Je me présente, je suis un jeune homme, de taille moyenne, plutôt athlétique, les cheveux châtains mi-longs coiffés style surfer. Je suis actuellement étudiant et en job d’été, je suis sauveteur en mer.
Je vais donc à peu près deux fois par semaine m’entraîner à la piscine. Je suis très assidu à ce rendez-vous. Cela me permet, au-delà de m’entraîner, de m’aérer l’esprit après les cours. Jusque-là, j’y allais tout seul, mais récemment, j’ai sympathisé avec une fille de ma promo et j’ai appris que c’était une nageuse de compétition. Elle s’appelle Cassandre, elle est plutôt petite à peine 1m55, des cheveux longs bruns légèrement bouclés et des jolies petites taches de rousseur sur le nez. Je ne l’avais jamais rencontrée à la piscine encore. Il faut dire que nous avons choisi des jours exactement différents pour s’y rendre. Dans la discussion, nous décidons d’y aller ensemble à la prochaine séance et j’ai en charge de préparer le programme.
Le rendez-vous est à l’arrêt de bus près l’IUT quelques jours après. Nous montons dans le bus et commençons à discuter de tout et de rien. Nous parlons des cours, des contrôles à venir de notre avancement dans les révisions. Je lui présente succinctement le programme de natation que j’ai préparé. J’ai prévu de faire 1800m en une heure. La séance va être assez intense.
Le bus est arrivé à la piscine, nous descendons, passons les caisses. Nous arrivons aux vestiaires et nous choisissons un chacun, l’un à côté de l’autre.
Je l’entends se déshabiller et pour la première fois une pensée me traverse l’esprit. Elle est toute nue juste derrière cette fine cloison opaque… L’image de son corps nu me traverse l’esprit et je sens une excitation monter en moi. Je n’ai pas de temps devant moi, je dois me changer rapidement ou cela risque d’être suspect. Nous sortons en même temps du vestiaire et décidons de mettre nos affaires dans le même casier, car j’ai oublié de pendre une pièce à mettre dans le fermoir.
Nous nous dirigeons alors vers le bassin et commençons la séance. Au début, elle nage devant moi, mais son endurance lui fait défaut et je finis devant elle. Séance on ne peut plus classique, nous avons bien nagé et pas traîné, car nous n’avons mis que cinquante minutes pour faire le programme. Nous sortons alors du bassin, je passe en premier sans prendre l’échelle. Une fois hors de l’eau, je me retourne et laisse la place à Cassandre qui emprunte le même chemin que moi. Elle m’offre alors une vue plongeante dans son maillot de bain qui me permet de remarquer que malgré sa petite taille et sa ligne de guêpe elle possède une poitrine plus que généreuse.
Nous retournons aux vestiaires et encore une fois nous nous mettons dans des vestiaires mitoyens. Et de nouveau, je l’entends faire tomber son maillot de bain, et mon esprit la revoit nue. Cette fois-ci, je prends plus le temps de faire travailler mon imagination et viens à la conclusion qu’il ne serait pas désagréable de me retrouver dans un lit avec cette charmante demoiselle.
Le retour se passe de manière normale, nous discutons et nous nous racontons nos vies respectives. Nous apprenons à nous connaître.
Pendant les cours, nous prenons rendez-vous la semaine suivante, même jour même heure pour retourner à la piscine ensemble.
Arrive le jour convenu, je la vois au loin en poste au lieu de rendez-vous. Nos conversations se font de plus en plus précises, nous commençons à bien nous connaître. Une confiance s’installe et nous nous confions quelques secrets. Arrivés, nous nous changeons rapidement et allons nager. Les regards se font de plus en plus insistants des deux côtés. Je sens son regard sur moi quand je pars devant elle. Je ne me gêne pas non plus de la regarder lorsque c’est elle qui part devant moi.
En dehors de la piscine, nous marchons l’un à côté de l’autre en nous rapprochant petit à petit, presque à se toucher.
Ce petit jeu dure plusieurs semaines et nous nous rapprochons de plus en plus.
Nous sommes maintenant vraiment proches, aussi bien à la piscine comme en cours. Ainsi lors de la dernière séance de natation. Nous étions presque collés pour lire la suite du programme, je pouvais sentir sa respiration essoufflée sur ma joue. Juste avant de partir en premier faire ma longueur, jai laissé traîner ma main sur ses hanches puis sur son ventre. J’ai senti comme un courant passer entre nous. Un courant qui nous a électrisés tous les deux. C’était notre premier contact physique. Je ne voulais pas que cela s’arrête, mais j’ai dû pousser sur le mur pour partir faire ma longueur. Que c’était agréable. Le reste de la séance s’est passé normalement.
De retour à l’IUT, nous prenons des chemins différents pour rejoindre nos appartements respectifs. Nous nous faisons la bise, mais je sens que c’est plus que cela. Je sens ses lèvres venir toucher mes joues. Cela ressemble plus à deux bisous sur les joues qu’a une bise. De plus, sa main vient glisser le long de mon bras, s’accrocher légèrement à ma main lorsque nous nous séparons.
