Nous nous installons autour dune table basse, toutes ces dame montrent leur cuisses, voire plus, et cest assez agréable. Les filles se font de temps en temps une bise, mais sans plus. Nous mangeons très bien. La soirée se déroule dans la bonne humeur, Jean Luc et Laura sont des hôtes attentionnés. Vers minuit, Charleen se lève péniblement de sofa dans lequel elle est, elle travaille à six heures, elle doit rentrer, cela donne le ton et tout le monde prend congés. Nous rentrons chez Charlette tranquillement.
Comment as-tu trouvé cette soirée.
Je dois te dire quau milieu de tous ces canons je ne savais plus où donner de la tête, heureusement que de temps en temps je pouvais te regarder, tes baisers mont fait du bien. Tu as raison, Laura est fabuleusement belle, je comprends pourquoi tu mas dit que ses cheveux me plairait. Mais cest de toi dont jai envie, juste toi.
Tu crois que cinq jours avec Catherine, tu ne vas pas craquer ?
Je ne sais pas chérie, cest vrai que je la trouve très belle, mais je suis bien avec toi, je ne veux pas tout gâcher.
Chéri, tu mas prévenu dès le début, tu nes pas fiable, tu te laisses parfois aller à tes envies, je lai assimilé. Moi, ce que je veux, cest que tu me reviennes, je ne suis pas jalouse de Catherine ou de Charleen. Ce sont mes surs de cur. Avec elle je peux tout partager, y compris toi. Ca ne te choque pas ce que je dis.
Non, pas du tout, je dois dire que je suis rassuré, je ne veux pas te perdre, et je me connais, il marrive de ne pas résister.
Donc, ce voyage avec Catherine, appréhende le comme un voyage normal, avec une très belle fille ou il peut se passer des choses agréables. Je peux te dire que cest très agréable de faire lamour avec Catherine. A la limite, je te le souhaite.
Tu es extraordinaire, tant damour.
Je taime, je veux ton bonheur, comme je sais que tu veux mon bonheur.
Oui, je veux te rendre heureuse.
Et tu y parviens très bien pour linstant. Bon nous arrivons, je suis crevée, vivement le dodo.
Tu crois quon va dormir tout de suite ?
Ça, ça métonnerai.
Nous entrons dans sa cour et elle gare sa voiture. Nous allons directement dans la chambre, nous sommes quand même un peu fatigués. Une fois à poil, nous nous allongeons sur le lit, tous les deux sur le dos à contempler le plafond. Charlette pivote sur elle-même et me monte dessus, elle me présente sa vulve devant la bouche et je sens une bouche mengloutir ma verge pas très en forme. Elle se redresse assez vite pendant que ma bouche soccupe du puits damour de Charlette. Je la bois, jaspire, la lèche, je me délecte de ce liquide que jadore. Elle me suce, me mordille, me lèche tant et si bien que, la fatigue aidant, je me vide dans sa bouche. Elle na pas jouit, je la fait passer sur le dos, me jette entre ses jambes et mactive une nouvelle fois sur son sexe. Elle ne résiste pas longtemps avant de jouir et de minonder le visage de sa cyprine odorante. Je remonte le long de son corps pour être à côté delle, je la prends dans mes bras et lembrasse tendrement. Nos langues se chamaillent dans nos bouches, nos mains parcourent nos corps, nous sommes bien.
Je taime tu sais.
Moi aussi mon chéri.
Nous réussissons à nous endormir dos à dos.
Le lendemain, il faut préparer la venue de Catherine et Charleen, nous nous levons assez tôt pour un samedi, vers sept heures. Je vais tout de suite lancer le fumet de poisson, il faut quatre heures de mijotage. Je rejoins Charlette dans la chambre vers huit heures et nous allons tout de suite à la douche ou je lui fais comme dhabitude une somptueuse minette qui la fait crier de plaisir. Elle me prend la tête, me fait remonter le long de son corps en plaquant ma bouche sur sa peau que je lèche tout le long de la remontée. Arrivé à sa bouche, elle membrasse. Pendant son baiser, je sens sa jambe gauche se lever, une main mattraper la bite et la diriger vers son sexe. Elle redescend dessus.
Aime-moi.
