Je m’appelle Samuel, j’ai 23 ans. Je suis grand et plutôt costaud (d’après mes amis). Cet hiver, je suis parti avec mes parents sur l’Ile de la Réunion (c’était donc l’été sur cette île). Nous logions dans un bungalow situé sur un terrain de camping, où il y avait aussi de nombreux campeurs. Mon truc à moi, c’est le voyeurisme. J’adore épier les gens sans être vu.
Ce jour-là, nous avions passé l’après-midi à la plage. Contempler toutes ces superbes nanas en maillot sur le sable m’avait légèrement excité. De retour au camping, nous avons dîné, puis nous nous sommes couchés de bonne heure.
Mais ayant trop chaud, je décidai d’aller prendre une douche, dans le bloc sanitaire situé au milieu du camping. Cela me fit un bien immense.
Lorsque je sortis de ma cabine, je me rendis compte qu’une autre cabine était occupée, sans doute par une femme au vu des sandales restées à l’extérieur. Cela m’émoustillait de savoir qu’une femme était là, tout près de moi, nue, en train de se frotter. Mais pour ne pas me faire remarquer, je repris mon chemin vers le bungalow. Il faisait nuit, la lune brillait.
Tout à coup, passant près d’une tente, j’entendis des soupirs et des gémissements. Je tendis l’oreille et compris qu’un couple était en train de faire l’amour. Mon vice prit le dessus et je m’approchai de la tente. Les bruits étaient nets. M’étant habitué à l’obscurité, la lumière de la lune me permettait de distinguer les silhouettes des deux amants. La femme semblait avoir les cheveux longs, et elle était agenouillée devant l’homme, dont on voyait l’ombre du sexe tendu. Elle lui pratiquait une fellation qui lui procurait grand plaisir. Mon excitation grandissait. Ma verge se raidissait dans mon caleçon de plage. L’homme et la femme entreprirent un 69 endiablé.
Les bruits de succion laissaient vagabonder mon imagination. Ma main se dirigea dans mon vêtement vers ma queue maintenant bien bandée, et commença à la masturber doucement.
Soudain, mon sang ne fit qu’un tour. Une main venait de se poser sur mon épaule. Je n’avais pas entendu cette personne arriver. Ainsi tourné, je ne pouvais voir que ses pieds. Je reconnus les sandales de la fille de la douche. Je me tournai vers elle sans faire de bruit, très honteux de m’être fait surprendre. Mais elle me souriait calmement. Elle était vêtue d’un peignoir bleu, et ne semblait rien porter en-dessous. Elle était jeune, environ 25 ans, et sa peau était noire. Le décolleté de son peignoir laissait deviner une poitrine ferme de taille moyenne. Sa croupe était rebondie. Elle était probablement réunionnaise.
Je ne savais pas trop quoi faire. Elle se tapit à mes côtés et regarda la scène qui se déroulait dans la tente. Cela me mit à l’aise. Elle aperçut la bosse qui déformait mon caleçon, et commença elle-même à effleurer ses seins avec ses mains. La situation ne la laissait pas indifférente non plus. Dans la tente, la femme chevauchait maintenant l’homme, allant et venant sur son membre érigé. Je repris doucement mes caresses sur mon pénis. Ma voisine me fit alors un signe de la main, désignant l’entrée de la tente qui n’était pas fermée, ce qui m’avait échappé. Lentement, comme des chats, nous nous sommes dirigés vers cet endroit et nous passâmes en silence la tête par cet entrebâillement. De là, nous pouvions vraiment voir la scène qui se déroulait dans le compartiment ? chambre ? de la tente, lui non plus pas fermé. Par contre, le couple ne pouvait pas nous voir. L’homme était maintenant à genou, derrière la femme, et il la prenait en levrette. Leurs gémissements de joie étaient très excitants. Ma compagne black avait passé sa main sous son peignoir et se caressait doucement le minou. J’avais quant à moi sorti ma bite de sa prison. Mon plaisir montait petit à petit, tout comme le sien. Les ébats du couple semblaient toucher à leur fin. La femme se mit à genou devant l’homme et recommença à le sucer profondément. L’homme ne put se retenir plus longtemps et il éjacula en longs jets saccadés sur le visage de sa compagne. Les deux criaient désormais leur plaisir sans aucune retenue. La femme passa sa langue sur se lèvres et dégusta le nectar de son homme. C’est ce moment que nous avons choisi pour nous retirer et nous éloigner de la tente.
La fille black me prit par la main, et m’entraîna vers les douches où nous étions tout à l’heure. A peine arrivés, sans prononcer un mot, elle ôta mon caleçon et entreprit de me sucer. C’était divinement bon. Au bord de la jouissance, je la fis se relever et enlevai son peignoir. Elle était vraiment très belle. Son corps d’ébène luisait sous la faible lumière. Elle s’allongea et dirigea ma tête vers ses seins, que je léchai passionnément, puis vers sa chatte très velue. Ma langue titillait son clitoris. Au bout de quelques minutes, elle eut une forte jouissance, ses jambes enserrant ma tête. Ensuite, elle se retourna et me présenta son arrière-train. Il était splendide, comme seules les femmes noires en ont. Je présentai mon sexe tendu à l’entrée de son vagin, et je la pénétrai d’un seul coup tellement elle était humide. Ses seins se balançaient sous elle. Nos soupirs se transformaient en cris. Mes hanches venaient buter avec force sur ses fesses. Mes aller-retours étaient de plus rapides et profonds. Le plus excitant, c’est que quelqu’un pouvait très bien nous regarder comme nous avions nous même maté le couple dans la tente. Au bout d’un moment, je sentis que j’allais jouir. Des frissons énormes me parcouraient. Marielle venait de jouir pour la deuxième fois. Me retirant, elle se retourna face à moi et je pus cracher mon foutre dans sa bouche et sur son visage en râlant de bonheur. Mon sperme blanc maculait son visage noir. C’était la première fois que je baisais avec une parfaite inconnue. Mais cela m’avait énormément plu.
Après quelques minutes de repos, elle se rhabilla et me dit en souriant qu’elle s’appelait Marielle. Puis elle me quitta en me disant qu’on se reverrait sans doute le lendemain sur le camping. Je n’eus donc plus qu’à rentrer me coucher, comblé.
Gaétan