ENFIN !
Et puis, nous avons repris le travail.
Lucie arrivait le vendredi dans l’après midi, comme l’avait exigé Dani.
Nous allions faire nos courses en ville, en tenue de petites putes, attirant les regards concupiscents des hommes que nous croisions, ou ceux, réprobateurs, de certaines nanas plus coincées ou moins libres que nous, en petites bourgeoises coquines – sans rien dessous évidement -en ménagères pressées de faire leurs achats en grande surface.
Et, de retour à la maison, nous nous empressions de tout ranger, de décorer la table d’un joli bouquet de fleurs, pour que notre homme trouve une jolie maison.
Puis, nous prenions soin de nous, choisissant nos tenue, vérifiant notre épilation.
En effet, Dani avait déclaré que mon ticket de métro lui plaisait beaucoup et que mon ventre lisse lui faisait un effet fou, que c’était d’une sensualité ….
Alors, en bonne épouse soumise à son maître, Lucie avait sacrifié, avec mon aide, son épaisse toison noire pour ne garder qu’un mince trait vertical sur son ventre.
(Si cela vous intéresse, je vous raconterai cet après midi torride ! )
Et, quand il arrivait enfin, il était accueilli par ses deux petites femmes qui se disputaient en riant, ses caresses, ses baisers ..
Nous allions parfois au ciné ou il profitait du noir pour caresser nos cuisses offertes, ou dinions avec des amis, chez eux, chez nous ..
Ceux ci nous complimentaient, Lucie et moi, pour être aux petits soins pour Dani, lui disaient qu’il était comme un coq en pâte avec nous, qu’il avait bien de la chance d’avoir deux petites femmes pour prendre soin de lui !
Je ne sais toujours pas s’ils savent …
Et puis, le soir, notre homme choisissait librement celle qui allait partager sa couche, et l’autre allait dormir seule, sans rancune, sans jalousie, sachant que le lendemain ce serait elle qui gémirait sous son ventre.
Du bonheur, rien que du bonheur !
Bien loin de cette frénésie qui nous avait saisie, Lucie et moi, criant notre jouissance sous les saillies brutales de nos amants canins, les provocant, les réclamant parfois !
Qui, oubliant toute pudeur, toute morale, toute honte, se baladaient les fesses nues, offertes à ces deux chiens capricieux, qui venaient nous sentir, nous lécher, nous goûter d’une langue habile jusqu’à ce que, comme un signal, leurs petites flèches rouges sortent de leurs fourreaux.
Alors, les insatiables femelles en chaleur que nous étions devenues, se soumettaient au désir de leurs mâles, se présentant à eux, pour que leurs longs sexes blanchâtres écartèlent nos chairs fragiles, raclent notre bouton d’amour, pour qu’ils nous chevauchent violemment jusqu’à la récompense suprême , ces longs jets de sperme chaud tout au fond de notre ventre qui nous faisaient crier de bonheur !!
Et le lundi matin, il nous fallait nous séparer.
Dani repartait vers ses chantiers, Lucie et moi retournions au travail.
Dès mon retour, Bobbi retrouvait son statut de mâle à la maison.
Il me faisait la fête, aboyant gentiment, me sautant dessus,venait me renifler …
Mais, encore pleine des caresses de Dani, de ses mots doux, de ses baisers, du plaisir qu’il m’avait donné, je retardais me moment de lui céder.
Je gardais mon jean, ou ma culotte sous mes jupes, une barrière, en somme, pour qu’il comprenne qu’il était trop tôt.
Ses témoignages d’affection restant sans réponse, il allait parfois s’allonger dans la pièce, le museau sur les pattes, ne me quittant pas du regard, mais ne tardait pas à revenir, sans succès ..
Le soir, je l’enfermais dans le garage et je l’entendais gémir longtemps derrière la porte …
Ce jour là, j’avais décidé de profiter du soleil pour jardiner un peu en rentrant du travail.
Je me suis mise en maillot deux pièces, puis, dans le jardin, j’ai commencé à désherber, à couper les fleurs fanées..
Bobbi ne me quittait pas d’une semelle, tournant nerveusement autour de moi.
Et quand je me penchais, je sentais son haleine chaude entre mes cuisses, entre mes fesses ..
Je feignais de l’ignorer, le repoussant gentiment, mais très vite mes seins étaient gonflés de désir, douloureux presque d’être emprisonnés dans ce tissu, mon ventre devenait chaud, ma petite fente toute humide..
Il avait senti l’odeur de femelle en chaleur que j’exhalais et devenait plus fébrile : il léchait avidement mes cuisses, et quand sa langue remontait entre mes fesses, mon petit oeillet que le fin tissu ne protégeait guère, frémissait de bonheur, me coupant le souffle.
