Enfermée dans ma cabine je fais payer ceux qui sortent de lautoroute. Le péage est sur une petite entrée, jai peu de client. Je passe mon temps comme je peux. Au début je faisais des mots croisés assez difficiles, seulement réfléchir longuement nest pas possible quand les « clients » passent à intervalle irrégulier.
Un soir, comme je pensais à une baise que javais faite dans la journée avec mon copain, malgré moi jai posé ma main sur ma chatte. Jétait mouillée. Jai fait ce que toute femme aurait fait, je me suis caressée le clitoris en passant mes doigt sous la culotte. Jétais sur le point de jouir quand un camionneur passait. Je lai fait payer, il ne partait pas: son regard était sur mes cuisses largement découvertes. Il devait bien se douter que je venais de me masturber. Quand il est parti jétais plus excitée. Jai repris la masturbation pour arriver très vite à jouir. Jétais trop mouillée pour garder ma culotte, alors je lai enlevé. Elle était posé à coté du pupitre.
Je suis partie de la cabine en portant ma culotte à la main. Je chef de « gare » était une jeune femme entrée dans la boite par piston. Je lui donnais la recette: elle voyait que je tenais un linge dans ma main:
— Quest-ce que tu trimballe ?
— Ma culotte.
— Ta culotte ? Pourquoi, tu la perdue en route.
— Non, je ne sais pas pourquoi elle est toute mouillée.
— Toi, tu tes branlée !
Elle devine bien vite. Trop vite. Pas possible elle ma vue.
— Tu veux tout savoir, oui je me suis masturbée en pensant à une baise que jai faite cet après midi.
— Nen dis pas plus, tu mexcites. Je vais être obligée de me branler comme toi. Tu peux rester si tu veux, ça me ferait plaisir.
Elle nattend pas que je réponde, elle écarte les jambes, lève sa jupe, me montre toutes ses cuisses et lentement sa chatte: elle ne porte pas de culotte.
Je reste surprise de la voir agir aussi vite. Je regarde par curiosité. Cest-ce que je me dis. Il faut que je dise que cest le premier sexe de femme que je vois dassez près. Ses deux mains se placent chacune à lintérieur des cuisses pour monter lentement. Je vois ses grosses lèvres humides. Les deux mains sont maintenant sur son sexe. Elles se concentrent sur le vagin quelle ouvre au maximum. Je vois son intérieur: je pense que je suis faite comme elle: jen mouille. Elle se doigte maintenant avec les doigts de la main gauche pendant que la main droite va sur son bouton. Elle le fait sortir de sa cachette: il est rose tendre. Ca y est elle commence à le caresser. Je vois quelle ferme les yeux, quelle balance sa tête de droite à gauche, en arrière: elle gémit de plus en plus fort, à croire quelle a mal.
Moi, en tout cas jai mal au bas ventre, jai envie de me caresser encore. Cest quand elle pousse un léger cri de jouissance que je me décide à reprendre une masturbation même devant une autre femme. Javance mes fesses sur le bord de la chaise, mes doigts préférés caressent comme jaime le bouton! Ma chatte encore mouillée de la dernière masturbation se mouille encore plus. Ma chef peut maintenant voir tout mon sexe comme je vois le sien.
Elle cesse un instant pour me regarder. Puis:
— Si tu veux on pourrait se branler au lieu de se regarder.
— Pourquoi pas.
Cest vrai, je ny avait pas pensé, ce nest pas défendu de caresser une chatte. Elle approche sa chaise de la mienne, à toucher mes jambes. Nos genoux se touchent, sa main caresse lintérieur de ma cuisse pour venir sur le bouton. Je suis ses mouvements, jarrive moi aussi sur sa chatte. Je la caresse avec le pouce, le reste de mes doigts, je les réserve à son puits. Doigtée et masturbée elle se laisse faire jusquà la jouissance. Elle aussi me fait jouir. Finalement cest agréable les mains dune autre femme.
Nous ne nous faisons pas de soucis pour lautoroute, celui qui ma relevé lit seul, sans lever les yeux. Elle en profite pour se déshabiller. Elle mexcite à cause de son impudeur et de son allure sexy. Voir sa touffe sur son bas ventre mexcite encore davantage. Elle me fait lever pour me mettre nue moi aussi. Elle membrasse sur la bouche. Sa langue nattend pas 2 secondes, elle est vite dans ma bouche. Je mouille sans arrêt. Je suis dans ses bras: son pubis contre le mien me donne des envies delle, elle accentue mon envie en caressant mes seins avec les siens. Ses mains sur mes fesses appuient pour que je sois bien contre elle. Mon dieu sil elle pouvait caresser ma chatte.
Ce nest pas son premier but, elle passe un doigt, un seul dans la raie des fesses. Je les écarte pour faciliter son passage. Il arrive à son but: mon rectum. Elle le caresse lentement, sans y entrer. Elle en fait le tour plusieurs fois. Jai envie quelle aille bien plus profond. Je ne peux rien dire à cause du baiser: je pousse mes fesses vers son doigt. Elle sais enfin que jaccepte quelle entre dans mon petit trou. Elle le fait lentement, très lentement: je sens à peine son doigt entrer, sauf quand elle fait des allers et venues. Je serre mon sphincter pour mieux la sentit: elle me fait jouir la garce. Elle connaît parfaitement le corps de filles. Le corps et ses faiblesses.
Elle abandonne ma bouche pour se prosterner devant mon sexe. Jécarte un peu les jambes, pas assez pour elle. Alors je me rassieds pour quelle puisse me sucer. Je sens sa langue parcourir toute ma partie normalement cachée. Mon sexe est devenu le terrain de jeu de sa langue. Je laime partout où elle se loge, sur le clitoris bien sur, dans mon puits, sur lanus, sur le périnée, en attente dun autre endroit qui est encore mon puits. Je suis trempée de ma cyprine et de sa salive. Je me laisserais faire toute la nuit.
Hélas, il faut bien que je la fasse jouir aussi. Je suis novice pour ces jeux entre nanas. Elle va s’asseoir sur son bureau, les jambes ouvertes:
— Viens mettre ta langue dans mon con.
Si elle emploie ce langage vulgaire pour mexciter, cest gagné. Je rapproche ma chaise pour être bien à sa hauteur. Je me penche un peu, ma bouche embrasse tout son entrejambe. Son sexe sens bon la femme excitée. Ce quelle ma fait, je vais essayer de le lui faire. Je sors bien ma langue, je vise son bouton que je caresse juste avec le bout de la langue avant de le mettre dans la bouche: je laspire longuement: elle gémit bien fort, sa voix se voile
— Oui, encore, suce moi bien, mets moi deux doigts dans le cul.
— Tu en veux dans le con ?
— Oui, baise moi en même temps. Comme ça, oui, encore plus fort, je jouiiiiiiis.
Je la laisse avec son orgasme juste le temps quil cesse pour reprendre. Cette fois je mattaque à son cul. Je commence par sucer son anus, avant de lui mettre ma langue. Je suis surprise du gout de son cul, je pensais que ce serait fort. Jenlève ma langue quand elle le demande, je la remplace par plusieurs doigts que je fais aller et venir: je lencule comme jaime quon me fasse.
Quand elle se lève, nous nous serrons encore, en nous embrasant. Elle est satisfaite, on le serait à moins, moi je suis rompue. Je sais maintenant que nous avons baisé une fois nous allons le faire souvent. Mon copain devra en prendre son parti: je lui raconterai ma nuit, il ne pourra jamais me voir dans les bras de ma chef.