Je fais bouger mon bassin lentement, je ne suis pas pressé, je veux profiter de ce moment le plus longtemps possible. Ses mains parcourent mon corps, sa bouche de déchaine sur la mienne, nos langues bataillent, senlacent, semmêlent, se lèchent, sattirent et se repoussent, elles saiment. Je ne peux plus reculer le moment de jouir.
Viens chérie, viens avec moi, je vais jouir.
Je tattendais, jarrive.
Nous jouissons ensemble, violemment, secoués de toutes parts, enlacés, les bouches collées lune à lautre dans un voluptueux baiser. Quand nous revenons sur terre, elle redescend sa jambe, menlace et pose sa tête sur mon épaule.
Je taime chéri, je taime.
Moi aussi je taime ma chérie.
Nous sortons de la salle de bain pour aller prendre notre petit déjeuner. Il fait déjà chaud, nous restons nus.
Je prépare le repas tranquillement, jai le temps. De temps en temps Charlette ma pince une fesse, pose ses lèvres sur les miennes, mon cou, une épaule, une fesse. La matinée se passe comme ça. A midi moins le quart, tout est prêt, la table est mise sur la terrasse sous un immense parasol rectangulaire, le repas nattend plus que les dernières étapes, lapéritif est sur la table basse sous un autre parasol à côté de la piscine, Charlette a sorti que le stricte nécessaire, connaissant le goût de ses amies. On sonne, et Charlette va ouvrir, toujours nue.
Salut les filles.
Ok, je vois que le ton est donné.
Tu vas ten plaindre Catherine.
Non, bien au contraire.
Bonjour Charlette.
Bonjour Charleen.
Les filles entrent.
Ou est Jean ?
Dans la cuisine.
En tenue de soirée ?
Oui.
Ok, je reviens. Suis-moi Charleen.
Elles se dirigent vers la chambre de Charlette et en ressortent nues. Elles viennent me dire bonjour.
Hum, voilà de belles fesses bien nerveuses.
Je sens une main me tâter la fesse gauche, je me retourne et me retrouve face à face avec Catherine. Elle se met sur la pointe des pieds, menlace le cou de ses deux bras et me dépose un baiser appuyé sur les lèvres.
Bonjour toi.
Charleen arrive derrière et me fait la même chose.
Quest-ce que tu nous prépares ?
Tu verras bien tout à lheure. Tout est prêt, on peut prendre lapéro.
Nous nous rendons sur la terrasse, en la suivant, je peux mieux regarder Catherine nue. Ses fesses sont lisses et fermes, aucunes traces de cellulite, ses jambes sont superbement galbées. Quand elle arrive sur la terrasse, elle se retourne pour nous faire face. Là, je peux admirer ses seins, bonnet B, fermes lisses et bronzés, son ventre plat, et son pubis lisse et bronzé aussi. Elle est superbe, une vraie miniature merveilleusement faite. Ses cheveux blonds ondulés lui font un visage dange, ce quelle nest pas. Nous nous installons autour de la table basse et Charlette sert lapéro.
Jean, je vois que tu es aussi naturiste.
Oui, je vais à Agde.
Holà, le coin le plus chaud de la côte.
Oui, cest chaud, des fois même très chaud.
Tu y vas quand ?
De mi-juillet à mi-août, au moment le plus chaud, dans tous les sens du terme.
Jaimerais bien y faire un tour un de ces quatre.
Elle me regarde en souriant. Je suis au milieu de trois splendides femmes, nue, qui mexposent leurs chattes sans complexe, engoncées dans leurs transats replié. Jai du mal retenir ma bite qui veut montrer sa satisfaction. Caché derrière mes lunettes de soleil, je peux observer ces trois femmes et je remarque que le clitoris de Catherine sort lentement de ses lèvres qui elles même se développent. Sa chatte commence à briller quand elle se lève et entre dans leau. En regardant Charleen, je remarque la même chose un peu moins flagrant quand même, mais elle suit sa copine dans leau. Elle senlace et sembrassent. Charlette se penche sur moi, me dépose un baiser sur la bouche et va rejoindre ses copines. Un amas de femmes se créé dans la piscine, elles se caressent, sembrassent, senlacent. Je les regarde sans y aller, je sens confusément quil faut que je reste à la table, que je ne les rejoigne surtout pas. Au bout dun bon quart dheures, elles sortent de leau Catherine en tête.