Mon bouton d’amour avait jaillit du fond de sa cachette, comme pour réclamer à son tour, la délicieuse caresse.
Lui s’enhardissait, posant ses pattes sur mon dos, comme pour me signifier qu’il me voulait.
Son fourreau velu frémissait violemment, sa petite flèche rouge pointait déjà, laissant s’échapper quelques jets de liquide clair qu’il léchait rapidement avant de revenir vers moi.
Mais je le repoussais encore et encore, pour augmenter son désir, pour que ses petites couilles soient bien pleines, que ses jets soient plus longs, plus abondants, plus brûlants, qu’ils me fassent crier plus fort ..
Brusquement ses aboiements se firent plus forts, plus menaçants, comme pour me signifier que je n’étais que sa femelle,qu’il me voulait et qu’il me fallait céder.
Tremblante de désir, je me suis dirigée vers la maison, tandis qu’il me suivait.
J’ai retiré mon sous tif, libérant ma poitrine douloureuse : mes tétons pointaient comme jamais !
Puis j’ai retiré ma culotte trempée : Il était déjà là, le museau entre mes cuisses, me reniflant, me goûtant, comme pour s’assurer que j’étais bien en chaleur, qu’il me fallait une saillie, et s’est dressé contre moi, impatient !
Attends, attends , dis je en me dirigeant vers la chambre ou j’ai enfilé mon doudou avant de me présenter à lui, agenouillée au pied du lit.
Il m’a sauté dessus, m’agrippant par les hanches et s’est mis à me pistonner.
Mais il était trop impatient, mal placé, et ses coups de reins ne le menaient nulle part : il buttait sur mes fesses, sur mes cuisses, sans trouver le passage qu’il cherchait.
Il m’a abandonné un instant pour venir me sentir, me lécher, avant de recommencer.
J’avais beau essayer de le calmer, il s’agitait inutilement, tandis que mon envie d’être prise grandissait.
Je tremblais de tout mon corps, tandis qu’il me sentais, qu’il me léchait de nouveau, comme pour s’assurer que j’étais bien prête à le recevoir, et il recommençait, de plus en plus nerveux.
Je tendais mes fesses, m’ouvrant davantage, pour mieux m’offrir, quand il m’a chevauchée une nouvelle fois, me faisant me cambrer un peu plus.
Il est venu butter sur mon petit oeillet, m’arrachant un cri de plaisir.
Il me pistonnait fébrilement et je râlais de plaisir : oui mon Bobbi, c’est bon, c’est boonn, continue, continuueeee !!
J’en rêvais depuis si longtemps d’être prise comme ça, depuis que sa langue s’égarait entre mes fesses, déclenchant des ondes de bonheur !
Mon petit cul frémissait au rythme des ses poussées, mais j’étais trop étroite, encore vierge de ce coté, et lui trop pressé trop maladroit ..
Il se calait parfois contre moi, poussant de toutes ses forces, laissait s’échapper quelques jets de liquide chaud qui me faisaient frémir.
J’attendais cet instant depuis si longtemps : oh oui, le sentir s’enfoncer entre mes reins, m’ouvrir sous ses poussées brutales, le sentir décharger au plus profond de mon ventre ….
J’en avais envie, j’en avais envieee ….
Il m’a délaissé une nouvelle fois, tournant autour de moi, me reniflant, me goûtant de nouveau…
Sous son ventre son fourreau velu tressautait nerveusement, sa petite flèche rouge bien visible , prête à venir fouiller mon ventre de salope qui n’attendait que ça !
Une nouvelle fois il à sauté sur mon dos, ses pattes m’enserrant les flancs, son ventre chaud posé sur mon dos et s’est activé nerveusement.
Il buttait sur ma petite porte, m’arrachant des gémissements de plaisir.
Je sentais mes chairs céder doucement, et d’un coup de rein plus violent il est entré en moi, m’arrachant un cri de douleur.
J’essayais de le repousser, tu me fait mal, tu me fait mal Bobbi, mais il continuait à me chevaucher, ivre de désir, insensible à mes cris !
A chaque poussée, il s’enfonçait davantage, mais en bonne femelle, je m’ouvrais doucement et la douleur disparaissait.
Mes gémissements de douleur devenaient des gémissement de plaisir.
Mes seins, écrasés sur les draps me faisaient mal, je sentais mon jus d’amour couler entre mes cuisses ….
C’était bon, c’était boonn !
J’aimais ça, j’aimais ça me sentir écartelée par ce gros membre, j’aimais ça me sentir forcée par cet amant brutal, j’aimais ça n’être que sa femelle soumise à son désir bestial, et je feulais comme une chatte en chaleur sous ses coups de reins fébriles !
C’était bon, c’était boonnn !!!