Aujourd’hui, une semaine, après les précédents événements, je retrouve Cassandre une nouvelle fois pour aller nager avec elle. Toujours plus proches, l’un de l’autre nous sommes assis dans le bus l’un à côté de l’autre épaule contre épaule et cuisse contre cuisse. Nous discutons de tout comme nous avons l’habitude de le faire. Cependant au cours de la discussion ma main glisse gentiment vers sa cuisse et vient se poser sur celle-ci. J’observe d’abord sa réaction, mais elle continue sa phrase comme si de rien nétait. C’est très agréable cette sensation de la tenir près de moi. Le trajet se finit et nous nous dirigeons vers la piscine et les vestiaires. Encore une fois, nous choisissons des cabines mitoyennes. Et encore une fois, je l’entends enlever son blouson puis son t-shirt, son pantalon. Les bruits se font plus légers, mais j’entends encore ses mouvements et je devine qu’elle a maintenant enlevé son soutien-gorge. Enfin l’ultime vêtement, qui à ma grande surprise apparaît en haut de la cabine. Un petit tanga rose fluo en dentelle qui selon moi est là plus par principe que par utilité au vu de sa finesse. Je sors de ma rêverie engendrée par ce cadeau et remarque qu’il n’y a plus un bruit même pas celui de sa respiration. Elle doit elle aussi m’écouter. Cependant, je n’ai pas entendu qu’elle avait mis son maillot de bain. Conclusion, elle écoute ma réaction de l’autre côté de la paroi en tenu d’Eve…
Quelques secondes après le tissu disparaît et j’entends Cassandre se précipiter pour mettre son maillot et sortir de la cabine. Je me change rapidement moi aussi et la retrouve près des casiers. Elle tourne au rouge pivoine quand elle me voit. Je m’approche gentiment d’elle, place mon bras autour de sa taille et la prends dans mes bras comme pour la rassurer. Ce geste fait monter en moi de l’excitation, mon sexe commence à se durcir. Je sens chez elle aussi une certaine contraction qui prouve qu’elle n’est pas insensible.
Nous partons faire notre séance de natation qui s’avère très tactile.
Une main sur les hanches par-ci, une main sur les fesses par-là.
Je m’aventure même à effleurer sa poitrine et son bas-ventre. De son côté, j’ai le droit à des caresses dans le dos, sur le torse, sur mes fesses. J’ai même eu le droit à l’effleurage de mon pénis qui n’a pas manqué de se dresser.
En sortant de l’eau, je suis extrêmement excité, j’ai très envie de Cassandre, j’ai très envie de la prendre dans mes bras de l’embrasser. Lorsque nous allons dans les vestiaires, c’est Cassandre qui choisit les siens en premier. Je la suis de quelques secondes et juste avant que je ne rentre dans le mien :
— Adrien !! M’appelle Cassandre
— Oui, qu’est-ce qu’il y a ?
— J’ai un problème dans ma cabine, tu peux venir m’aider s’il te plaît ?
— J’arrive, Cassandre. Lui réponds-je
J’hésite entre un réel problème ou une fausse bonne excuse pour que je la rejoigne dans sa cabine. J’ouvre alors la porte de sa cabine. Le temps s’arrête, il n’y a plus que moi et elle. Cassandre est debout, face à moi timide, les mains croisées dans son dos, sa tête penchée vers le bas. Elle est en équilibre sur ses jambes croisées au niveau de ses chevilles. Elle n’ose pas lever les yeux, je peux voir ses joues rouge écarlate. Cassandre est complètement nue face à moi. Tout son corps s’offre à moi, je la dévore du regard. Ses seins sont fiers et ses tétons sont érigés. Elle a un ventre plat, des cuisses fermes. Mes yeux s’arrêtent alors sur son entrejambe, lisse, rasé, épilé, magnifiquement beau.
Je sors de ma torpeur et rentre dans la cabine, ferme la porte derrière moi afin que personne d’autre ne puisse profiter de ce spectacle. Ainsi, comme tout à l’heure, je la prends dans mes bras de manière rassurante. Je sens alors sa poitrine s’écraser contre la mienne. Elle pose sa tête contre mon torse et je commence à lui caresser le dos. Puis mes mains descendent sur ses fesses que je caresse tendrement. Je l’embrasse sur le dessus de sa tête. Elle décolle sa tête de mon torse et je croise enfin son regard. Je peux voir dans ses yeux pétillants toute l’envie et toute l’excitation qu’il y a en elle. Alors je l’embrasse langoureusement. Nos langues se retrouvent rapidement et commencent une danse douce et langoureuse. Nous fermons nos yeux afin de profiter au maximum de ce moment.
