’est tendu et un petit cri s’est échappé de ses lèvres. Elle avait fermé les yeux.
Non disait elle, non, je ne veut pas. Mais elle ne se défendait pas, se détendait même sous les coups de langue précipités.
Très vite, une petite auréole d’humidité s’est formé sur sa culotte. Bave de Bobby ou sécrétions intimes pensais je ?
Non gémissait elle, non je ne veut pas,dis lui d’arrêter.
Mais elle ne cherchait toujours pas a se défendre, ses mains s’accrochaient au transat, et elle écartait ses jambes en soulevant le bassin pour s’offrir encore plus.
Sans culotte, c’est encore meilleur, lui dis, tu veut essayer ?
Elle ne répondait pas, sa tête ballotait de droite à gauche, un gémissement continu sortait de sa gorge, elle gardait les yeux fermés.
J’ai saisi sa culotte, la tirant vers le bas. Elle a plié les genoux, soulevé ses fesses pour m’aider à la retirer, dévoilant une épaisse toison brune et des lèvres épaisses brillantes de cyprine.
Glisse toi vers le bas, comme moi tout à l’heure, lui dis je.
Elle à obéi, les yeux toujours fermés. J’ai écarté ses jambes sans rencontrer la moindre résistance.
Elle était maintenant totalement offerte.
Bobby semblait de plus en plus excité. Il plongeait le museau vers cette grotte odorante et sa langue s’activait rapidement, arrachant un cri a sa nouvelle maitresse.
Elle continuait de gémir sans arrêt, son ventre se contractait et se relâchait, elle croisait les genoux pour mieux les rouvrir…
La langue de Bobby s’activait, glissait entre ses fesses, s’insinuait au plus profond de sa chatte, fouillait la toison brune ….
C’est bon gémit elle, il va me faire jouir le salaud !
Tout son corps fut secoué par un tremblement et elle laissa un long râle de plaisir sortir de sa gorge.
Enlève le, enlève le, j’en peut plus, gémit elle, enlève le il me fait jouir !
Arrête Bobby, arrête, lui dis je en le tirant par le collier. Mais il semblait excité comme jamais. Il poussait sur ses pattes pour retourner vers cette nouvelle friandise qu’il semblait apprécier.
Etait ce les odeurs de deux femelles en chaleur, ou bien cette toison brune qui le mettait dans cet état ?
Sa petite flèche était déjà sortie de son fourreau et son sexe blanchâtre commençait à poindre à son tour, c’est dire !
Lucie avait rouvert les yeux, elle haletait doucement en reprenant sons souffle.
T’es dégueulasse me dit elle, je ne voulais pas me faire sucer par ton chien .
Oui, mais tu as quand même eu l’air d’aimer, tu n’as pas arrêté de crier que c’était bon,qu’il te faisait jouir .
Je te l’avais dit, tu y goutte une fois et après tu ne peut plus t’en passer.
Et regarde dans quel état tu l’as mis.
Bobby, en effet, s’était dressé contre ma cuisse et mimait l’accouplement en me léchant l’entrecuisse.
Maintenant il ne se calmera que quand il aura obtenu ce qu’il veut !
C’était la première fois que je voyais une femme en train de jouir et ce spectacle m’avait mis en transes. Je sentais mon ventre se durcir, ma fente déjà humide, et l’envie de me sentir remplie par cette queue bien épaisse, brrr, j’en tremblais d’avance .
Regarde moi ça, lui dis en passant la main sur le sexe de Bobby.
Ses petites couilles sont dures comme des cailloux, elles sont pleines de son bon jus de mâle, et tant qu’il ne les aura pas vidées il ne nous laissera pas en paix.
Tu veut dire que tu vas ……. te faire sauter par lui ? me dit elle en ouvrant de grands yeux ébahis.
Tu sais, il est comme les mecs, tu les excites, tu les excites, et après, tant qu’ils n’ont pas obtenus ce qu’ils veulent, ils ne te lâchent pas. Et bien lui c’est pareil. On aura son museau entre nos fesses sans arrêt tant qu’il n’aura pas trouvé le moyen de les vider.
On peut pas le laisser comme ça : Touches, regardes comme elles sont dures, ça doit lui faire mal, le pauvre.
Et puis, si tu savais comme c’est bon ! ajoutais je en souriant.
Elle était totalement effarée, restant sans voix.
Je me dirigeais vers la maison , Bobby sur mes talons, ou plus exactement, entre mes fesses .