Merci de nêtre pas intervenu.
Elle se penche sur moi pour déposer un baiser encore plus appuyé que les autres sur mes lèvres. Charleen limite et Charlette rabat le transat pour mallonger et vient se coucher sur moi pour un long baiser. Là, je ne peux pas résister et ma bite se redresse lentement. Le sentant, Charlette sinterrompt et me libère juste à temps pour rester « décent ». Nous finissons lapéritif et passons à table.
Mesdames, je suis votre serviteur, personne ne bouge.
Les filles sont aux anges, je leur sers la mousse dasperges aux crevettes. Elles apprécient sans retenues, suivent les filets de rougets marinés-grillés. Là, elles se demandent si cest bien moi qui ai fait ça. Au saumon à loseille elles me regardent avec un regard admiratif.
Putain quel cuisinier, Charlette, il faut que tu me le prête.
Catherine, tu ne crois pas que tu exagère un peu ?
Non, non, pas du tout. Je voulais inviter Jean Luc et Laura, si Jean pouvait faire la cuisine, je serais sûr de moi.
Charlette me regarde amusée.
Quen dis-tu Jean.
Quand tu veux Catherine, je suis ton esclave pour un repas.
Mon esclave, jai bien noté.
Tout le monde rigole, et le repas se termine dans la bonne humeur. Il règne quand même une ambiance très sexy, sans être exprimé, le sexe est là, il plane au-dessus de nous, il est dans la tête de tout le monde, mais tout le monde fait semblant. Nous allons sur la table basse pour le café, là Catherine sinstalle à côté de Charleen, en face de moi et reste les cuisses écartées. Je peux voir son sexe luisant de cyprine, quand je regarde Charleen, cest la même chose, son sexe brille comme une étoile dans la nuit. Elles me regardent toutes les deux, je soutiens leurs regard un petit instant jusquà larrivée de Charlette qui détend latmosphère. Nous prenons notre café, je suis un peu fatigué, et jai envie de faire une petite sieste.
Je vais mallonger une petite heure.
Ok les filles, vous avez votre chambre en haut, je vais avec Jean, jai envie de me reposer aussi, je suis assez fatiguée.
Tu parles, je vois très bien une sieste crapuleuse.
Et alors, tu na quà monter avec Charleen, elle nattend que ça.
Tu crois que je vais men priver ? Viens Charleen, nous allons nous reposer aussi.
Catherine va vers Charleen, lui prend la main, la tire pour la faire lever et se plaque contre elle pour lembrasser fougueusement. Charlette sourit.
Elles sont belles hein ?
Oui, très belles.
Elle me prend la main et mentraine vers la chambre. Nous sommes à peine entrés que Catherine nous devance pour récupérer leurs affaires quelles avaient laissées sur le lit. Elle disparait en jouant beaucoup de ses fesses. Nous nous allongeons côte à côte. Elle se tourne un peu sur moi, une jambe repliée sur ma cuisse, un bras sur mon torse.
Elle te drague.
Tu crois ?
Oui, je la connais, tu lui plais cest évident, comme tu plais à Charleen, mais elles ne feront rien avec toi si je ne suis pas daccord.
Cest toi qui mène la barque.
Non, cest elles qui maiment et qui ne veulent pas me faire de mal.
Ce sont de vraies amies.
Je sais.
Contre toutes attentes, nous nous endormons sans faire lamour, la fatigue nous a terrassés. Nous nous réveillons vers dix-huit heures, quand nous arrivons sur la terrasse, Charleen et Catherine sont en position de soixante-neuf sur la première marche de la piscine, dans cinq centimètres deau. Elles sactivent goulument sur la vulve de lautre. Notre arrivée ne les gênent pas du tout et elles continuent jusquà ce quelles jouissent ensemble et roulent dans la piscine. Charlette est un peu secouée par le spectacle.
Viens.
Elle mentraine dans la piscine, me plaque contre une paroi juste au niveau de la perte de pied, me prend la bite et soccupe de la faire se redresser. Quand elle est bien droite, elle se presse contre moi et sempale dessus, elle se tourne de manière à se retrouver dos à la paroi de la piscine, me laissant le soin de lui faire lamour. Mon bassin fait des va et vient lents et profonds, Charlette sagrippe à moi et remonte ses jambes sur mes hanches pour bien dégager son sexe. Charleen et Catherine narrêtent pas de plonger derrière moi pour voir de plus près mon sexe dans celui de leur amie. Cette situation nous excite tous les deux et je finis par me vider en elle. Elle se raidi, en me serrant contre elle, ses jambes croisées derrière mon dos.
