Il y a maintenant plus dun an et demi que jai publié lépisode numéro sept des aventures de Capucine. Un peu déçu de laccueil fait à celui-ci, différent des autres, javais décidé de mettre en attente la suite du récit mais, de ne pas trop tarder néanmoins.
Certains évènements mont empêché de poursuivre. Aujourdhui je suis prêt à vous présenter la suite. Je vous recommande de lire à nouveau ; ou de découvrir ; les anciens chapitres pour vous remettre dans le bain.
Bonne lecture.
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Le lendemain matin je fus réveillé par deux bouches coquines, lune absorbait mon sexe et le pompait allégrement, lautre parcourait mon corps nu me donnant des frissons. A ce régime je ne tardai pas à bander et jappréciai ce traitement qui allait devenir mon quotidien
Jaurais aimé que ce moment dure plus longtemps mais nous avions un emploi du temps chargé et, à regret, après une claque sur les fesses de Capucine et Juliette, je leur dis :
Allez à la douche mes petites salopes ! Frottez bien vos minous et faites-vous un lavement pour être bien propre pour le pierceur. Je ne voudrais pas quil soit incommodé par vos senteurs intimes et vos flatulences. Nen profitez pas pour vous gouiner. Je vous connais trop désormais.
Javais pris rendez-vous dans un cabinet spécialisé où je serai certain que toutes les règles dhygiène seraient respectées. Les aiguilles utilisées étaient à usage unique et les outils stérilisés selon les règles de lart. Javais émis le désir que les zones percées ne soient pas insensibilisées car il fallait que pour mappartenir définitivement elles acceptent de souffrir me montrant ainsi quelles sabandonnaient intégralement à mon bon vouloir. Le tatouage de mes initiales sous leur téton gauche confirmerait quelles étaient ma propriété.
Deux heures plus tard elles étaient toutes les deux équipées. Elles avaient souffert tout particulièrement lors du perçage de leur téton mais Jean, le pierceur, professionnel avéré, avait été dune efficacité redoutable ce qui fait que la douleur, violente ; selon leur dire ; fut juste fugitive lors du transpercement du tétin.
Jappréciais le travail fait avec art ; deux anneaux pendaient de leurs seins, le capuchon de leur clitoris était percé et équipé dun Barbell droit pour les exciter en permanence. Au dernier moment, sur les conseils du pierceur, javais fait équiper les grandes lèvres de leur sexe de deux anneaux qui, réunies par un cadenas, me réservaient laccès unique à leur puits damour.
Au moment de partir je dis en aparté à mes deux chéries :
Je crois que pour remercier Jean vous devriez lui faire une petite gâterie ça me semblerait normal non ?
Elles me regardèrent avec étonnement ; cétait la première fois que je leur demandai de soccuper dun autre homme que moi. Mais aucune ne bronchât et cest, de concert, quelles débraguettèrent Jean pour le sucer alternativement et lamener à la jouissance dans leurs bouches grandes ouvertes.
Près de trois mois sécoulèrent avant que la cicatrisation soit complète, on était dans la norme. Les possibilités de leur faire lamour pendant cette période furent limitées. Jutilisais uniquement leur bouche et leur cul pour me satisfaire. Elles ne pouvaient se gouiner, leurs seins et leurs chattes risquaient linfection. Elles sexcitaient en sembrassant à pleine bouche et, faute de pouvoir aller plus loin, se retournaient vers moi pour que je les encule alternativement et que jéjacule ensuite dans leurs bouches affamées.
Je profitai de ces moments pour bien les initier aux gorges profondes et améliorer leur technique. Elles étaient désormais capables davaler les plus gros chibres quelles seraient susceptibles de trouver dans les partouzes où je comptais les amener. Javais utilisé pour ça les énormes godemichets que javais pu trouver sur le marché. Ceux-ci me servirent aussi pour assouplir leur anus. Il devint alors fréquent que, sortis de leur cul, elles aient à les nettoyer en les avalant jusquà la garde. Ça les obligeait ainsi à se faire de nombreux lavements pour garder leur ampoule rectale la plus propre possible.
Vint le jour où, après une visite chez le pierceur, elles furent toutes les deux reconnues « bonnes pour le service ».