Je me suis agenouillée devant le canapé, me présentant à bonne hauteur comme je savais le faire maintenant, les cuisses bien ouvertes.
Bobby n’hésitât pas un instant, il semblait particulièrement pressé aujourd’hui.
Il a glissé sa truffe entre mes fesses, puis sur ma chatte, comme pour s’assurer que j’étais prête à l’accueillir, quelques coups de langue qui m’ont coupé le souffle pour me lubrifier, et il s’est dressé, m’agrippant sans ménagement avec ses pattes de devant.
Ses griffes me labourèrent les flancs et m’arrachèrent un cri de douleur. Il est vrai que d’habitude, j’avais toujours un t shirt pour me protéger.
Il était déchainé. ses coups de reins étaient violents, désordonnés, et lui qui savait maintenant trouver l’entrée de ma grotte rapidement, n’y arrivait pas, buttant sur mes fesses, sur mes cuisses, exacerbant mon désir de le sentir en moi, écarter mes chairs fragiles, ses petites couilles bien dures taper sur mes fesses, comme une promesse de ce jus brulant qui jaillirait au plus profond de mon ventre.
N’y tenant plus, j’ai glissé ma main entre mes jambes, saisissant son sexe pour le guider vers ma fente.
Il s’est enfoncé brutalement, me coupant le souffle.
Ne voulant pas restée collée à lui cette fois ci, je maintenais la base de son sexe entre mes doigts, mais lui semblait ne vouloir que s’enfoncer davantage.
Ses coups de reins violents me secouaient sans ménagement.
J’étais trempée de désir et sa queue coulissait facilement dans mon ventre.
Au bout de quelques va et vient, j’ai senti son sexe qui commençait a grossir, me remplissant complètement et m’élargissant comme j’aimais. Il était vraiment pressé aujourd’hui, ou bien était ce la toison brune de ma soeur qui l’excitait à ce point ?
Je me sentais vraiment chienne, femelle en chaleur, haletant sous les coups de boutoir de son mâle déchainé.
Tournant le tête, j’ai vu les jambes de ma soeur qui nous avait suivis, et levant les yeux, son expression d’étonnement devant le spectacle qu’elle découvrait.
Je me mis à râler de bonheur : c’est bon !, c’est boonnn !!, tu ne peut pas savoir comme c’est bon, il est gros, il me rempli complètement !
Etait ce la fougue de Bobby, le fait d’être là, saillie par ce mâle devant une autre personne, ou l’excitation d’avoir vu ma soeur si coincée et pudique, râler de bonheur sous les coups de langue de Bobby, ou l’ensemble de tout cela, j’ai joui une première fois.
Bobby s’est arrêté très vite de me pistonner et j’ai senti un premier jet de sperme brulant jaillir au fond de mes entrailles, m’arrachant un cri de bonheur.
Puis le second, le troisième, et les autres, toujours aussi forts, aussi abondants.
A chaque jet je râlais comme une chatte en chaleur : c’est bon, c’est booonnnn, oui mon Bobby, rempli moi le ventre, je suis ta petite chienne, baises moi bien, baises moi bien, fait jouir ta salope, fait moi jouir, fait moi jouiiirrrr !
Il était vraiment excité aujourd’hui, et j’avais l’impression qu’il ne finirait jamais de se vider en moi.
Je jouissais comme jamais, sentant mon ventre se remplir de ce liquide chaud.
Puis, comme d’habitude, Bobby s’est retiré de moi pour aller se lécher le sexe.
Je restais là, impudique, tremblante, la croupe offerte, haletante de cette jouissance qu’il m’avait offerte.
De ma chatte béante s’écoulait le trop plein de la semence qu’il m’avait injecté.
Il est énorme, il t’a fait mal? me demandât Lucie d’un air inquiet .
Ah non,il est plus excité que d’habitude, mais c’était bon, c’était bon, tu ne peut pas savoir !
Et puis il a giclé, giclé, comme s’il n’avait pas baisé depuis des lustres. Pourtant ça ne fait pas une semaine qu’il m’a sautée. A croire que tu l’excites, regarde, ça déborde !
Je vais chercher une serviette, me dit Lucie.
Ah non, il n’a pas terminé. Il va venir lécher tout ce qui coule et il va me faire jouir une autre fois avec sa langue, j’ai trop envie, je ne veut pas manquer ça.
comme s’il nous avait entendu, Bobby s’est levé et à fourré sa tête entre mes cuisses et entrepris de lécher son sperme qui dégoulinait de moi.
