Jour numéro un
Mes parents ont fait l’acquisition d’une petite maisonnette isolée dans la campagne à environ une bonne dizaine kilomètres du village le plus proche. Depuis le temps qu’ils en rêvaient d’en acheter une pour passer leurs vacances au calme dans la campagne. Cet été, la chaleur est de plomb et c’est sûr que j’aurais préféré passer mes vacances au bord de la mer, en camping. Mais vu que c’était la première année qu’on allait passer nos vacances dans la maison, je me devais de faire un effort. Ma soeur, Liza, a pris aussi cette douloureuse décision et laisse son petit copain pour un mois au soleil à la campagne. Heureusement, pas loin, il y a un grand lac où il est possible de se baigner. On a donc entassé les affaires, pris l’espace familiale et en route pour trois cent kilomètres de la capitale. Ma mère, Isabelle, est au volant. Mon père (pharmacien ainsi que ma mère) termine dans deux semaines et nous rejoindra pour les quinze derniers jours de vacances qu’il a réussi à obtenir. Le voyage a été long et très laborieux à cause des bouchons et de la chaleur. Heureusement, on a pu bifurquer et prendre les petites routes de campagnes. Une fois arrivé, on s’active à tout mettre en ordre. Déballage des affaires, dépoussiérage de la baraque etc…Le deuxième jour, Liza et moi, décidons d’aller voir ce lac laissant maman, seule à la maison faire du jardinage et peaufiner le nettoyage. En arrivant, on remarque qu’il y a beaucoup de monde. Dans un trou pareil, comment peut-on connaître ce genre d’endroit. Des touristes venus faire une pause sans doute. Voir tout le monde s’ébattre dans l’eau sous la chaleur fait renaître en Liza et moi le plaisir des vacances. C’est pas la plage mais c’est pas mal aussi. On avait amené nos maillots à tout hasard. Moi, un maillot caleçon bleu et elle un bikini rouge. Liza enlève ses Tongue, son débardeur blanc et sa minijupe jeans. Elle se retrouve en bikini rouge. Ca lui va bien. J’avoue être fasciné par son corps malgré le fait qu’elle soit ma soeur. Elle a 20 ans soit un an de moins que moi. Elle a les cheveux longs et des yeux noisette. Précoce, elle a toujours aimé se mettre en valeur en suivant la mode de très très prêt. Je me mets alors à observer sa poitrine, pas très grosse mais rebondie. Deux petits ronds qui bougent sous le haut de bikini. Elle mesure 1M70 et est Svelte bien qu’elle ne pratiquant pas de sport. Ce qui est sûr, c’est qu’elle a bien l’intention d’offrir son corps aux rayons du soleil afin de ne pas perdre la face devant ses copines. Je remarque son petit piercing sur son nombril et un tatouage sur son talon en forme de chaton. On fait donc comme à la plage, allongés, lunettes de soleil, allongés sur le sol à bronzer. Autour, je m’aperçois que ce ne sont que des familles qui font une halte là. Ma soeur sort sa crème solaire et après s’être enduite les bras et les jambes, me demande de le lui passer sur le dos. Chose que je fais avec un plaisir indéniable. J’essaie de faire du mieux que je peux, m’appliquant à bien suivre les courbes de son dos. J’ai une légère érection. En ce moment même, je réalise que je ne la considère même plus comme ma soeur mais comme une jolie fille. Je pense qu’elle doit sentir que lorsque je passe de l’huile sur son corps, j’en éprouve du plaisir. D’ailleurs, elle me demande d’arrêter. Ce que je fais à contre coeur. Il y a un petit cabanon qui fait office de buvette mais qui vend aussi des produits alimentaires. Je remarque une bande de quatre gars avec un métis parmi eux. Ils ont entre 22 et 25 ans. Ils ont repéré ma soeur. Ils ne voient pas que je les observe grâce à mes lunettes de soleil. Je devine à leur rire et à leur regard les propos salaces qu’ils doivent tenir à son sujet. Ma soeur ne s’en rend pas compte. Je me lève alors pour faire mine d’acheter un truc et me dirige vers eux. Je rentre dans le cabanon. Il y a pas grand chose : juste de la bouffe, beaucoup d’alcool en revanche. Je regarde ce qu’ils ont en alcool fort, whisky, rhum, ricard, etc…rien d’exceptionnel. Je me retourne alors et les gars ont disparu…mais pas bien loin. Ils se sont installés, sûr d’eux autour de ma soeur, surprise mais qui garde son sang froid. Je me dis qu’ils veulent juste la draguer et de toute façon, ça grouille de monde là. Apparemment, il semble qu’elle soit contente et elle rigole même avec eux. Pourtant, je suis préoccupé comme un mauvais pressentiment. Je décide de revenir et les gars partent à ce moment en m’ignorant.
