Candaulisme en famille. Chapitre 2 : Mise en place du piège.
Le soir même, Paul essaie de pousser un peu plus loin ses pions :
-Tu as vu l’effet que tu as sur mon fils, il bandait comme un âne en te massant. Et toi ? J’ai remarqué qu’il te faisait aussi de l’effet, tes tétons étaient tout durs !
-Mais qu’est ce que tu dis ? Tu n’as pas honte ? Tu ne voudrais quand-même pas que je me fasse sauter par ton fils, tout de même ?
-Pourquoi -pas? Il en bande pour toi, il est loin d’être moche et ne te laisse pas indifférente!
– Ça va pas non !!! Espèce de gros pervers !
Paul n’a pas insisté mais laisse l’idée germer et croître dans l’esprit de Christine.
Elle se rappelle de ce que lui a fait remarquer Paul quand elle surprend un jour Axel en train de se branler en humant une de ses petites culottes. Elle se fait toute petite pour qu’il ne la voie pas mais apprécie à sa juste valeur ce qu’il tient dans sa main droite. Sans être exceptionnelle, la verge d’Axel est de bonne taille, un peu plus grande que celle de son père mais beaucoup plus grosse.
Elle ne se sauve qu’une fois que son beau-fils inonde le carrelage d’une dose impressionnante de foutre. Paul est assez sobre de ce coté là et les giclées successives d’Axel montent très haut avant de maculer le sol sur plus d’un mètre.
Ils sont trois maintenant à rêver de sexe mais comment passer du fantasme à la réalité ?
Paul sent que sa femme est prête à sauter le pas et qu’il ne faudrait pas la pousser beaucoup pour arriver à ses fins. Le soir dans le lit conjugal, il se lance :
-Christine, voilà le deal ! Tu sais que je dois faire ceinture coté sexe mais je suis trop jaloux pour permettre que tu ailles voir ailleurs ! Si tu l’acceptes, je t’autorise à baiser avec Axel du moment que je puisse vous regarder !
-Mais ! Tu veux que Tu veux que je me donne à ton fils ? Je ne pourrai jamais Je Je Espèce de vicieux ! Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
-Je t’ai espionné, je sais qu’il te fait mouiller et lui ne pense plus qu’à ça ! Il va se ruiner la santé à se branler dans tes petites culottes !
Paul est sûr qu’il a réussi à convaincre sa femme mais comment amener son fils à la même conclusion ?
-Ce soir, tu vas l’appeler comme le jour de mon accident, tu seras nue et tu essayeras de le séduire.
Axel est dans sa chambre et comme souvent avant de s’endormir, il se branle en pensant à la plastique de Christine quand il entend les cris. Il enfile en vitesse un slip et se précipite dans la chambre voisine. Il s’arrête une fois franchi le pas de la porte. Christine est allongée sur le lit, un gode entre les cuisses.
-Viens à mon secours Axel ! Il n’y a plus que toi pour éteindre l’incendie qui me dévore !
Il s’approche enfin et elle lui saisit une main pour la poser sur le gode enfui dans son intimité.
-Ça ne me suffit plus, j’ai besoin d’une vraie bite !
Il se rend compte seulement maintenant que son père est assis dans un fauteuil dans le coin le plus sombre de la chambre.
-MaisPapa Christine Qu’est-ce.
-Oui, je sais mon fils ! Ce que je vais te demander est bizarre, immoral, il n’y a pas de terme pour l’exprimer! Tu sais que je ne peux plus m’acquitter du devoir conjugal sans risquer d’y rester. Mais je ne veux pas que Christine en souffre. Accepterais-tu de lui faire l’amour à ma place ? La seule condition, c’est que je puisse vous regarder !
Axel est abasourdi, Il ne désire que ça, baiser Christine, mais pour lui ce n’était qu’un mirage inaccessible Il est là, les bras ballants, le regard passant de son père aux courbes harmonieuses de Christine, le sourire aux lèvres et un gode qui s’active entre d’autre lèvres
-Ben ! Euh !
Christine pour emporter sa décision a posé sa main sur le sexe d’Axel, caché par son slip, qui est rentré dans sa coquille comme un escargot. Elle se redresse sur les genoux, baisse le slip et saisit à pleine main la verge et les couilles velues. Elle s’escrime pendant un long moment mais ni ses doigts ni sa bouche n’arrivent à ranimer la virilité du garçon.