En prévision de ce qui nous attendait javais pris du Cialis pour être capable de suivre le rythme quelles ne manqueraient pas de mimposer. Je ne fus pas déçu
À peine dans la voiture, Capucine sautât sur moi pour membrasser à pleine bouche. Elle saisit ma main gauche et lamenât sur son minou, libre de toute culotte ; elle avait prévu son coup. Je mempressai de la doigter et à peine leus je touché quelle fût prise dun orgasme irrépressible tant elle attendait ce moment depuis plus de trois mois. Juliette, frustrée, dit alors :
Cest dégueulasse vous auriez pu attendre dêtre à la maison pour que quHervé puisse soccuper aussi de moi.
Ne crains rien, ton tour va arriver lui dis-je en me tournant vers elle. Tu seras la première à prendre ma bite en entier dans ta chatounette. Je vais tenfiler debout dès la porte fermée. Tiens-toi prête !
Cest pourtant de moi que tu es amoureux dit Capucine en branlant ma bite durcit à travers mon pantalon. Cest moi que tu dois baiser la première !
Bon OK. Je vous enfilerai toutes les deux. Dès notre entrée dans la maison vous vous mettrez, après avoir retroussé vos robes, lune au-dessus de lautre pour que je puisse avoir vos sexes en vue et que je puisse aller de lun à lautre sans difficulté. Je vais vous bourrer bien à fond. En attendant, branlez-vous et jouez avec le Barbell au-dessus de vos clitos !
Mais depuis leur pose on est excitée en permanence ! Dit Capucine. Cest incroyable leffet que ça nous fait !
Bon on arrive, préparez-vous !
À peine la porte fermée, Juliette se met à genoux sur le carrelage de lentrée et relève sa robe. Capucine, finaude, enlève sa jupe et son chemisier et se retrouve entièrement nue ; elle na pas de soutien-gorge. Elle se positionne au-dessus de Juliette.
Jéjecte mes mocassins, enlève mon pantalon et mon caleçon. Mon sexe se dresse fièrement devant cette situation. Qui vais-je enfiler la première ? La nudité de Capucine est tentante, ses seins bien durs sous son torse ne demandent quà être empoignées et martyrisées avec leurs anneaux pendants.
Heureusement je nai pas oublié denlever les cadenas qui empêchent daccéder à leur chatte ; je ne me vois pas chercher les clés à ce moment crucial
Juliette pousse un cri. Je viens de perforer son con dune seule poussée rectiligne et je menfonce inexorablement à toucher sa matrice. Cest chaud, ses parois pressent mon sexe dans un subtil massage dû à ses muscles internes. Un orgasme puissant lemporte.
Mais il nest pas question que jéjacule, je dois me réserver. Capucine na pas le temps de protester que je sors de Juliette et je m’enfonce dans son abricot déjà ruisselant. Elle pousse un hurlement tellement elle jouit brutalement sous cet assaut. Mais je nai pas fini avec elle. Je me penche en avant et saisit les anneaux qui transpercent ses seins et je tire en arrière tout en continuant à la bourrer de fougueux coups de reins. Elle ne cesse de crier tellement la douleur doit être forte mais se calme peu à peu la jouissance montante prenant le dessus. Son cul sagite. Cest alors trop tentant. Je sors delle, remonte ma queue et lencule jusquà la garde.
Je ne veux pas laisser Juliette frustrée. Cest alors une succession denfilements dans le con et le cul de Juliette, puis cest au tour de Capucine. Ce petit jeu dure plus dune demi-heure, mes femmes font orgasmes sur orgasmes. Jai dominé mon plaisir mais jarrive au point de non-retour, je veux jouir moi aussi. Je les fais mettre à genoux, côte à côte, et je crache ma purée directement sur leur visage.
Elles nettoient mon vit amoureusement, comblées, épuisées mais heureuses.
On attendait ça depuis trop longtemps dit Capucine mais, comme toujours tu ne nous as pas déçues. Je taime.
Je taime dit aussi Juliette de concert.
Allez à la douche et gouinez-vous bien si vous en avez la force. À partir daujourdhui tout est désormais permis !
(La suite dès la publication de celui-là)