Le succès de Candice à délurer Shelly et de constituer une petite bande de trois salopes, qui partouzaient plusieurs fois par semaine, m’avait obligé à accélérer le mouvement pour monter notre petite affaire porno. La société était constituée, il me restait à mettre en place le site Web. J’avais pensé à intégrer nos images à une des nombreuses plateformes de monétisation du marché, genre Dirtyhobby et autres, mais je voulais garder tout le contrôle. J’avais une amie webmaster, Antje, d’origine allemande, un peu plus jeune que moi et qui touchait sa bille en e-commerce. Comme c’était une complice de libertinage depuis quelques années, il m’était facile de lui parler du projet. Je lui proposai de faire le site avec nous et d’être intéressée aux ventes. Elle a accepté, et à mon sens avec une idée derrière la tête : très bi, elle avait sûrement flashé sur les vidéos que je lui avait montré de Candice et avait sûrement envie de se faire bouffer la chatte par cet adorable petit lot. Selon Antje, il suffirait de deux mois pour mettre en place une plateforme digne de ce nom, et elle avait déjà son idée sur la manière de le faire. Elle me suggéra de me renseigner rapidement pour la question du paiement en ligne car les banques traditionnelles, ainsi que Paypal, refusaient généralement de prendre en charge les transactions porno. Et puis, comme Candice avait une petite fibre artistique, elle pourrait bosser avec Antje sur les pages et le look du site, se toutefois elles résistaient à l’envie de se mettre la main dans la culotte à chaque fois qu’elle se verraient, au lieu de bosser.
J’avais donc à peu près deux mois devant moi, délai pendant lequel Candice devait réussir à amener les petites catins à la maison pour qu’elles s’habituent à moi, voire davantage. Je dois dire que la perspective de me mettre ces minettes sur le bout devant Candice me réjouissait assez. Candice elle-même m’avait dédouané de toute crainte qu’elle en soit jalouse : elle n’avait de cesse que de voir ma bite dans leur petit con accueillant. Au détour d’une conversation, je m’ouvris également à Candice d’une petite inquiétude : se dévoiler sur un site porno, était-ce compatible avec leurs études ? Pour Candice ça ne posait aucun problème ; j’espérais toutefois que les deux autres filles ne seraient pas effrayées d’une telle exposition. En réalité, comme on le verra, c’est un sujet qui allait émerger.
Le premier mouvement tactique de Candice pour attirer ses deux amies dans nos filets fut d’inviter Shelly à la maison. Pour que Matilda n’en prenne pas ombrage, ma chérie lui avait clairement dévoilé son désir de faire quelque chose avec moi et elles eux, et pensait qu’il fallait y aller en douceur avec Shelly. Celle-ci, un jour, expliqua à Candice qu’elle aimerait se mettre à la photo. Mon ange sauta sur l’occasion et lui dévoila mon métier de photographe. Shelly connaissait, comme Matilda, mon existence, et qu’elle vivait avec moi. Matilda savait que j’étais au courant de leurs turpitudes, mais pas Shelly. Il faudrait jouer serré.
Rendez-vous fut pris un vendredi soir à la maison. J’avais préparé un petit buffet et quelques boissons, et installé un peu de matériel photo dans le grand salon : un petit fond de studio noir, deux flashes avec boîtes à lumière et mon reflex. De quoi valider mon professionnalisme pour la mettre en confiance. Shelly arriva avec Candice vers 19 heures ; Candice était passée la prendre chez elle avec ma voiture, et en avait profité pour piloter un peu sa tenue. Shelly avait prévu un pantalon, et Candice lui expliqua que tant qu’à parler photo, autant faire de jolis portraits d’elle et que c’était dommage de cacher un corps si magnifique. Shelly est donc entrée dans la maison avec un jupe courte, un joli collant ajouré et un chemisier qui ne cachait rien de la proéminence de sa poitrine (Shelly, rappelons-le, était la seule des trois à proposer une paire de seins d’adulte !). Je l’avais vue en film, en photo, mais elle était encore plus spectaculaire en vrai. Je me félicitai d’avoir un physique plutôt avenant car vu mon âge, mettre une fille pareille au bout de ma queue ne serait pas une promenade de santé. Elle semblait intimidée et me vouvoyas. Je la dissuadai aussitôt, prétextant que ça me donnait l’impression d’être en marche vers le cimetière.