-Désolé ! Mais je n’arrive plus à bander ! Je ne sais pas ce qui m’arrive !
-Ne t’inquiètes-pas ! Le rassure Christine. C’est le stress sûrement !
Axel remonte son slip et se sauve en courant pour rejoindre sa chambre, humilié de sa prestation minable.
-Paul, si tu veux qu’il se décoince, il faut au moins nous laisser une fois seuls ! Après, il arrivera peut-être à accepter qu’il y ait une troisième personne qui regarde. Ou bien, il faudrait que tu te caches…
Quelques jours après, Paul fait semblant de s’absenter et avec la complicité de Christine, va rejoindre le placard-dressing de leur chambre qu’il a aménagé pour pouvoir s’y retrancher en gardant une vue imprenable sur la totalité de la pièce.
Par un prétexte futile, elle attire Axel dans la chambre. Il n’est pas idiot, se souvenant de la dernière fois, et quand il voit la nuisette qui cache à peine son intimité, il sait ce qui va se passer. Christine se baisse pour ramasser le string qui devrait être sur elle et il est aux premières loges pour admirer une fente bien dessinée aux lèvres charnues.
Elle se dirige vers la salle de bain pour se débarrasser du superflu, nuisette et soutien-gorge et pour de petites ablutions rapides puis ressort en tenue d’Eve pour le provoquer.
L’effet d’une telle vison produit des picotements dans le bas-ventre d’Axel.
Elle se rapproche de lui et caresse l’objet de ses désirs qui cette fois répond sans problème à la provocation.
Axel sent une main agripper sa verge, la caresser, cette main veut à tout prix la faire grossir et elle s’y prend très bien. La queue gonfle et s’allonge sous les doigts et ne prend que quelques secondes pour être dure comme une barre de fer. Christine retire le short et le slip qui la gênent et admire le résultat.
Paul regarde par les interstices de la porte Christine s’amuser en s’appropriant l’anatomie intime de son fils qui n’en peut plus de désir. Ses sentiments sont mitigés, l’excitation due à la scène et sa jalousie maladive se combattent.
Axel sent le souffle chaud de la bouche près de son gland, une langue habile en titille doucement le bout avant que deux mâchoires aux dents acérées prennent sa queue en étau, une caverne brûlante et humide étreint son gland gonflé en effectuant de grands allers-retours.
Dans ses rêves les plus fous, Axel n’aurait pas crû que cela soit si bon. Il contemple cette femme ravissante qui le regarde amoureusement pendant que sa verge disparait entre les lèvres de la belle, Il sent la langue tourner à l’intérieur de la cavité buccale autour de son gland, les dents mordiller précautionneusement la hampe magnifique, enduisant d’une salive abondante toute la longueur de son engin, ce qui ne fait que l’exciter d’avantage.
Elle libère le pal de sa bouche-four pour titiller le méat du bout de sa langue puis descendre le long de son frein, suivre la grosse veine gonflée jusqu’à ses couilles qu’elle gobe une à une, les enduisant un peu plus à chaque fois de sa salive.
Il manque exploser quand elle prend doucement ses testicules en main, les faisant rouler dans ses doigts avec une pression croissante qui lui procure une douleur divine….
Christine lui fait même des compliments :
— Tu sais qu’elle est beaucoup plus grosse que la bite de ton paternel ! Je n’ai connu que la sienne mais je m’aperçois qu’il y a mieux sur le marché !
Pendant que Paul fulmine que son épouse le rabaisse devant son fils, se retenant pour ne pas intervenir, mais c’est le risque quand on donne sa femme à un autre, Axel se rengorge de fierté sous le compliment. Il se croit le nouveau coq du poulailler.
Elle redescend jusqu’aux bourses poilues qui lui chatouillent la langue, prenant chaque couille dans sa bouche, les suçant comme des dragées avant de les recracher pour se précipiter comme une furie sur le gland palpitant de son jeune étalon fougueux. À chaque reprise en bouche, il se tord de plaisir en gémissant :
– Oh ooouuuiii ! Putain que c’est booonnn !
(À suivre)