Il à relâché son étreinte, posant ses deux pattes sur mes reins, pesant de tout son poids, me faisant me cambrer à la limite de l’insoutenable et j’ai senti qu’il s’enfonçait encore, coulissant facilement, bien que son sexe soit devenu énorme .
J’étais folle de désir, l’encourageant sans cesse : Oui mon Bobbi, c’est bon, c ’est boonn, baises moi bien, tu vois, mon petit cul s’est ouvert pour toi, rien que pour toi, tu vas pouvoir décharger dans mon ventre, fait moi jouir, fait moi jouir !!!
Ses coups de reins se faisaient moins violents, plus longs .
Il s’échappait parfois pour mieux revenir, faisant frémir au passage mon petit oeillet. C’était bon, c’était booonnnn !!!!
C’était bon de me sentir m’ouvrir, de le sentir coulisser dans mon petit cul, de le sentir au fond de mon ventre, tout au fond de mon ventre !
Je devenais hystérique, râlant de bonheur, le suppliant de continuer : oui mon toutou, tu vois, je suis ta petite chienne ! Mon petit cul est à toi, continue s’il te plaît, continuuueee! fait moi jouir, fait moi joouuiir !!
Je n’étais plus qu’une femelle en chaleur, dont toutes les fibres de son corps réclamaient ce mâle puissant, et qui ne serait apaisée que par la semence chaude qu’il allait déposer tout au fond de mon ventre .
Il continuait de me besogner, en long coups de reins, s’enfonçant chaque fois un peut plus, et bientôt j’ai senti ses grosses boules contre mes fesses : Il était tout en moi.
Bloqué sur ses pattes, il poussait, poussait encore, poussait de toutes ses forces pour les faire entrer, me verrouiller à lui, pour que je ne perde pas une seule goutte de son précieux liquide….
Mais j’étais trop étroite et ses efforts n’y faisaient rien.
C’est alors que j’ai senti son sexe palpiter dans mon étroit boyau et qu’est arrivé le premier jet : toujours aussi abondant, toujours aussi chaud !
J’ai crié de bonheur : oui mon Bobbi, c’est bon, c’est boonnn, remplit mon petit cul de salope, continue, continuueee !
Et les jets se succédaient, chauds, brûlants même, irradiant dans mon ventre qu’ils remplissaient, déclenchant des ondes de plaisir inconnues jusqu’alors.
J’ai mordu les draps pour étouffer mes cris de plaisir et j’ai joui, j’ai joui longtemps !!!! pendant qu’il se vidait en moi.
C’était bon de se faire prendre comme ça,c’était bon de sentir mon petit oeillet palpiter sous les coups impatients de sa flèche rouge, de me sentir m’ouvrir, de le sentir coulisser en moi, de recevoir ses jets de sperme chaud tout au fond de mon ventre !!
J’aimais ça, j’aimais çaaaa !!
Dani avait raison, je n’étais qu’une belle petite salope, une belle petite pute prête à tout pour crier de bonheur sous le ventre d’un mâle !
Mais c’était si bon, et j’aimais tellement ça !!
Et puis, après s’être vidé, il s’est retiré, me laissant là, échevelée, tremblante du bonheur qu’il m’avait prodigué.
De mon petit cul béant s’écoulait le trop plein de sa semence, qui ruisselait sur mes cuisses, se mêlant à mon jus d’amour….
Enfin , après avoir léché son sexe, il est revenu vers moi parachever son oeuvre.
Son souffle chaud m’ arraché un cri de plaisir.
Et sa langue magique s’est activée, sur mon petit bouton, sur mes lèvres qu’il fouillait sans précaution, sur mes cuisses, sur mes fesses, remontant sur mon petit trou, faisant frémir mon petit oeillet …
Mon coeur s’accélérait de nouveau, mes râles se faisaient plus longs, plus forts, et le plaisir revenait.
C’était bon, c’était booonnn !
Tout mon corps s’est tendu et j’ai joui une nouvelle fois dans un spasme de plaisir.
Mais sa langue infatigable continuait sa délicieuse caresse, fouillant mes parties intimes, à la recherche du précieux nectar qu’il aimait tant, jusqu’à me faire crier encore une fois .
Je me suis écroulée à genoux et l’ai repoussé gentiment : arrête Bobbi, arrête, tu m’as trop fait jouir, je n’en peut plus, arrête !
Il m’a abandonnée, me laissant là, le souffle court, le coeur battant la chamade, le ventre lourd, savourant le plaisir inconnu jusqu’alors d’être prise comme ça .
Et ce n’est qu’a la nuit tombante que je me suis ébrouée, femelle aux sens assouvie par la saillie brutale que son mâle venait de lui prodiguer.
Je n’étais vraiment qu’une sale chienne dans ces moments là, mais c’était tellement bon !!!
ENSUITE ??