— Alors tu t’intéresse à la photo, lui demandai-je après que nous nous soyons servi d’un premier verre – que Candice, la coquine, avait bien tassé pour sa jeune amante.
— Oui… le graphisme j’aime bien mais j’aimerais faire du portrait. Mais je n’ai jamais touché un vrai appareil !
— On fera quelques photos ensemble de Matilda, je te montrerai les grands principes. J’ai installé un peu de matériel comme tu vois, de quoi faire des photos sympa.
— Je pourrais mettre le gros pouf beige devant le fond de studio, proposa Candice.
— Si tu veux, répondis-je – je la voyais venir.
Nous avons continué à parler un peu, à manger, à boire. Quand Candice a jugé que Shelly avait commencé à être un peu pompette, elle s’écria :
— Dites, faudrait qu’on regarde cette histoire de photos avant qu’on soit tous trop bourrés…
— Allez, go ! fis-je en me levant et en tendant la main à Shelly pour l’extraire du canapé. C’était un test, elle n’hésita pas à me donner sa main et je l’aidai à se lever. Elle me remercia avec un sourire.
— je peux passer aux toilettes avant ? demanda Shelly.
Candice l’accompagna aux toilettes les plus proches et revit vers moi : "Elle vient de me dire que tu étais super beau…!" me confia ma chérie. De loin, nous entendîmes le petit pipi de Shelly tomber dans la cuvette. "C’est gâché", dis-je en riant. Pour toute réponse, Candice me pressa le sexe à travers le pantalon. "Tu ne bandes même pas", se moqua-t-elle. Ce n’était que partie remise…
Lorsque Shelly nous rejoint, Candice s’était posée sur le pouf et j’avais allumé les flashes. Je fis un petit cours à Shelly en prenant appui sur les poses de Candice pour expliquer les bases : position des flashes, éclairage du fond, réflecteur pour éclairer les cheveux du sujet, réglages de base de l’appareil, flou d’arrière plan… Shelly écoutait attentivement, sans s’apercevoir que Candice prenait des poses de plus en plus suggestives. Après une cinquantaine de clichés, Candice remonta sa jupe et fit face à l’appareil en écartant bien les jambes. On voyait sa culotte et ses bas Dim-Up. Je guettais la réaction de Shelly que je vis rougir et placer instinctivement sa main devant son sexe. Je pris ça pour un mécanisme de protection, mais je m’aperçus que Shelly appuyait avec ses doigts : en réalité, Candice l’excitait et son réflexe avait été d’appuyer sur son clitoris…
— Attends, je vais déplacer un des flashes pour qu’on voir mieux sous ta jupe.
Je continuer à jeter des coups d’il furtifs à Shelly pendant cet ajustement destiné à faire monter la sauce. Shelly avait le souffle court, son regard était vissé sur la culotte de Candice. Nous avons pris quelques photos ainsi, puis Candice s’écria "oh et puis zut, non ?" et enleva sa culotte. Shelly me lança un regard affolé.
— Shelly, ne t’en fais pas, je sais pour vous deux. Pour Matilda aussi.
— O… OK…
Matilda prenait des poses très érotiques, dévoilant sa chatte – je déboitai le reflex de son trépied et le mis entre les mains de Shelly.
— Fais les photos toi-même, je vais te guider. Approche-toi.
