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Caroline – Chapitre 1

Caroline - Chapitre 1



Je m’appelle Charly. Lorsque j’avais 19 ans, j’avais l’ambition de devenir professeur d’EPS. Ce que je suis devenu d’ailleurs. En tout cas, lorsque cette histoire a eu lieu, j’avais 19 ans et devenir prof n’était qu’un projet. Grâce à un contact de mes parents, j’avais trouvé un stage dans un lycée. J’assistais donc Victoria, charmante prof d’EPS de 26 ans, à qui la pratique du sport avait permis de se sculpter un corps de rêve.

Et pourtant, Victoria n’est pas la personne impliquée dans cet incident.

Un jour, j’assistais Victoria qui donnait des cours de gym aux élèves de la 3ème 2. Autrement dit, des gamins et des gamines de 16 ans. Je n’aimais pas la gym, et donc je m’ennuyais à les regarder sur les poutres ou les barres parallèles. Je me serais même endormi si une voix n’avait pas brusquement brisé le silence.

Une des gamines, Caroline, venait de tomber de la poutre. Et elle s’était visiblement fait mal. Victoria était allée la voir, tandis que tout le monde les entourait… Moi aussi d’ailleurs. Soudain, Victoria se retourna vers moi.

" Charly, c’est rien de grave, mais la cuisse a un peu souffert. Y’a ce qu’il faut dans les vestiaires, il suffit que tu la masses avec.

— Heu… Tu peux t’en occuper non? Et moi je les surveille.

— Si tu veux en faire ton métier, il faut commencer par découvrir les désagrément mon coco. Alors vas t’occuper d’elle. Si elle boite en revenant, tu es viré."

Elle plaisantait pour la dernière phrase. Mais le reste était vrai. Je pris donc la petite Caroline et la conduisis aux vestiaires des profs. Je fouillais dans la pharmacie, prenant le produit en question, puis pris la direction du lavabo, histoire de me laver les mains.

" Enlève ton pantalon s’il te plaît Caroline.

— C’est obligé?

— Si tu veux que je te masse la cuisse, oui."

Je voyais qu’elle avait l’air gênée, mais je ne comprenais pas pourquoi. Un peu impatient, je lui dis que soit elle enlevait son pantalon, soit elle restait là à avoir mal. Finalement, elle enleva son jogging. Et je compris la raison de sa gène. Elle ne portait pas de culotte. Elle était nue sous son pantalon. Et je pouvais voir son petit sexe sur lequel poussaient seulement quelques poils. La pauvre était rouge de honte.

Ceci dit, je ne me sentais pas beaucoup mieux. Je n’ai jamais été attiré par les adolescentes, mais là, la voir comme ça. J’avais l’impression que j’allais commettre une bêtise, et ça me faisait peur.

Probablement plus gêné qu’elle, je commença à lui masser la cuisse. Je n’osais pas la regarder et j’espérais ne pas toucher son sexe.

Pourtant, inconsciemment, à chaque passage mes doigts s’approchaient de cette petite fente vierge. Je ne m’en rendais pas compte. Caroline, elle, si. Elle m’avoua plus tard qu’elle se retenait de ne pas frissonner ni gémir de plaisir à chaque fois que mes mains frôlaient son sexe.

Soudain, ce qui devait arriver arriva, et sans le vouloir je touchais sa fente. Extrêmement gêné, je me perdis en excuse, me voyant déjà devant un juge pour pédophilie. Mais Caroline eut une réaction pour le moins inattendu. Elle prit ma main, et la passa entre ses cuisses.

"Continue s’il te plaît. C’est trop bon."

Complètement perdu, je continuais à la caresser. Je lisais du plaisir dans son regard, et cela me stimula.. Je perdis alors la tête, je crois. Je l’allongeais sur la table, lui écartais les jambes, et me mis à lui lécher la chatte. Cette petite chatte toute vierge, recouverte de quelques poils. La sensation de sa fente sur ma langue fut divine. Elle jouit fortement, mordant dans son pantalon de jogging pour ne pas hurler. Puis je me suis relevé.

Avant que j’ai eu le temps d’en placer une, Caroline se jette sur moi, et m’embrassa fougueusement.

" C’était incroyable. Je n’ai jamais ressenti ça.

— C’était pas bien.

— Ne dis pas de bêtise. Fait moi l’amour. S’il te plaît.

— Ca va pas!

— Je t’offre mon pucelage. J’ai envie que tu sois le premier.

— Arrête… On en reparlera quand tu auras 18 ans.

— Pourquoi? Quand j’aurais 17 ans, j’aurais atteint ma majorité sexuelle. Ca ne sera plus de la pédophilie. Parce que c’est ce qui t’inquiète n’est-ce pas?

— Oui mais…

— Quand j’aurais 17 ans, je t’offrirais ma virginité. Promets moi que tu accepteras.

— Mais…

— Je n’ai pas envie de te faire chanter, mais si tu refuses, je dis ce qui s’est passé.

— D’accord. Quand tu auras quinze ans."

J’avais à peine dit ça qu’elle m’embrassa et qu’elle quitta le vestiaire. Je me disais qu’avant ses 17 ans, elle aurait oublié et qu’elle penserait à autre chose.

Mais j’avais tort.

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