— ils voulaient quoi ?
-juste faire connaissance mais je leur ai dit que j’avais déjà un mec.
-ils avaient l’air louche
-bof, c’est sûr qu’avec leur façon de s’exprimer, tu vois qu’ils viennent de leur cité
-ils font quoi ici ?
-apparemment ils descendent sur Marseille pour les vacances
Une heure plus tard, après s’être baigné, on retourne à la maison. On gare l’espace et on rejoint maman. Elle est allongée sur l’herbe, en bikini noir avec des lunettes de soleil et un chapeau. D’ailleurs, je suis assez surpris de la voir en bikini car en général pour la plage, elle met des mono noirs.
-eh ben, tu aurais du venir, maman
-je pense oui, mais je voulais terminer mon ménage et vu que vous avez pris l’espace.
Je regarde alors ma mère allongée nonchalamment sur sa serviette. Le bikini, ça lui va pas du tout et ça exagère ses fesses. D’autant plus qu’elle l’a pris un peu petit pour elle et ses formes débordent beaucoup. Mais par contre quelle paire de nibards ! Si ma soeur est belle en bikini, je dirais que pour ma mère, ça fait plutôt effet d’étalage de formes pressées par le tissu. J’oserai dire même que c’est très cru et presque indécent. La blancheur de sa peau contraste avec le noir du bikini. Ses grosses mamelles compressées à bloc semblent étouffées dans le fin tissu. Ses seins donnent l’impression de craquer a tout instant tant les bretelles sont fines. On distingue aisément le bourgeon de ses tétons et même, sur le sein gauche, le haut d’une auréole foncée. Les lunettes de soleil lui vont bien ainsi que son large chapeau. Elle se lève alors et se positionne à côté de Liza. Les deux n’ont de ressemblance que le visage. Ma mère est en effet l’inverse de ma soeur question physique. Plus petite avec ses 1m62 et plus ronde. Elles ont en commun la couleur des cheveux et les yeux de couleur noisette. Pour le reste, il est flagrant que Liza est plus svelte du fait de sa jeunesse. Ma mère est un peu large de fesses. A Bientôt 46 ans, elle garde néanmoins un joli visage souriant. Ses dents sont blanches, ses lèvres fines, un joli petit nez et ses paupières toujours légèrement maquillées. Liza et maman rentrent. En marchant, les gros seins de ma mère ballottent sous l’effet de la pesanteur. Ses fesses aussi. Son bikini est si petit que l’on pourrait croire qu’il va lui rentrer entre les fesses comme un string. C’est comme si ses fesses déjà rondes, étaient séparées par un fil qui lui rentrerait dans le cul. De devant, il cache juste son sexe mais du fait qu’elle l’ait pris trop petit, il moule les lèvres de son vagin. J’ignore si ma mère a conscience de son indécence, de son impudeur. Elle est plutôt prude en général. Elle a tout d’une mère ordinaire qui s’habille correctement. Liza a un cul plus ferme et bien plus rebondi. C’est un bonheur pour les yeux. Elle a juste ce qu’il faut où il faut sans plus. Heureusement que l’on n’a pas de voisins ! La question du repas se pose. Rien de frais, que des conserves ! On lui parle du cabanon.