Il s’appliquait, fouillant ma chatte, léchant mon petit oeillet sensible, m’arrachant des râles de bonheur.
La tête enfouie dans les coussins, la croupe offerte sans pudeur devant ma soeur, j’ai joui de nouveau, une fois, puis deux, insatiable.
Enfin, j’ai trouvé la force de le repousser : vas t’en Bobby, ça suffit, t’es un bon chien, t’es un bon mâle, tu m’as bien fait jouir, mais je n’en peut plus, vas t’en, vas te coucher.
Il m’a regardé, semblant étonné que je mettes fin à nos ébats, puis il est parti se coucher dans un coin de la pièce et s’est remis à se lécher le sexe.
Je suis restée quelques instants encore dans ma position impudique, reprenant mon souffle, puis je me suis levée.
Mes cuisses trempées exhalaient une odeur de sexe. Lucie m’a proposé une serviette, sans succès, puis elle est allée chercher nos culottes qui gisaient dans le gazon et m’a tendue la mienne.
Oh non, luis dis je, mes petites lèvres et mon clito sont encore trop sensibles, avec le frottement je serais capable de me remettre a mouiller lui dis en souriant.
Elle a souri, les a posé sur le canapé, et m’a demandé si je voulais aller me reposer.
Oh non, je ne vais pas te laisser seule avec lui, tu serais capable de le dévergonder, vu l’état dans lequel tu l’as mis, lui répondis je .
T’es pas folle, me demanda t elle .
Oui, tu dis ça, tu dis ça, comme tout à l’heure quand tu disais que tu ne voulais pas qu’il te lèche parce que c’était dégueulasse, mais tu as eu l’air de bien aimer, je me trompe ?
Elle a baissé la tête sans répondre.
C’était bon ?, tu as aimé ou pas ? insistais je .
Oui, c’était bon, me dit elle en baissant la tête.Je crois que je n’avais joui aussi fort.
Te voir te tordre de bonheur sous ses coups de langue, t’entendre gémir comme tu l’a fait, ça m’a donné envie. Mais c’est peut être parce que je n’avais pas baisé depuis si longtemps.
Je rompis le silence en demandant : tu sais, je prendrais bien un café, tu t’en occupes ?
OK, retourne au soleil, j’arrive .
Je suis sortie dans le jardin, et m’allongeais sur un transat, m’offrant nue au soleil.
Elle est arrivée quelques minutes plus tard avec deux tasses et s’est installée, elle aussi sur le transat.
Nous sirotions nos cafés en silence lorsque Bobby est arrivé, l’air innocent.
Comme d’habitude, il a posé sa tête sur ma cuisse, reniflé mon pubis, puis tenté une léchouille.
Non Bobby, lui dis je, ça suffit pour aujourd’hui, j’ai eu ma dose,va voir l’autre bonbon, en lui désignant Lucie.
Il a contourné mon transat et a tenté la même chose sur Lucie.
Arrête, cria t’ elle, tu vas me faire renverser mon café.
Elle leva la tasse pour la protéger et le coquin en a profité pour enfouir sa truffe au fond de sa toison fournie.
Arrête, répéta t’ elle, pas maintenant, tu vas me faire renverser mon café.
Je me suis pensé : si c’est pas pour maintenant, ce sera pour plus tard !
Pour quelqu’un qui trouvait ça dégueulasse y’ a pas deux heures !!!
Vu l’insistance du monsieur, elle a avalé son café d’une seule traite et posé la tasse a ses cotés.
Puis prenant la tête de Bobby entre ses mains, elle a commencé a jouer avec lui.
Mais lui, ne se sentait pas trop joueur, la seule chose qui semblait l’intéresser, c’était cette forêt noire odorante, si proche mais qu’elle rendait inaccessible.
Tu vois, lui dis je, tu lui fait de l’effet, les poils de ta toison doivent garder plus l’odeur de ton foutre que mon ticket de métro, et ça l’excite davantage.
Tu crois , dit elle en se tournant vers moi et relâchant son attention ?
Bobby en a profité pour tendre le cou un peu plus et sa langue est arrivée sur le bonbon qu’il convoitait.
Tout le corps de Lucie s’est raidi et son souffle coupé montrait que Bobby était arrivé à ses fins.
Elle lui tenait toujours la tête, mais ne le repoussait plus, ses jambes se sont ouvertes légèrement, comme si elle n’osait pas se laisser aller.