Shelly s’approcha de Candice et je restai près d’elle. Elle prenait ses premières photos : Candice s’écartant la chatte, Candice à quatre pattes s’écartant le cul… Ma chérie passa ensuite la vitesse supérieure : "Chéri, mets moi ta bite dans la bouche, j’aimerais bien qu’on ait des photos de nous deux prises autrement qu’à bout de bras ou avec la caméra…". Je ne laissai pas le temps à Shelly de protester ou de donner son avis. L’instant suivant, ma belle queue était dans la bouche de Candice qui regardait crânement Shelly, laquelle déclenchait à qui mieux mieux le reflex. Pendant qu’elle shootait, je mis ma queue dans la chatte de Candice, je lui léchai la chatte… puis Candice porta le coup de grâce : "A toi de prendre les photos… Shelly, viens…".
Il y eut un petit flottement – je sentais une hésitation chez la grande salope athlétique. Après tout, il y a encore quelques semaines, elle faisait preuve d’une grande pruderie. Je choisis alors la manipulation la plus éhontée et lui chuchota à l’oreille : "Vas-y parce que Candice a vite fait d’être déçue… tu la connais, elle est un peu capricieuse…". L’idée de décevoir celle dont elle était tellement éprise lui décapsula la cervelle : elle s’approcha du pouf, Candice se redressa, et lui descendit d’un coup la jupe sur les pieds. Elle commença par lui bouffer la chatte à travers le collant, puis demanda à Shelly de lui sucer les seins, le sexe, de lécher son anus. Alors que Shelly était penchée en avant pour lui bouffer le cul, je m’approchai et descendit son collant. Shelly ne broncha pas. Je descendis aussi la culotte, puis pris quelques photos. Sans que je lui demande, Shelly passa sa main sous son ventre et s’écarta le con. Elle avait une belle vulve, très mouillée. Je pris encore quelques photos, puis m’agenouilla derrière la jeune femme pour lui bouffer copieusement les entrailles. Elle gémissait comme une dingue. Quelques minutes plus tard, Candice me fit signe de mettre une capote et de défoncer Shelly. Je fis mieux que ça : je fis mettre Candice et Shelly l’une sur l’autre et enfonçais ma bite alternativement dans les deux petites chattes. A un moment donné, Shelly se redressa, et enleva la capote de ma bite puis s’écarta largement l’anus. Candice m’expliqua plus tard que Shelly lui avait demandé à l’oreille si c’était possible, qu’elle ne supportait pas trop le contact avec le latex. Comme je ne couchais qu’avec Candice depuis des mois et que nous nous étions testés, et que Shelly sortait d’une longue abstinence… j’enculai avec délice la belle Shelly, peau contre peau. Des petites traces marron marbraient mon gland ; j’enculai Candice à son tour, jouissant du plaisir d’enfoncer un peu de la merde de Shelly dans le conduit de ma puce. Puis, je les fis toutes les deux sucer mon bout, maculé de leurs merdes respectives.
— Allons dans la salle de bains tous les trois, je vais te montrer comment faire jouir Laurent en moins de deux, annonça Candice.
C’est ainsi que la soirée se termina dans notre grande douche à l’italienne, avec votre serviteur couché sur le sol, se branlant puis éjaculant alors que les pisses bien jaunes des deux cochonnes se déversaient de concert sur ma poitrine, sur ma queue et dans ma bouche.
L’Opération Trio avec Shelly avait réussi au delà de toute espérance, et ce que celle-ci ne savait pas encore, c’est que trois caméras avait immortalisé cette aventure, deux dans le salon, une dans la douche. Le lendemain, je procédai au montage de notre premier film avec Shelly, tellement excité que je me suis masturbé deux fois pendant que Candice faisait de même à côté de moi.
— La seule chose que je regrette, confiai-je à Candice, c’est qu’elle ne m’ait pas léché le cul.
— Ce n’est que partie remise, et il faudra bien en passer par cette étape si on veut la filmer en train de bouffer ta merde, mon amour !
— Toi tu ne doutes de rien… entre le pipi et le reste, il y a un pas à franchir qui n’est pas du goût de tout le monde.
— Si déjà on arrive à les mettre dans l’histoire pour le site, ça sera bien. Les jeux scato ça sera la cerise sur le gâteau…
— Oui mais une cerise qui peut rapporter. Il n’y a pas beaucoup de sites comme ça même au plan international…
— Il y aura au moins nous deux…
— Il faut aussi qu’on parle de cette histoire de masques, fis-je remarquer.