Oui chéri, jaime quand tu te vide en moi, jaime ton sexe dans le mien.
Catherine et Charleen sont de chaque côté de nous, elles embrassent Charlette chacune sur une joue.
Tu as été heureuse ma chérie.
Oui, très, jaime tant faire lamour avec Jean.
Elles me font une bise sur chaque joue.
Tu as intérêt à continuer à lui faire plaisir, sinon tu auras affaire à nous.
Je meurs de peur.
Tu devrais.
Cest Catherine qui me parle, son regard est dur quand elle me dit ça, elle est très sérieuse.
Doucement Catherine, Jean maime, je laime, mais nous navons ni lun ni lautre dexclusivité. Sil le désire, il peut aller voir ailleurs, jamais je ne pourrais le retenir, et ce nest pas mon intention, le tout, cest quil me revienne. Nous en avons discuté, nous savons à quoi nous en tenir. Tu as bien passé une nuit ici, avec moi, depuis que je le connais, et pas seulement pour dormir, Jean le sait et ça na rien changé à notre amour.
Disons que je nai rien dit.
Je lattrape par le cou, lattire vers moi et lui dépose une bise sur la joue.
Sans rancunes ?
Sans rancunes.
Elle séloigne en me souriant. Nous sortons tous de la piscine, Charlette me tient la main, elle se dirige vers la chambre.
Jai encore envie de toi, viens. Les filles vous restez là.
Nous nous dirigeons vers la chambre. Elle me jette sur le lit et plonge sa tête entre mes cuisses, droit sur ma bite. En quelques secondes elle est raide et prête à lemploi. Elle me monte dessus et se laisse glisser doucement.
Oui, entre doucement belle verge, jaime te sentir tenfoncer dans ma chatte et la remplir.
Elle commence des mouvements de va et vient sur moi, son bassin ondule davant en arrière, sur les côtés, de manière à me faire monter vite en pression, elle est pressée, son corps a envie de jouir et elle veut que je vienne avec elle. Mais je viens de jouir et cest beaucoup plus long. Elle finit par se raidir, son corps est parcouru de tremblement, elle se couche sur moi, me serre.
Ho, je jouis, je jouis, que cest bon.
Elle se calme doucement, cest à ce moment que jentre en scène, je la retourne sur le dos et me déchaine sur elle. Je la pistonne le plus rapidement possible. Elle cri.
Oui, vas-y, viens avec moi, je vais jouir, je vais jouir.
Elle explose dans un terrible orgasme en même temps que je me vide en elle.
HHHHHAAAAARRRRRGGGGG, oui, ho oui.
Elle écarte les jambes au maximum en les relevant pour moffrir son sexe grand ouvert.
HHHAAARRRGGG, ton sexe, ton sexe.
Je ne ralenti que quand je la sens sapaiser pour finir allongé sur elle nos bouches soudées dans un long baiser.
Bravo, cétait superbe.
Je me retourne et je vois Catherine et Charleen de chaque côté du lit, qui nous regardent lair attendries.
Quest-ce que vous faites là ?
On voulait vous voir faire lamour, vous étiez tellement pris dans votre désir de faire jouir lautre que vous ne nous avez même pas vu entrer, cest magnifique le visage de Charlette quand elle jouit, cet abandon, cette joie dans ses yeux, cet amour pour toi, cest superbe, je lenvie.
Tu nas pas à menvier, nous nous entendons très bien avec Jean, mais tu le vivras toi aussi.
Avec qui ?
Qui sait. Aller, dehors les filles, laissez-nous.
Les filles quittent la pièce. Charlette me regarde avec un sourire complice. Elle se penche à mon oreille et me souffle très doucement.
Tu lui feras bien lamour en Italie jespère ?
Charlette.
Je sais que vous ferez lamour, cest inévitable, je te lai déjà dit, je veux seulement que tu me reviennes. Je lui dirais que je suis daccord.