J’ai terminé mon café, posé la tasse sur le sol, puis me suis levée et approchée de ma soeur.
Elle avait posé la tête sur le transat, et, le regard vide, haletait doucement.
Il a toujours envie, il n’arrête jamais me dit elle.
Ben oui, c’est un mâle, et avec deux femelles aux chattes odorantes et accueillantes qu’il sait qu’il va pouvoir sauter, ça l’excite, que veut tu.
Descend au fond du transat, il sera plus à l’aise.
Elle a suivi mon conseil et je lui écartais les jambes sans rencontrer de résistance.
Bobby était fébrile, excité comme je ne l’avais jamais vu.
Sa langue allait et venait, depuis le petit trou jusqu’au clito qui pointait sous la toison brune, gonflé de désir.
Sa petite flèche pointait déjà hors de son fourreau et laissait échapper quelques gouttes de liquide incolore qu’il léchait de temps en temps.
Lucie gémissait doucement, les yeux fermés.
C’est bon hein, lui dis je ! Je t’avais prévenue, quand tu y a goutté, tu ne peut plus t’en passer.
Oui, c’est bon, il me fait jouir le salaud, mais c’est bon, hummmmmm.
Et puis verras sa queue quand il te saute, tu es complètement remplie, c’est bon ça aussi, mais surtout quand il décharge, moi, c’est ce qui me le plus jouir.
Tu crois que ça peut me faire jouir encore plus, demanda t’ elle ?
Sûr, et d’ailleurs, su tu veut essayer, je crois qu’il ne te refusera pas ce plaisir, tu le met dans des états incroyable ! lui dis je en lui tendant la main.
Elle l’a saisie, s’est levée et nous nous sommes dirigées vers la maison, suivies de Bobby qui tentait toujours de fourrer son museau entre ses cuisses, entre ses fesses, jappant nerveusement, comme s’il savait déjà ce qui allait venir.
Elle allait s’agenouiller devant le canapé lorsque je lui ai dit : attend, je vais te filer un t shirt.
Je suis allée chercher le précieux vêtement et à mon retours, Lucie était toujours là, immobile, tandis que Bobby mimait un accouplement contre ses jambes en grognant d’impatience.
Je le lui ai tendu, elle l’a enfilé sans un mot et s’est agenouillée devant le canapé.
J’ai compris pourquoi Bobby me baisait avec une telle force quand je m’offrais ainsi à lui :
Comment résister à la vue de ces hanches étroites, de ces fesses diaphanes tremblantes de désir, à cette chatte luisante devinée à la fourche des cuisses, de ce petit trou palpitant d’impatience ?
Ce devait être bon d’écarter ces chairs tendres, de s’enfoncer dans ce ventre accueillant pour y déposer sa semence !
Un frisson de désir à parcouru mon corps, j’aurais voulu être à sa place! je l’enviais !!
Bobby avait compris ce qui l’attendait et a sauté sur son dos sans autre forme de procès, donnant des coups de rein désordonnés.
Pas besoin de sentir ses humeurs ni de la préparer en léchant son entrée, il savait que cette nouvelle femelle était déjà prête a être saillie.
Descend un peu ton bassin, lui dis je, et écarte les jambes, je vais le guider et veiller à ce qu’il ne s’enfonce pas trop .
Elle se laissait faire, sans un mot.
Cambres toi davantage pour qu’il rentre bien, lui dis je.
Glissant ma main sous ses flans, j’ai saisi le sexe gluant de Bobby, déjà sorti de son fourreau, et l’ai présenté devant la grotte qui l’attendait.
D’un coup de reins puissant il est entré jusqu’à la garde, bloqué par ma main. Heureusement d’ailleurs, sinon ses deux boules seraient entrées elles aussi, tellement elle était lubrifiée par son abondante mouille que je sentais couler entre mes doigts.
Un long gémissement est sorti de sa gorge, tandis que Bobby s’activait.
Il agissait en mâle dominant, saillissant cette femelle obéissante et docile qu’il voulait inséminer.
Elle était violemment secouée, la tête projetée au fond des coussins et râlait de bonheur : c’est bon, c’est boooonnn, il grossit, il grossit, il me remplit, il me remplit toute, c’est bon, c’est boonnn !!!!
Très vite il s’est mis a pousser, arqué sur ses pattes arrières,comme pour aller plus loin , tout au fond de ce ventre……
Elle s’est écrié ; il gicle, il gicle, c’est bon , c’est chaud, c’est fort, haaaaa…….