-je vais faire des courses ! ?a me sortira un peu.
Elle enfile un short noir sportif moulant et un teeshirt orange. Elle met aussi une paire de Tongue très fine.
-A tout à l’heure !
-A tout à l’heure, maman !
Elle part avec l’espace.
-J’ai cru qu’elle allait y aller comme ça, en bikini !
-Liza, maman, n’est pas comme ça ! Elle est convenable.
-Tu as vu son bikini ?
-Oui, mais il y a personne et elle a quand même le droit de se lâcher pendant les vacances. Je te trouve prude d’un seul coup dis donc.
-C’est vrai, c’est que j’ai pas l’habitude de la voir comme ça, c’est tout.
-Elle est une femme aussi et en plus, il y a personne pour la reluquer. Avoue que tu es bien contente de te faire regarder hein ?
-Tu as raison, c’est sûr.
-Bon, on va se boire un truc tiens.
Je sors une bouteille de rhum et du coco. Je nous confectionne un petit apéritif.
-Je vais prendre une douche moi ! L’eau du lac avait pas l’air très propre et surtout avec tout ces gens qui se baignent dedans. Tu devrais en faire autant aussi.
-Tu as raison !
Elle me laisse tout seul dans le salon qui est dans la grande véranda. Je me verse un autre verre et je branche un deuxième ventilateur. La chaleur est insupportable et je décide de sortir.
Je vais à la porte de la salle de bain et dis à ma soeur que je vais faire un tour. Elle me répond. L’alcool et la chaleur me travaille. La vue de ma mère et ma soeur m’a excité. Les images de Liza au lac, la vision de la poitrine de ma mère. Je suis frustré, le coeur qui tambourine, derrière cette maudite porte que j’ose pas ouvrir ou même défoncer tant je suis excité. Dire que Liza est là, nue dans sa douche. J’imagine l’eau couler sur sa peau douce, le savon du gel douche couler sur ses petits seins ronds et entre ses fesses rebondies. Et là un élément incroyable et complètement inattendu se produit. J’entends un bruit comme un craquement. Je me retourne et… trop tard. Je suis saisi par les cheveux et un cran d’arrêt sous la gorge.
-Ferme ta grande gueule sinon…
Il fait un signe. Là, des gars avancent prudemment. Les mecs du lac ????? Mais que font-ils ici ? Personne ne nous a suivi pourtant. Mon agresseur, c’est le métis. Ma soeur est toujours sous la douche, insouciante. Les gars rentrent alors dans la grande véranda et commencent à inspecter les lieux. Mais rapidement, l’un d’entre eux fait un signal aux autres. Oui, ils ont entendu la douche couler.
-On dirait qu’il y’a quelqu’un sous la douche.
Ce même bruit a masqué les voix des gars à Liza. Elle ignore complètement la tragédie qui se prépare. Je suis entraîné dans la véranda par mon agresseur. Ma soeur finit par sortir de la douche, elle a mis sa serviette de bain autour d’elle. Tranquillement, elle se sèche les cheveux, insouciante. Puis elle ouvre la porte en chantonnant. Les hommes se précipitent sur elle. J’entends des hurlements rapidement étouffés et des rires. Ma soeur s’est faites avoir. Les hommes l’entraînent à son tour vers la véranda, la plus vaste pièce. J’entends ce qu’ils lui disent :
-Regardez qui voilà, si on s’attendait !
-C’est la nana au joli petit cul de tout à l’heure !
-Vous ? Mais vous faites quoi ici ?
-Bonne question… héhé !
Ils commencent à tirer sur sa serviette chacun de leur côté tout en rigolant. Liza se défend comme elle peut tout en sachant que s’est vain. Elle retient la serviette pour préserver sa nudité. Elle met des coups de pied à droite et à gauche. Ca amuse ses agresseurs.