Cest toi que jaime chérie, pour linstant je ne pense pas à ce voyage en Italie.
Nous nous levons pour rejoindre les filles. Elles sont sur la terrasse et boivent un pot.
Il se fait tard, quelquun a faim
Oui, nous avons toutes faim.
Une grillade, avec salade ça vous va
Parfaitement.
Je vais laver la salade.
Je vais à la cuisine pour laver et préparer la salade. Une fois la salade lavée, je prépare la grillade avec des aromates. Je suis entrain de préparer la viande quand jentends un gémissement, je retourne sur la terrasse, et je marrête sur le pas de la baie vitrée stupéfait. Charlette est sur un transat, les jambes grandes ouvertes avec la tête de Catherine sur son sexe et la bouche de Charleen sur ses seins. Elle est au bord de la jouissance. Ses narines palpitent, je me précipite vers elle pour poser mes lèvres sur les siennes. Elle ouvre les yeux un peu inquiète, mais quand elle reconnait ma langue sur la sienne, elle se laisse de nouveau aller au plaisir. Je libère ses lèvres, Charleen aspire un de ses seins, je moccupe de lautre pendant que Catherine soccupe de son sexe. Elle lève la tête, me regarde dun air complice.
Tu veux ma place ?
Absolument.
Nous inter changeons nos places, je me jette sur sa vulve liquide. Je bois cet élixir de vie, titille son clitoris, lui mordille, laspire jusquà ce quelle se raidisse.
Oh mes chéris, oui, oui, quel bonheur, je jouis, je jouis avec tous mes chéris, oui.
Ma langue sexcite de plus en plus vite sur son clitoris. Elle hurle.
HHHHHHHHHAAAAAAAAA.
Tout le village est au courant, cest sûr. Nous ne nous arrêtons pas, les filles sont toujours sur ses seins, je monte sur elle et lui plante mon sexe raide comme la justice. Elle hurle de nouveau.
OOOOUUUUIIII.
Mon bassin bouge pas trop rapidement pour entretenir, mais pas déclencher lorgasme, rien ny fait, elle part de nouveau dans un sublime orgasme, elle hurle sa joie.
HHHHHAAAAA.
Si ne létait pas encore, le village est maintenant au courant.
Charlette est arque boutée, les fesses à quinze centimètres du transat. Son corps est secoué dans tous les sens, elle a de la peine à respirer, ses narines palpitent comme des folles, elle jouit comme jamais je lai vu jouir, la bouche ouverte à rechercher de lair. Les filles se redressent et sembrassent, Charlette se remet doucement, elle attire les filles vers elle en mettant ses bras derrière leurs fesses et en tirant. Leurs sexes se trouve juste devant ses lèvres et elle les embrasse lun après lautre. Je me redresse, jai le visage couvert de la cyprine de Charlette.
Je peux Charlette ?
Elle sourit à Catherine.
Bien sûr ma chérie.
Catherine vient vers moi et me lèche le visage.
Quelle merveille, ton jus est une pure merveille.
Merci ma chérie.
Charlette est allongée sur le transat, les yeux fermés, elle savoure les jambes toujours écartées, son sexe ruisselle toujours et Charleen en profite pour aller sabreuver. Elle aspire, lèche, mordille son clitoris ce qui a pour effet de déclencher un nouvel orgasme à Charlette, plus cool, mais intense. Cette fille est faite pour lamour, son corps est extrêmement sensible à la moindre sollicitation. Tout le monde est devenu calme, Charleen a toujours sa tête à côté du sexe de Charlette et donne des coups de langue de temps en temps, lentement, sur toute la longueur des lèvres. Charlette a les yeux fermés, un large sourire sur les lèvres, elle respire doucement, amplement, elle jouit du moment en toute plénitude, elle est heureuse, et donc, je suis heureux. Catherine se penche à mon oreille.
Elle est belle hein ?
Magnifique.
Elle ma dit que tu voulais quelle se laisse pousser les cheveux ?
Oui, jaime mieux les cheveux comme les tiens sur une femme, je trouve que cest plus beau. Tu es très jolie, mais tes cheveux tembellissent encore.
Merci beaucoup. Charleen, tu ne vas pas la manger toute crue quand même.
Si je pouvais.
Et bien, je ne suis quun plat pour vous ?
Non, un festin.