Chaque giclée lui coupait la respiration, elle se cambrait davantage comme pour mieux recevoir le précieux liquide tout au fond de son ventre. Et lui n’en finissait pas, je sentais entre mes doigts crispés son sexe se dilater à chaque fois qu’il envoyait son jus.
C’est vrai qu’elle lui faisait de l’effet cette nouvelle femelle, je ne me souvenais pas d’avoir reçu une telle quantité de sperme lors d’une saillie.
Elle tremblait de tout son corps, haletait, gémissait, sa tête ballotait de droite à gauche, elle jouissait, elle jouissait comme jamais !
Puis brutalement, Bobby s’est retiré, et, fidèle a ses habitudes, est allé s’installer dans un coin lécher ce sexe monstrueux qui pendait sous son ventre.
Elle restait là, haletante, gémissante, la croupe offerte ….
J’avais posé ma tête sur son dos et lui caressais le ventre, attendant qu’elle se calme, qu’elle reprenne son souffle, que son coeur retrouve un rythme normal.
Puis nous nous sommes assises sur le canapé ravagé par nos ébats, elle a posé sa tête sur mon épaule….
Je crois que j’ai joui comme une folle, me dit elle au bout d’un long moment.
C’est bon de le sentir grossir, d’être remplie comme ça, et quand il décharge,! c’est ce qui m’a fait le plus jouir.
Tu avais raison, c’est bon de se faire prendre par ce chien, je crois que je vais devenir aussi salope que toi, ajouta t’ elle en souriant.
Bobby avait terminé sa petite toilette et venait parachever son oeuvre, insérant le museau entre ses jambes.
Elle s’est avancée au bord du canapé, ouvrant ses cuisses les yeux clos, le corps rejeté en arrière, pour mieux s’offrir, impudique !
Sa respiration se faisait plus courte et elle a recommencé de gémir sous les coups de cette langue qui la fouillait habilement.
Je suis retournée sur mon transat avant que l’envie ne me reprenne de caresser ses seins gonflés de bonheur, de caresser son ventre,sa peau, de lui donner du plaisir et d’en prendre avec elle.
Un long moment plus tard, elle est venue me rejoindre.
Ces quelques heures l’avaient changée : Elle avançait nue, je voyais ses cuisses fermes, cette toison brune qui en cachait la fourche, ce ventre plat, ses fesses rondes, ses petits seins fermes …..
Elle souriait et son regard reflétait la femme comblée, sûre d’elle, hummmm, parfaitement désirable !
Elle s’est installée dans son transat, à coté du mien puis m’a souri.
J’ai pensé que c’était dégueulasse de se faire lécher par un chien, immonde de s’accoupler avec lui, mais quand j’ai vu le plaisir que tu prenais, j’ai eu envie d’y gouter aussi, d’autant que je n’avais pas baisé depuis plusieurs mois.
Je te remercie de m’avoir fait découvrir ça, je crois que je vais plus pouvoir m’en passer .
Et puis, ajouta t’ elle en rigolant, c’est mieux qu’un bonhomme à la maison !
Lui, au moins, il n’attend pas la fin du match pour te donner du plaisir, il est toujours prêt ! Et il récupère à une vitesse …….
Ouais, c’est vrai que c’est bon, mais il faudra trouver un beau mâle pour ton usage personnel, je veux bien partager Bobby de temps en temps car tu lui fait de l’effet, mais il ne faudrait pas qu’il m’oublie.
Jamais je ne l’avais sentie si excité ; il était plus rapide, plus violent, mais il a giclé plus longtemps et j’ai bien aimé ça !
Si tu veux, nous irons demain à la spa voir s’il n’y a pas un beau mâle qui attend une maitresse, dans tous les sens du mot ajoutais je en souriant !
Bonne idée me dit elle, d’accord, nous irons dès demain ;
Le reste de l’après midi s’est passé normalement, sauf que Bobby semblait toujours aussi excité et qu’il ne nous quittait pas d’une semelle.
Le soir venu, nous sommes allées nous coucher ; Bobby l’a suivi jusque dans la chambre.
Fais gaffe à ce que tu vas faire, s’il te monte et rentre trop profond, il va rester collé à toi un bon moment , lui dis je en souriant.
T’inquiètes pas, je ferais attention me répondit elle.
La nuit fut assez courte, les gémissements de ma soeur m ’empêchèrent longtemps de m’endormir.
Apparemment, elle rattrapait son retard !
AIMERIEZ VOUS CONNAITRE LA SUITE ?????