-On pensait pas te trouver là petite salope, on voulait juste voir si on pouvait piquer des trucs dans cette baraque. En fait, on s’est même planté de route pour aller sur Marseille. Et voilà que t’habites là : pas de chance.
Ils rient.
-Maintenant, enlève ta serviette où on va le faire et ce sera pas convenable.
Les larmes aux yeux, Liza renifle et les autres s’impatientent.
— Magne-toi ! Allez !
Pris de peur, Liza ôte sa serviette de bain dévoilant tous ses charmes secrets. Ca siffle et ça insulte. Elle a honte. On m’a assis sur une chaise et je n’ose me lever. De toute façon, mon agresseur sort une paire de menottes :
-Tiens, de la part d’un flic ! Je le lui ai piqué alors qu’il voulait me les mettre !
Il rit et me menotte sur la chaise.
-J’ai pas envie que tu joues les troubles fêtes. Ce serait dommage pour vous deux !
Ils sortent tous des crans d’arrêt et les tournent en jouant de l’effet produite par la lumière pour nous faire peur. Les lames paraissent énormes. Ils semblent heureux de l’effet produit. On a peur et Liza pleure.
-Arrêtez ! C ?est bon ! Arrêtez, je ferais ce que vous voulez mais ne nous faites pas de mal !
Liza est debout nue. Elle cache sa nudité car elle a honte. Les hommes rangent alors leur lame en la reluquant avec envie.
-Montre-nous ta chatte et tes seins ! Allez !
Elle hésite, tremble mais le fait à contre coeur. Je reste en admiration devant la plastique ferme et svelte de Liza. Ces petits seins si ronds et ses fesses si fermes. Pas étonnant qu’elle se trouve des copains aussi rapidement. Le métis, mon agresseur de tout à l’heure se lève et la prend par derrière. Il masse délicatement les seins ronds. Il l’embrasse sur le cou.
-Toi, t’es trop bonnasse !
Liza ferme les yeux et sanglote. Il lui palpe les fesses. Il les presse de ses deux mains. Elle ne peut rien faire, il est grand, fort. Ses mains explorent alors sa toison rasée en triangle. Liza serre les jambes. Le doigt s’enfonce dans la fente. Elle laisse s ?échapper un petit cri. Les autres restent bouche ouverte, la bave aux lèvres. Moi, je commence à avoir la trique grave. Il se met à la fouiller avec son doigt.
— Vas-y ! Laisse-toi faire ! Laisse-toi faire !
Tout en la doigtant, il lui caresse de son autre main un sein. Sa langue lèche le cou de Liza. Je réalise alors que le viol ne semble pas être son truc vraiment. Il ne veut pas la prendre de force mais la forcer à jouir, à éprouver du plaisir et à finalement lui faire accepter l’idée même qu’elle soit une salope consentante.
-Elle mouille la petite pute !
L’effet produit par le doigt expert se fait ressentir. Liza mouille et commence à gémir. C’est son corps qui parle plus sa volonté. Les stimulations du métis marchent à merveille.
-héhé ! Regarde, même ton propre frère bande.
Et oui, j’éprouve du plaisir à voir ma soeur se faire humilier et doigter. Plus encore, maintenant je ne désire qu’une chose qu’ils la baisent ici, devant moi. Le métis la met à genoux et sort son sexe. Bien gros et bandant dur. Comme Liza ne veut pas la prendre en bouche, il la secoue sur ses lèvres. Elle se refuse puis sa volonté fléchi. Peut être qu’ils la laisseront après ça. A mon grand plaisir et à celui de tous, Liza engouffre à pleine bouche le sexe du métis. Elle lui fait une pipe magistrale.
-Ah, la salope, regardez ! C’est pas la première fois que tu suces quelqu’un, hein ?
Liza ne répond pas et continue à lui pomper le dard. Tout le monde peut voir la grosse bosse sur mon pantalon.
-Regarde l’effet que tu fais à ton frangin ! Je suis sûr qu’il a jamais bandé autant.