Après ce baiser de plusieurs minutes, l’excitation et l’envie sont montées et cela se voit. Un petit bout de mon pénis commence à sortir de mon maillot de bain, ce qui n’échappe pas à Cassandre. C’est alors qu’elle décide de m’enlever mon maillot. Ses mains descendent vers mes hanches, elle défait le nud qui serre mon maillot, glisse ses doigts à l’intérieur et me le baisse en descendant elle aussi. Mon sexe, excité comme jamais sort de son étreinte et se dresse fièrement devant le visage de Cassandre. Je lève un pied, puis l’autre, et elle retire mon maillot du sol pour le jeter sur le banc de la cabine des vestiaires. Elle se met à genoux et prend mon pénis dans sa main, approche ses lèvres, les pose sur le bout de mon sexe. Puis, elle entoure la bête de ses lèvres et commence à me lécher le sexe. Sa bouche monte et descend le long de ma hampe tout en aspirant. La sensation de ses lèvres et de sa salive sur mon pénis est divine.
Après quelques minutes de ce traitement, c’est mon tour de lui rendre la pareille. Elle se remet debout et je lui fais poser son pied droit sur le banc de la cabine. Je me mets moi aussi à genoux, s’offre alors à moi une vue splendide sur l’intimité de Cassandre. Elle est si bien épilée, son sexe est si lisse, si pur. J’approche mon visage de son pubis et commence par lui faire des petits bisous. J’embrasse son bas-ventre, son aine, le haut de ses cuisses. Petit à petit, je me rapproche du petit coin de paradis. Je pose délicatement mes lèvres sur les siennes et les embrasse sensuellement. Ensuite, ma langue vient lécher ses grandes lèvres, je les humidifie avec ma salive. Au fur et à mesure, ma langue s’introduit dans son abricot en le léchant de plus en plus fort, jusqu’à ce que j’atteigne l’entrée de son vagin. Ce traitement la fait gémir bien qu’elle essaye de se retenir dû au monde autour qui pourra l’entendre. Son antre est complètement trempé et elle mouille encore beaucoup. En quelques secondes, mon nez, mes lèvres et mon menton sont remplis de son nectar. Je continue ce cunnilingus en allant chercher avec ma langue son bouton d’amour déjà très gonflé par l’excitation. Je joue avec son clitoris, je le lèche de haut en bas, le suce, dessine des cercles autour. Je le titille, l’agace. Et cela a l’air de faire beaucoup d’effet à Cassandre, elle se tortille, coince ma tête entre ses jambes, se mord les lèvres. Elle tente en vain de retenir des gémissements qui se font de plus en plus fort. Enfin, je fais rentrer ma langue dans sa fleur et je lui chatouille l’intérieur. Ce dernier geste a pour effet de la faire tomber assise sur le banc, tant le plaisir est intense.
Il lui faut quelques secondes pour reprendre ses esprits. Puis je l’invite à se relever et se mettre dans la même position afin d’unir nos corps. J’approche alors la clé du paradis près de l’entrée de celui-ci et grâce à sa parfaite combinaison, ouvre les portes du paradis et y entre. Il y fait chaud et humide, la sensation est divine. Le sexe de Cassandre est plutôt serré et je peux sentir toutes ses chaires envelopper mon pénis. Je sens aussi ses contractions, dû au plaisir de cet acte, sur mon membre. Je commence alors de doux allés et retours à l’intérieur de ce tunnel de l’amour. Le plaisir est maximum pour nous deux. Nous peinons à retenir nos gémissements. J’accélère, approfondi et appui de plus en plus mes pénétrations jusqu’à ce que Cassandre jouisse pour la deuxième en oubliant que nous n’étions peut-être pas seuls dans les vestiaires de la piscine.
C’est alors que Cassandre décide de changer de position. Elle me tourne le dos et se penche en avant. Avec sa main gauche, elle prend appui sur le banc et avec sa main droite sur la porte de la cabine. Je peux maintenant la pénétrer de nouveau, ce que je n’hésite pas à faire. Je re-rentre en elle, mais de façon plus sauvage cette fois. Je la prends avec plus de hargne, avec des coups de reins plus rapides et plus forts. Mes cuisses claquent contre ses fesses, et même si pour l’instant nos cris de plaisir ne s’entendent plus. Les autres usagers de la piscine peuvent très bien reconnaître ce bruit si particulier.
Je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Les réactions du corps de Cassandre me font dire qu’elle aussi est au bord de son troisième orgasme. Je continue d’accélérer ma pénétration jusqu’à ce que mon sperme se déverse en elle. Quant à Cassandre, c’est dans un dernier cri sonore et long qu’elle jouit en même temps que moi.
Cette dernière se relève et se met face à moi. Ses bras entourent mon cou et elle m’embrasse à pleine bouche.
Merci Adrien, cela faisait longtemps que j’en rêvais toutes les nuits.
De rien ma belle, moi aussi, tu me faisais envie
Elle me jette un dernier regard coquin et sans prendre le temps de nettoyer mon liquide qu’elle contient dans son corps elle remet sa culotte.
— Je te veux en moi le plus longtemps possible…
Elle finit de se rhabiller et sort de la cabine. Moi, je reste là béat à la regarder partir mon sperme encore en elle.