Pour nos premiers films destinés au site, que nous avions déjà tournés, nous portions des masques assez élégants, faute d’avoir pris des décisions sur notre anonymat. J’avais, de mon côté, une clientèle nourricière qu’il me paraissait délicat de perdre – or, je ne suis pas sûr que mes clients institutionnels, mannequins ou autres, continueraient à travailler avec un pornographe qui se fait faire caca dans la bouche en public. Candice le comprenait et avait à peu près accepté la chose pour moi – on essaierait, autant que faire se peut, d’arranger les prises de vues pour ne pas faire apparaître mon visage, je serai une sorte de mystère. En revanche, nous avions tous les deux conscience que les visages des filles étaient essentiels pour la réussite commerciale de notre affaire. Candice avait alors proposé quelque chose d’assez intéressant.
— Ce que je te propose, c’est de jouer là-dessus. Dans un premier temps, toi tu es l’homme mystère, on ne te vois jamais. On pourra avoir des mecs qui participeront à visage découvert, ça sera leur choix – vous voulez nous baiser ? vous devez être filmés et montrer votre bobine. Et puis on thématise le site sur le fait que les filles dévoileront peut-être leur visage, dans la "saison 2" par exemple. On tease avec des petits bouts en photo. Un il, une bouche… ça nous laisse le temps d’y réfléchir, ça évite d’effrayer les filles. Et puis si l’argent rentre, on avise. De toute façon, nous avons toutes les trois l’intention de bosser en libéral.
— Tu as raison. Si ça ne marche pas, ou pas assez, au moins, vous ne vous serez pas grillées. Ca marche.
Nous avions un plan à peu près d’aplomb. Je saisis la balle au bond au sujet d’une chose qu’elle avait dite.
— Tu parlais de mecs invités à participer. On en avait pas encore parlé de ça.
En fait, je ne m’étais pas réellement préparé à cette éventualité. Je restais assez possessif, un sentiment renforcé par le charme surnaturel de Candice ; j’avais peut de la voir s’envoler avec un bellâtre dont la jeunesse et la grosse bite emporteraient le morceau. Et d’un autre côté, je ne cessai de m’exciter en fantasmant sur elle, baisant comme une chienne avec un autre mec devant moi, et me baisant aussi au passage. En fait, depuis un bon moment je rêvais de me faire enculer devant ma chérie et de la voir sucer la queue salie de mon partenaire. Candice connaissait mes tendances et enfonça le clou :
— Inviter un mec de ton âge, disons de 45 à 60, qui nous baiserait tous les deux, je suis sûr que tu ne dirais pas non.
Elle avait visé juste : d’une part, je me sentirais moins en danger avec un type un peu plus mûr – à tort ou à raison – mais surtout, les mecs qui ont du pognon ne sont pas les plus jeunes, et s’identifieront davantage à quelqu’un de plus âgé. Le porno, ça marche sur l’identification. Pour ce qui me concerne, voir un mec de 20 ans qui en tire une du même âge, ça me fait peu d’effet. Par contre, s’il en a 50… là, je peux m’imaginer en train de pilonner la jeune chatte à sa place !
— Tope là, répondis-je.
— Tu me fais marrer avec tes expressions de vieux.
— C’est pas moi qui ai parlé de "bobine" tout à l’heure.
— C’était pour que tu comprennes, j’ai failli dire chetron.
— En attendant, montre moi ta teuch que j’y mette ma teub.
— Ne soit pas vulgaire. Par contre, je veux bien que tu me baise, mon chéri !
Tout en lui ramonant les différents conduits, je commençais à imaginer ce que pourrait donner ce premier trio avec un mec bi. Et je me décidai à proposer à Candice de nous mettre en chasse le soir même. Après tout, nous ne savions pas encore si les deux petits canons de l’école d’infirmières accepteraient le deal et nous devions répartir nos chances.
A bientôt pour la suite de nos aventures…