Le métis pousse des râles de plaisir.
-aah, salope ! Encore, plus vite !
Liza exécute la demande et pompe plus vite. Je regarde la bouche de Liza sucer ce gros sexe. Je me crois en face d’un porno en live. Le bruit du frottement du gros pénis et les bruits de succion de Liza. Elle décalotte le membre et lui lèche le gland. Le métis n’en peut plus, il gueule de plaisir. Les autres sont à la limite de devenir fou. Il la retire juste à temps avant qu’il se lâche dans sa bouche.
-Non, non, je vais profiter le plus possible ! En attendant va sucer ton frère ! Il en peut plus.
Là Liza ne peut pas. Elle refuse.
-Non, pas lui, s’il vous plait, je vous donnerai du plaisir mais pitié, pas ça.
-Va et discute pas petite pute ! Ton frère a droit aussi à sa gâterie !
Il lui frappe les fesses. Elle avance à quatre pattes et en pleurant. Dire que grâce à ce sale violeur, je vais accomplir un de mes fantasmes : me faire sucer par ma propre soeur.
Elle défait ma braguette et sort mon sexe. Il me paraît plus gros que d’habitude. Après un bref instant d’hésitation, elle l’engouffre et me pompe. Je ne la vois plus comme ma soeur mais comme une femme. Elle pratique bien et je me dis que son copain a bien de la chance. Comme elle est à quatre pattes, le métis la prend par derrière.
-Je vais te baiser comme une chienne pendant que tu suces ton frère !
Là, il enfourne son sexe dans la chatte de ma soeur tandis qu’elle me suce. J’essaie d’éviter son regard par rapport à la honte d’éprouver du plaisir avec ma propre soeur. Je la sens se faire bourrer par le métis qui semble excité par notre relation incestueuse. Il se met sur elle, toujours à quatre pattes, et lui masse sa poitrine rebondie qui ondule. J’entends ses grognements de plaisir et savoir qu’il prend son pied m’excite encore plus. Je le sens bourrer ma soeur à grands coups de bite sauvage. Avec tout ça, je finis par lui éjaculer en plein visage. Un jet pas possible. Elle a un léger recul et juste au même moment, le métis se répand en elle. A grand coups de reins, il se vide les couilles dans les entrailles de ma soeur qui pousse un râle de plaisir plein de mon sperme. Après l’avoir remplie, il se retire d’elle bien content et cède sa place à ses trois collègues. Les trois se succèdent alors, prenant bien leur panard à profiter du corps svelte de Liza. L’un la baise sur lui, la forçant à s’empaler sur lui allongé par terre. On a l’impression qu’il rebondit sur elle. Ses petits seins rebondissent de haut en bas ainsi que ses longs cheveux bruns, tout dépeignés. Le visage de Liza est celui d’une chienne en chaleur, se faisant baiser. Les yeux mi-clos, avec mon propre sperme sur le visage et poussant des gémissements de bonheur à chaque éjaculation. Un autre la prend en missionnaire tout en lui caressant longuement ses jambes fines et bronzées. Le dernier exige une pipe et l’obtient facilement car Liza se laisse aller au plaisir. Elle se retrouve une fois de plus, le visage plein de foutre dégoulinant. Bien vidé, les jeunes remettent leur pantalon et caleçon. Liza se remet mais petit à petit réalise ce qui a été fait et se sent humiliée.
-Quelle pute ta soeur ! Elle baise bien et elle est trop bonne !
-Oui une vraie salope !
Ils rient tous en coeur en désignant ma soeur nue au sol de la véranda.
-On va rester un peu plus longtemps dans le coin, pas vrai les gars !
Liza semble sortir de son état de chienne !
-Non, vous ne pouvez pas rester là ! Allez vous en, ma mère va arriver d’une minute à l’autre !
Au moment où elle achève sa phrase, on entend un bruit dans la cour. Je réalise l’horreur de la situation. C’est l’espace avec ma mère qui revient des courses.